21-01-2021, 05:30 PM
1er août. Plus qu'un mois. Et un mois que cette histoire folle durait. Nous aimions ça, pourquoi s'en priver ?
Je m'étais acquitté de ma dette envers Marie un soir où nos parents étaient en ville. Après la vaisselle, nous allâmes nous installer devant la télé de notre chambre, pas celle du salon pourtant plus grande, mais parce que cela nous donnait un raison de rapprocher les lits et de regarder n'importe quoi en mangeant des chips. Ou faire autre chose dans le domaine du n'importe quoi d'ailleurs.
Ce fut un de ces soirs. Film nul, comme ceux de l'été. Marie en nuisette, moi en boxer.
Il fallait que ça se fasse par surprise. Doucement, je m'approchai d'elle, mes mains vinrent prendre ses jolis seins. La nuisette ne tarda pas à glisser le long de son corps. Ces courbes que je connaissais maintenant par cœur, je ne me lassais pas de les regarder...
Je l'allongeai sur le dos, comme la première fois, avec son étau entre ses cuisses pour fouiller de ma langue son intimité et lui arracher des cris de plaisir. Mais cette fois ce serait différent. Pour solder cette dette, je devais faire quelquechose de nouveau pour elle aussi.
Et j'avais mon idée.
Au bout de quelques instant de caresses buccales, je me mis nu à mon tour, et m'allongeai sur le lit, sur le côté, ma bouche vers son sexe, mon sexe vers sa bouche, et repris ma manœuvre tranquillement, comme si de rien n'était.
Elle ne fut pas longue à comprendre, et très vite, je la sentis empoigner mon sexe et y appliquer quelques coups de langue bien pensés. Je roulais alors sur le dos, l'entraînant sur moi, toujours dans la même disposition. Elle était alors assise sur moi, son sexe sur mon visage, son sexe que je léchai avec ardeur. Elle s'occupant du mien avec délectation, me faisant un bien fou. Cette position inversée lui permettait de faire coulisser ma verge tout le long de ses lèvres, rapprochant l'éjaculation chaque fois un peu plus. Je m'appliquai de mon côté, titillant à la fois le clitoris et l'anus de ma partenaire.
La jouissance intervint en même temps pour nous deux.
- Alors, satisfaite ?
- Ho que oui, je vais continuer à t'accabler de dettes...
Je l'embrassai.
- Je t'aime.
Elle ne répondit pas, mais me sourit. Un sourire pur.
C'était dit. La balle était dans son camp.
1er août. Je repensais à cette soirée où je lui avais finalement avoué mes sentiments. J'en étais sûr, c'était elle, l'ami d'enfance que je voyais tous les étés, c'était elle que j'aimais. Tant pis pour le reste.
Cette soirée allait être une première à sa manière aussi.
Nous nous étions couchés tard, mais le sommeil ne venait pas. Nous discutions avec Marie, nos lits étaient rapprochés, comme lorsque nous étions petits.
- Dis Marie...
- Oui ?
- Ce qu'on fait là, tu crois que c'est mal ?
- T'as honte ?
- Non absolument pas. Je me demandais si c'était normal.
- Moi j'ai pas de regrets pour ce qu'on fait, on se fait du bien, on est d'accord. Pour un peu nos parents aussi !
- Ouais c'est vrai.
- Il y a un truc qu'on a pas fait...
- Ouais je sais.
- Ça te fait peur ?
- Non.
- On le fait ?
Au moins c'était direct.
- Heu, posé comme ça... Tu y as bien réfléchi ?
- Je n'arrête pas d'y penser depuis que nos parents nous ont interrogés en fait.
- Ouais moi aussi.
- Alors tu veux le faire ?
- Je sais pas, là ça fait très "c'était prévu", j'ai peur qu'on regrette...
- Alors fais comme si j'avais rien dit...
Elle avait envie. Elle était prête. Moi je ne sais pas. Avec une autre fille c'est sûr je ne serais pas fait prier, mais là c'était Marie, et j'allais être "sa première fois".
- Faut que je t'avoue un truc quand même.
- Oui ?
- En fait, avec ma mère... J'ai bluffé, j'avais pas de capotes.
- Hihi j'en étais sûre. Quel joueur de poker !
- Mais du coup pour ce qu'on veut faire... Ça craint un peu. Tu prends la pilule OK, mais quand même...
- Hé qui t'a dit qu'on devait le faire sans capote ?
Elle souleva son matelas. Une boîte de Durex toute neuve. Douze, ça devrait faire l'affaire. Décidément ce matelas...
- T'as eu ça où ?
- A la pharmacie monsieur, me répondit-elle en déposant un baiser sur mes lèvres.
- Fermons à clé...
- La chambre ? Et s'ils essayent de venir ?
- Je préfèrent qu'ils supposent plutôt qu'ils nous surprennent.
- Pas faux.
Elle se leva, alla à la porte et fit tourner la clé sans faire de bruit. Elle retira sa nuisette et sa culotte en revenant. J'avais retiré mon boxer. Elle vint s'assoir à côté de moi, nue.
