17-01-2021, 06:59 PM
Je me retrouve face à Guillaume. Il est juste vêtu de son caleçon et je peux constater qu’il est plutôt musclé, malgré sa relative petite taille et sa finesse. Pas étonnant qu’il ait réussi à être aussi endurant et régulier tout à l’heure !
- Ouf, c’était chaud ! Elle a bien failli te trouver ! Ahah !
- Ouais c’était moins une ! dis-je en rigolant à mon tour.
- Et le jeans, c’était pour quoi ? T’es vraiment pas doué mec ! plaisante-t-il.
- Toi tu es doué par contre ! dis-je avec un clin d’œil.
- Tu vois, je ne t’avais pas menti ! Mais je crois qu’elle a bien apprécié que tu lui touches les seins, je ne l’avais encore jamais entendu crier aussi fort !
- J’ai pas pu m’empêcher de la toucher, je suis désolé…
- C’est pas grave je te dis ! Elle a vraiment pris son pied c’est l’essentiel ! Ca aurait été plus grave si elle m’avait dit « Guillaume, tu à trois mains ! » ahah. On a formé un beau duo sur ce coup là ! Tu sais quoi, la prochaine fois que je n’arrive pas à faire grimper une fille au rideau, je t’appelle et tu pourras lui faire ton truc.
- Ahah pas de problème ! dis-je sans comprendre si Guillaume est vraiment sérieux ou pas.
- Bon, ça reste entre nous cette histoire !
- C’est clair !
Après ça, Guillaume et moi sommes devenus des amis très proches. Ce qui est compréhensible vu le secret que nous partagions. En rentrant chez moi, je conclue cette bonne journée par une douche, je mange et je me couche. Dans mon lit, avant de m’endormir, je réfléchis aux arguments que je vais développer devant mes parents, pour les convaincre de me laisser partir en coloc avec Clémence…Les jours d’après, j’ai passé des heures au téléphone avec mes parents pour les convaincre de me laisser prendre une colocation avec Clémence. Je vous épargne le contenu des tractations mais disons que mes parents n’étaient pas ravis de me voir m’installer avec une fille qu’en plus ils ne connaissaient pas. Finalement ils se sont laissé convaincre par l’argument financier, trop contents qu’ils étaient de pouvoir diviser par 2 le coût du loyer… J’ai donc rassemblé toutes mes affaires dans mes valises et je suis parti m’installer chez Clémence. Chez Clémence et moi, du coup. Nous avons fêté le soir de mon arrivé par un bon repas auquel nous avons convié Guillaume.
Et puis a commencé la vie à deux. Pas facile de perdre ses mauvaises habitudes de « célibataire ». Avoec Clém, nous avons établi tout un tas de règle pour faciliter la cohabitation : horaire d’utilisation de la salle de bain, respect de l’intimité, des choses comme ça… En parlant d’intimité, un soir après les cours, Clémence vient me voir en rougissant un peu :
- Ecoute Cyril, samedi soir, j’ai un copain qui devrait venir… Un garçon… Enfin tu vois où je veux en venir. Ca serait cool si tu pouvais…
- Sortir en ville pour te laisser la soirée libre à l’appartement, dis-je en terminant sa phrase.
- Exactement !
- Je peux faire ça pour toi, dis-je avec un sourire.
- Merci Cyril, tu es chou ! s’exclame-t-elle en me déposant un bisou sur la joue. Rentre vers Minuit ça sera bon je pense.
Le fameux samedi, je sortis donc en ville pour la soirée. Au fond de moi, j’étais très énervé que Clémence passe sa soirée avec un garçon. La savoir chez moi entrain de faire vous savez quoi avec un autre, ça m’agace prodigieusement. En même temps, je savais que ça arriverait : une fille comme ça ne peut pas rester bien longtemps sans petit-ami. Et puis ce n’est pas comme si j’étais amoureux d’elle après tout, donc ça ira. Mais quand même… Cette mauvaise soirée aurait pu en rester là, sauf qu’en rentrant à Minuit comme convenu, j’allais faire une découverte…
J’ouvre la porte de l’appart puis je la referme doucement derrière moi sans la claquer, comme à mon habitude. Entrée furtive… Sauf que j’entends clairement des cris qui viennent de fond de l’appartement, des cris de jouissance… Je vous laisse deviner de quelle chambre ils proviennent. Je décide de ne pas y prêter attention et je vais dans ma chambre ou je me mets en boxer avant de m’allonger sur mon lit avec un livre : respect de la vie privée quoi. Mais les cris sont vraiment forts et c’est impossible de se concentrer sur la lecture. Malgré moi, je commence à bander. Je passe la main sur mon boxer et de petites décharges de plaisirs se font sentir. Alors impossible de résister, je me relève et sur la pointe des pieds et je vais jusqu’à la chambre de Clem. La porte est fermée bien sûr mais je m’accroupis pour regarder par le trou de la serrure. La situation est un peu grotesque mais ce que je découvre me fait oublier tout le reste.
