17-01-2021, 07:00 PM
- Oui… finis-je par articuler.
- Bien ! Il faudra qu’on améliore notre stratégie parce que la dernière fois, tu as failli te faire griller ! Encore que je suis pas sûr qu’elle t’en aurait voulu, elle avait l’air de vraiment apprécier ce que tu lui as fait !
Je rougis, très gêné d’avoir cette conversation dans un couloir de la fac. Même si nous parlons à voix basse, il y a des gens tout autour de nous et je préférerais qu’on ne nous entende pas, si vous voyez ce que je veux dire…
Le soir, je retrouve Clémence à l’appartement. Sur le coup des 18h30, elle déclare :
- Bon, pendant que tu prépares à manger, je vais me doucher !
Cette phrase me fait comme un déclic et je me souviens de ce que je me disais ce matin : « la surprendre à la sortie de la douche ». Elle quitte le salon et rentre dans la salle de bain. Je me lève à mon tour et sur la pointe des pieds je marche jusqu’à la porte fermée. Pas de trou de la serrure ici malheureusement. Rien qui pourrait me permettre de voir de l’autre côté. En tendant l’oreille, j’entends des bruits de vêtements qu’on froisse. La belle se déshabille à quelques centimètres de moi. Quel dommage qu’une cloison de bois nous sépare. Mon sexe commence à gonfler alors que je l’imagine entrain de retirer son tee-shirt puis son jeans. D’un geste habile, elle dégrafe son soutien gorge qui tombe à ses pieds. Elle se regarde dans le miroir pendant quelques secondes, elle contemple le reflet des ses deux seins bien ronds puis se penche en avant et fait glisser sa culotte jusque à ses pieds. Quand elle se redresse, sa poitrine s’agite dans tous les sens. Elle avance jusqu’à la baignoire…
Le bruit du jet d’eau me ramène à la réalité. Toujours sur la pointe des pieds, je marche jusqu’à la chambre de Clémence dont la porte est ouverte. Son pyjama n’est pas sur son lit. J’en déduis qu’elle l’a emmené avec elle dans la salle de bain et qu’elle en sortira donc toute habillée… Je retourne devant la salle de bain.
- Clémence ?
- J’ai bientôt terminé !
- En fait, j’allais te dire de prendre ton temps. J’ai pris du retard sur la préparation du repas.
Il faut que je m’y mette, à éplucher ces légumes…
Il m’a fallu quelques jours, mais j’ai trouvé un plan pour arriver à mes fins. Je compte le mettre en œuvre ce soir, en espérant que tout se passe bien. Il me faudra sans doute un peu de chance. Mais avant ça, dans la journée, j’ai discuté un peu avec Guillaume et nous avons peaufiné les détails de l’opération de Samedi. J’aurai l’occasion de vous en reparler le jour venu mais pour l’instant, disons que nous avons rendez-vous avec Sarah, une jolie mannequin de 20 ans qu’il doit prendre en photo… Pas seulement en photo… si j’osais ce jeu de mot.
Comme tous les jours, vers les 18h30, Clémence m’annonce qu’elle compte se doucher. Elle va à sa chambre chercher son pyjama et sa serviette qu’elle dépose dans la salle de bain avant de fermer la porte. Mais aujourd’hui, à peine a-t-elle fermer la porte que je crie :
- Clémence !
Elle ressort bien sûr toute habillée.
- Oui ?
- Il faut que j’aille vérifier une recette sur internet. Est-ce que tu peux remuer la sauce béchamel pour moi le temps que fasse ça ?
- Oui pas de souci ! Je me demande ce que tu nous prépares de bon !
- Je reviens dans une minute. Fais bien gaffe à ce que ça n’attache pas au fond de la casserole !
J’ai un merveilleux prétexte pour m’absenter et je sais que de là où elle est, elle ne peut pas voir ce que je m’apprête à faire. Au lieu d’aller dans ma chambre sur l’ordinateur, je vais directement dans la salle de bain dont la lumière est toujours allumée. Sur le sol, le pyjama et la serviette. J’attrape la serviette et je vais la déposer sur le lit de Clémence. En moins d’une minute, je suis de retour dans la cuisine.
- Tu es très douée pour remuer les sauces ! dis-je.
- Merci ! Mais j’ai dû beaucoup m’entrainer pour atteindre un tel niveau ! répond-elle en riant. Bon cette fois, je vais me doucher. A tout de suite Cyril !
