21-01-2021, 05:21 PM
Pauline posa ses mains sur ses épaules. Les caresses plus douces glissèrent le long de ses bras. Les quatre mains sur son corps la submergeaient de sensations. Elle ne semblait plus s’appartenir. Elle aimait cela.
Après ses bras, les mains de Pauline glissèrent sur sa poitrine rebondie. Olivia soupira d’aise. Son ventre se contracta. Les doigts de son amie suivirent les courbes pleines de ses seins, s’enroulaient autour d’eux pour les masser tendrement. Olivia sentait ses tétons se durcirent d’excitation. Ses reins se cambrèrent à nouveau légèrement tandis que les mains de Pauline se refermaient sur ses seins. Les doigts de la jeune fille vinrent saisir les tétons dressés pour les pincer doucement, les faire rouler entre ses doigts. Olivia gémit sous la caresse. Le massage prenait progressivement la tournure que souhaitait la jeune espagnole. Elle pouvait sentir le souffle chaud de son amie penchée sur sa poitrine. Il s’accélérait lui aussi.
Alors que le plaisir enflammait son corps, Olivia sentit les mains de Tom se poser à nouveau sur ses jambes. Ses caresses plus fermes continuaient à délasser ses muscles. Elle se soumettait à la poigne du jeune homme. A peine consciente, elle comprenait que les caresses de Tom écartaient progressivement ses cuisses. Elle ne cherchait même pas à résister. Elle aimait cela. Elle rougit en passant à la vue que le jeune homme pouvait avoir sur son intimité. Elle imagina le désir qu’elle pouvait susciter en lui, songea à l’érection qu’il pouvait avoir en ce moment-même. Elle en frissonna de plaisir.
Comme une réponse, les mains de Tom remontèrent l’intérieur de ses cuisses. Prenant conscience de sa position, elle réalisa qu’elle avait maintenant clairement les cuisses écartées largement face à lui. Son ventre se contracta de plaisir à cette idée. Elle avait envie de lui, qu’il la touche, qu’il lui donne du plaisir. Les mains de Pauline sur sa poitrine enflammaient son corps. Son souffle chaud dans son cou la soumettait au désir. Quand les mains de Tom remontèrent entre ses cuisses vers son sexe, elle sentit combien elle était humide d’excitation.
Des mains glissèrent sur ses hanches, caressèrent son pubis. A qui étaient ces mains ? Cela n’avait pas d’importance. Elle était à eux. Déjà, des doigts passaient sur son sexe, prenaient possession de ses lèvres. Elle émit un long gémissement d’aise. Puis elle sentit les doigts glisser en elle. D’abord timidement, se contentant la stimuler doucement. Puis se glissant en elle. La fermeté de cette poigne lui arracha un râle de plaisir. Elle se cambra contre la main pour mieux la sentir en elle. Cette fermeté, c’était Tom qui la prenait enfin. Son plaisir augmenta à se sentir possédée par lui, à le sentir en elle. Les mains de Pauline parcouraient son ventre en s’harmonisant avec la fermeté de la poigne de Tom. Tout le corps de Olivia se contractait de plaisir.
La main de Tom accéléra encore en elle, se faisait plus puissante. Les doigts de Pauline se refermaient à nouveau sur ses seins. Olivia ne s’appartenait plus. Ils pouvaient faire d’elle ce qu’ils voulaient. C’était à peine si elle réprimait ses gémissements à présent. Elle percevait parfois ses cris de plaisir, comme perdus dans le lointain des brumes de son excitation. Les mouvements de Tom en elle impulsaient des vagues de plaisir qui remontaient dans son corps à chaque coup. Combien de doigts avait-il pu glisser en elle pour lui donner autant de plaisir ?
