16-01-2021, 06:39 PM
Je passe donc une très bonne soirée et à fortiori un très bon week-end, sachant que je pourrai retourner chez Clém vendredi prochain. Durant la semaine, je passe le plus clair de mon temps libre avec Guillaume qui, décidemment, est devenu un très bon pote en peu de temps. Un jour, il me dit :
- Ce week-end j’ai organisé un shooting photo avec une fille que je connais bien. Je pense que je vais pouvoir t’apporter la preuve que je t’avais promise. Enfin, si tu es toujours intéressé…
Cette histoire m’était complètement sortie de la tête. Mais bien sûr que je suis toujours intéressé ! En même temps, je suis surpris qu’il en reparle. Il a vraiment l’ai décidé à me prouver qu’il avait raison.
- Ahah ! Oui je la veux bien, ta preuve ! rigolé-je.
- Dans ce cas il faut qu’on organise ça. Viens chez moi cet après-midi.
L’après-midi même, je me retrouve donc chez Guillaume dans son petit studio.
- Là, c’est ma chambre me dit-il. Juste à côté il y a la salle de bain. Voilà ce qu’on va faire. J’ai un double des clés de l’appartement que je vais te prêter. On va rentrer du shooting vers 15h00. Toi Cyril, tu vas venir ici un peu avant et te cacher dans la salle de bain. Quand on rentrera avec Léa, oui elle s’appelle Léa, on ira directement dans la chambre. Toi reste bien caché ! Normalement tu devrais avoir ta preuve…
Je suis assez enthousiasmé par son plan même si je nous trouve complètement fous de comploter un truc pareil… Rendez-vous est donc pris pour Samedi et je repars chez moi avec le fameux double des clés. Vendredi, je me rends chez Clémence. Je sonne à l’interphone et je monte. Nous nous asseyons à la même table que la dernière fois et buvons les même boissons ( qui ne seront pas renversées cette fois ).
- Ecoute Cyril, j’ai un projet et l’aimerais t’en parler. C’est un peu gênant alors laisse moi finir et tu me donneras ton avais à la fin… Tu m’as dit un jour que tu cherchais un coloc et je t’ai dit que moi aussi. Alors comme on s’entend bien et que tu viens ici souvent, je me suis dit que, peut-être, tu pourrais carrément venir emménager ici. On deviendrait colocs ensemble quoi…
Elle rougit un peu en disant cela mais je suis bien plus rouge qu’elle. Je reste bouche bée devant sa proposition et quand la joie reprend le dessus sur le choc, je parviens à articuler :
- Oui bonne idée. Je t’avoue que j’y avais déjà pensé… Il faut qu’on voit les détails avec mes parents et les tiens mais je pense qu’on pourrait faire ça…
Elle a l’air assez contente et nous nous serrons la main, comme pour conclure le deal.Le lendemain, à 14h00, c’est le cœur battant que je me rends chez Guillaume. Je passe la porte d’entrée de l’immeuble en regardant fébrilement autour de moi, de peur de les voir débarquer plutôt que prévu, lui et sa belle. J’ai du mal à croire ce que je suis entrain de faire. Excité et apeuré à la fois, je prends l’ascenseur qui m’amène au bon étage. Je glisse la clé dans la serrure de la porte, un tour, deux tours, la porte s’ouvre. L’appartement est vide. C’est déjà un soulagement. Je referme soigneusement à clé la porte derrière moi. Ils vont arriver dans moins d’une heure et je ne dois laisser aucune marque de mon passage d’ici là. Comme convenu avec Guillaume, je rentre dans sa chambre, j’ouvre son placard, j’y range mes chaussures puis je le referme. En chaussette sur le sol, je ne ferai pas de bruit à chacun de mes pas.
Je jette un dernier coup d’œil sur le lit où, dans peu de temps, Guillaume devrait amener la jolie Léa… Vraiment, plus j’approche du but et plus j’ai du mal à croire que je vais assister à la scène, planqué dans la salle de bain. Les minutes passent et 15h00 approchent. Je me mets donc à mon poste d’observation en laissant la porte très légèrement entrouverte. Quelques minutes après, une clé tourne dans la serrure et la porte d’entrée s’ouvre puis se referme. J’entends distinctement deux voix, celle de Guillaume et une voix de femme.
- Waouh, rien n’a changé ici depuis la dernière fois ! dit la voix inconnue.
- La dernière fois que tu es venue, c’était juste avant les vacances d’été, répond Guillaume. Tu m’as manqué tu sais…
- Moi aussi, j’ai pensé tout l’été à nos petits moments… d’intimité.
