15-01-2021, 05:50 PM
Un bruit me réveille en sursaut. Décidemment, c’est une vraie manie chez moi de m’endormir dès que je ferme les yeux… La porte du sauna s’est ouverte, une silhouette avance vers moi.
- Je suis désolé Monsieur, le sauna ferme à 22h00, dit une voix de femme.
C’est surement un membre du personnel de l’hôtel. L’heure de la fermeture est passée. Je reprends mes esprits et je lève les yeux pour voir qui me parle. Surprise, c’est la jolie serveuse du restaurant !
Elle me reconnait. Normal, elle m’a quand même renversé un verre d’eau sur la figure!
- Oh c’est toi ! dit-elle, visiblement gênée. Désolée pour tout à l’heure…
- Pas de souci, réponds-je, surpris moi aussi. Mais qu’est-ce que tu fais là dans cette tenue ? demandé-je en m’apercevant qu’elle est enroulée dans une serviette blanche comme la mienne et non pas dans son uniforme de serveuse.
- Les membres du personnel ont un accès privé aux installations après la fermeture ! Alors je suis venue profiter du sauna !
- Je comprends… Je vais te laisser alors, dis-je avec regret.
- Ecoute, c’est bon, tu peux rester. Ca sera ma façon de me faire pardonner pour tout à l’heure !
- Ouah, c’est cool ! Merci… euh…
- Charlotte !
- Merci Charlotte. Moi c’est Cyril !
- Tu peux te retourner une seconde, le temps que je m’installe ? demande-t-elle en s’approchant du banc en bois.
Je m’exécute et lui fais dos tout en regardant mes pieds. Je devine aux bruits que j’entends qu’elle pose sa serviette sur le banc et qu’elle s’allonge dessus. J’avoue que l’envie est grande de me retourner mais j’attends son signal.
- C’est bon ! s’exclame-t-elle.
Je la trouve allongée sur le ventre sur sa serviette, elle se sert de ses mains comme d’un oreiller pour poser sa tête. Logiquement, son dos, ses fesses et l’arrière de ses cuisses sont nues… Je détourne immédiatement le regard, pas question de passer pour un mateur !
- Par contre, il va falloir que tu fermes les yeux le temps que je m’allonge moi aussi, dis-je
Elle me fait un signe affirmatif et ferme donc les yeux. Je me découvre de ma serviette que je pose sur le banc, en face de la jolie Charlotte. Profitant qu’elle ne puisse pas me voir, je glisse un coup d’œil vers ses petites fesses ce que déclenche chez moi un début d’érection. Après tout, je suis complètement nu dans un sauna, seul avec une belle jeune fille qui a les yeux fermés et qui me laisse sans le savoir tout le loisir de la contempler. Je grimpe sur le banc et dans l’opération, mon sexe un peu gonflé passe à quelques dizaines de centimètres de son visage. « Heureusement qu’elle a les yeux fermés » ,pensé-je. Je m’allonge donc sur le ventre, en face d’elle et je lui donne le signal. Ses yeux s’ouvrent. Nos visages sont très proches et je peux en admirer tous les traits.Elle a de grands yeux marrons surmontés de sourcils fins, des cheveux bruns, longs et lisses. Elle me fait un large sourire de toutes ses dents blanches. Je me réjouis de la chance que j’ai. C’était inespéré de tomber nez à nez avec elle comme ça ! Et en plus elle est sympa ! Que demander de plus ?
- Dis moi Charlotte, tu bosses ici depuis longtemps ?
- Non. Enfin depuis le début des vacances d’été. Pour payer mes études et faire des petites économies à côté, tu vois. Et toi, tu es là en touriste ?
- Ouais on peut dire ça ! Mais je rentre chez moi, à Orange, dès demain midi.
- Ca va tu habites pas très loin. Moi je viens de Paris !
- Cool ! Et alors, tu fais quoi comme études ?
- Je voudrais devenir prof.
