15-01-2021, 05:43 PM
Ce doigt qui glissait en elle décuplait encore le plaisir que la bouche de Marina lui donnait. La jeune fille se glissa lentement en elle, savourant également cette caresse. Puis elle entama un langoureux va-et-vient, s’enfonçant toujours davantage dans le minou trempé. Les mains de Pauline s’étaient à nouveau crispées autour des draps. Ses reins se cambraient à nouveau tandis que les lèvres de Marina prenaient d’assaut son clitoris. La longue chevelure la jeune fille caressait l’intérieur de ses cuisses au rythme de la masturbation, rappelant à Pauline que c’était bien une fille qui lui donnait autant de plaisir.
Quand Pauline pensait qu’elle ne pouvait éprouver plus de plaisir, Marina glissa un 2e doigt au fond d’elle et fit sauter les dernières retenues de la jeune fille. Ce n’étaient des plus des gémissements et des râles de plaisir qu’émettait Pauline mais des cris à chaque fois que ces doigts s’enfonçaient en elle au même rythme que cette langue lapait son clitoris. Elle avait saisi un des coussins autour d’elle pour le plaquer contre sa bouche et étouffer ses cris. Si elle avait le même orgasme que la veille, toute la maison serait au courant de ce qui se passait dans cette chambre.
La respiration de Pauline s’accéléra. Elle tenta de reprendre pieds mais chaque vague qui remontait de son ventre la subjuguait.
-"Oh, mon Dieu…je crois…je crois que je vais jouir…"parvînt-elle à souffler entre deux cris.
-"Alors ne te retiens pas" lâcha Marina juste avant que sa bouche ne reprenne possession du clitoris de Pauline.
Comme si ces mots avaient libéré les dernières appréhensions de la jeune fille, elle sentit qu’elle ne contrôlait plus son plaisir. Chaque mouvement puissant des doigts de Marina en elle et de sa langue lui arrachait un cri plus fort, la faisait davantage frissonner. Une dernière vague électrique qui ébranla tout son corps eut raison d’elle.
-"Je viens…je vieeeeens…" avertit-elle avant de libérer son orgasme de sa gorge avec un grand cri.
Le coussin contre sa bouche fut salvateur. Le long cri de Pauline marqua le puissant orgasme que Marina lui donna. Tout le corps de la jeune fille fut secoué de spasmes. Son ventre était en feu tandis que Marina continuait d’aller et venir en elle, continuait de masser son clitoris gonflé. Son orgasme survînt en vagues lentes et successives, renouvelant le plaisir encore et encore et chacun accompagné d’un nouveau cri étouffé. Chaque orgasme tendait tout son corps, explosait dans sa tête pour en chasser toute pensée sinon l’extase due à cette langue.
Puis son corps s’était fatigué, n’avait pu endurer cela plus de quelques dizaines de secondes. Pauline était retombée dans les draps, haletante, tandis qu’elle repoussait le coussin de sa bouche. Marina l’avait libérée de son étreinte, le sourire aux lèvres, frémissant également d’excitation. Elle remonta le long du corps de Pauline, laissant ses mains le caresser tendrement, caresser ses cuisses tremblantes, son ventre en feu, sa poitrine durcie par le désir. Elle s’était allongée contre elle, à son côté. Elle laissa passer une minute, durant laquelle la respiration de Pauline s’apaisa.
-"Alors ? " interrogea-t-elle simplement.
-"Alors…c’était fantastique. " confessa Pauline. "Tu es sûre que tu ne l’as jamais fait avec une fille ? "
-"Idiote ! Tu es ma 1e." fit Marina avec une moue complice. "Mais c’est peut-être parce que je suis une fille exceptionnellement douée. "ajoute-t-elle par provocation.
-"Tu crois ? Il me semble que c’est à mon tour maintenant ! "
Sur ces mots, Pauline roula sur Marina et se retrouva au-dessus d’elle, ses genoux de chaque côté de la jeune fille. Marina la regardait avec un sourire provoquant. Pauline aimait cela et ne put résister à poser à nouveau sa bouche sur ses lèvres pulpeuses. Une fois de plus leurs langues se mêlèrent et la chaleur envahit le corps de Pauline. Les deux jeunes filles se serrèrent l’une contre l’autre, leurs poitrines s’écrasant délicieusement. Marina passa ses bras autour des hanches de Pauline et la serra contre elle tout en laissant danser sa langue avec la sienne. Pauline ronronna tout en gardant sa bouche contre celle de Marina. Ses reins se cambrèrent sous l’étreinte. Elle savoura de sentir les mains de Marina glisser sur ses fesses et les saisir, les masser, les écarter sensuellement. Elle sentait l’air passer contre son minou trempé et l’excitation remonta en flèche dans son corps.