- Reprenons où on s’était arrêté la dernière fois, dit Guillaume sur un ton taquin.
- Mmmh où est-ce qu’on en était exactement ? Oh, ça y est, je me souviens…
Depuis mon poste d’observation, je ne peux qu’imaginer la scène. Des bruits de vêtements froissés me font penser qu’ils se déshabillent dans l’entrée. « Ils ne perdent pas de temps », me dis-je.
- Ahhh Léa, pas ici. Allons dans ma chambre !
- Hihi ! Je te suis !
Par l’embrasure de la porte, je vois deux silhouettes complètements nues passer devant moi et rentrer dans la chambre. Le lit craque quand ils s’y allongent tous les deux.
- Laisse-moi te faire du bien, dit Guillaume.
Quelques minutes après, j’entends les premiers gémissements monter de la gorge de Léa. Cette fille… Je ne sais même pas à quoi elle ressemble mais elle est entrain de prendre son pied dans la pièce d’à côté et ça m’excite terriblement… Mon sexe se retrouve à l’étroit dans mon jeans. Pour être plus confortable, je prends le risque de l’enlever. Je procède le plus doucement possible pour ne pas faire de bruit et je me retrouve en caleçon. Les gémissements continuent.
- Je vais la mettre dedans maintenant, dit Guillaume.
- Oh oui s’il te plait ! gémit Léa.
A ces mots, mon excitation atteint son niveau maximal, comme si elle s’était adressée directement à moi. Je commence à caresser mon sexe à travers le caleçon en imaginant Léa se faire pénétrer par Guillaume.
- Ahh c’est bon ! J’aime te sentir en moi ! gémit la jeune fille.
Le lit craque de plus en plus fort et à intervalle régulier, signe que Guillaume a du passer aux choses sérieuses. J’entends la respiration rapide de Léa qui s’entremêle de gémissements aigus.
- Ahhh, Ahhh plus vite ! gémit-elle soudain !
Guillaume a du accélérer la cadence car à partir de ce moment, elle se met à pousser des gémissements forts et aigus. Elle pousse alors un cri plus fort que les autres :
- Ahh ja vais jouir ! Non, je jouis ! Ahh c’est bon !!!
Et puis tout s’arrête. Plus de craquements du lit. On n’entend plus que la respiration haletante de Léa qui se remet de ses émotions. Après quelques instants, elle finit par déclarer :400
- Ce week-end j’ai organisé un shooting photo avec une fille que je connais bien. Je pense que je vais pouvoir t’apporter la preuve que je t’avais promise. Enfin, si tu es toujours intéressé…
Cette histoire m’était complètement sortie de la tête. Mais bien sûr que je suis toujours intéressé ! En même temps, je suis surpris qu’il en reparle. Il a vraiment l’ai décidé à me prouver qu’il avait raison.
- Ahah ! Oui je la veux bien, ta preuve ! rigolé-je.
- Dans ce cas il faut qu’on organise ça. Viens chez moi cet après-midi.
L’après-midi même, je me retrouve donc chez Guillaume dans son petit studio.
- Là, c’est ma chambre me dit-il. Juste à côté il y a la salle de bain. Voilà ce qu’on va faire. J’ai un double des clés de l’appartement que je vais te prêter. On va rentrer du shooting vers 15h00. Toi Cyril, tu vas venir ici un peu avant et te cacher dans la salle de bain. Quand on rentrera avec Léa, oui elle s’appelle Léa, on ira directement dans la chambre. Toi reste bien caché ! Normalement tu devrais avoir ta preuve…
Je suis assez enthousiasmé par son plan même si je nous trouve complètement fous de comploter un truc pareil… Rendez-vous est donc pris pour Samedi et je repars chez moi avec le fameux double des clés. Vendredi, je me rends chez Clémence. Je sonne à l’interphone et je monte. Nous nous asseyons à la même table que la dernière fois et buvons les même boissons ( qui ne seront pas renversées cette fois ).
