15-01-2021, 06:15 PM
Claire obéit, pendant que la directrice prenait du matériel dans une commode, elle revint avec un gros coussin en demi-lune.
« -soulève ton ventre » ce qu'elle fit, le coussin se plaça sous elle. La directrice l'aida à bien se replacer, les bras dans le vide, les jambes écartées. Claire était presque à quatre pattes.
La directrice ramena encore des objets.
Elle lui attacha avec des menottes, les mains dans le dos et les pieds à la table puis lui remis un bandeau sur les yeux.
« -te voilà prête, ta position est d'une indécence mais elle à l'avantage de m'offrir un accès total à ton sexe et apparemment de te faire mouiller »
La jeune fille sentit de l'huile de massage couler sur ses reins, ses omoplates puis entre ses fesses. La directrice commença par masser le haut de son dos, ses mains étaient douces, délicates, ses gestes précis, le massage détendait la jolie blonde puis les mains descendirent sur ses reins, ses fesses, les écartant par moments, elles descendirent encore massant l'intérieur des cuisses mais sans jamais toucher son sexe, à son grand désespoir, le massage continua jusqu'à ses pieds.
Claire se mordait la lèvre de frustration, elle voulait plus alors quand l'index de la directrice se posa sur son anus, elle cria de plaisir.
« - le seul plaisir que tu auras ce soir, c'est celui-ci
-non » dit-elle désespérer « -non, tu veux plus » dit la directrice en massant l'orifice -oui » dit-elle d'une voix tremblante « -dans ce cas... »
Elle poussa l'index entre ses fesses, il entra entièrement en elle, la faisant crier de plaisir. Elle esseya de se cambrer mais les menottes des pieds l'en empêchèrent.
La directrice retira rapidement son doigt. « -non... - et si, le désir te fait perdre le contrôle, tu oublies ton copain, tu oublies ta promesse de lui réserver le passage, après tu vas le regretter, je trouve ça si beau de se réserver par amour, ce n'est pas à la confrerie de t'apprendre ce plaisir, je voulais juste te montrer comment tu était faible »
Claire revint dans le monde réel, en pleurant, elle avait eu de la chance, elle avait failli gâcher son passage le plus intime. La directrice la détacha et l'aida à s'asseoir au bord de la table et lui apporta des mouchoirs pour sécher ses larmes .
Une fois calmer, elle repris.
« -ton éducation n'est pas finit, veux-tu poursuivre ? - oui -bien, dans ce cas, lève toi »
Elle ramena un coussin bien plus petit. « -allonges toi sur le dos, je te glisses ça sous les fesses »
Elle écarta ses jambes, menotta ses pieds à la table, plaça ses bras le long de son corps et menotta également ses poignets à la dite table. Sans oublier le bandeau.
La jeune femme sentit deux doigts entrer dans sa fente pour la masturber, enfin !
Se fût bref, ils resortirent si vite mais ils furent remplacer par un objet froid, de petite taille.
« -tu as dans ton sexe un vibro-masseur, il va t'emmener vers un orgasme intense, laisse toi faire et profite, je reste à côté avec Laura »
L'objet se mit à vibrer tout doucement pendant que la directrice enduisait ses seins d'huile, le plaisir montait lentement, le massage se termina quand le plaisir envahit la jolie blonde .
Elle se mit à gémir, les vibrations s'intensifiaient puis ralentissaient et repartaient de plus belle. L'obscurité et l'absence de liberté augmentait le plaisir .
« -cri ton plaisir, profite »
Pour crier elle criait, l'objet l'emmenait vers l'orgasme. Il joua avec son plaisir de nombreuses minutes puis...
D'un cri animal, elle jouit, une jouissance inédite car l'appareil repartit aussitôt, ne lui laissant aucun répit. Laura lui enleva le bandeau, Claire ne pouvait plus parler, elle gémissait, criait, hurlait. Elle transpirait à grosse gouttes, ses cheveux étaient tout collés, son corps tremblait.
Un deuxième puis un troisième orgasme la frappa, c'est comme si elle jouissait en continu, elle était écarlate, son cœur battait si vite.
Quand le quatrième frappa, l'intensité fût telle que Claire connu sa première éjaculation Elle ne compris pas trop ce qui se passa car le vibro s'arrêta enfin.
Elle ne se rendit pas compte que Laura la détacha et l'allongea sur le lit. Quand elle revint à elle, la directrice était là, équiper d'un gode ceinture.
Laura l'aida à se mettre à quatre pattes, elle offrit sa croupe !
