17-01-2021, 06:57 PM
- C’était merveilleux Guillaume ! Tu crois que tu pourrais me faire jouir encore comme ça ?
-Ma chérie, il y a quelques chose que j’aimerais essayer avec toi… répond-il.
- Qu’est ce que c’est ? Un foulard ?
- Ouais, j’aimerais te bander les yeux si tu es d’accord.
- Mmmh je suis toute à toi !
- Voilà c’est fait. Tu ne vois rien ?
- Rien de rien !
- Je reviens dans une seconde, ma chérie.
Soudain, la porte de la salle de bain s’ouvre et je sursaute jusqu’au plafond en me retenant de crier. Mais ce n’est que Guillaume. Il se retient de rire en voyant ma réaction, pose son doigt sur sa bouche pour me faire signe de me taire puis fait un geste de la main pour que je le suive. Mon cœur bat la chamade que je rentre à sa suite dans la chambre. Je découvre alors la jolie Léa. Elle est allongée sur le dos, au centre du lit, le sourire aux lèvres. Le bandeau noir enroulé autour de ses yeux l’empêche de voir ce qui se passe. C’est une brune avec, me semble-t-il, un très joli visage, comme on l’imagine pour une modèle photo. Ses seins sont d’une belle taille avec des tétons qui pointent vers le haut sous l’effet de l’excitation. En la voyant ainsi, mon sexe, qui s’était un peu calmé, se remet à bander immédiatement. Les volets de la chambre de Guillaume sont à moitié fermés et nous sommes dans la pénombre.
- Tu es prête ma chérie ? demande Guillaume.
- Au oui, fais moi du bien…
Léa est toujours sur le dos et Guillaume se place entre ses cuisses écartées. Il rentre sa bite d’un seul coup dans le vagin de sa partenaire. Je remarque que la sienne est plutôt fine mais il vient de m’apporter la preuve que la taille ne compte pas... Il s’équilibre en posant ses mains sur le lit, de chaque côté du corps de Léa et commence ses va-et-vient. Cette dernière s’exclame :
- Mmmh c’est encore meilleur avec les yeux bandés ! J’ai l’impression d’être dans un rêve !
Elle place ses deux mains sous sa tête pour se faire un oreiller ce qui a pour effet de tendre sa poitrine et de lui donner une forme superbe. Je suis comme attiré par ses deux seins, j’ai une envie irrésistible de les toucher… Le ventre de Léa se soulève et s’abaisse au rythme de sa respiration. Très vite, elle se remet à gémir et à crier.
- Han, han ! Encore !
Guillaume garde le rythme. Moi je m’approche au plus prêt du lit pour profiter de la vue de cette jolie jeune fille entrain de se faire baiser devant moi. Elle s’agite sous l’effet du plaisir, de sa bouche s’échappent des gémissements de plus en plus aigus, son corps est luisant de transpiration. Mes yeux son rivés sur ses deux seins qui ont l’air si fermes avec ses tétons roses qui pointent vers le ciel. Ma main droite s’élance, traverse l’espace qui me sépare de Léa et en une seconde, avant que je me rende compte de ce que je viens de faire, elle se pose sur le sein de Léa. La jeune fille pousse un cri de surprise. Je me fige et je réalise soudain ce que je viens de faire…
- Ha Guillaume ! J’aime quand tu me caresses les seins comme ça ! Continue !!!
Alors seulement je me tourne vers Guillaume dont, l’espace d’un instant, j’avais carrément oublié la présence. Il me fait un sourire d’encouragement. Alors je commence à malaxer doucement le sein de Léa dans ma main. Je savoure le contact de ma paume avec son globe si ferme et si doux à la fois.
- C’est trop bon Guillaume ! C’est trop bon d’être avec toi !
Léa crie son plaisir. Et je suis heureux de pouvoir participer à ce moment. Mais quand je ferme les yeux, ce n’est pas à Léa que je pense… J’ai l’impression d’avoir le sein de Marianne sous mes doigts. Je ne sais pas pourquoi je pense à elle à ce moment là. Mais c’est son sein, c’est ses cris de plaisir que j’ai l’impression d’entendre. En caressant la poitrine d’une autre, je réalise à qu’elle point j’ai été marqué par cette fille et à quel point j’aimerais la revoir.
