15-01-2021, 05:51 PM
- Viens vite ! L’eau est bonne !
- Tu as pied ?
- Oui, ce n’est pas très profond.
L’eau lui arrive quand même juste au dessus de la poitrine si bien que je ne peux pas voir ses seins… En revanche, elle a tout le loisir de voir mon pénis. Je décide de ne pas m’en soucier je la rejoins dans l’eau. L’eau est fraiche, très agréable après la chaleur du sauna. Voilà Charlotte qui commence à faire des longueurs en brasse. Je nage doucement derrière elle, profitant de la vue qu’elle m’offre sur son corps. A chaque mouvement de ses jambes, je crois pouvoir deviner ses grandes lèvres dans l’eau. Je ressens en moi grandir l’envie de poser mes mains sur ce corps si beau. De la caresser, d’y poser mes lèvres. Mais je suis interrompu dans mes pensées par la bataille d’eau qui commence. Charlotte rie de bon cœur, elle a vraiment l’air heureuse en ce moment. Après avoir reçu de l’eau dans les yeux, je dois battre en retraite et je remonte sur le bord. Elle me rejoint. Au moment où elle se hisse à son tour sur le bord et où elle sort de l’eau, elle a vraiment l’air d’une sirène. Elle ne cache plus l’avant de son corps, de l’eau ruissèle le long de ses cheveux, glisse sur sa poitrine, sur son ventre plat. Sa petite chatte est parfaitement épilée, ses seins sont comme je l’imaginais : petits et bien ronds, avec des tétons un peu foncés.
Elle s’approche de moi. Nous sommes face à face, entre le bord de la piscine et la baie vitrée. La lumière de la lune semble beaucoup plus forte maintenant que nos yeux se sont habitués à l’obscurité et baigne e la scène dans une lueur bleuâtre, soulignant tous les reliefs de nos corps.
- C’est malin… dis-je. Maintenant j’ai froid.
Charlotte pose ses deux mains à plat sur mon torse :
- Laisse-moi te réchauffer alors…
Charlotte pose ses mains à plat sur mon torse. Elle me jette un regard, semble hésiter un peu puis doucement, elle fait glisser ses mains vers le bas. Elle s’agenouille. Sa bouche est au niveau de mon bassin. Elle me regarde en contre-plongée et je lis dans ses yeux un mélange d’inquiétude et d’excitation. De dessus, j’aperçois nettement ses tétons qui pointent au bout de ses petit seins. A cause de l’eau froide de la piscine, mon sexe n’a jamais été aussi petit. Soudain, elle le prend en bouche entièrement. Un grand frisson me parcourt le dos. Je reste debout, immobile les bras le long du corps, sans trop comprendre se qui m’arrive. Je sens mon sexe commencer à gonfler lentement. Charlotte fait des cercles autour de mon sexe avec sa langue. Je sens mon pénis s’allonger, gonfler, devenir trop gros pour tenir dans la bouche de ma partenaire. Elle s’arrête un moment, libère mon pénis, le regarde comme pour en évaluer la taille puis elle le décalotte entièrement. Je bande au maximum mais je n’ose toujours pas bouger. Charlotte prend mon gland en bouche et sa langue se remet à tourbillonner autour. Je ne sens plus du tout le froid. Au contraire, une douce chaleur commence à m’envelopper. Charlotte s’active sur mon sexe avec de plus en plus d’énergie avec des grands mouvements de tête d’avant en arrière. Avec sa main droite, elle tripote mes testicule, elle les caresse, tire dessus parfois ce qui a pour effet d’envoyer des vagues de plaisir dans tout mon corps. Les fourmillements dans mon ventre sont de plus en plus intenses. Mais je ne veux pas jouir tout de suite, pas avant de lui avoir rendu la pareille.
Je pose doucement mes mains sur ses épaules pour qu’elle s’arrête et je lui demande de se coucher sur le dos. Je m’agenouille alors face à elle et je positionne ses jambes sur chacune de mes épaules. Je me retrouve la tête entre ses cuisses, sa petite chatte épilée juste au niveau de ma bouche. Doucement, avec ma langue, je commence à lécher les petites lèvres de Charlotte. Ma langue fait des allers-retours de haut en bas. La belle brune ne reste pas insensible à se traitement, elle commence à caresser ses seins avec ses mains, à les malaxer dans tous les sens. Sa respiration s’est accélérée. Du bout de ma langue, je m’attarde sur son clitoris gonflé de plaisir. Charlotte pousse de petits gémissements maintenant, à peine audibles mais bien réels. Du bout des doigts, elle caresse ses tétons qui pointent plus que jamais. Je crois qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.