Elle rentre dans la salle de bain et referme la porte derrière elle. Quand je vous disais que j’allais avoir besoin de chance. Si elle se rend compte que la serviette a disparu, tout va tomber à l’eau ( encore un jeu de mot décidemment… ). Mais non, j’entends le bruit du jet. Jusque là, tout fonctionne comme sur des roulettes. Pendant que Clémence profite de sa bonne douche chaude, je m’approche du compteur d’eau et d’électricité. D’une simple pression sur un bouton, je lui coupe l’eau chaude. L’effet est immédiat.
- Ahhhh ! C’est froid !!!! hurle-t-elle depuis la salle de bain. Ma serviette ? Merde !!!
Je me précipite vers la porte de la salle de bain, en faisant semblant d’être inquiété par les cris. La porte s’ouvre brusquement et Clémence, toute nue et trempée, sort de la salle de bain, passe devant moi sans me regarder et court dans le couloir jusqu’à sa chambre. Je jette un regard plein d’envie sur son dos brillant où l’eau ruisselle et sur ses fesses bien galbées. Il devait avoir une vue incroyable sur son joli cul, cette inconnu qui l’avait prise si fort par derrière le week-end dernier.
Je retourne au compteur et je réactive l’eau chaude histoire de camoufler mes méfaits. Puis je me précipite dans la chambre de Clémence où j’entre sans frapper et en prenant un air inquiet.
- Est-ce que ça va ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
La pauvre est toute frigorifiée. Assise au bord de son lit, enroulée dans la grande serviette blanche, elle tremble comme une feuille. Je commence à lui frotter énergiquement le dos et les bras pour la réchauffer. Quel dommage que la serviette nous sépare. Je ne peux m’empêcher de penser qu’elle est toute nue en dessous. J’imagine ses tétons durs à cause du froid. Hélas, je ne peux pas les voir… Quand elle cesse de trembler, je vais lui préparer une tasse de thé bouillante.
- Tiens c’est pour te réchauffer ! dis-je.
- Merci Cyril, tu es un ange. L’eau est devenue glaciale d’un seul coup et en plus j’avais laissé ma serviette dans ma chambre. J’espère que je n’ai pas crié trop fort, j’ai du te faire peur.
- Ne t’en fais pas. Ca va mieux maintenant ?
- Bien ! Il faudra qu’on améliore notre stratégie parce que la dernière fois, tu as failli te faire griller ! Encore que je suis pas sûr qu’elle t’en aurait voulu, elle avait l’air de vraiment apprécier ce que tu lui as fait !
Je rougis, très gêné d’avoir cette conversation dans un couloir de la fac. Même si nous parlons à voix basse, il y a des gens tout autour de nous et je préférerais qu’on ne nous entende pas, si vous voyez ce que je veux dire…
Le soir, je retrouve Clémence à l’appartement. Sur le coup des 18h30, elle déclare :
- Bon, pendant que tu prépares à manger, je vais me doucher !
Cette phrase me fait comme un déclic et je me souviens de ce que je me disais ce matin : « la surprendre à la sortie de la douche ». Elle quitte le salon et rentre dans la salle de bain. Je me lève à mon tour et sur la pointe des pieds je marche jusqu’à la porte fermée. Pas de trou de la serrure ici malheureusement. Rien qui pourrait me permettre de voir de l’autre côté. En tendant l’oreille, j’entends des bruits de vêtements qu’on froisse. La belle se déshabille à quelques centimètres de moi. Quel dommage qu’une cloison de bois nous sépare. Mon sexe commence à gonfler alors que je l’imagine entrain de retirer son tee-shirt puis son jeans. D’un geste habile, elle dégrafe son soutien gorge qui tombe à ses pieds. Elle se regarde dans le miroir pendant quelques secondes, elle contemple le reflet des ses deux seins bien ronds puis se penche en avant et fait glisser sa culotte jusque à ses pieds. Quand elle se redresse, sa poitrine s’agite dans tous les sens. Elle avance jusqu’à la baignoire…
Le bruit du jet d’eau me ramène à la réalité. Toujours sur la pointe des pieds, je marche jusqu’à la chambre de Clémence dont la porte est ouverte. Son pyjama n’est pas sur son lit. J’en déduis qu’elle l’a emmené avec elle dans la salle de bain et qu’elle en sortira donc toute habillée… Je retourne devant la salle de bain.
- Clémence ?
- J’ai bientôt terminé !
