16-01-2021, 05:38 PM
Pauline passa sa main sur la cuisse de Tom puis sur la bosse qui déformait son pantalon. Elle la pressa, la massa et sentait tout l’effet qu’elle faisait à Tom. En donnant un peu de mou à sa ceinture, elle se pencha vers lui et, de ses deux mains, déboutonna son jean. Quand Tom sentit sa main chaude passer dans son caleçon et libérer sa verge dressée, il ne maîtrisa pas un petit mouvement de son pied sur l’accélérateur. Heureusement, le trafic était suffisamment fluide pour que cela ne puisse être dangereux.
-"Tu vas réussir à continuer à conduire ? " demanda-t-elle en se faisant innocente malgré ses mouvements de va-et-vient sur le sexe de son frère.
-"Ca devrait" lâcha Tom, le souffle court.
-"On va voir ça. "
La voiture allait bientôt rattraper un autre camion. Un autre frisson passa dans le corps de Pauline. La jeune fille détacha sa ceinture et monta à genoux sur son siège. Elle se pencha vers Tom et s’empara à nouveau du pénis de son amoureux. Tournée ainsi vers le conducteur, ses fesses étaient au niveau de la fenêtre du passager. Du coin de l’œil elle voyait que leur voiture arrivait au niveau du camion. Le chauffeur allait pouvoir la voir ainsi. Une nouvelle secousse traversa son corps et, tandis qu’elle affermissait sa position sur le siège, elle se pencha sous le bras droit de Tom et vînt enfermer son gland dans sa bouche.
Est-ce qu’elle allait trop loin ? L’excitation de la route, de sa nudité, de son exhibitionnisme…tout ça la rendait folle de désir. Maintenant, elle suçait son amant au volant pendant qu’un inconnu pouvait la mater. Et c’était le cas. Le chauffeur klaxonna d’un petit rythme joyeux pour remercier de la vue. Elle sentit Tom ralentir un peu l’allure. Voulait-il l’exhiber encore ou était-ce parce que la fellation le perturbait ? Elle voulut se redresser mais la main droite de son frère sur sa tête stoppa son élan.
-"Ne t’arrête pas mon amour. C’est trop bon…"
Elle recommença à le sucer avec vigueur, autant à cause de son excitation que parce qu’ils étaient en route et que cela restait dangereux. Sentir la main de son frère se crisper dans ses cheveux lui indiquait combien il prenait du plaisir. Du coin de l’œil, elle pouvait voir que la voiture se maintenait au niveau du camion. Imaginer le regard du chauffeur sur ses fesses lui donnait l’impression qu’elles brûlaient. Son minou était en feu. D’une main appuyée à côté du frein à main, elle posa un pied devant son siège pour écarter ses cuisses et pouvoir glisser son autre main vers son sexe. La main de Tom guidait les mouvements de sa bouche sur sa hampe. Elle sentait son gland palpiter dans sa bouche et ses gémissements au-dessus de sa tête indiquaient qu’il était dans le même état qu’elle.
Entre ses cuisses, ses doigts allaient et venaient en elle. Savoir qu’elle était sans doute matée en ce moment décuplait le plaisir. Elle se sentait couler dans sa main, le long de ses cuisses. Ses reins s’étaient cambrés et elle gémissait autant que Tom, bâillonnée par sa verge. La tension dans son corps était à son comble. Ses seins, qui se balançaient au rythme de sa tête, frottaient sur la housse du siège du jeune homme, arrachant d’intenses frissons à ses tétons crispés. Elle commençait à avoir la tête qui tourne, enivrée par le plaisir torride. Le rythme de sa main entre ses cuisses s’était accéléré. La main de Tom sur sa tête se crispait encore, enfonçant un peu plus son gland vers sa gorge. Elle allait jouir. Lui aussi.
Ce fut le cri de jouissance de Tom qui déclencha son orgasme. Ses doigts s’enfoncèrent dans son minou ruisselant pendant qu’elle recevait les 1ers jets de sperme dans la bouche. Loin dans la brume de son orgasme, elle eut l’impression que les contractions du pénis de son amant étaient synchronisées avec les contractions de son vagin. Tom criait sa jouissance au volant, laissant la voiture faire quelques variations de vitesse. Elle criait son orgasme, toujours bâillonnée par ce sexe adoré. Sans réfléchir, elle avalait le sperme que Tom libérait dans sa bouche pendant que les vagues de son orgasme se propageaient encore. Quelle sensation intense de jouir à la vue d’un inconnu, de ne pas se retenir.