- Tu as envie ?
- Arrête de me demander où je te sautes dessus, lui répondis-je en la renversant sur le lit.
Je l'embrassai, ma peau devenait moite, la sienne aussi. Je caressai son corps sans discontinuer, partout. J'avais envie d'elle.
Bisous dans le cou, sur les seins, sur son ventre, j'étais déjà à son sexe, qui était déjà trempé.
- Je veux que tu me le fasses maintenant.
Sa voix tremblait.
J'attrapai la boîte de préservatifs, en sortis un. Facile à ouvrir, j'avais déjà essayé d'en enfiler un chez moi. C'est marrant, et très excitant.
Mais ce soir, j'avais une autre idée.
- Tu me la mets ?
- J'ai jamais fait.
- On en a douze, on a de la marge... Et je pense que tu vas très bien te débrouiller...
Elle sourit à ma remarque, se redressa, me prit la capote des mains et ouvrit le sachet. Odeur de caoutchouc lubrifié. Odeur de sexe.
Elle étudia rapidement le petit anneau, le réservoir et le déposa sur mon gland. J'eus peur une seconde que ce fut le mauvais côté, mais non, elle fit dérouler l'enveloppe le long de ma verge, délicatement, en prenant soin de ne pas l'abîmer. Pour ce qui était des préliminaires, Marie m'avait sucé plus tôt dans la soirée, au sortir de la douche, fellation que j'avais rendu discrètement à table en passant ma main sous sa jupe pour caresser son sexe. Fous que nous étions.
J'introduisis un doigt dans son intimité, elle était chaude et douce.
Marie se mit sur le dos, genoux repliés, jambes légèrement écartées, m'offrant son sexe, m'offrant sa virginité. Je vins me glisser entre ses jambes, tout en l'embrassant, je sentais mon sexe encapoté frotter contre son pubis. Puis, d'une main leste, Marie prit mon sexe, et le guida à sa vulve.
- Promets-moi que c'est la première fois.
- Je te le promets.
Elle poussa mon sexe en elle. Doucement d'abord, je sentis mon pénis s'enfoncer doucement dans son vagin, rencontrer une légère résistance, puis plus rien. Marie gémit un peu, une petite grimace de douleur sur son visage.
- Pardon, m'excusais-je, je t'ai fait mal ? Tu veux arrêter ?
- Surtout pas ! gémit-elle dans un souffle, juste... mal... début...
Elle se laissa aller, et moi aussi, elle prit mes fesses dans ses mains et poussa davantage mon sexe en elle. Nous ne faisions qu'un.
Je m'étais acquitté de ma dette envers Marie un soir où nos parents étaient en ville. Après la vaisselle, nous allâmes nous installer devant la télé de notre chambre, pas celle du salon pourtant plus grande, mais parce que cela nous donnait un raison de rapprocher les lits et de regarder n'importe quoi en mangeant des chips. Ou faire autre chose dans le domaine du n'importe quoi d'ailleurs.
Ce fut un de ces soirs. Film nul, comme ceux de l'été. Marie en nuisette, moi en boxer.
Il fallait que ça se fasse par surprise. Doucement, je m'approchai d'elle, mes mains vinrent prendre ses jolis seins. La nuisette ne tarda pas à glisser le long de son corps. Ces courbes que je connaissais maintenant par cœur, je ne me lassais pas de les regarder...
Je l'allongeai sur le dos, comme la première fois, avec son étau entre ses cuisses pour fouiller de ma langue son intimité et lui arracher des cris de plaisir. Mais cette fois ce serait différent. Pour solder cette dette, je devais faire quelquechose de nouveau pour elle aussi.
Et j'avais mon idée.
Au bout de quelques instant de caresses buccales, je me mis nu à mon tour, et m'allongeai sur le lit, sur le côté, ma bouche vers son sexe, mon sexe vers sa bouche, et repris ma manœuvre tranquillement, comme si de rien n'était.
Elle ne fut pas longue à comprendre, et très vite, je la sentis empoigner mon sexe et y appliquer quelques coups de langue bien pensés. Je roulais alors sur le dos, l'entraînant sur moi, toujours dans la même disposition. Elle était alors assise sur moi, son sexe sur mon visage, son sexe que je léchai avec ardeur. Elle s'occupant du mien avec délectation, me faisant un bien fou. Cette position inversée lui permettait de faire coulisser ma verge tout le long de ses lèvres, rapprochant l'éjaculation chaque fois un peu plus. Je m'appliquai de mon côté, titillant à la fois le clitoris et l'anus de ma partenaire.
La jouissance intervint en même temps pour nous deux.
- Alors, satisfaite ?
- Ho que oui, je vais continuer à t'accabler de dettes...
Je l'embrassai.
- Je t'aime.
Elle ne répondit pas, mais me sourit. Un sourire pur.
C'était dit. La balle était dans son camp.
