18-01-2021, 04:18 PM
(Modification du message : 18-10-2022, 04:22 PM par fablelionsilencieux.)
Quatrième coureur,
Central Park, ce poumon vert en plein cœur du quartier de Manhattan à New York qui, dès les beaux jours, a les allées envahies par les piétons, les coureurs de fond, les cyclistes ou encore les adeptes du roller, mais même en hiver il y a du monde pour s'y oxygéner et s’exercer. Une route de 9,7 km de long, relativement peu fréquentée par les automobilistes, entoure le parc et fait un long parcours de jogging fort apprécié, surtout le week-end et en semaine après dix-neuf heures, lorsque la circulation automobile y est totalement interdite.
Parmi les plus assidus se trouve Sam, ce presque trentenaire fait ses 10 km quasi tous les soirs. Il a la chance de vivre sur la 5ième avenue, dans l'Upper East Side – presque en face du Zoo de Central Park - son emploi à wall street lui permet d'avoir ce luxe, les fenêtres de son loft ont vues sur le parc. Cet ancien joueur de foot américain – capitaine de l’équipe de son université – gardait ainsi la forme, exercices de muscu et joggings font partie de son ordinaire. Donc, un corps magnifique, un visage agréablement taillé, finement velu - ses bras et jambes dénudés sont couverts de poils clairs qui luisent à la lumière - tout blond, les cheveux très courts et de superbes yeux bleu-vert.
C’est la mi-septembre et un nouveau venu l’intrigue autant qu’il l’attire. Au fil des jours, il s’est mis à lui plaire de plus en plus – et bien plus qu’un simple cruch. La vingtaine, plus que mignon, physique de sportif sans gonflette, châtain, les cheveux en queue de cheval et de grand yeux noisette. Ça fait plus de deux semaines qu’ils se croisent ou se suivent sur le même trajet et Sam trouve très à son gout ce grand garçon qui l’observe discrètement chaque fois qu’ils trottinent proche l’un de l’autre – il l’a finalement remarqué en relevant le regard, lui qui louche en général sur les parties centrales du beau minet.
Sam à des tenues qui diffèrent complètement des ensembles neutres et peu sexy du jeune homme. Il est généralement vêtu d’un short de running au mini slip intégré, très court et seyant, ce genre de modèle fendu haut qui, à chaque foulée, s’ouvre largement jusqu’à la ceinture sur ses longues cuisses dorées, les mettant en valeur du haut en bas, et d’un joli débardeur plutôt ajusté aux échancrures larges qui mettent son bronzage et ses épaules en valeur. Les couleurs changeant journellement, là, c’est débardeur bleu clair et petit short bleu marine qui s’opposent à t-shirt blanc et short long gris...
D’ailleurs, aujourd’hui, ils semblent s’amuser à se dépasser l’un l’autre, en une sorte de ballet.
Sam se marre de ce chassé-croisé, il accélère pour le devancer, la fin du circuit est au bout du tunnel et son esprit compétitif veut arriver le premier.
Il double son ‘concurrent’ dans le boyau et il n’a pas fait dix mètres au dehors de celui-ci qu’un bruit de chute suivi d’un « Putain de caillasses ! » - en français dans le texte - retenti dans son dos.
Il se retourne aussitôt et voit que le jeunot est à terre et masse sa cheville gauche en grimaçant un peu.
Sam revient sur ses pas et lui tend la main pour l’aider à se relever.
- Tu veux un peu d’aide ? demande Sam, dans un français parfait à l’accent charmant.
- Bonjour, Monsieur et oui merci, dit-il, agrippant la dextre tendue en lui adressant un grand sourire.
- Bonjour. Tu peux m’appeler Sam et me tutoyer. Que t’est-il arrivé ?
- Moi c'est Jim, j'ai ripper sur un caillou et ma cheville a mal encaissé le choc, je crains l'entorse. Dis-moi, tu parles vachement bien le français !
De fait, Jim avance en claudicant jusqu’au banc le plus proche. Alors que Sam lui répond ;
- Ma mère est belge francophone et j’ai été élevé dans les deux langues, ça aide ! rigole-t-il. Et toi, que fais-tu à big apple ? Oh, un filet de sang coule sur le côté de ta jambes !
Là, ils constatent qu’une écorchure sur le bas de la cuisse saigne légèrement, au milieu de la poussière dont sa chute l’a recouvert.
Jim vérifie l’estafilade – vraiment rien de grave - puis explique qu’il est en séjour linguistique d'une année pour apprendre l’anglais à l’école Kaplan International de New York, située à seulement quelques minutes de Central Park mais un quart d’heure de marche du point où ils se trouvent , une bagatelle en temps normal… si on ne boite pas, évidemment !
