16-01-2021, 06:37 PM
Elle me propose quelque chose à boire puis installe une deuxième chaise à son bureau pour que je puisse m’assoir à côté d’elle. Nous nous mettons alors au travail et je commence à lui réexpliquer les points difficiles du cours. Mon regard est attiré sans cesse par son décolleté. Juste en tournant la tête j’ai une vue superbe sur la courbure de ses seins et je dois me concentrer intensément pour ne pas perdre le fil de mon explication ! Au bout d’un moment, Clémence déclare :
- C’est l’heure de la pause ! Qu’est ce qu’il fait chaud ici, j’en peux plus ! Attends-moi une minute, je reviens.
Dans sa penderie, elle attrape un mini short puis sort de la chambre en fermant la porte derrière elle. C’est vrai qu’en cette fin d’après-midi, le soleil tape fort à travers la vitre et que moi aussi je commence à avoir chaud et soif. Clémence revient quelques minutes plus tard vêtue de son mini short avec à la main un verre d’eau fraiche qu’elle me tend. Je la remercie et la leçon reprend. Maintenant je dois me retenir et de plonger mon regard entre ses deux jolis seins et de dévorer des yeux ses jambes fines. Je commence à bander et je prie pour qu’elle ne s’en aperçoive pas.
Aux alentours des 18h30, nous avons fini de revoir le cours. Elle me raccompagne jusqu’à la sortie et sur le pas de la porte elle me fait une bise chaleureuse.
- Bon Cyril, on a bien bossé aujourd’hui ! Merci beaucoup et revient quand tu veux !
- Je peux revenir Vendredi prochain alors, on n’aura pas cours non plus, dis-je en plaisantant.
- OK, Vendredi prochain ça me va ! Même heure, même lieu de rendez-vous !
Je suis un peu surpris par sa réaction ! Moi je voulais juste faire une blague mais après tout si elle me propose de revenir chez elle la semaine prochaine, je ne vais pas refuser ! C’est donc très content que je retourne chez moi, près à profiter de ma soirée et du week-end qui arrive ! Je me prends à imaginer la vie que nous aurions Clémence et moi si nous emménagions ensemble dans une collocation… Mais je chasse bien vite cette idée saugrenue de mon esprit !
Voilà une nouvelle semaine de fac qui commence ! Rien de palpitant… Le matin en arrivant dans l’amphi, si je vois Clémence je m’assois à côté d’elle, sinon je rejoins un groupe de gars avec qui j’ai sympathisé. Mercredi, je vais manger avec Guillaume. La veille, je suis allé faire un tour sur son fameux blog de photographie et j’ai été agréablement surpris. Pour ce qui est de la qualité des photos je ne saurais pas dire. En revanche, la qualité des modèles… Des jeunes filles d’une vingtaine d’années, toutes plus jolies les unes que les autres, parfois relativement dévêtues… Il ne doit pas s’ennuyer… A midi, je lui en fais d’ailleurs la remarque :
- Dis donc elles sont plutôt mignonnes les filles que tu prends en photo !
- T’as vu ça !
- Tu les recrutes comment ?
- Bah des filles qui veulent poser devant l’objectif y en a beaucoup ! Et depuis le temps j’ai un petit réseau de connaissances !
- Quelle chance ! ajouté-je avec un clin d’œil.
- Et encore tu ne sais pas tout…
- C'est-à-dire ? demandé-je, ma curiosité piquée à vif.
- Disons que parfois, certaines filles me font des faveurs après la séance photo… Si tu vois ce que je veux dire…
Je vois ce qu’il veut dire mais j’ai du mal à y croire… Je lui fais part de mes doutes et il a l’air un peu vexé :
- Je t’apporterai une preuve un de ces jours ! dit-il avant que la discussion se porte sur un autre sujet.
Arrive le Vendredi, enfin ! Je l’attendais avec impatience ! Hier soir, Clémence m’a envoyé un sms de confirmation et j’étais aux anges. Me voilà donc devant la fac à attendre ma jolie camarade. On n’a pas prévu de programme de travail pour l’après midi alors je sais pas ce qu’on va faire exactement. Peut-être qu’il y aura des choses qu’elle voudra que je lui explique, ou bien peut-être qu’on révisera nos cours de la semaine tout simplement. La voilà qui arrive ! Même scénario que la semaine dernière, elle me guide jusque chez elle, nous discutons de bon cœur sur le trajet ; arrivés dans l’appartement, elle me propose une boisson comme la dernière fois. Et nous voilà chacun d’un côté de la table de la cuisine, sirotant un vers de grenadine.