Je retire ses jambes de mes épaules et j’approche mon sexe de sa fente. Je l’interroge du regard. Pour toute réponse, elle prend mon pénis dans sa main et le guide à l’entrée de sa grotte. Je donne un léger coup de bassin vers l’avant et mon gland pénètre à l’intérieur. Puis bientôt, mon pénis tout entier remplit le vagin de Charlotte. Je suis assez serré, la sensation est délicieuse. Je commence un va et vient d’abord lent mais qui s’accélère. Ma brune s’agite, gigote sous l’effet du plaisir. Elle gémit de plus en plus fort : « Han, han ! Vas-y continue »
Sous ses encouragements, je m’efforce de garder la cadence tout en enfonçant au maximum mon sexe dans son orifice. Le visage de Charlotte est rouge de plaisir. Avec une main, elle caresse son clitoris en même temps que je la pénètre. Soudain, son vagin se contracte autour de mon pénis, tout son corps se met à trembler. Elle pousse un dernier cri, plus fort que les autres : « Ahhhhhhhhh ! ». Elle retombe lourdement, épuisée par son orgasme. Je me retire, le sexe toujours dressé et je m’allonge doucement sur elle pour pouvoir prendre ses seins entre mes mains et lui mordiller les tétons du bout des dents. Après quelques minutes, la respiration de Charlotte s’est calmée.
- C’est à ton tour de jouir, Cyril… me murmure-t-elle à l’oreille.
A sa demande, je m’allonge sur le dos. Le contact entre ma peau et le carrelage froid du bord de la piscine me fait frissonner et a pour effet de raidir ma bite qui commençait à ramollir. Charlotte se positionne au dessus de moi, un genou de chaque côté de mon bassin. Avec sa main, elle guide mon sexe à l’intérieur d’elle et s’empale dessus. Puis elle commence à bouger ses fesses tout doucement. Dans cette position, c’est elle qui mène la danse. Les pénétrations sont profondes et mon sexe, plus dur que jamais trésaille de plaisir. Charlotte me chevauche avec de plus en plus de vigueur. Je vois à l’expression de son visage qu’elle apprécie ce moment autant que moi. Tout la scène est baignée dans le halo bleuté de la lune. La lumière rasant me permet d’observer touts les détails du corps de ma partenaire. La grain de sa peau sans imperfection, ses seins petits mais bien fermes et ronds, ses tétons tous durs qui pointent. Elle a les yeux fermés et savoure chaque mouvement de ses fesses autour de mon sexe. Je pose mes mains sur ses deux seins, je les malaxe fort, je les pousse vers le haut. J’adore leur forme, leur texture. Je les pétris doucement et fermement à la fois
- Ah Charlotte, tu es si bonne ! dis-je.
- Pour moi aussi c’est trop bon… répond-elle toujours les yeux fermés.
Je place mes mains sur ses cotes et j’accompagne le mouvement de son corps. De haut en bas. A chaque mouvement, une décharge de plaisir se déverse dans tout mon corps. Les fourmillements caractéristiques apparaissent dans mon bas ventre. Je n’ai plus qu’une envie : c’est de jouir. Je pose mes mains sur les faces de Charlotte. Et j’amplifie ses mouvements en la faisant monter plus haut et descendre plus vite sur mon sexe. Elle s’empale de plus en plus fort sur mon pénis ; mon plaisir est à son
paroxysme.
- Ah Cyril ! Ahhh !
L’entendre crier ainsi décuple mes sensations.
- Ah Charlotte, je vais jouir !
A ses mots, Charlotte se retire, empoigne mon pénis gonflé dans sa main droite et commence à me masturber avec une grande douceur. Les mouvements son amples, sa main vient taper contre mes testicules à chaque fois. Il suffit de quelques allers-retours pour que je me vide enfin, avec un cri de jouissance…
- Ahhhhhhh !
Je suis dans un étant second tandis que mon sexe expulse quatre grosses saccades de sperme qui retombent sur mon torse.
Nous restons allongés sur le sol de la piscine pendant plusieurs minutes avant d’aller, toujours un peu tremblants, nous laver dans les douches de la piscine. Je propose à Charlotte de passer la nuit dans ma chambre. Là, sur le lit, nous avons fait l’amour encore une fois avant de nous endormir blottis l’un contre l’autre…
- Tu as pied ?