- Tu vas venir avec moi, Jim, j'habite en face, on va te soigner, tu vas prendre une douche avant et puis je te ramènerai en voiture ! lui dit alors Sam, en lui prenant le bras délicatement.
Ainsi, tout en papotant, il l’aide pour effectuer les quelques centaines de mètres qui les séparent de son immeuble où il habite au 6e et dernier étage.
Arrivé dans l’ascenseur, Jim s'appuie sur l'épaule de son secouriste le temps de la montée puis il est ramené à l'appartement de Sam qui le dirige directement vers la salle de bain et sa grande douche à l’italienne. Il l’installe contre l’étagère qui contient les serviettes et va vers l’armoire à pharmacie pour vérifier si les produits nécessaires sont bien là.
- Tu vas pouvoir te débarrasser de toutes cette poussière et on verra à te soigner après !
Jim, qui n’a pas attendu, se déshabillait déjà. Impudique, il est vite tout nu et Sam apprécie le spectacle ; son corps est splendide, fin et musclé. Quelles jolies fesses !
Et pas le moindre poil à part un léger duvet châtain sur le pubis.
Il se tourne vers son hôte :
- Je veux bien… mais pas seul, je ne vais pas y arriver… Si tu veux bien… finit-il, en pointant du doigt la cabine - suffisamment spacieuse pour accueillir deux personnes sans souci.
Sam sourit et, alors qu’il passe son débardeur par-dessus sa tête, se contente d’émettre un « ok ! » et se dénude en dix secondes.
Ils s’observent un instant, Jim a une bite plus longue que celle de Sam mais moins épaisse, un peu comme leurs statures. Celui-ci est circoncis, contrairement à Jim, et son gland découvert est superbement dessiné.
Coté burne, la masse est assez similaire, hormis les systèmes pileux qui sont opposés, c’est des belles balloches.
C’est ainsi que l'excitation les gagnent et que de concert les quequettes se
redressent lentement.
Les sourires échangés sont de connivence, les deux mètres à effectuer suffisent à terminer la croissance des engins. Bref, ils bandent ferme et les mains font plus que soutenir…
Ils se retrouvent donc sous la douche tous les deux. L'eau s'écoulant sur
une longue séance de caresses mutuelles sur leurs corps, de nombreux baisers dont certains sont des plus torrides, ils se font jouir une première fois avec leurs mains et leurs bouches, unis dans l’urgence.
Ils finissent leur douche, sortent de la cabine puis s’essuyant l'un l'autre :
- Tu n’as plus l’air d’avoir trop mal à la cheville ! Réagi soudain Sam.
- Ben, en fait, l’entorse c’est pas vrai, dit-il en rougissant un peu, juste une belle gamelle, ça oui. C’est ce que je t’ai raconté pour te retenir près de moi, puis comme en plus tu m'a demandé de venir… c’est tout bénéfice !
- Ho, le petit voyou de frenchy ! se marre le new-yorkais.
Et c’est main dans la main, séchés à la va vite, qu'ils rejoignent la chambre de Sam et son lit.
Comme leurs envies les plus pressantes ont été satisfaites un moment
avant, ils entendent bien profiter de ce deuxième round, pour prendre et
donner du plaisir, et ce par tous les moyens possibles. La découverte approfondie de leurs corps
permet de trouver les points les plus érotiques chez l'un et chez
l'autre. En fait, tout deux versatile, ils revisitent le kamasoutra, changeant à tour de rôle de fonction. Leur corps à corps est puissant, viril et fait ressortir ‘l’instinct animal’, autant pour Sam
que pour Jim.
Le contact de la pilosité blonde sur l’épiderme glabre semble agir sur eux comme des aimants et l'odeur de mâle qui se dégage de leurs pores a l'effet d'un aphrodisiaque sur les sens des lutteurs en rut.
Quand arrive l'instant de la jouissance absolue, l'orgasme arrache simultanément aux deux hommes un rugissement qui s'entendrait dans tout l'immeuble, si l'insonorisation n'était pas aussi bien faite !
Ils passent un moment étendus l'un contre l'autre à reprendre vie et savourer le plaisir ressenti puis Jim se rend compte de l'heure tardive et se lève pour aller s'habiller.
- Qu'est-ce que tu fais ? interroge Sam, Reste pour la nuit !
Il n’a pas besoin d’insister, le plongeon du minot pour le rejoindre est éloquent.
- Au fait, Jim, j'espère que tu ne souffres plus trop de ton entorse ! demande l’espiègle ricain.
Ils se regardent et éclatent de rire.
Épuisés, ils s’endorment en se câlinant et bisouillant, blottis l’un dans les bras de l’autre, un doux sourire aux lèvres.
…/…
Leurs courses à pieds ne serons plus jamais solitaires, ils se sont inscrits au NYCRUNS Brooklyn Marathon et Jim envisage sérieusement de demander à rester une année supplémentaire… et qui sait, peut-être une green card !