On ne voit pas bien. Mais quand même, je distingue clairement Clémence à quatre-pattes sur son lit. Derrière elle, une silhouette masculine dont je ne vois que le bas du corps est entrain de la prendre violemment en levrette. Clémence a la bouche grande ouverte et de véritables hurlements sortent de sa gorge. Elle crie comme une actrice porno.
- HAN ! HAN ! PLUS FORT !!!
Je fais tomber mon boxer jusqu’à mes chevilles, j’attrape mon sexe et je commence à me branler doucement. Les cris de plaisir de ma coloc m’excitent au plus haut point et mes mouvements se font de plus en plus rapides!
-HAN C EST TELLEMENT BON ! VAS Y ENCULE MOI PLUS FORT !! AHHH !!
Je me suis peut-être trompé quand j’ai dit qu’il la prenait en levrette... En tout cas Clém à l’air de prendre son pied comme jamais. Tout son corps est agité de tremblements. C’est comme si le plaisir allait la faire exploser. La chaleur et les picotements autour de mon sexe sont devenus intenses. Je me rends compte que c’est moi qui vais bientôt jouir. Je jette un dernier coup d’œil par le trou de la serrure, j’admire le corps nu de Clémence, secoué par les coups de reins de son partenaire et je file dans ma chambre où quelques va-et-vient suffisent à me finir…
Quelques minutes après, les cris cessent. Dans le couloir, j’entends Clémence remercier son étalon. Puis la porte de l’appartement s’ouvre et se referme. Pour ma part, je me demande qui est ce garçon qui vient de baiser Clémence comme moi je n’aurais jamais osé la baiser, même dans mes rêves les plus fous. Je suis curieux de découvrir son identité.
Le lendemain matin, alors que nous prenons notre petit déjeuner, je regarde Clémence de travers. Difficile d’oublier ce que j’ai vu et entendu la nuit dernière… Mais même si je suis de plus en plus jaloux de l’inconnu qui a eu la chance de faire grimper ma colocataire aux rideaux, j’avoue que l’idée de pouvoir la surprendre à nouveau dans cette situation compromettante n’est pas pour me déplaire. Ça m’excite carrément en fait. A la fac, au lieu de suivre le cours, je passe la matinée à imaginer des plans et des scénarios tous plus invraisemblables les uns que les autres où j’épie Clémence par le trou de la serrure de sa chambre… Bah, si j’arrive à l’observer à la sortie de la douche, ça sera déjà pas mal !
En plus, elle doit savoir que je l’ai entendu baiser hier soir… Elle n’a fait aucune allusion mais elle a forcement remarqué la lumière dans ma chambre quand elle a raccompagné son étalon jusqu’à la porte… Je me demande ce qu’elle a pensé.
Dans l’après-midi, j’ai une conversation avec Guillaume :
- Tu préfères les brunes ou les blondes ?
Je réfléchis une seconde et des images de Marianne, de Charlotte et de Claire me viennent en tête. Surtout de Claire pour le coup…
- Les blondes ! réponds-je avec assurance. Et toi ?
- Je n’ai pas de préférence. Toutes les femmes sont belles pour moi.
- C’est ton côté artiste ça ! lui dis-je, amusé par le genre qu’il essaye de se donner.
- Bon, euh, en vrai je préfère les brunes, ajoute-t-il. Mais tant mieux pour toi si tu préfères les blondes parce que Samedi prochain, j’ai un coup prévu avec une blonde justement. Ça te dirait de venir comme la dernière fois ?