- Ecoute Cyril, j’ai un projet et l’aimerais t’en parler. C’est un peu gênant alors laisse moi finir et tu me donneras ton avais à la fin… Tu m’as dit un jour que tu cherchais un coloc et je t’ai dit que moi aussi. Alors comme on s’entend bien et que tu viens ici souvent, je me suis dit que, peut-être, tu pourrais carrément venir emménager ici. On deviendrait colocs ensemble quoi…
Elle rougit un peu en disant cela mais je suis bien plus rouge qu’elle. Je reste bouche bée devant sa proposition et quand la joie reprend le dessus sur le choc, je parviens à articuler :
- Oui bonne idée. Je t’avoue que j’y avais déjà pensé… Il faut qu’on voit les détails avec mes parents et les tiens mais je pense qu’on pourrait faire ça…
Elle a l’air assez contente et nous nous serrons la main, comme pour conclure le deal.Le lendemain, à 14h00, c’est le cœur battant que je me rends chez Guillaume. Je passe la porte d’entrée de l’immeuble en regardant fébrilement autour de moi, de peur de les voir débarquer plutôt que prévu, lui et sa belle. J’ai du mal à croire ce que je suis entrain de faire. Excité et apeuré à la fois, je prends l’ascenseur qui m’amène au bon étage. Je glisse la clé dans la serrure de la porte, un tour, deux tours, la porte s’ouvre. L’appartement est vide. C’est déjà un soulagement. Je referme soigneusement à clé la porte derrière moi. Ils vont arriver dans moins d’une heure et je ne dois laisser aucune marque de mon passage d’ici là. Comme convenu avec Guillaume, je rentre dans sa chambre, j’ouvre son placard, j’y range mes chaussures puis je le referme. En chaussette sur le sol, je ne ferai pas de bruit à chacun de mes pas.
Je jette un dernier coup d’œil sur le lit où, dans peu de temps, Guillaume devrait amener la jolie Léa… Vraiment, plus j’approche du but et plus j’ai du mal à croire que je vais assister à la scène, planqué dans la salle de bain. Les minutes passent et 15h00 approchent. Je me mets donc à mon poste d’observation en laissant la porte très légèrement entrouverte. Quelques minutes après, une clé tourne dans la serrure et la porte d’entrée s’ouvre puis se referme. J’entends distinctement deux voix, celle de Guillaume et une voix de femme.
- Waouh, rien n’a changé ici depuis la dernière fois ! dit la voix inconnue.
- La dernière fois que tu es venue, c’était juste avant les vacances d’été, répond Guillaume. Tu m’as manqué tu sais…
- Moi aussi, j’ai pensé tout l’été à nos petits moments… d’intimité.
- Reprenons où on s’était arrêté la dernière fois, dit Guillaume sur un ton taquin.
- Mmmh où est-ce qu’on en était exactement ? Oh, ça y est, je me souviens…
Depuis mon poste d’observation, je ne peux qu’imaginer la scène. Des bruits de vêtements froissés me font penser qu’ils se déshabillent dans l’entrée. « Ils ne perdent pas de temps », me dis-je.
- Ahhh Léa, pas ici. Allons dans ma chambre !
- Hihi ! Je te suis !
Par l’embrasure de la porte, je vois deux silhouettes complètements nues passer devant moi et rentrer dans la chambre. Le lit craque quand ils s’y allongent tous les deux.
- Laisse-moi te faire du bien, dit Guillaume.
Quelques minutes après, j’entends les premiers gémissements monter de la gorge de Léa. Cette fille… Je ne sais même pas à quoi elle ressemble mais elle est entrain de prendre son pied dans la pièce d’à côté et ça m’excite terriblement… Mon sexe se retrouve à l’étroit dans mon jeans. Pour être plus confortable, je prends le risque de l’enlever. Je procède le plus doucement possible pour ne pas faire de bruit et je me retrouve en caleçon. Les gémissements continuent.
- Je vais la mettre dedans maintenant, dit Guillaume.
- Oh oui s’il te plait ! gémit Léa.
A ces mots, mon excitation atteint son niveau maximal, comme si elle s’était adressée directement à moi. Je commence à caresser mon sexe à travers le caleçon en imaginant Léa se faire pénétrer par Guillaume.
- Ahh c’est bon ! J’aime te sentir en moi ! gémit la jeune fille.
Le lit craque de plus en plus fort et à intervalle régulier, signe que Guillaume a du passer aux choses sérieuses. J’entends la respiration rapide de Léa qui s’entremêle de gémissements aigus.
- Ahhh, Ahhh plus vite ! gémit-elle soudain !
Guillaume a du accélérer la cadence car à partir de ce moment, elle se met à pousser des gémissements forts et aigus. Elle pousse alors un cri plus fort que les autres :
- Ahh ja vais jouir ! Non, je jouis ! Ahh c’est bon !!!
Et puis tout s’arrête. Plus de craquements du lit. On n’entend plus que la respiration haletante de Léa qui se remet de ses émotions. Après quelques instants, elle finit par déclarer :400