Central Park, ce poumon vert en plein cœur du quartier de Manhattan à New York qui, dès les beaux jours, a les allées envahies par les piétons, les coureurs de fond, les cyclistes ou encore les adeptes du roller, mais même en hiver il y a du monde pour s'y oxygéner et s’exercer. Une route de 9,7 km de long, relativement peu fréquentée par les automobilistes, entoure le parc et fait un long parcours de jogging fort apprécié, surtout le week-end et en semaine après dix-neuf heures, lorsque la circulation automobile y est totalement interdite.
Parmi les plus assidus se trouve Sam, ce presque trentenaire fait ses 10 km quasi tous les soirs. Il a la chance de vivre sur la 5ième avenue, dans l'Upper East Side – presque en face du Zoo de Central Park - son emploi à wall street lui permet d'avoir ce luxe, les fenêtres de son loft ont vues sur le parc. Cet ancien joueur de foot américain – capitaine de l’équipe de son université – gardait ainsi la forme, exercices de muscu et joggings font partie de son ordinaire. Donc, un corps magnifique, un visage agréablement taillé, finement velu - ses bras et jambes dénudés sont couverts de poils clairs qui luisent à la lumière - tout blond, les cheveux très courts et de superbes yeux bleu-vert.
C’est la mi-septembre et un nouveau venu l’intrigue autant qu’il l’attire. Au fil des jours, il s’est mis à lui plaire de plus en plus – et bien plus qu’un simple cruch. La vingtaine, plus que mignon, physique de sportif sans gonflette, châtain, les cheveux en queue de cheval et de grand yeux noisette. Ça fait plus de deux semaines qu’ils se croisent ou se suivent sur le même trajet et Sam trouve très à son gout ce grand garçon qui l’observe discrètement chaque fois qu’ils trottinent proche l’un de l’autre – il l’a finalement remarqué en relevant le regard, lui qui louche en général sur les parties centrales du beau minet.
Sam à des tenues qui diffèrent complètement des ensembles neutres et peu sexy du jeune homme. Il est généralement vêtu d’un short de running au mini slip intégré, très court et seyant, ce genre de modèle fendu haut qui, à chaque foulée, s’ouvre largement jusqu’à la ceinture sur ses longues cuisses dorées, les mettant en valeur du haut en bas, et d’un joli débardeur plutôt ajusté aux échancrures larges qui mettent son bronzage et ses épaules en valeur. Les couleurs changeant journellement, là, c’est débardeur bleu clair et petit short bleu marine qui s’opposent à t-shirt blanc et short long gris...
D’ailleurs, aujourd’hui, ils semblent s’amuser à se dépasser l’un l’autre, en une sorte de ballet.
Sam se marre de ce chassé-croisé, il accélère pour le devancer, la fin du circuit est au bout du tunnel et son esprit compétitif veut arriver le premier.
Il double son ‘concurrent’ dans le boyau et il n’a pas fait dix mètres au dehors de celui-ci qu’un bruit de chute suivi d’un « Putain de caillasses ! » - en français dans le texte - retenti dans son dos.
Il se retourne aussitôt et voit que le jeunot est à terre et masse sa cheville gauche en grimaçant un peu.
Sam revient sur ses pas et lui tend la main pour l’aider à se relever.
- Tu veux un peu d’aide ? demande Sam, dans un français parfait à l’accent charmant.
- Bonjour, Monsieur et oui merci, dit-il, agrippant la dextre tendue en lui adressant un grand sourire.
- Bonjour. Tu peux m’appeler Sam et me tutoyer. Que t’est-il arrivé ?
- Moi c'est Jim, j'ai ripper sur un caillou et ma cheville a mal encaissé le choc, je crains l'entorse. Dis-moi, tu parles vachement bien le français !
De fait, Jim avance en claudicant jusqu’au banc le plus proche. Alors que Sam lui répond ;
- Ma mère est belge francophone et j’ai été élevé dans les deux langues, ça aide ! rigole-t-il. Et toi, que fais-tu à big apple ? Oh, un filet de sang coule sur le côté de ta jambes !
Là, ils constatent qu’une écorchure sur le bas de la cuisse saigne légèrement, au milieu de la poussière dont sa chute l’a recouvert.
Jim vérifie l’estafilade – vraiment rien de grave - puis explique qu’il est en séjour linguistique d'une année pour apprendre l’anglais à l’école Kaplan International de New York, située à seulement quelques minutes de Central Park mais un quart d’heure de marche du point où ils se trouvent , une bagatelle en temps normal… si on ne boite pas, évidemment !
- Tu vas venir avec moi, Jim, j'habite en face, on va te soigner, tu vas prendre une douche avant et puis je te ramènerai en voiture ! lui dit alors Sam, en lui prenant le bras délicatement.