La directrice entra sans problème et la pilonna intensément, elle réalisait son fantasme. Claire prit son pied mais ne connu aucune jouissance, la directrice se fatigua vite et la jeune femme s'endormit.
Claire se réveilla tard dans la matinée, elle était dans son lit, dans sa chambre, le réveil affichait 11h00. Elle était nue et elle se sentait si bien, elle avait tellement jouit ! Les images de la nuit lui revinrent progressivement, cette fameuse directrice était donc sa patronne.
Comment allait-elle se comporter maintenant ?
Tout le monde à la chèvrerie l'avait baiser sauf Sandrine.
Toc, toc...
« -Bonjour Claire
-bonjour Laura -bien dormit ? -super mais je suis un peu perdu, je me rappelle de marjo avec le gode ceinture... -tu veux dire la directrice ? -c'est pareil -non, la directrice c'est anonyme, marjo c'est nominatif, si quelqu'un t'écoute il ne saura pas qui c'est la directrice, c'est une sécurité. Tu sais comment c'est la campagne, tout le monde ce connait et si cela se sait, ça peut faire du tord aux chèvres. -d'accord et qui m'a ramener ? -Paolo mais je te rassure il n'a rien vu, il était dans une autre pièce. Tu dormait si bien que tu nous a fait peur, on a appelé le médecin... -quoi ? -pas de panique, c'est le directeur -je le connait ? -non...en revanche pas un mot à Sandrine, elle ne connaît pas la confrérie. -pourquoi ? -on a jugé qu'elle n'était pas encore prête, tu es la plus jeune qu'on ai initié. Prépare toi et descend, on a du boulot, comporte toi comme d'habitude et personne ne saura rien. Le rendez-vous avec le directeur est dans 5 jours »
Laura quitta la chambre laissant son amie se préparer.
5 jours plus tard...
On était un vendredi après-midi, les deux filles s'étaient préparées ensemble, pas de soutien-gorge et un string noir comme sous-vêtements. Elles roulèrent de jour pendant une bonne heure et s'arrêtèrent devant les grilles d'un magnifique château renaissance.
Les grilles s'ouvrirent et la voiture entra directement dans la cour du bâtiment. Le soleil se couchait et donnait une teinte orangé au lieu.
Une vieille ds était garé à côté de leur voiture.
« -soulève ton ventre » ce qu'elle fit, le coussin se plaça sous elle. La directrice l'aida à bien se replacer, les bras dans le vide, les jambes écartées. Claire était presque à quatre pattes.
La directrice ramena encore des objets.
Elle lui attacha avec des menottes, les mains dans le dos et les pieds à la table puis lui remis un bandeau sur les yeux.
« -te voilà prête, ta position est d'une indécence mais elle à l'avantage de m'offrir un accès total à ton sexe et apparemment de te faire mouiller »
La jeune fille sentit de l'huile de massage couler sur ses reins, ses omoplates puis entre ses fesses. La directrice commença par masser le haut de son dos, ses mains étaient douces, délicates, ses gestes précis, le massage détendait la jolie blonde puis les mains descendirent sur ses reins, ses fesses, les écartant par moments, elles descendirent encore massant l'intérieur des cuisses mais sans jamais toucher son sexe, à son grand désespoir, le massage continua jusqu'à ses pieds.
Claire se mordait la lèvre de frustration, elle voulait plus alors quand l'index de la directrice se posa sur son anus, elle cria de plaisir.
« - le seul plaisir que tu auras ce soir, c'est celui-ci
-non » dit-elle désespérer « -non, tu veux plus » dit la directrice en massant l'orifice -oui » dit-elle d'une voix tremblante « -dans ce cas... »
Elle poussa l'index entre ses fesses, il entra entièrement en elle, la faisant crier de plaisir. Elle esseya de se cambrer mais les menottes des pieds l'en empêchèrent.
La directrice retira rapidement son doigt. « -non... - et si, le désir te fait perdre le contrôle, tu oublies ton copain, tu oublies ta promesse de lui réserver le passage, après tu vas le regretter, je trouve ça si beau de se réserver par amour, ce n'est pas à la confrerie de t'apprendre ce plaisir, je voulais juste te montrer comment tu était faible »
Claire revint dans le monde réel, en pleurant, elle avait eu de la chance, elle avait failli gâcher son passage le plus intime. La directrice la détacha et l'aida à s'asseoir au bord de la table et lui apporta des mouchoirs pour sécher ses larmes .