Mon cœur commence à battre plus fort à cette idée. Les souvenirs de la dernière fois affluent.
- Ouf, c’était chaud ! Elle a bien failli te trouver ! Ahah !
- Ouais c’était moins une ! dis-je en rigolant à mon tour.
- Et le jeans, c’était pour quoi ? T’es vraiment pas doué mec ! plaisante-t-il.
- Toi tu es doué par contre ! dis-je avec un clin d’œil.
- Tu vois, je ne t’avais pas menti ! Mais je crois qu’elle a bien apprécié que tu lui touches les seins, je ne l’avais encore jamais entendu crier aussi fort !
- J’ai pas pu m’empêcher de la toucher, je suis désolé…
- C’est pas grave je te dis ! Elle a vraiment pris son pied c’est l’essentiel ! Ca aurait été plus grave si elle m’avait dit « Guillaume, tu à trois mains ! » ahah. On a formé un beau duo sur ce coup là ! Tu sais quoi, la prochaine fois que je n’arrive pas à faire grimper une fille au rideau, je t’appelle et tu pourras lui faire ton truc.
- Ahah pas de problème ! dis-je sans comprendre si Guillaume est vraiment sérieux ou pas.
- Bon, ça reste entre nous cette histoire !
- C’est clair !
Après ça, Guillaume et moi sommes devenus des amis très proches. Ce qui est compréhensible vu le secret que nous partagions. En rentrant chez moi, je conclue cette bonne journée par une douche, je mange et je me couche. Dans mon lit, avant de m’endormir, je réfléchis aux arguments que je vais développer devant mes parents, pour les convaincre de me laisser partir en coloc avec Clémence…Les jours d’après, j’ai passé des heures au téléphone avec mes parents pour les convaincre de me laisser prendre une colocation avec Clémence. Je vous épargne le contenu des tractations mais disons que mes parents n’étaient pas ravis de me voir m’installer avec une fille qu’en plus ils ne connaissaient pas. Finalement ils se sont laissé convaincre par l’argument financier, trop contents qu’ils étaient de pouvoir diviser par 2 le coût du loyer… J’ai donc rassemblé toutes mes affaires dans mes valises et je suis parti m’installer chez Clémence. Chez Clémence et moi, du coup. Nous avons fêté le soir de mon arrivé par un bon repas auquel nous avons convié Guillaume.
Et puis a commencé la vie à deux. Pas facile de perdre ses mauvaises habitudes de « célibataire ». Avoec Clém, nous avons établi tout un tas de règle pour faciliter la cohabitation : horaire d’utilisation de la salle de bain, respect de l’intimité, des choses comme ça… En parlant d’intimité, un soir après les cours, Clémence vient me voir en rougissant un peu :
- Ecoute Cyril, samedi soir, j’ai un copain qui devrait venir… Un garçon… Enfin tu vois où je veux en venir. Ca serait cool si tu pouvais…
- Sortir en ville pour te laisser la soirée libre à l’appartement, dis-je en terminant sa phrase.
- Exactement !
- Je peux faire ça pour toi, dis-je avec un sourire.
- Merci Cyril, tu es chou ! s’exclame-t-elle en me déposant un bisou sur la joue. Rentre vers Minuit ça sera bon je pense.
Le fameux samedi, je sortis donc en ville pour la soirée. Au fond de moi, j’étais très énervé que Clémence passe sa soirée avec un garçon. La savoir chez moi entrain de faire vous savez quoi avec un autre, ça m’agace prodigieusement. En même temps, je savais que ça arriverait : une fille comme ça ne peut pas rester bien longtemps sans petit-ami. Et puis ce n’est pas comme si j’étais amoureux d’elle après tout, donc ça ira. Mais quand même… Cette mauvaise soirée aurait pu en rester là, sauf qu’en rentrant à Minuit comme convenu, j’allais faire une découverte…
J’ouvre la porte de l’appart puis je la referme doucement derrière moi sans la claquer, comme à mon habitude. Entrée furtive… Sauf que j’entends clairement des cris qui viennent de fond de l’appartement, des cris de jouissance… Je vous laisse deviner de quelle chambre ils proviennent. Je décide de ne pas y prêter attention et je vais dans ma chambre ou je me mets en boxer avant de m’allonger sur mon lit avec un livre : respect de la vie privée quoi. Mais les cris sont vraiment forts et c’est impossible de se concentrer sur la lecture. Malgré moi, je commence à bander. Je passe la main sur mon boxer et de petites décharges de plaisirs se font sentir. Alors impossible de résister, je me relève et sur la pointe des pieds et je vais jusqu’à la chambre de Clem. La porte est fermée bien sûr mais je m’accroupis pour regarder par le trou de la serrure. La situation est un peu grotesque mais ce que je découvre me fait oublier tout le reste.