Tout en continua de se serrer contre Marina, elle glissa contre son corps, laissa sa bouche descendre dans le cou de la jeune fille et sur sa poitrine. Le décalage de sensation que pouvait ressentir Pauline au début de ces câlins avec Marina, de ces 1eres caresses du corps d’une fille avait disparu avec son orgasme. Elle adorait cette peau, cette odeur et cela lui paraissait normal parce que c’était bon. C’était bon de saisir le sein de Marina dans sa bouche, d’en téter le téton avec désir. Elle aimait cela et il n’y avait que cela qui comptait en cet instant.
Ses lèvres pinçaient amoureusement le téton droit de Marina et elle se délectait des soupirs de sa partenaire. Elle aimait sentir son sein gauche enfermé dans sa main, à sa merci. Marina était soumise à ses caresses à présent. Elle avait un corps magnifique. Cette brune au teint bronzé, ce regard tendre et provoquant à la fois, cette odeur de monoï, de vanille. Elle était une fille mais Pauline était enivrée de promener sa bouche et ses mains sur son corps. Et elles étaient proches en cet instant, dans ce lit, complices dans la découverte et le désir de l’autre. Le ventre de Pauline se serrait à l’idée de donner du plaisir à cette Marina envoûtante, à celle qui avait aussi envoûté son frère bien-aimé.
Elle relâcha le sein de Marina presque à regret et glissa encore le long du corps de la jeune fille. Marina écartait doucement les cuisses pour laisser Pauline s’installer entre elles. Leurs corps se frottaient l’un à l’autre, se caressaient sensuellement. Les baisers de Pauline parcouraient le ventre de Marina, sa langue la goûtait. La jeune fille n’eut même pas une hésitation quand sa bouche passa sur le bas-ventre de Marina puis sur son pubis taillé court pour venir se loger dans son aine. La main de Marina vint se poser dans les cheveux de Pauline, comme pour l’encourager. Elle écarta encore les cuisses tandis que les mains de Pauline les caressaient sensuellement, remontant doucement entre elles.
-"J’aime ce que tu me fais…" soupira Marina, les yeux fermés.
-"J’aime ta peau, j’ai tellement envie de te goûter…" confessa Pauline, le ventre crispé de désir sauvage.
-"Je suis à toi…" souffla une Marina qui s’abandonnait réellement.
Le cœur de Pauline fit un bond et elle sourit contre la peau de Marina. Le plaisir la grisait. Tout comme l’abandon de sa partenaire. Elle laissa sa bouche glisser dans l’aine de Marina. Ses lèvres caressèrent l’intérieur de sa cuisse. Elle sentait Marina retenir son souffle au fur et à mesure qu’elle approchait de son joli minou. La jeune fille se sentait enivrée par le doux parfum du savon et du désir de Marina. Sans aucune autre pensée que celle du désir charnel brut, elle posa ses lèvres sur le sexe humide tant désiré.
Un courant électrique passa dans tout son corps quand elle réalisa une fraction de seconde qu’elle embrassait le sexe d’une autre fille, comme un courant de tabou qui se rompt, un courant qu’elle connaissait bien.
Puis ses baisers parcoururent les lèvres gonflées de Marina, les exploraient, les caressaient, goutant le jus de la jeune fille. Pauline fut surprise de découvrir un goût suave, presque sucré. Décidemment, Marina était superbe. Sans vouloir réprimer davantage le désir qu’elle éprouvait, Pauline laissa sa langue glisser le long de ces lèvres chéries. En entendant le long gémissement de Marina, elle s’enhardit encore. Ses mains se serraient autour des cuisses de la jeune fille et elle libéra sa langue sur le minou offert. Son désir augmentait avec celui que prenait Marina. Chaque fois que sa langue glissait sur ses lèvres, les gémissements à peine étouffés de la jeune fille la faisait trembler de plaisir.
Finalement, elle osa passer sa langue entre les lèvres trempées. Dans un long râle, Marina cambra ses reins et serra encore davantage la bouche de Pauline sur son sexe. Alors la jeune fille continua et s’enfonça encore plus en elle, explorant le plaisir qu’elle pouvait donner à une autre fille. Chaque mouvement de la langue de Pauline arrachait un nouveau gémissement à Marina si bien qu’elle du rapidement bâillonner sa bouche avec un des coussins.