Une fois calmer, elle repris.
« -ton éducation n'est pas finit, veux-tu poursuivre ? - oui -bien, dans ce cas, lève toi »
Elle ramena un coussin bien plus petit. « -allonges toi sur le dos, je te glisses ça sous les fesses »
Elle écarta ses jambes, menotta ses pieds à la table, plaça ses bras le long de son corps et menotta également ses poignets à la dite table. Sans oublier le bandeau.
La jeune femme sentit deux doigts entrer dans sa fente pour la masturber, enfin !
Se fût bref, ils resortirent si vite mais ils furent remplacer par un objet froid, de petite taille.
« -tu as dans ton sexe un vibro-masseur, il va t'emmener vers un orgasme intense, laisse toi faire et profite, je reste à côté avec Laura »
L'objet se mit à vibrer tout doucement pendant que la directrice enduisait ses seins d'huile, le plaisir montait lentement, le massage se termina quand le plaisir envahit la jolie blonde .
Elle se mit à gémir, les vibrations s'intensifiaient puis ralentissaient et repartaient de plus belle. L'obscurité et l'absence de liberté augmentait le plaisir .
« -cri ton plaisir, profite »
Pour crier elle criait, l'objet l'emmenait vers l'orgasme. Il joua avec son plaisir de nombreuses minutes puis...
D'un cri animal, elle jouit, une jouissance inédite car l'appareil repartit aussitôt, ne lui laissant aucun répit. Laura lui enleva le bandeau, Claire ne pouvait plus parler, elle gémissait, criait, hurlait. Elle transpirait à grosse gouttes, ses cheveux étaient tout collés, son corps tremblait.
Un deuxième puis un troisième orgasme la frappa, c'est comme si elle jouissait en continu, elle était écarlate, son cœur battait si vite.
Quand le quatrième frappa, l'intensité fût telle que Claire connu sa première éjaculation Elle ne compris pas trop ce qui se passa car le vibro s'arrêta enfin.
Elle ne se rendit pas compte que Laura la détacha et l'allongea sur le lit. Quand elle revint à elle, la directrice était là, équiper d'un gode ceinture.
Laura l'aida à se mettre à quatre pattes, elle offrit sa croupe !
La directrice entra sans problème et la pilonna intensément, elle réalisait son fantasme. Claire prit son pied mais ne connu aucune jouissance, la directrice se fatigua vite et la jeune femme s'endormit.
Claire se réveilla tard dans la matinée, elle était dans son lit, dans sa chambre, le réveil affichait 11h00. Elle était nue et elle se sentait si bien, elle avait tellement jouit ! Les images de la nuit lui revinrent progressivement, cette fameuse directrice était donc sa patronne.
Comment allait-elle se comporter maintenant ?
Tout le monde à la chèvrerie l'avait baiser sauf Sandrine.
Toc, toc...
« -Bonjour Claire
-bonjour Laura -bien dormit ? -super mais je suis un peu perdu, je me rappelle de marjo avec le gode ceinture... -tu veux dire la directrice ? -c'est pareil -non, la directrice c'est anonyme, marjo c'est nominatif, si quelqu'un t'écoute il ne saura pas qui c'est la directrice, c'est une sécurité. Tu sais comment c'est la campagne, tout le monde ce connait et si cela se sait, ça peut faire du tord aux chèvres. -d'accord et qui m'a ramener ? -Paolo mais je te rassure il n'a rien vu, il était dans une autre pièce. Tu dormait si bien que tu nous a fait peur, on a appelé le médecin... -quoi ? -pas de panique, c'est le directeur -je le connait ? -non...en revanche pas un mot à Sandrine, elle ne connaît pas la confrérie. -pourquoi ? -on a jugé qu'elle n'était pas encore prête, tu es la plus jeune qu'on ai initié. Prépare toi et descend, on a du boulot, comporte toi comme d'habitude et personne ne saura rien. Le rendez-vous avec le directeur est dans 5 jours »
Laura quitta la chambre laissant son amie se préparer.
5 jours plus tard...
On était un vendredi après-midi, les deux filles s'étaient préparées ensemble, pas de soutien-gorge et un string noir comme sous-vêtements. Elles roulèrent de jour pendant une bonne heure et s'arrêtèrent devant les grilles d'un magnifique château renaissance.
Les grilles s'ouvrirent et la voiture entra directement dans la cour du bâtiment. Le soleil se couchait et donnait une teinte orangé au lieu.
Une vieille ds était garé à côté de leur voiture.