Ainsi, tout en papotant, il l’aide pour effectuer les quelques centaines de mètres qui les séparent de son immeuble où il habite au 6e et dernier étage.
Arrivé dans l’ascenseur, Jim s'appuie sur l'épaule de son secouriste le temps de la montée puis il est ramené à l'appartement de Sam qui le dirige directement vers la salle de bain et sa grande douche à l’italienne. Il l’installe contre l’étagère qui contient les serviettes et va vers l’armoire à pharmacie pour vérifier si les produits nécessaires sont bien là.
- Tu vas pouvoir te débarrasser de toutes cette poussière et on verra à te soigner après !
Jim, qui n’a pas attendu, se déshabillait déjà. Impudique, il est vite tout nu et Sam apprécie le spectacle ; son corps est splendide, fin et musclé. Quelles jolies fesses !
Et pas le moindre poil à part un léger duvet châtain sur le pubis.
Il se tourne vers son hôte :
- Je veux bien… mais pas seul, je ne vais pas y arriver… Si tu veux bien… finit-il, en pointant du doigt la cabine - suffisamment spacieuse pour accueillir deux personnes sans souci.
Sam sourit et, alors qu’il passe son débardeur par-dessus sa tête, se contente d’émettre un « ok ! » et se dénude en dix secondes.
Ils s’observent un instant, Jim a une bite plus longue que celle de Sam mais moins épaisse, un peu comme leurs statures. Celui-ci est circoncis, contrairement à Jim, et son gland découvert est superbement dessiné.
Coté burne, la masse est assez similaire, hormis les systèmes pileux qui sont opposés, c’est des belles balloches.
C’est ainsi que l'excitation les gagnent et que de concert les quequettes se
redressent lentement.
Les sourires échangés sont de connivence, les deux mètres à effectuer suffisent à terminer la croissance des engins. Bref, ils bandent ferme et les mains font plus que soutenir…
Ils se retrouvent donc sous la douche tous les deux. L'eau s'écoulant sur
une longue séance de caresses mutuelles sur leurs corps, de nombreux baisers dont certains sont des plus torrides, ils se font jouir une première fois avec leurs mains et leurs bouches, unis dans l’urgence.
Ils finissent leur douche, sortent de la cabine puis s’essuyant l'un l'autre :
- Tu n’as plus l’air d’avoir trop mal à la cheville ! Réagi soudain Sam.
- Ben, en fait, l’entorse c’est pas vrai, dit-il en rougissant un peu, juste une belle gamelle, ça oui. C’est ce que je t’ai raconté pour te retenir près de moi, puis comme en plus tu m'a demandé de venir… c’est tout bénéfice !
- Ho, le petit voyou de frenchy ! se marre le new-yorkais.
Et c’est main dans la main, séchés à la va vite, qu'ils rejoignent la chambre de Sam et son lit.
Comme leurs envies les plus pressantes ont été satisfaites un moment
avant, ils entendent bien profiter de ce deuxième round, pour prendre et
donner du plaisir, et ce par tous les moyens possibles. La découverte approfondie de leurs corps
permet de trouver les points les plus érotiques chez l'un et chez
l'autre. En fait, tout deux versatile, ils revisitent le kamasoutra, changeant à tour de rôle de fonction. Leur corps à corps est puissant, viril et fait ressortir ‘l’instinct animal’, autant pour Sam
que pour Jim.
Le contact de la pilosité blonde sur l’épiderme glabre semble agir sur eux comme des aimants et l'odeur de mâle qui se dégage de leurs pores a l'effet d'un aphrodisiaque sur les sens des lutteurs en rut.
Quand arrive l'instant de la jouissance absolue, l'orgasme arrache simultanément aux deux hommes un rugissement qui s'entendrait dans tout l'immeuble, si l'insonorisation n'était pas aussi bien faite !
Ils passent un moment étendus l'un contre l'autre à reprendre vie et savourer le plaisir ressenti puis Jim se rend compte de l'heure tardive et se lève pour aller s'habiller.
- Qu'est-ce que tu fais ? interroge Sam, Reste pour la nuit !
Il n’a pas besoin d’insister, le plongeon du minot pour le rejoindre est éloquent.
- Au fait, Jim, j'espère que tu ne souffres plus trop de ton entorse ! demande l’espiègle ricain.
Ils se regardent et éclatent de rire.
Épuisés, ils s’endorment en se câlinant et bisouillant, blottis l’un dans les bras de l’autre, un doux sourire aux lèvres.
…/…
Leurs courses à pieds ne serons plus jamais solitaires, ils se sont inscrits au NYCRUNS Brooklyn Marathon et Jim envisage sérieusement de demander à rester une année supplémentaire… et qui sait, peut-être une green card !
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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