A bout de souffle, Tom se rendit sans doute compte de son étreinte et la relâcha. Elle se libéra, toute tremblante et eut un peu de peine à se remettre dans son siège. Le contact direct de ses lèvres gonflées de plaisir sur le siège lançait d’autres frissons dans son corps, presque douloureux après son orgasme. Le camion n’était plus là. Ils avaient fini par le dépasser. Elle reprenait son souffle, les yeux dans le vague.
-"Wow…comme 1ere fois au volant…on y a peut-être été un peu fort…"souffla-t-elle.
-"C’était génial…"fit-il tout aussi essoufflé. "Mais un peu dangereux, c’est clair…Je m’excuse d’avoir joui dans ta bouche. Je ne pouvais pas m’arrêter. "
-"Ca a été chaud. J’ai cru que j’allais en mettre partout. Faudra faire gaffe la prochaine fois. " Tom acquiesça.
-"Et le routier ? On l’a dépassé quand ? "
-"Oh, ne t’inquiète pas. Il n’a pas raté grand-chose. J’ai du le dépasser quand j’allais presque jouir car j’avais peur de moins bien contrôler la voiture. "
Pauline acquiesça à son tour et laissa sa tête retomber sur l’appui-tête. Sans s’en rendre compte, elle glissa dans le sommeil. Toute l’excitation, l’exaltation et son orgasme avaient eu raison d’elle. Quand elle s’endormit, Tom attrapa une couverture qu’ils avaient gardée sur la banquette arrière et la couvrit pour qu’elle ne prenne pas froid. Cela aurait été dommage alors que les vacances ne faisaient que commencer.
Découverte du chalet
En fin d’après-midi, Pauline et Tom arrivèrent enfin au chalet des parents d’Olivia. Il était perché tout en haut des montagnes Catalanes, au pied de la station de ski La Molina. Les deux jeunes étaient tout excités en découvrant la montagne, son manteau de neige, ses forêts, le vent froid et sec qui leur piquait le visage. Ils avaient trouvé le chalet facilement grâce aux indications d’Olivia et étaient restés impressionnés devant sa taille et son cachet. A n’en pas douter, les parents de Olivia gagnaient bien leur vie. Pauline avait hâte de faire la connaissance de sa correspondante après ces années d’échanges épistolaires.
Ils quittèrent timidement leur vieille 205, qui leur paraissait un signe presque indécent de pauvreté devant la classe du chalet. Après quelques pas dans l’allée, ils virent la porte s’ouvrir et une jeune fille de l’âge de Pauline en sortir. Elle correspondait tout à fait à l’image que l’on pouvait se faire d’une jeune espagnole. Tom la découvrait au fur et à mesure qu’elle avançait vers eux. Elle avait de longs cheveux bruns et lisses qui retombaient autour de son buste et qui ondulaient à chacun de ses pas, une silhouette fine et dynamique avec de jolies formes et la peau mate des espagnols. Une fois auprès d’eux, il fut ravi de découvrir son regard intense soutenu par des yeux aussi noirs que ses cheveux, des pommettes semées de tâches de rousseurs brunes, une large bouche souriante aux lèvres pulpeuses. Un délice, pensa Tom, sans arrière-pensée.
-"Je suis tellement contente que vous soyez enfin arrivés" leur cria-t-elle dans un parfait français quand elle arriva à leur hauteur.
Sans aucune gêne et sans attendre, elle enlaça Pauline comme s’il s’était agi d’une vieille amie qu’elle n’avait pas vue depuis longtemps. Pauline lui rendit son embrassade avec la même ferveur. Tom fut touché par l’amitié qui unissait les deux jeunes filles. Quand elles se séparèrent, Pauline présenta Tom comme son petit ami et, en bon français, il fit la bise à Olivia avec plaisir. Sur la demande de Olivia et en quelques phrases, Pauline raconta leur trajet, tout du moins la version tout public, et comme ils étaient heureux de découvrir la montagne. Olivia rayonnait de joie et finit par les entraîner dans le chalet.