- Prof de maths ?
- Non ! dit-elle en rigolant. Prof dans une école primaire. Maitresse d’école quoi !
- Oh… ça te va bien, dis-je. Tu as l’air très douce alors tu dois savoir t’y prendre avec les enfants.
Elle me remercie pour ce compliment et nous discutons comme ça pendant de longues minutes. Je suis surpris de trouver dans cette fille quelqu’un de profondément gentil et d’ouvert. J’apprends que la belle a 21 ans, qu’elle aime lire, qu’elle aime les fleurs, que étant petite elle rêvait de devenir mannequin mais qu’elle était beaucoup trop timide pour ça. Le courant passe vraiment bien entre nous, du moins c’est l’impression que j’ai. Alors que survient un blanc dans la conversation, elle soupire et je vois dans ses yeux cette lueur de tristesse que j’avais remarquée plus tôt dans la journée.
- En fait… commence-t-elle. C’est pas vraiment pour payer mes études ni pour mettre de l’argent de côté que je suis venu ici. Il fallait que je quitte Paris et que je change un peu d’air, que je m’occupe.
- Il s’est passé quelque chose ? demandé-je, inquiété par sa mine sombre.
- Tu vas peut-être trouver ça bête…
Je l’encourage du regard à poursuivre. Alors les yeux baissés, parfois larmoyants, elle me raconte comment elle a rencontré son ex-petit copain, les premiers temps de leur relation, les premières disputes jusqu’à ce qu’il la quitte pour une autre quelques mois auparavant. Elle m’explique comment cette rupture l’a anéantie, comment elle s’est isolée, éloignée de ses amies et de sa famille. Jusqu’à ce qu’elle décide de reprendre sa vie en main et qu’elle vienne travailler à l’hôtel pendant les vacances pour se changer les idées. Quand elle a fini, elle pousse un long soupir.
- Pfffffff… Je n’avais encore jamais pu me confier à quelqu’un… Ca fait un bien fou je me sens plus légère…
- Si ça a pu te soulager te parler alors je suis content, dis-je.
Elle me répond par un sourire radieux.
- Ca te dirait d’aller à la piscine maintenant ? enchaine-t-elle. Il commence à faire chaud et puis de toute façon, il ne faut pas rester trop longtemps dans un sauna !
- Bonne idée, je te suis ! réponds-je en me levant.
J’en oublie un détail : je suis nue comme un ver. Charlotte rougit et détourne pudiquement la tête en rigolant. Puis elle se lève à son tour et me fait signe de la suivre. Nous quittons le sauna. Je marche quelques pas derrière elle et, silencieusement, elle me guide à travers le dédale de couloirs. Nus dans cet endroit désert… J’admire la courbe de son dos, l’empreinte de sa colonne vertébrale qui descend harmonieusement jusqu’au début de ses jolies fesses. Plus bas, ses jambes fines de mannequin. Mon sexe commence à durcir et à se redresser. Merde ! Qu’est ce qu’elle va penser si elle se retourne maintenant ? J’essaye de penser à autre chose ce qui, croyez moi, est très difficile ! Mon sexe finit par retrouver sa taille normale, juste à temps. Nous arrivons en face d’une porte en verre, verrouillée. Charlotte rentre un code à 4 chiffres dans un petit boitier et la porte s’ouvre.
- Voilà la piscine ! dit-elle en tournant la tête vers moi. Par contre, je ne peux pas allumer la lumière, même avec le code.
La piscine est plutôt grande pour une piscine d’hôtel en intérieur. Et surtout, un des côtés de la pièce donne sur l’extérieur par une grande baie vitrée qui nous offre une vue sur un petit jardin plongé dans l’obscurité et surtout, qui laisse passer la lumière de la lune grâce à laquelle nous arrivons à voir où nous mettons les pieds. Toujours dos à moi, Charlotte s’avance, s’assoit au bord, les pieds dans l’eau puis se jette complètement dans un grand bruit d’éclaboussures. Elle fait quelques mouvements de brasse pour s’éloigner du bord puis se retourne vers moi :
- Je suis désolé Monsieur, le sauna ferme à 22h00, dit une voix de femme.