- Oui, ce n’est pas très profond.
L’eau lui arrive quand même juste au dessus de la poitrine si bien que je ne peux pas voir ses seins… En revanche, elle a tout le loisir de voir mon pénis. Je décide de ne pas m’en soucier je la rejoins dans l’eau. L’eau est fraiche, très agréable après la chaleur du sauna. Voilà Charlotte qui commence à faire des longueurs en brasse. Je nage doucement derrière elle, profitant de la vue qu’elle m’offre sur son corps. A chaque mouvement de ses jambes, je crois pouvoir deviner ses grandes lèvres dans l’eau. Je ressens en moi grandir l’envie de poser mes mains sur ce corps si beau. De la caresser, d’y poser mes lèvres. Mais je suis interrompu dans mes pensées par la bataille d’eau qui commence. Charlotte rie de bon cœur, elle a vraiment l’air heureuse en ce moment. Après avoir reçu de l’eau dans les yeux, je dois battre en retraite et je remonte sur le bord. Elle me rejoint. Au moment où elle se hisse à son tour sur le bord et où elle sort de l’eau, elle a vraiment l’air d’une sirène. Elle ne cache plus l’avant de son corps, de l’eau ruissèle le long de ses cheveux, glisse sur sa poitrine, sur son ventre plat. Sa petite chatte est parfaitement épilée, ses seins sont comme je l’imaginais : petits et bien ronds, avec des tétons un peu foncés.
Elle s’approche de moi. Nous sommes face à face, entre le bord de la piscine et la baie vitrée. La lumière de la lune semble beaucoup plus forte maintenant que nos yeux se sont habitués à l’obscurité et baigne e la scène dans une lueur bleuâtre, soulignant tous les reliefs de nos corps.
- C’est malin… dis-je. Maintenant j’ai froid.
Charlotte pose ses deux mains à plat sur mon torse :
- Laisse-moi te réchauffer alors…
Charlotte pose ses mains à plat sur mon torse. Elle me jette un regard, semble hésiter un peu puis doucement, elle fait glisser ses mains vers le bas. Elle s’agenouille. Sa bouche est au niveau de mon bassin. Elle me regarde en contre-plongée et je lis dans ses yeux un mélange d’inquiétude et d’excitation. De dessus, j’aperçois nettement ses tétons qui pointent au bout de ses petit seins. A cause de l’eau froide de la piscine, mon sexe n’a jamais été aussi petit. Soudain, elle le prend en bouche entièrement. Un grand frisson me parcourt le dos. Je reste debout, immobile les bras le long du corps, sans trop comprendre se qui m’arrive. Je sens mon sexe commencer à gonfler lentement. Charlotte fait des cercles autour de mon sexe avec sa langue. Je sens mon pénis s’allonger, gonfler, devenir trop gros pour tenir dans la bouche de ma partenaire. Elle s’arrête un moment, libère mon pénis, le regarde comme pour en évaluer la taille puis elle le décalotte entièrement. Je bande au maximum mais je n’ose toujours pas bouger. Charlotte prend mon gland en bouche et sa langue se remet à tourbillonner autour. Je ne sens plus du tout le froid. Au contraire, une douce chaleur commence à m’envelopper. Charlotte s’active sur mon sexe avec de plus en plus d’énergie avec des grands mouvements de tête d’avant en arrière. Avec sa main droite, elle tripote mes testicule, elle les caresse, tire dessus parfois ce qui a pour effet d’envoyer des vagues de plaisir dans tout mon corps. Les fourmillements dans mon ventre sont de plus en plus intenses. Mais je ne veux pas jouir tout de suite, pas avant de lui avoir rendu la pareille.
Je pose doucement mes mains sur ses épaules pour qu’elle s’arrête et je lui demande de se coucher sur le dos. Je m’agenouille alors face à elle et je positionne ses jambes sur chacune de mes épaules. Je me retrouve la tête entre ses cuisses, sa petite chatte épilée juste au niveau de ma bouche. Doucement, avec ma langue, je commence à lécher les petites lèvres de Charlotte. Ma langue fait des allers-retours de haut en bas. La belle brune ne reste pas insensible à se traitement, elle commence à caresser ses seins avec ses mains, à les malaxer dans tous les sens. Sa respiration s’est accélérée. Du bout de ma langue, je m’attarde sur son clitoris gonflé de plaisir. Charlotte pousse de petits gémissements maintenant, à peine audibles mais bien réels. Du bout des doigts, elle caresse ses tétons qui pointent plus que jamais. Je crois qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.