Quand elle pensa qu’elle s’habituait à l’intensité du plaisir qu’elle recevait, Tom ralentit le rythme. Elle reprenait son souffle, se reconnectant avec sa conscience. Mais soudain, une sensation de chaleur prit possession de son sexe et décupla les vagues de plaisir qui la submergeaient. En une seconde, elle comprit que Tom venait d’utiliser sa langue. Il la goûtait à présent et le plaisir de sa bouche était fantastique. C’était la première fois qu’elle ressentait cela. Les doigts en elle avaient synchronisé leurs mouvements avec ceux de sa langue. Il harcelait son clitoris avec une force qui la soumettait à nouveau et faisait plier sa conscience. Son ventre n’était que chaleur. Elle s’entendait crier à présent.
Tom ne la laissait pas reprendre ses esprits. Sa bouche venait aspirer son clitoris, le sucer entre ses lèvres comme pour lui arracher tout le plaisir qu’il pouvait. En elle, ses doigts entraient plus profondément, cherchaient clairement à la faire jouir. Olivia n’était pas habituée à cette intensité de plaisir. A chaque minute, elle pensait avoir atteint un sommet qui la menait à un orgasme. Et à chaque nouveau mouvement de la langue ou des doigts de Tom, à chaque étreinte de Pauline sur son corps, son plaisir augmentait encore. Elle perdait le contrôle sur son plaisir, sur son corps. Elle en fut effrayée, tenta de reprendre conscience mais céda devant les vagues de plaisir électrique qui déferlaient dans son corps. Elle sentit clairement tout son corps, tout son être se soumettre à ce plaisir. Ses cris augmentèrent et Pauline l’aida à les étouffer avec le drap devant sa bouche.
Totalement désinhibée, Olivia avait redressé ses cuisses pour laisser toute la place possible à Tom. Les doigts de ce dernier n’en avaient glissé en elle que plus profondément encore. Elle allait jouir. Le plaisir ne pouvait pas être plus intense. Son corps ne le supporterait pas. Elle allait jouir. Mais dans combien de temps ? Les secondes semblaient des minutes, le plaisir ne cessait d’augmenter.
Puis soudain, les caresses de Tom se synchronisèrent. Elle sentit ses lèvres pincer son clitoris en même temps qu’il l’aspirait. Ses doigts semblaient atteindre le plus profond d’elle-même. Rien n’avait été meilleur. Et elle jouit. Elle se délivra de l’emprise de son plaisir. Elle jouit en le laissant s’échapper de son corps. Son plaisir la traversait de part en part. Il était chaque parcelle de son corps, chaque parcelle de son esprit. Elle jouit encore et encore, par pulsation. Le temps était aboli. Son esprit semblait oblitéré.
Quand sa conscience réinvestit son corps, ses amis étaient assis autour d’elle. Combien de temps s’était écoulé ? Elle était couverte d’un drap chaud. Son corps était complètement délassé. Il lui semblait si lourd. Elle les regarda, voulut leur parler. Mais sa langue était de plomb. Il lui fallut encore du temps. Pauline caressait son front, écartait ses cheveux avec tendresse. Elle lui souriait. Progressivement, elle sentit son contrôle sur son corps revenir.
-"Wow…" fut tout ce qu’elle parvînt à lâcher dans un souffle.
-"On dirait bien que ça a été ça, en effet" lui confia Pauline, en lui souriant.
-"C’était…tellement intense ! J’ai jamais ressenti ça avant. "
-"Tout dépend du partenaire, ou DES partenaires en l’occurrence" fit Pauline avec un clin d’œil complice.
-"Merci à tous les deux pour ce…massage. Tom, tu étais parfait ! "
-"C’était un grand plaisir pour moi aussi. J’avais vraiment envie de ça depuis un bout de temps. Tu étais superbe" confia le jeune homme avec un sourire radieux.
Olivia rougit mais garda son regard dans celui de Tom. Son corps se souvenait du plaisir qu’il lui avait donné. Elle sentit sa peau frissonner contre le drap.
-"Nous allons te laisser dormir maintenant, ma chère" intervînt Pauline. "J’espère que nous avons réussi à te rétablir pour profiter de notre dernière journée de ski demain. "
-"Oh, je vais être d’attaque pour demain ! Sans faute ! Merci à tous les deux. "
-"Bonne nuit" firent encore les deux amoureux avant de quitter la chambre de Olivia.