1er août. Je repensais à cette soirée où je lui avais finalement avoué mes sentiments. J'en étais sûr, c'était elle, l'ami d'enfance que je voyais tous les étés, c'était elle que j'aimais. Tant pis pour le reste.
Cette soirée allait être une première à sa manière aussi.
Nous nous étions couchés tard, mais le sommeil ne venait pas. Nous discutions avec Marie, nos lits étaient rapprochés, comme lorsque nous étions petits.
- Dis Marie...
- Oui ?
- Ce qu'on fait là, tu crois que c'est mal ?
- T'as honte ?
- Non absolument pas. Je me demandais si c'était normal.
- Moi j'ai pas de regrets pour ce qu'on fait, on se fait du bien, on est d'accord. Pour un peu nos parents aussi !
- Ouais c'est vrai.
- Il y a un truc qu'on a pas fait...
- Ouais je sais.
- Ça te fait peur ?
- Non.
- On le fait ?
Au moins c'était direct.
- Heu, posé comme ça... Tu y as bien réfléchi ?
- Je n'arrête pas d'y penser depuis que nos parents nous ont interrogés en fait.
- Ouais moi aussi.
- Alors tu veux le faire ?
- Je sais pas, là ça fait très "c'était prévu", j'ai peur qu'on regrette...
- Alors fais comme si j'avais rien dit...
Elle avait envie. Elle était prête. Moi je ne sais pas. Avec une autre fille c'est sûr je ne serais pas fait prier, mais là c'était Marie, et j'allais être "sa première fois".
- Faut que je t'avoue un truc quand même.
- Oui ?
- En fait, avec ma mère... J'ai bluffé, j'avais pas de capotes.
- Hihi j'en étais sûre. Quel joueur de poker !
- Mais du coup pour ce qu'on veut faire... Ça craint un peu. Tu prends la pilule OK, mais quand même...
- Hé qui t'a dit qu'on devait le faire sans capote ?
Elle souleva son matelas. Une boîte de Durex toute neuve. Douze, ça devrait faire l'affaire. Décidément ce matelas...
- T'as eu ça où ?
- A la pharmacie monsieur, me répondit-elle en déposant un baiser sur mes lèvres.
- Fermons à clé...
- La chambre ? Et s'ils essayent de venir ?
- Je préfèrent qu'ils supposent plutôt qu'ils nous surprennent.
- Pas faux.
Elle se leva, alla à la porte et fit tourner la clé sans faire de bruit. Elle retira sa nuisette et sa culotte en revenant. J'avais retiré mon boxer. Elle vint s'assoir à côté de moi, nue.
- Tu as envie ?
- Arrête de me demander où je te sautes dessus, lui répondis-je en la renversant sur le lit.
Je l'embrassai, ma peau devenait moite, la sienne aussi. Je caressai son corps sans discontinuer, partout. J'avais envie d'elle.
Bisous dans le cou, sur les seins, sur son ventre, j'étais déjà à son sexe, qui était déjà trempé.
- Je veux que tu me le fasses maintenant.
Sa voix tremblait.
J'attrapai la boîte de préservatifs, en sortis un. Facile à ouvrir, j'avais déjà essayé d'en enfiler un chez moi. C'est marrant, et très excitant.
Mais ce soir, j'avais une autre idée.
- Tu me la mets ?
- J'ai jamais fait.
- On en a douze, on a de la marge... Et je pense que tu vas très bien te débrouiller...
Elle sourit à ma remarque, se redressa, me prit la capote des mains et ouvrit le sachet. Odeur de caoutchouc lubrifié. Odeur de sexe.
Elle étudia rapidement le petit anneau, le réservoir et le déposa sur mon gland. J'eus peur une seconde que ce fut le mauvais côté, mais non, elle fit dérouler l'enveloppe le long de ma verge, délicatement, en prenant soin de ne pas l'abîmer. Pour ce qui était des préliminaires, Marie m'avait sucé plus tôt dans la soirée, au sortir de la douche, fellation que j'avais rendu discrètement à table en passant ma main sous sa jupe pour caresser son sexe. Fous que nous étions.
J'introduisis un doigt dans son intimité, elle était chaude et douce.
Marie se mit sur le dos, genoux repliés, jambes légèrement écartées, m'offrant son sexe, m'offrant sa virginité. Je vins me glisser entre ses jambes, tout en l'embrassant, je sentais mon sexe encapoté frotter contre son pubis. Puis, d'une main leste, Marie prit mon sexe, et le guida à sa vulve.
- Promets-moi que c'est la première fois.
- Je te le promets.
Elle poussa mon sexe en elle. Doucement d'abord, je sentis mon pénis s'enfoncer doucement dans son vagin, rencontrer une légère résistance, puis plus rien. Marie gémit un peu, une petite grimace de douleur sur son visage.
- Pardon, m'excusais-je, je t'ai fait mal ? Tu veux arrêter ?
- Surtout pas ! gémit-elle dans un souffle, juste... mal... début...
Elle se laissa aller, et moi aussi, elle prit mes fesses dans ses mains et poussa davantage mon sexe en elle. Nous ne faisions qu'un.