Je retire ses jambes de mes épaules et j’approche mon sexe de sa fente. Je l’interroge du regard. Pour toute réponse, elle prend mon pénis dans sa main et le guide à l’entrée de sa grotte. Je donne un léger coup de bassin vers l’avant et mon gland pénètre à l’intérieur. Puis bientôt, mon pénis tout entier remplit le vagin de Charlotte. Je suis assez serré, la sensation est délicieuse. Je commence un va et vient d’abord lent mais qui s’accélère. Ma brune s’agite, gigote sous l’effet du plaisir. Elle gémit de plus en plus fort : « Han, han ! Vas-y continue »
Sous ses encouragements, je m’efforce de garder la cadence tout en enfonçant au maximum mon sexe dans son orifice. Le visage de Charlotte est rouge de plaisir. Avec une main, elle caresse son clitoris en même temps que je la pénètre. Soudain, son vagin se contracte autour de mon pénis, tout son corps se met à trembler. Elle pousse un dernier cri, plus fort que les autres : « Ahhhhhhhhh ! ». Elle retombe lourdement, épuisée par son orgasme. Je me retire, le sexe toujours dressé et je m’allonge doucement sur elle pour pouvoir prendre ses seins entre mes mains et lui mordiller les tétons du bout des dents. Après quelques minutes, la respiration de Charlotte s’est calmée.
- C’est à ton tour de jouir, Cyril… me murmure-t-elle à l’oreille.
A sa demande, je m’allonge sur le dos. Le contact entre ma peau et le carrelage froid du bord de la piscine me fait frissonner et a pour effet de raidir ma bite qui commençait à ramollir. Charlotte se positionne au dessus de moi, un genou de chaque côté de mon bassin. Avec sa main, elle guide mon sexe à l’intérieur d’elle et s’empale dessus. Puis elle commence à bouger ses fesses tout doucement. Dans cette position, c’est elle qui mène la danse. Les pénétrations sont profondes et mon sexe, plus dur que jamais trésaille de plaisir. Charlotte me chevauche avec de plus en plus de vigueur. Je vois à l’expression de son visage qu’elle apprécie ce moment autant que moi. Tout la scène est baignée dans le halo bleuté de la lune. La lumière rasant me permet d’observer touts les détails du corps de ma partenaire. La grain de sa peau sans imperfection, ses seins petits mais bien fermes et ronds, ses tétons tous durs qui pointent. Elle a les yeux fermés et savoure chaque mouvement de ses fesses autour de mon sexe. Je pose mes mains sur ses deux seins, je les malaxe fort, je les pousse vers le haut. J’adore leur forme, leur texture. Je les pétris doucement et fermement à la fois
- Ah Charlotte, tu es si bonne ! dis-je.
- Pour moi aussi c’est trop bon… répond-elle toujours les yeux fermés.
Je place mes mains sur ses cotes et j’accompagne le mouvement de son corps. De haut en bas. A chaque mouvement, une décharge de plaisir se déverse dans tout mon corps. Les fourmillements caractéristiques apparaissent dans mon bas ventre. Je n’ai plus qu’une envie : c’est de jouir. Je pose mes mains sur les faces de Charlotte. Et j’amplifie ses mouvements en la faisant monter plus haut et descendre plus vite sur mon sexe. Elle s’empale de plus en plus fort sur mon pénis ; mon plaisir est à son
paroxysme.
- Ah Cyril ! Ahhh !
L’entendre crier ainsi décuple mes sensations.
- Ah Charlotte, je vais jouir !
A ses mots, Charlotte se retire, empoigne mon pénis gonflé dans sa main droite et commence à me masturber avec une grande douceur. Les mouvements son amples, sa main vient taper contre mes testicules à chaque fois. Il suffit de quelques allers-retours pour que je me vide enfin, avec un cri de jouissance…
- Ahhhhhhh !
Je suis dans un étant second tandis que mon sexe expulse quatre grosses saccades de sperme qui retombent sur mon torse.
Nous restons allongés sur le sol de la piscine pendant plusieurs minutes avant d’aller, toujours un peu tremblants, nous laver dans les douches de la piscine. Je propose à Charlotte de passer la nuit dans ma chambre. Là, sur le lit, nous avons fait l’amour encore une fois avant de nous endormir blottis l’un contre l’autre…