Je sors de ma rêverie et je me rends compte que j’ai malaxé de plus en plus fort le sein de Léa qui est devenu rouge. Je maltraite son téton tout dur en le pinçant entre mes doigts. Elle se met à crier :
- Mon Dieu je vais jouir ! Je vais jouir encore Guillaume !
- Moi aussi… répond-il dans un souffle.
Je retire ma main et au même moment, Léa pousse un véritable hurlement de plaisir. Tout son corps se soulève puis retombe sur le lit, vidé de son énergie. Guillaume attrape les hanches de Léa avec ses mains, lui assène deux coups de reins profonds puis retire son sexe. Avec un gémissement, il jouit en grosses saccades sur le ventre de Léa…
Epuisé et haletant, Guillaume me fait signe que je dois retourner me cacher.
Sur la pointe des pieds, je file à la salle de bain. J’entends les deux amants reprendre leurs esprits.
- Tu m’en as mis partout, idiot ! dit Léa en riant.
- Excuse moi, ma chérie.
- Merci pour tout Guillaume… Je vais aller me nettoyer un peu maintenant. Je vais à la salle de bain !
- Attends une minute, reste encore un peu avec moi, répond habilement Guillaume.
En entendant ça, je saute au plafond puis, le plus rapidement possible et sans bruit, je sors de la salle de bain et je file me réfugier dans la buanderie : toute petite pièce où se trouve la machine à laver et où Guillaume m’avait suggérer de me cacher si notre plan devait tomber à l’eau. Me voilà donc en slip, à côté de la machine à laver. En slip… Merde !!! J’ai oublié mon jeans dans la salle de bain !
- Regarde Guillaume ! Tu laisses trainer tes affaires partout ! Ahah tu aurais vraiment besoin de faire le ménage.
- Ahah oui c’est vrai, répond Guillaume un peu crispé. Je vais ranger ce jeans pendant que tu te laves.
Un bruit d’eau se fait entendre puis, un quart d’heure plus tard, les deux se rhabillent dans l’entrée avant de se séparer.
- Cyril ! crie Guillaume.
- Je suis là ! dis-je en sortant de la buanderie.
-Ma chérie, il y a quelques chose que j’aimerais essayer avec toi… répond-il.
- Qu’est ce que c’est ? Un foulard ?
- Ouais, j’aimerais te bander les yeux si tu es d’accord.
- Mmmh je suis toute à toi !
- Voilà c’est fait. Tu ne vois rien ?
- Rien de rien !
- Je reviens dans une seconde, ma chérie.
Soudain, la porte de la salle de bain s’ouvre et je sursaute jusqu’au plafond en me retenant de crier. Mais ce n’est que Guillaume. Il se retient de rire en voyant ma réaction, pose son doigt sur sa bouche pour me faire signe de me taire puis fait un geste de la main pour que je le suive. Mon cœur bat la chamade que je rentre à sa suite dans la chambre. Je découvre alors la jolie Léa. Elle est allongée sur le dos, au centre du lit, le sourire aux lèvres. Le bandeau noir enroulé autour de ses yeux l’empêche de voir ce qui se passe. C’est une brune avec, me semble-t-il, un très joli visage, comme on l’imagine pour une modèle photo. Ses seins sont d’une belle taille avec des tétons qui pointent vers le haut sous l’effet de l’excitation. En la voyant ainsi, mon sexe, qui s’était un peu calmé, se remet à bander immédiatement. Les volets de la chambre de Guillaume sont à moitié fermés et nous sommes dans la pénombre.
- Tu es prête ma chérie ? demande Guillaume.
- Au oui, fais moi du bien…
Léa est toujours sur le dos et Guillaume se place entre ses cuisses écartées. Il rentre sa bite d’un seul coup dans le vagin de sa partenaire. Je remarque que la sienne est plutôt fine mais il vient de m’apporter la preuve que la taille ne compte pas... Il s’équilibre en posant ses mains sur le lit, de chaque côté du corps de Léa et commence ses va-et-vient. Cette dernière s’exclame :
- Mmmh c’est encore meilleur avec les yeux bandés ! J’ai l’impression d’être dans un rêve !