On ne voit pas bien. Mais quand même, je distingue clairement Clémence à quatre-pattes sur son lit. Derrière elle, une silhouette masculine dont je ne vois que le bas du corps est entrain de la prendre violemment en levrette. Clémence a la bouche grande ouverte et de véritables hurlements sortent de sa gorge. Elle crie comme une actrice porno.
- HAN ! HAN ! PLUS FORT !!!
Je fais tomber mon boxer jusqu’à mes chevilles, j’attrape mon sexe et je commence à me branler doucement. Les cris de plaisir de ma coloc m’excitent au plus haut point et mes mouvements se font de plus en plus rapides!
-HAN C EST TELLEMENT BON ! VAS Y ENCULE MOI PLUS FORT !! AHHH !!
Je me suis peut-être trompé quand j’ai dit qu’il la prenait en levrette... En tout cas Clém à l’air de prendre son pied comme jamais. Tout son corps est agité de tremblements. C’est comme si le plaisir allait la faire exploser. La chaleur et les picotements autour de mon sexe sont devenus intenses. Je me rends compte que c’est moi qui vais bientôt jouir. Je jette un dernier coup d’œil par le trou de la serrure, j’admire le corps nu de Clémence, secoué par les coups de reins de son partenaire et je file dans ma chambre où quelques va-et-vient suffisent à me finir…
Quelques minutes après, les cris cessent. Dans le couloir, j’entends Clémence remercier son étalon. Puis la porte de l’appartement s’ouvre et se referme. Pour ma part, je me demande qui est ce garçon qui vient de baiser Clémence comme moi je n’aurais jamais osé la baiser, même dans mes rêves les plus fous. Je suis curieux de découvrir son identité.
Le lendemain matin, alors que nous prenons notre petit déjeuner, je regarde Clémence de travers. Difficile d’oublier ce que j’ai vu et entendu la nuit dernière… Mais même si je suis de plus en plus jaloux de l’inconnu qui a eu la chance de faire grimper ma colocataire aux rideaux, j’avoue que l’idée de pouvoir la surprendre à nouveau dans cette situation compromettante n’est pas pour me déplaire. Ça m’excite carrément en fait. A la fac, au lieu de suivre le cours, je passe la matinée à imaginer des plans et des scénarios tous plus invraisemblables les uns que les autres où j’épie Clémence par le trou de la serrure de sa chambre… Bah, si j’arrive à l’observer à la sortie de la douche, ça sera déjà pas mal !
En plus, elle doit savoir que je l’ai entendu baiser hier soir… Elle n’a fait aucune allusion mais elle a forcement remarqué la lumière dans ma chambre quand elle a raccompagné son étalon jusqu’à la porte… Je me demande ce qu’elle a pensé.
Dans l’après-midi, j’ai une conversation avec Guillaume :
- Tu préfères les brunes ou les blondes ?
Je réfléchis une seconde et des images de Marianne, de Charlotte et de Claire me viennent en tête. Surtout de Claire pour le coup…
- Les blondes ! réponds-je avec assurance. Et toi ?
- Je n’ai pas de préférence. Toutes les femmes sont belles pour moi.
- C’est ton côté artiste ça ! lui dis-je, amusé par le genre qu’il essaye de se donner.
- Bon, euh, en vrai je préfère les brunes, ajoute-t-il. Mais tant mieux pour toi si tu préfères les blondes parce que Samedi prochain, j’ai un coup prévu avec une blonde justement. Ça te dirait de venir comme la dernière fois ?
Mon cœur commence à battre plus fort à cette idée. Les souvenirs de la dernière fois affluent.