Dans le salon du rez-de-chaussée, Pauline et Tom firent connaissance avec les parents d’Olivia qui, sans parler aussi bien que leur fille, s’exprimaient dans un français tout à fait correct. Tom appréciait particulièrement la façon dont cette famille roulait les R. Olivia, qui semblait aussi excitée que Pauline, s’empressa d’entraîner le couple dans une visite intégrale du chalet.154
-"Tu vas réussir à continuer à conduire ? " demanda-t-elle en se faisant innocente malgré ses mouvements de va-et-vient sur le sexe de son frère.
-"Ca devrait" lâcha Tom, le souffle court.
-"On va voir ça. "
La voiture allait bientôt rattraper un autre camion. Un autre frisson passa dans le corps de Pauline. La jeune fille détacha sa ceinture et monta à genoux sur son siège. Elle se pencha vers Tom et s’empara à nouveau du pénis de son amoureux. Tournée ainsi vers le conducteur, ses fesses étaient au niveau de la fenêtre du passager. Du coin de l’œil elle voyait que leur voiture arrivait au niveau du camion. Le chauffeur allait pouvoir la voir ainsi. Une nouvelle secousse traversa son corps et, tandis qu’elle affermissait sa position sur le siège, elle se pencha sous le bras droit de Tom et vînt enfermer son gland dans sa bouche.
Est-ce qu’elle allait trop loin ? L’excitation de la route, de sa nudité, de son exhibitionnisme…tout ça la rendait folle de désir. Maintenant, elle suçait son amant au volant pendant qu’un inconnu pouvait la mater. Et c’était le cas. Le chauffeur klaxonna d’un petit rythme joyeux pour remercier de la vue. Elle sentit Tom ralentir un peu l’allure. Voulait-il l’exhiber encore ou était-ce parce que la fellation le perturbait ? Elle voulut se redresser mais la main droite de son frère sur sa tête stoppa son élan.
-"Ne t’arrête pas mon amour. C’est trop bon…"
Elle recommença à le sucer avec vigueur, autant à cause de son excitation que parce qu’ils étaient en route et que cela restait dangereux. Sentir la main de son frère se crisper dans ses cheveux lui indiquait combien il prenait du plaisir. Du coin de l’œil, elle pouvait voir que la voiture se maintenait au niveau du camion. Imaginer le regard du chauffeur sur ses fesses lui donnait l’impression qu’elles brûlaient. Son minou était en feu. D’une main appuyée à côté du frein à main, elle posa un pied devant son siège pour écarter ses cuisses et pouvoir glisser son autre main vers son sexe. La main de Tom guidait les mouvements de sa bouche sur sa hampe. Elle sentait son gland palpiter dans sa bouche et ses gémissements au-dessus de sa tête indiquaient qu’il était dans le même état qu’elle.
Entre ses cuisses, ses doigts allaient et venaient en elle. Savoir qu’elle était sans doute matée en ce moment décuplait le plaisir. Elle se sentait couler dans sa main, le long de ses cuisses. Ses reins s’étaient cambrés et elle gémissait autant que Tom, bâillonnée par sa verge. La tension dans son corps était à son comble. Ses seins, qui se balançaient au rythme de sa tête, frottaient sur la housse du siège du jeune homme, arrachant d’intenses frissons à ses tétons crispés. Elle commençait à avoir la tête qui tourne, enivrée par le plaisir torride. Le rythme de sa main entre ses cuisses s’était accéléré. La main de Tom sur sa tête se crispait encore, enfonçant un peu plus son gland vers sa gorge. Elle allait jouir. Lui aussi.
Ce fut le cri de jouissance de Tom qui déclencha son orgasme. Ses doigts s’enfoncèrent dans son minou ruisselant pendant qu’elle recevait les 1ers jets de sperme dans la bouche. Loin dans la brume de son orgasme, elle eut l’impression que les contractions du pénis de son amant étaient synchronisées avec les contractions de son vagin. Tom criait sa jouissance au volant, laissant la voiture faire quelques variations de vitesse. Elle criait son orgasme, toujours bâillonnée par ce sexe adoré. Sans réfléchir, elle avalait le sperme que Tom libérait dans sa bouche pendant que les vagues de son orgasme se propageaient encore. Quelle sensation intense de jouir à la vue d’un inconnu, de ne pas se retenir.