- En fait, j’allais te dire de prendre ton temps. J’ai pris du retard sur la préparation du repas.
Il faut que je m’y mette, à éplucher ces légumes…
Il m’a fallu quelques jours, mais j’ai trouvé un plan pour arriver à mes fins. Je compte le mettre en œuvre ce soir, en espérant que tout se passe bien. Il me faudra sans doute un peu de chance. Mais avant ça, dans la journée, j’ai discuté un peu avec Guillaume et nous avons peaufiné les détails de l’opération de Samedi. J’aurai l’occasion de vous en reparler le jour venu mais pour l’instant, disons que nous avons rendez-vous avec Sarah, une jolie mannequin de 20 ans qu’il doit prendre en photo… Pas seulement en photo… si j’osais ce jeu de mot.
Comme tous les jours, vers les 18h30, Clémence m’annonce qu’elle compte se doucher. Elle va à sa chambre chercher son pyjama et sa serviette qu’elle dépose dans la salle de bain avant de fermer la porte. Mais aujourd’hui, à peine a-t-elle fermer la porte que je crie :
- Clémence !
Elle ressort bien sûr toute habillée.
- Oui ?
- Il faut que j’aille vérifier une recette sur internet. Est-ce que tu peux remuer la sauce béchamel pour moi le temps que fasse ça ?
- Oui pas de souci ! Je me demande ce que tu nous prépares de bon !
- Je reviens dans une minute. Fais bien gaffe à ce que ça n’attache pas au fond de la casserole !
J’ai un merveilleux prétexte pour m’absenter et je sais que de là où elle est, elle ne peut pas voir ce que je m’apprête à faire. Au lieu d’aller dans ma chambre sur l’ordinateur, je vais directement dans la salle de bain dont la lumière est toujours allumée. Sur le sol, le pyjama et la serviette. J’attrape la serviette et je vais la déposer sur le lit de Clémence. En moins d’une minute, je suis de retour dans la cuisine.
- Tu es très douée pour remuer les sauces ! dis-je.
- Merci ! Mais j’ai dû beaucoup m’entrainer pour atteindre un tel niveau ! répond-elle en riant. Bon cette fois, je vais me doucher. A tout de suite Cyril !
Elle rentre dans la salle de bain et referme la porte derrière elle. Quand je vous disais que j’allais avoir besoin de chance. Si elle se rend compte que la serviette a disparu, tout va tomber à l’eau ( encore un jeu de mot décidemment… ). Mais non, j’entends le bruit du jet. Jusque là, tout fonctionne comme sur des roulettes. Pendant que Clémence profite de sa bonne douche chaude, je m’approche du compteur d’eau et d’électricité. D’une simple pression sur un bouton, je lui coupe l’eau chaude. L’effet est immédiat.
- Ahhhh ! C’est froid !!!! hurle-t-elle depuis la salle de bain. Ma serviette ? Merde !!!
Je me précipite vers la porte de la salle de bain, en faisant semblant d’être inquiété par les cris. La porte s’ouvre brusquement et Clémence, toute nue et trempée, sort de la salle de bain, passe devant moi sans me regarder et court dans le couloir jusqu’à sa chambre. Je jette un regard plein d’envie sur son dos brillant où l’eau ruisselle et sur ses fesses bien galbées. Il devait avoir une vue incroyable sur son joli cul, cette inconnu qui l’avait prise si fort par derrière le week-end dernier.
Je retourne au compteur et je réactive l’eau chaude histoire de camoufler mes méfaits. Puis je me précipite dans la chambre de Clémence où j’entre sans frapper et en prenant un air inquiet.
- Est-ce que ça va ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
La pauvre est toute frigorifiée. Assise au bord de son lit, enroulée dans la grande serviette blanche, elle tremble comme une feuille. Je commence à lui frotter énergiquement le dos et les bras pour la réchauffer. Quel dommage que la serviette nous sépare. Je ne peux m’empêcher de penser qu’elle est toute nue en dessous. J’imagine ses tétons durs à cause du froid. Hélas, je ne peux pas les voir… Quand elle cesse de trembler, je vais lui préparer une tasse de thé bouillante.
- Tiens c’est pour te réchauffer ! dis-je.
- Merci Cyril, tu es un ange. L’eau est devenue glaciale d’un seul coup et en plus j’avais laissé ma serviette dans ma chambre. J’espère que je n’ai pas crié trop fort, j’ai du te faire peur.
- Ne t’en fais pas. Ca va mieux maintenant ?