- Tiens je te resserre, dit-elle en approchant la carafe d’eau pour remplir à nouveau mon verre presque vide.
Mais là, catastrophe ! Clémence percute mon verre avec la carafe et le verre se renverse, m’arrosant copieusement de grenadine juste au niveau de l’entre-jambe. Je pousse un petit cri de surprise et Clémence un grand cri. Elle saisit un torchon propre dans un tiroir, se précipite vers moi et commence à frotter doucement la tâche. Je vous laisse imaginer la scène : elle est devant moi, penchée en avant, m’offrant une vue incroyable sur le haut et les contours de ses seins fermement maintenus par un soutien gorge blanc. En plus elle me frotte doucement l’entre-jambe. Il ne m’en faut pas plus pour commencer à bander, surtout que ces caresses involontaires me font le plus grand bien et que je commence à ressentir cette chaleur caractéristique dans le bas ventre.
- C’est bon, je vais le faire moi-même ! dis-je par politesse.
Mais au fond de moi je pense « vas-y continue c’est bon ! »
Heureusement pour moi elle répond, très gênée par sa gaffe « non non, laisse-moi te sécher ».
Alors que mon pénis est devenu bien dur dans mon short, Clémence se met à frotter plus fort et plus vite. Je me relaxe sur la chaise pour profiter du moment. Mes yeux sont rivés sur son décolleté. Ses deux seins bougent un peu, autant que le soutien-gorge le leur permet. Ils sont beaux, bien lisse et d’une bonne taille. Je dois retenir ma main pour qu’elle ne s’envole pas toute seule vers eux. Clémence finit son travail par des moments circulaires. S’en est trop pour moi ! Si ça continue, tout ça va finir d’une drôle de façon. J’attrape doucement le bras de Clémence et je la repousse en disant sur un ton enthousiaste : « c’est bon je suis sec ! ».Elle pose alors le chiffon sur la table et retourne à sa place. Je me demande si ses caresses auraient finies par me faire jouir. Et surtout, je me demande ce que signifiait ce petit sourire en coin qu’elle avait…
Après cet événement troublant, nous nous installons dans sa chambre et nous révisons studieusement jusqu’en fin d’après-midi. Au moment de nous séparer, sur le pas de la porte, Clémence dit :
- Bon, du coup tu reviens Vendredi prochain, Cyril ?
- Euh… Oui… Avec plaisir ! réponds-je en ayant du mal à contenir ma joie.
- Rendez-vous devant la fac, comme aujourd’hui ?
- Bah, je commence à connaître le chemin maintenant. J’irai directement chez toi.
- On fait comme ça !
- C’est l’heure de la pause ! Qu’est ce qu’il fait chaud ici, j’en peux plus ! Attends-moi une minute, je reviens.
Dans sa penderie, elle attrape un mini short puis sort de la chambre en fermant la porte derrière elle. C’est vrai qu’en cette fin d’après-midi, le soleil tape fort à travers la vitre et que moi aussi je commence à avoir chaud et soif. Clémence revient quelques minutes plus tard vêtue de son mini short avec à la main un verre d’eau fraiche qu’elle me tend. Je la remercie et la leçon reprend. Maintenant je dois me retenir et de plonger mon regard entre ses deux jolis seins et de dévorer des yeux ses jambes fines. Je commence à bander et je prie pour qu’elle ne s’en aperçoive pas.
Aux alentours des 18h30, nous avons fini de revoir le cours. Elle me raccompagne jusqu’à la sortie et sur le pas de la porte elle me fait une bise chaleureuse.
- Bon Cyril, on a bien bossé aujourd’hui ! Merci beaucoup et revient quand tu veux !
- Je peux revenir Vendredi prochain alors, on n’aura pas cours non plus, dis-je en plaisantant.
- OK, Vendredi prochain ça me va ! Même heure, même lieu de rendez-vous !
Je suis un peu surpris par sa réaction ! Moi je voulais juste faire une blague mais après tout si elle me propose de revenir chez elle la semaine prochaine, je ne vais pas refuser ! C’est donc très content que je retourne chez moi, près à profiter de ma soirée et du week-end qui arrive ! Je me prends à imaginer la vie que nous aurions Clémence et moi si nous emménagions ensemble dans une collocation… Mais je chasse bien vite cette idée saugrenue de mon esprit !