Elle place ses deux mains sous sa tête pour se faire un oreiller ce qui a pour effet de tendre sa poitrine et de lui donner une forme superbe. Je suis comme attiré par ses deux seins, j’ai une envie irrésistible de les toucher… Le ventre de Léa se soulève et s’abaisse au rythme de sa respiration. Très vite, elle se remet à gémir et à crier.
- Han, han ! Encore !
Guillaume garde le rythme. Moi je m’approche au plus prêt du lit pour profiter de la vue de cette jolie jeune fille entrain de se faire baiser devant moi. Elle s’agite sous l’effet du plaisir, de sa bouche s’échappent des gémissements de plus en plus aigus, son corps est luisant de transpiration. Mes yeux son rivés sur ses deux seins qui ont l’air si fermes avec ses tétons roses qui pointent vers le ciel. Ma main droite s’élance, traverse l’espace qui me sépare de Léa et en une seconde, avant que je me rende compte de ce que je viens de faire, elle se pose sur le sein de Léa. La jeune fille pousse un cri de surprise. Je me fige et je réalise soudain ce que je viens de faire…
- Ha Guillaume ! J’aime quand tu me caresses les seins comme ça ! Continue !!!
Alors seulement je me tourne vers Guillaume dont, l’espace d’un instant, j’avais carrément oublié la présence. Il me fait un sourire d’encouragement. Alors je commence à malaxer doucement le sein de Léa dans ma main. Je savoure le contact de ma paume avec son globe si ferme et si doux à la fois.
- C’est trop bon Guillaume ! C’est trop bon d’être avec toi !
Léa crie son plaisir. Et je suis heureux de pouvoir participer à ce moment. Mais quand je ferme les yeux, ce n’est pas à Léa que je pense… J’ai l’impression d’avoir le sein de Marianne sous mes doigts. Je ne sais pas pourquoi je pense à elle à ce moment là. Mais c’est son sein, c’est ses cris de plaisir que j’ai l’impression d’entendre. En caressant la poitrine d’une autre, je réalise à qu’elle point j’ai été marqué par cette fille et à quel point j’aimerais la revoir.
Je sors de ma rêverie et je me rends compte que j’ai malaxé de plus en plus fort le sein de Léa qui est devenu rouge. Je maltraite son téton tout dur en le pinçant entre mes doigts. Elle se met à crier :
- Mon Dieu je vais jouir ! Je vais jouir encore Guillaume !
- Moi aussi… répond-il dans un souffle.
Je retire ma main et au même moment, Léa pousse un véritable hurlement de plaisir. Tout son corps se soulève puis retombe sur le lit, vidé de son énergie. Guillaume attrape les hanches de Léa avec ses mains, lui assène deux coups de reins profonds puis retire son sexe. Avec un gémissement, il jouit en grosses saccades sur le ventre de Léa…
Epuisé et haletant, Guillaume me fait signe que je dois retourner me cacher.
Sur la pointe des pieds, je file à la salle de bain. J’entends les deux amants reprendre leurs esprits.
- Tu m’en as mis partout, idiot ! dit Léa en riant.
- Excuse moi, ma chérie.
- Merci pour tout Guillaume… Je vais aller me nettoyer un peu maintenant. Je vais à la salle de bain !
- Attends une minute, reste encore un peu avec moi, répond habilement Guillaume.
En entendant ça, je saute au plafond puis, le plus rapidement possible et sans bruit, je sors de la salle de bain et je file me réfugier dans la buanderie : toute petite pièce où se trouve la machine à laver et où Guillaume m’avait suggérer de me cacher si notre plan devait tomber à l’eau. Me voilà donc en slip, à côté de la machine à laver. En slip… Merde !!! J’ai oublié mon jeans dans la salle de bain !
- Regarde Guillaume ! Tu laisses trainer tes affaires partout ! Ahah tu aurais vraiment besoin de faire le ménage.
- Ahah oui c’est vrai, répond Guillaume un peu crispé. Je vais ranger ce jeans pendant que tu te laves.
Un bruit d’eau se fait entendre puis, un quart d’heure plus tard, les deux se rhabillent dans l’entrée avant de se séparer.
- Cyril ! crie Guillaume.
- Je suis là ! dis-je en sortant de la buanderie.