Il ne fallut pas 3 minutes à Olivia pour sombrer dans un profond sommeil.
Patredwey, la suite s'il te plait!
Après ses bras, les mains de Pauline glissèrent sur sa poitrine rebondie. Olivia soupira d’aise. Son ventre se contracta. Les doigts de son amie suivirent les courbes pleines de ses seins, s’enroulaient autour d’eux pour les masser tendrement. Olivia sentait ses tétons se durcirent d’excitation. Ses reins se cambrèrent à nouveau légèrement tandis que les mains de Pauline se refermaient sur ses seins. Les doigts de la jeune fille vinrent saisir les tétons dressés pour les pincer doucement, les faire rouler entre ses doigts. Olivia gémit sous la caresse. Le massage prenait progressivement la tournure que souhaitait la jeune espagnole. Elle pouvait sentir le souffle chaud de son amie penchée sur sa poitrine. Il s’accélérait lui aussi.
Alors que le plaisir enflammait son corps, Olivia sentit les mains de Tom se poser à nouveau sur ses jambes. Ses caresses plus fermes continuaient à délasser ses muscles. Elle se soumettait à la poigne du jeune homme. A peine consciente, elle comprenait que les caresses de Tom écartaient progressivement ses cuisses. Elle ne cherchait même pas à résister. Elle aimait cela. Elle rougit en passant à la vue que le jeune homme pouvait avoir sur son intimité. Elle imagina le désir qu’elle pouvait susciter en lui, songea à l’érection qu’il pouvait avoir en ce moment-même. Elle en frissonna de plaisir.
Comme une réponse, les mains de Tom remontèrent l’intérieur de ses cuisses. Prenant conscience de sa position, elle réalisa qu’elle avait maintenant clairement les cuisses écartées largement face à lui. Son ventre se contracta de plaisir à cette idée. Elle avait envie de lui, qu’il la touche, qu’il lui donne du plaisir. Les mains de Pauline sur sa poitrine enflammaient son corps. Son souffle chaud dans son cou la soumettait au désir. Quand les mains de Tom remontèrent entre ses cuisses vers son sexe, elle sentit combien elle était humide d’excitation.
Des mains glissèrent sur ses hanches, caressèrent son pubis. A qui étaient ces mains ? Cela n’avait pas d’importance. Elle était à eux. Déjà, des doigts passaient sur son sexe, prenaient possession de ses lèvres. Elle émit un long gémissement d’aise. Puis elle sentit les doigts glisser en elle. D’abord timidement, se contentant la stimuler doucement. Puis se glissant en elle. La fermeté de cette poigne lui arracha un râle de plaisir. Elle se cambra contre la main pour mieux la sentir en elle. Cette fermeté, c’était Tom qui la prenait enfin. Son plaisir augmenta à se sentir possédée par lui, à le sentir en elle. Les mains de Pauline parcouraient son ventre en s’harmonisant avec la fermeté de la poigne de Tom. Tout le corps de Olivia se contractait de plaisir.
La main de Tom accéléra encore en elle, se faisait plus puissante. Les doigts de Pauline se refermaient à nouveau sur ses seins. Olivia ne s’appartenait plus. Ils pouvaient faire d’elle ce qu’ils voulaient. C’était à peine si elle réprimait ses gémissements à présent. Elle percevait parfois ses cris de plaisir, comme perdus dans le lointain des brumes de son excitation. Les mouvements de Tom en elle impulsaient des vagues de plaisir qui remontaient dans son corps à chaque coup. Combien de doigts avait-il pu glisser en elle pour lui donner autant de plaisir ?
Quand elle pensa qu’elle s’habituait à l’intensité du plaisir qu’elle recevait, Tom ralentit le rythme. Elle reprenait son souffle, se reconnectant avec sa conscience. Mais soudain, une sensation de chaleur prit possession de son sexe et décupla les vagues de plaisir qui la submergeaient. En une seconde, elle comprit que Tom venait d’utiliser sa langue. Il la goûtait à présent et le plaisir de sa bouche était fantastique. C’était la première fois qu’elle ressentait cela. Les doigts en elle avaient synchronisé leurs mouvements avec ceux de sa langue. Il harcelait son clitoris avec une force qui la soumettait à nouveau et faisait plier sa conscience. Son ventre n’était que chaleur. Elle s’entendait crier à présent.
