21-01-2021, 05:29 PM
Quelques jours passèrent encore. Nous avions discuté avec Marie et convenu de ne plus dormir dans le même lit, et habillés. En revanche nos petits moments tendres se multipliaient dangereusement.
Un après-midi ensoleillé où tout le monde bronzait tranquillement sur la terrasse de la villa, j'étais parti à l'arrière de la maison pour me rafraîchir au robinet du jardin, qui était dans le mur, à l'ombre.
Je mouillai ma nuque, mon visage, je sentis mon corps baisser son thermostat, quand soudain une main prit la mienne. Marie.
- Chut ! me souffla-t-elle.
Et elle me poussa contre le mur.
Elle entreprit de baisser mon short. Personne aux alentours mais n'importe qui pouvait avoir envie de la fraîcheur du robinet.
- Arrête, t'es folle ! On va nous surprendre.
- Je vais être discrète alors...
Elle avait déjà pris mon sexe, j'avais le short aux genoux.
- Ça te plaît ?
- Bien sûr, mais si on nous choppe ?
- On verra alors. Laisse-toi faire, j'en meurs d'envie depuis midi.
Et elle enfourna ma verge. Elle était à genoux, moi debout contre le mur arrière de la maison, la forêt devant moi, mes parents et ceux de Marie derrière à 15 mètres.
Ça me surexcitait.
Marie suçait, léchait mon sexe, en effet elle était appliquée à sa tache.
- J'ai envie d'essayer un truc.
- Quoi donc ? lui demandai-je à demie-voix.
- Tu vas voir.
Elle prit mon sexe, et le mit entièrement dans sa bouche, l'enfonça, loin, loin, ses lèvres touchaient mes couilles, mon gland touchait quelquechose, sa gorge, s'y enfonçait, c'était magique.
Puis elle retira mon sexe dans un hoquet. Je l'étouffais.
- Alors ? C'était comment ?
- Énorme.
- J'ai envie d'un autre truc.
- Encore ?
- Éjacule-moi sur le visage...
- Là ? Avec nos parents pas loin ? Pas ce soir plutôt ?
- J'ai envie maintenant... Ça ne prendra pas longtemps, je vais bien m'appliquer, préviens-moi quand tu vas jouir...
Elle reprit sa fellation, refit une gorge profonde, puis revint aux va-et-vient conventionnels, en me branlant doucement. Elle n'avait pas menti, au bout de trois minutes je n'en pus plus.
- Vite je vais jouir...
Elle dirigea prestement mon sexe vers son visage et continua à me branler.
Je jouis.
De longs jets de sperme atterrirent sur s abouche, son nez, ses yeux... Elle se délectait. Elle lécha la semence autour de ses lèvres et entreprit de nettoyer celle qui restait sur ma verge, vite, avant que je ne supporte plus la caresse.
- La vache, t'as eu ces idées où ?
- Je t'ai dit que je matais des pornos des fois, j'ai vu une nana faire ça, je voulais voir comment ça rendait en vrai.
- Et ?
- Ça rend très bien.
- J'ai adoré aussi.
- Tant mieux alors !
Restait le sperme sur son visage. Je n'avais rien pour la nettoyer. Mais déjà elle avait la main à sa poche, en tira un paquet de mouchoirs. Elle avait tout calculé.
- J'ai une dette envers toi du coup...
- Et je compte bien être dédommagée.
- Marché conclu.
Nous retournâmes à nos chaises longues. Chapitre 8 : Sauter le pas
Un après-midi ensoleillé où tout le monde bronzait tranquillement sur la terrasse de la villa, j'étais parti à l'arrière de la maison pour me rafraîchir au robinet du jardin, qui était dans le mur, à l'ombre.
Je mouillai ma nuque, mon visage, je sentis mon corps baisser son thermostat, quand soudain une main prit la mienne. Marie.
- Chut ! me souffla-t-elle.
Et elle me poussa contre le mur.
Elle entreprit de baisser mon short. Personne aux alentours mais n'importe qui pouvait avoir envie de la fraîcheur du robinet.
- Arrête, t'es folle ! On va nous surprendre.
- Je vais être discrète alors...
Elle avait déjà pris mon sexe, j'avais le short aux genoux.
- Ça te plaît ?
- Bien sûr, mais si on nous choppe ?
- On verra alors. Laisse-toi faire, j'en meurs d'envie depuis midi.
Et elle enfourna ma verge. Elle était à genoux, moi debout contre le mur arrière de la maison, la forêt devant moi, mes parents et ceux de Marie derrière à 15 mètres.
Ça me surexcitait.
Marie suçait, léchait mon sexe, en effet elle était appliquée à sa tache.
- J'ai envie d'essayer un truc.
- Quoi donc ? lui demandai-je à demie-voix.
- Tu vas voir.
Elle prit mon sexe, et le mit entièrement dans sa bouche, l'enfonça, loin, loin, ses lèvres touchaient mes couilles, mon gland touchait quelquechose, sa gorge, s'y enfonçait, c'était magique.
Puis elle retira mon sexe dans un hoquet. Je l'étouffais.
- Alors ? C'était comment ?
- Énorme.
- J'ai envie d'un autre truc.
- Encore ?
- Éjacule-moi sur le visage...
- Là ? Avec nos parents pas loin ? Pas ce soir plutôt ?
- J'ai envie maintenant... Ça ne prendra pas longtemps, je vais bien m'appliquer, préviens-moi quand tu vas jouir...
Elle reprit sa fellation, refit une gorge profonde, puis revint aux va-et-vient conventionnels, en me branlant doucement. Elle n'avait pas menti, au bout de trois minutes je n'en pus plus.
- Vite je vais jouir...
Elle dirigea prestement mon sexe vers son visage et continua à me branler.
Je jouis.
De longs jets de sperme atterrirent sur s abouche, son nez, ses yeux... Elle se délectait. Elle lécha la semence autour de ses lèvres et entreprit de nettoyer celle qui restait sur ma verge, vite, avant que je ne supporte plus la caresse.
- La vache, t'as eu ces idées où ?
- Je t'ai dit que je matais des pornos des fois, j'ai vu une nana faire ça, je voulais voir comment ça rendait en vrai.
- Et ?
- Ça rend très bien.
- J'ai adoré aussi.
- Tant mieux alors !
Restait le sperme sur son visage. Je n'avais rien pour la nettoyer. Mais déjà elle avait la main à sa poche, en tira un paquet de mouchoirs. Elle avait tout calculé.
- J'ai une dette envers toi du coup...
- Et je compte bien être dédommagée.
- Marché conclu.
Nous retournâmes à nos chaises longues. Chapitre 8 : Sauter le pas