C’est surement un membre du personnel de l’hôtel. L’heure de la fermeture est passée. Je reprends mes esprits et je lève les yeux pour voir qui me parle. Surprise, c’est la jolie serveuse du restaurant !
Elle me reconnait. Normal, elle m’a quand même renversé un verre d’eau sur la figure!
- Oh c’est toi ! dit-elle, visiblement gênée. Désolée pour tout à l’heure…
- Pas de souci, réponds-je, surpris moi aussi. Mais qu’est-ce que tu fais là dans cette tenue ? demandé-je en m’apercevant qu’elle est enroulée dans une serviette blanche comme la mienne et non pas dans son uniforme de serveuse.
- Les membres du personnel ont un accès privé aux installations après la fermeture ! Alors je suis venue profiter du sauna !
- Je comprends… Je vais te laisser alors, dis-je avec regret.
- Ecoute, c’est bon, tu peux rester. Ca sera ma façon de me faire pardonner pour tout à l’heure !
- Ouah, c’est cool ! Merci… euh…
- Charlotte !
- Merci Charlotte. Moi c’est Cyril !
- Tu peux te retourner une seconde, le temps que je m’installe ? demande-t-elle en s’approchant du banc en bois.
Je m’exécute et lui fais dos tout en regardant mes pieds. Je devine aux bruits que j’entends qu’elle pose sa serviette sur le banc et qu’elle s’allonge dessus. J’avoue que l’envie est grande de me retourner mais j’attends son signal.
- C’est bon ! s’exclame-t-elle.
Je la trouve allongée sur le ventre sur sa serviette, elle se sert de ses mains comme d’un oreiller pour poser sa tête. Logiquement, son dos, ses fesses et l’arrière de ses cuisses sont nues… Je détourne immédiatement le regard, pas question de passer pour un mateur !
- Par contre, il va falloir que tu fermes les yeux le temps que je m’allonge moi aussi, dis-je
Elle me fait un signe affirmatif et ferme donc les yeux. Je me découvre de ma serviette que je pose sur le banc, en face de la jolie Charlotte. Profitant qu’elle ne puisse pas me voir, je glisse un coup d’œil vers ses petites fesses ce que déclenche chez moi un début d’érection. Après tout, je suis complètement nu dans un sauna, seul avec une belle jeune fille qui a les yeux fermés et qui me laisse sans le savoir tout le loisir de la contempler. Je grimpe sur le banc et dans l’opération, mon sexe un peu gonflé passe à quelques dizaines de centimètres de son visage. « Heureusement qu’elle a les yeux fermés » ,pensé-je. Je m’allonge donc sur le ventre, en face d’elle et je lui donne le signal. Ses yeux s’ouvrent. Nos visages sont très proches et je peux en admirer tous les traits.Elle a de grands yeux marrons surmontés de sourcils fins, des cheveux bruns, longs et lisses. Elle me fait un large sourire de toutes ses dents blanches. Je me réjouis de la chance que j’ai. C’était inespéré de tomber nez à nez avec elle comme ça ! Et en plus elle est sympa ! Que demander de plus ?
- Dis moi Charlotte, tu bosses ici depuis longtemps ?
- Non. Enfin depuis le début des vacances d’été. Pour payer mes études et faire des petites économies à côté, tu vois. Et toi, tu es là en touriste ?
- Ouais on peut dire ça ! Mais je rentre chez moi, à Orange, dès demain midi.
- Ca va tu habites pas très loin. Moi je viens de Paris !
- Cool ! Et alors, tu fais quoi comme études ?
- Je voudrais devenir prof.
- Prof de maths ?
- Non ! dit-elle en rigolant. Prof dans une école primaire. Maitresse d’école quoi !