Tom ne la laissait pas reprendre ses esprits. Sa bouche venait aspirer son clitoris, le sucer entre ses lèvres comme pour lui arracher tout le plaisir qu’il pouvait. En elle, ses doigts entraient plus profondément, cherchaient clairement à la faire jouir. Olivia n’était pas habituée à cette intensité de plaisir. A chaque minute, elle pensait avoir atteint un sommet qui la menait à un orgasme. Et à chaque nouveau mouvement de la langue ou des doigts de Tom, à chaque étreinte de Pauline sur son corps, son plaisir augmentait encore. Elle perdait le contrôle sur son plaisir, sur son corps. Elle en fut effrayée, tenta de reprendre conscience mais céda devant les vagues de plaisir électrique qui déferlaient dans son corps. Elle sentit clairement tout son corps, tout son être se soumettre à ce plaisir. Ses cris augmentèrent et Pauline l’aida à les étouffer avec le drap devant sa bouche.
Totalement désinhibée, Olivia avait redressé ses cuisses pour laisser toute la place possible à Tom. Les doigts de ce dernier n’en avaient glissé en elle que plus profondément encore. Elle allait jouir. Le plaisir ne pouvait pas être plus intense. Son corps ne le supporterait pas. Elle allait jouir. Mais dans combien de temps ? Les secondes semblaient des minutes, le plaisir ne cessait d’augmenter.
Puis soudain, les caresses de Tom se synchronisèrent. Elle sentit ses lèvres pincer son clitoris en même temps qu’il l’aspirait. Ses doigts semblaient atteindre le plus profond d’elle-même. Rien n’avait été meilleur. Et elle jouit. Elle se délivra de l’emprise de son plaisir. Elle jouit en le laissant s’échapper de son corps. Son plaisir la traversait de part en part. Il était chaque parcelle de son corps, chaque parcelle de son esprit. Elle jouit encore et encore, par pulsation. Le temps était aboli. Son esprit semblait oblitéré.
Quand sa conscience réinvestit son corps, ses amis étaient assis autour d’elle. Combien de temps s’était écoulé ? Elle était couverte d’un drap chaud. Son corps était complètement délassé. Il lui semblait si lourd. Elle les regarda, voulut leur parler. Mais sa langue était de plomb. Il lui fallut encore du temps. Pauline caressait son front, écartait ses cheveux avec tendresse. Elle lui souriait. Progressivement, elle sentit son contrôle sur son corps revenir.
-"Wow…" fut tout ce qu’elle parvînt à lâcher dans un souffle.
-"On dirait bien que ça a été ça, en effet" lui confia Pauline, en lui souriant.
-"C’était…tellement intense ! J’ai jamais ressenti ça avant. "
-"Tout dépend du partenaire, ou DES partenaires en l’occurrence" fit Pauline avec un clin d’œil complice.
-"Merci à tous les deux pour ce…massage. Tom, tu étais parfait ! "
-"C’était un grand plaisir pour moi aussi. J’avais vraiment envie de ça depuis un bout de temps. Tu étais superbe" confia le jeune homme avec un sourire radieux.
Olivia rougit mais garda son regard dans celui de Tom. Son corps se souvenait du plaisir qu’il lui avait donné. Elle sentit sa peau frissonner contre le drap.
-"Nous allons te laisser dormir maintenant, ma chère" intervînt Pauline. "J’espère que nous avons réussi à te rétablir pour profiter de notre dernière journée de ski demain. "
-"Oh, je vais être d’attaque pour demain ! Sans faute ! Merci à tous les deux. "
-"Bonne nuit" firent encore les deux amoureux avant de quitter la chambre de Olivia.
Il ne fallut pas 3 minutes à Olivia pour sombrer dans un profond sommeil.
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