Voilà une nouvelle semaine de fac qui commence ! Rien de palpitant… Le matin en arrivant dans l’amphi, si je vois Clémence je m’assois à côté d’elle, sinon je rejoins un groupe de gars avec qui j’ai sympathisé. Mercredi, je vais manger avec Guillaume. La veille, je suis allé faire un tour sur son fameux blog de photographie et j’ai été agréablement surpris. Pour ce qui est de la qualité des photos je ne saurais pas dire. En revanche, la qualité des modèles… Des jeunes filles d’une vingtaine d’années, toutes plus jolies les unes que les autres, parfois relativement dévêtues… Il ne doit pas s’ennuyer… A midi, je lui en fais d’ailleurs la remarque :
- Dis donc elles sont plutôt mignonnes les filles que tu prends en photo !
- T’as vu ça !
- Tu les recrutes comment ?
- Bah des filles qui veulent poser devant l’objectif y en a beaucoup ! Et depuis le temps j’ai un petit réseau de connaissances !
- Quelle chance ! ajouté-je avec un clin d’œil.
- Et encore tu ne sais pas tout…
- C'est-à-dire ? demandé-je, ma curiosité piquée à vif.
- Disons que parfois, certaines filles me font des faveurs après la séance photo… Si tu vois ce que je veux dire…
Je vois ce qu’il veut dire mais j’ai du mal à y croire… Je lui fais part de mes doutes et il a l’air un peu vexé :
- Je t’apporterai une preuve un de ces jours ! dit-il avant que la discussion se porte sur un autre sujet.
Arrive le Vendredi, enfin ! Je l’attendais avec impatience ! Hier soir, Clémence m’a envoyé un sms de confirmation et j’étais aux anges. Me voilà donc devant la fac à attendre ma jolie camarade. On n’a pas prévu de programme de travail pour l’après midi alors je sais pas ce qu’on va faire exactement. Peut-être qu’il y aura des choses qu’elle voudra que je lui explique, ou bien peut-être qu’on révisera nos cours de la semaine tout simplement. La voilà qui arrive ! Même scénario que la semaine dernière, elle me guide jusque chez elle, nous discutons de bon cœur sur le trajet ; arrivés dans l’appartement, elle me propose une boisson comme la dernière fois. Et nous voilà chacun d’un côté de la table de la cuisine, sirotant un vers de grenadine.
- Tiens je te resserre, dit-elle en approchant la carafe d’eau pour remplir à nouveau mon verre presque vide.
Mais là, catastrophe ! Clémence percute mon verre avec la carafe et le verre se renverse, m’arrosant copieusement de grenadine juste au niveau de l’entre-jambe. Je pousse un petit cri de surprise et Clémence un grand cri. Elle saisit un torchon propre dans un tiroir, se précipite vers moi et commence à frotter doucement la tâche. Je vous laisse imaginer la scène : elle est devant moi, penchée en avant, m’offrant une vue incroyable sur le haut et les contours de ses seins fermement maintenus par un soutien gorge blanc. En plus elle me frotte doucement l’entre-jambe. Il ne m’en faut pas plus pour commencer à bander, surtout que ces caresses involontaires me font le plus grand bien et que je commence à ressentir cette chaleur caractéristique dans le bas ventre.
- C’est bon, je vais le faire moi-même ! dis-je par politesse.
Mais au fond de moi je pense « vas-y continue c’est bon ! »
Heureusement pour moi elle répond, très gênée par sa gaffe « non non, laisse-moi te sécher ».
Alors que mon pénis est devenu bien dur dans mon short, Clémence se met à frotter plus fort et plus vite. Je me relaxe sur la chaise pour profiter du moment. Mes yeux sont rivés sur son décolleté. Ses deux seins bougent un peu, autant que le soutien-gorge le leur permet. Ils sont beaux, bien lisse et d’une bonne taille. Je dois retenir ma main pour qu’elle ne s’envole pas toute seule vers eux. Clémence finit son travail par des moments circulaires. S’en est trop pour moi ! Si ça continue, tout ça va finir d’une drôle de façon. J’attrape doucement le bras de Clémence et je la repousse en disant sur un ton enthousiaste : « c’est bon je suis sec ! ».Elle pose alors le chiffon sur la table et retourne à sa place. Je me demande si ses caresses auraient finies par me faire jouir. Et surtout, je me demande ce que signifiait ce petit sourire en coin qu’elle avait…
Après cet événement troublant, nous nous installons dans sa chambre et nous révisons studieusement jusqu’en fin d’après-midi. Au moment de nous séparer, sur le pas de la porte, Clémence dit :
- Bon, du coup tu reviens Vendredi prochain, Cyril ?
- Euh… Oui… Avec plaisir ! réponds-je en ayant du mal à contenir ma joie.
- Rendez-vous devant la fac, comme aujourd’hui ?
- Bah, je commence à connaître le chemin maintenant. J’irai directement chez toi.
- On fait comme ça !