- Oh… ça te va bien, dis-je. Tu as l’air très douce alors tu dois savoir t’y prendre avec les enfants.
Elle me remercie pour ce compliment et nous discutons comme ça pendant de longues minutes. Je suis surpris de trouver dans cette fille quelqu’un de profondément gentil et d’ouvert. J’apprends que la belle a 21 ans, qu’elle aime lire, qu’elle aime les fleurs, que étant petite elle rêvait de devenir mannequin mais qu’elle était beaucoup trop timide pour ça. Le courant passe vraiment bien entre nous, du moins c’est l’impression que j’ai. Alors que survient un blanc dans la conversation, elle soupire et je vois dans ses yeux cette lueur de tristesse que j’avais remarquée plus tôt dans la journée.
- En fait… commence-t-elle. C’est pas vraiment pour payer mes études ni pour mettre de l’argent de côté que je suis venu ici. Il fallait que je quitte Paris et que je change un peu d’air, que je m’occupe.
- Il s’est passé quelque chose ? demandé-je, inquiété par sa mine sombre.
- Tu vas peut-être trouver ça bête…
Je l’encourage du regard à poursuivre. Alors les yeux baissés, parfois larmoyants, elle me raconte comment elle a rencontré son ex-petit copain, les premiers temps de leur relation, les premières disputes jusqu’à ce qu’il la quitte pour une autre quelques mois auparavant. Elle m’explique comment cette rupture l’a anéantie, comment elle s’est isolée, éloignée de ses amies et de sa famille. Jusqu’à ce qu’elle décide de reprendre sa vie en main et qu’elle vienne travailler à l’hôtel pendant les vacances pour se changer les idées. Quand elle a fini, elle pousse un long soupir.
- Pfffffff… Je n’avais encore jamais pu me confier à quelqu’un… Ca fait un bien fou je me sens plus légère…
- Si ça a pu te soulager te parler alors je suis content, dis-je.
Elle me répond par un sourire radieux.
- Ca te dirait d’aller à la piscine maintenant ? enchaine-t-elle. Il commence à faire chaud et puis de toute façon, il ne faut pas rester trop longtemps dans un sauna !
- Bonne idée, je te suis ! réponds-je en me levant.
J’en oublie un détail : je suis nue comme un ver. Charlotte rougit et détourne pudiquement la tête en rigolant. Puis elle se lève à son tour et me fait signe de la suivre. Nous quittons le sauna. Je marche quelques pas derrière elle et, silencieusement, elle me guide à travers le dédale de couloirs. Nus dans cet endroit désert… J’admire la courbe de son dos, l’empreinte de sa colonne vertébrale qui descend harmonieusement jusqu’au début de ses jolies fesses. Plus bas, ses jambes fines de mannequin. Mon sexe commence à durcir et à se redresser. Merde ! Qu’est ce qu’elle va penser si elle se retourne maintenant ? J’essaye de penser à autre chose ce qui, croyez moi, est très difficile ! Mon sexe finit par retrouver sa taille normale, juste à temps. Nous arrivons en face d’une porte en verre, verrouillée. Charlotte rentre un code à 4 chiffres dans un petit boitier et la porte s’ouvre.
- Voilà la piscine ! dit-elle en tournant la tête vers moi. Par contre, je ne peux pas allumer la lumière, même avec le code.
La piscine est plutôt grande pour une piscine d’hôtel en intérieur. Et surtout, un des côtés de la pièce donne sur l’extérieur par une grande baie vitrée qui nous offre une vue sur un petit jardin plongé dans l’obscurité et surtout, qui laisse passer la lumière de la lune grâce à laquelle nous arrivons à voir où nous mettons les pieds. Toujours dos à moi, Charlotte s’avance, s’assoit au bord, les pieds dans l’eau puis se jette complètement dans un grand bruit d’éclaboussures. Elle fait quelques mouvements de brasse pour s’éloigner du bord puis se retourne vers moi :