A bout de souffle, Tom se rendit sans doute compte de son étreinte et la relâcha. Elle se libéra, toute tremblante et eut un peu de peine à se remettre dans son siège. Le contact direct de ses lèvres gonflées de plaisir sur le siège lançait d’autres frissons dans son corps, presque douloureux après son orgasme. Le camion n’était plus là. Ils avaient fini par le dépasser. Elle reprenait son souffle, les yeux dans le vague.
-"Wow…comme 1ere fois au volant…on y a peut-être été un peu fort…"souffla-t-elle.
-"C’était génial…"fit-il tout aussi essoufflé. "Mais un peu dangereux, c’est clair…Je m’excuse d’avoir joui dans ta bouche. Je ne pouvais pas m’arrêter. "
-"Ca a été chaud. J’ai cru que j’allais en mettre partout. Faudra faire gaffe la prochaine fois. " Tom acquiesça.
-"Et le routier ? On l’a dépassé quand ? "
-"Oh, ne t’inquiète pas. Il n’a pas raté grand-chose. J’ai du le dépasser quand j’allais presque jouir car j’avais peur de moins bien contrôler la voiture. "
Pauline acquiesça à son tour et laissa sa tête retomber sur l’appui-tête. Sans s’en rendre compte, elle glissa dans le sommeil. Toute l’excitation, l’exaltation et son orgasme avaient eu raison d’elle. Quand elle s’endormit, Tom attrapa une couverture qu’ils avaient gardée sur la banquette arrière et la couvrit pour qu’elle ne prenne pas froid. Cela aurait été dommage alors que les vacances ne faisaient que commencer.
Découverte du chalet
En fin d’après-midi, Pauline et Tom arrivèrent enfin au chalet des parents d’Olivia. Il était perché tout en haut des montagnes Catalanes, au pied de la station de ski La Molina. Les deux jeunes étaient tout excités en découvrant la montagne, son manteau de neige, ses forêts, le vent froid et sec qui leur piquait le visage. Ils avaient trouvé le chalet facilement grâce aux indications d’Olivia et étaient restés impressionnés devant sa taille et son cachet. A n’en pas douter, les parents de Olivia gagnaient bien leur vie. Pauline avait hâte de faire la connaissance de sa correspondante après ces années d’échanges épistolaires.
Ils quittèrent timidement leur vieille 205, qui leur paraissait un signe presque indécent de pauvreté devant la classe du chalet. Après quelques pas dans l’allée, ils virent la porte s’ouvrir et une jeune fille de l’âge de Pauline en sortir. Elle correspondait tout à fait à l’image que l’on pouvait se faire d’une jeune espagnole. Tom la découvrait au fur et à mesure qu’elle avançait vers eux. Elle avait de longs cheveux bruns et lisses qui retombaient autour de son buste et qui ondulaient à chacun de ses pas, une silhouette fine et dynamique avec de jolies formes et la peau mate des espagnols. Une fois auprès d’eux, il fut ravi de découvrir son regard intense soutenu par des yeux aussi noirs que ses cheveux, des pommettes semées de tâches de rousseurs brunes, une large bouche souriante aux lèvres pulpeuses. Un délice, pensa Tom, sans arrière-pensée.
-"Je suis tellement contente que vous soyez enfin arrivés" leur cria-t-elle dans un parfait français quand elle arriva à leur hauteur.
Sans aucune gêne et sans attendre, elle enlaça Pauline comme s’il s’était agi d’une vieille amie qu’elle n’avait pas vue depuis longtemps. Pauline lui rendit son embrassade avec la même ferveur. Tom fut touché par l’amitié qui unissait les deux jeunes filles. Quand elles se séparèrent, Pauline présenta Tom comme son petit ami et, en bon français, il fit la bise à Olivia avec plaisir. Sur la demande de Olivia et en quelques phrases, Pauline raconta leur trajet, tout du moins la version tout public, et comme ils étaient heureux de découvrir la montagne. Olivia rayonnait de joie et finit par les entraîner dans le chalet.
Dans le salon du rez-de-chaussée, Pauline et Tom firent connaissance avec les parents d’Olivia qui, sans parler aussi bien que leur fille, s’exprimaient dans un français tout à fait correct. Tom appréciait particulièrement la façon dont cette famille roulait les R. Olivia, qui semblait aussi excitée que Pauline, s’empressa d’entraîner le couple dans une visite intégrale du chalet.154