Pauline savait maintenant comment sa partenaire aimait prendre du plaisir et elle laissa sa langue explorer tantôt sa grotte humide tantôt son bouton d’amour, se délectant de le titiller du bout de sa langue. Elle pouvait entendre les encouragements étouffés de Marina ainsi que la pression de sa main sur sa tête qui augmentait pour lui indiquer ce qu’elle aimait. Pauline se plut à faire durer le plaisir de sa partenaire, alternant des phases de caresses tendres et d’autres plus torrides, enfonçant sa langue au maximum en elle. Marina haletait et subissait avec délice cette douce torture. Ses reins ondulaient au rythme des caresses de Pauline.
Quand Pauline pensait qu’elle ne pouvait éprouver plus de plaisir, Marina glissa un 2e doigt au fond d’elle et fit sauter les dernières retenues de la jeune fille. Ce n’étaient des plus des gémissements et des râles de plaisir qu’émettait Pauline mais des cris à chaque fois que ces doigts s’enfonçaient en elle au même rythme que cette langue lapait son clitoris. Elle avait saisi un des coussins autour d’elle pour le plaquer contre sa bouche et étouffer ses cris. Si elle avait le même orgasme que la veille, toute la maison serait au courant de ce qui se passait dans cette chambre.
La respiration de Pauline s’accéléra. Elle tenta de reprendre pieds mais chaque vague qui remontait de son ventre la subjuguait.
-"Oh, mon Dieu…je crois…je crois que je vais jouir…"parvînt-elle à souffler entre deux cris.
-"Alors ne te retiens pas" lâcha Marina juste avant que sa bouche ne reprenne possession du clitoris de Pauline.
Comme si ces mots avaient libéré les dernières appréhensions de la jeune fille, elle sentit qu’elle ne contrôlait plus son plaisir. Chaque mouvement puissant des doigts de Marina en elle et de sa langue lui arrachait un cri plus fort, la faisait davantage frissonner. Une dernière vague électrique qui ébranla tout son corps eut raison d’elle.
-"Je viens…je vieeeeens…" avertit-elle avant de libérer son orgasme de sa gorge avec un grand cri.
Le coussin contre sa bouche fut salvateur. Le long cri de Pauline marqua le puissant orgasme que Marina lui donna. Tout le corps de la jeune fille fut secoué de spasmes. Son ventre était en feu tandis que Marina continuait d’aller et venir en elle, continuait de masser son clitoris gonflé. Son orgasme survînt en vagues lentes et successives, renouvelant le plaisir encore et encore et chacun accompagné d’un nouveau cri étouffé. Chaque orgasme tendait tout son corps, explosait dans sa tête pour en chasser toute pensée sinon l’extase due à cette langue.
Puis son corps s’était fatigué, n’avait pu endurer cela plus de quelques dizaines de secondes. Pauline était retombée dans les draps, haletante, tandis qu’elle repoussait le coussin de sa bouche. Marina l’avait libérée de son étreinte, le sourire aux lèvres, frémissant également d’excitation. Elle remonta le long du corps de Pauline, laissant ses mains le caresser tendrement, caresser ses cuisses tremblantes, son ventre en feu, sa poitrine durcie par le désir. Elle s’était allongée contre elle, à son côté. Elle laissa passer une minute, durant laquelle la respiration de Pauline s’apaisa.
-"Alors ? " interrogea-t-elle simplement.
-"Alors…c’était fantastique. " confessa Pauline. "Tu es sûre que tu ne l’as jamais fait avec une fille ? "
-"Idiote ! Tu es ma 1e." fit Marina avec une moue complice. "Mais c’est peut-être parce que je suis une fille exceptionnellement douée. "ajoute-t-elle par provocation.
-"Tu crois ? Il me semble que c’est à mon tour maintenant ! "
Sur ces mots, Pauline roula sur Marina et se retrouva au-dessus d’elle, ses genoux de chaque côté de la jeune fille. Marina la regardait avec un sourire provoquant. Pauline aimait cela et ne put résister à poser à nouveau sa bouche sur ses lèvres pulpeuses. Une fois de plus leurs langues se mêlèrent et la chaleur envahit le corps de Pauline. Les deux jeunes filles se serrèrent l’une contre l’autre, leurs poitrines s’écrasant délicieusement. Marina passa ses bras autour des hanches de Pauline et la serra contre elle tout en laissant danser sa langue avec la sienne. Pauline ronronna tout en gardant sa bouche contre celle de Marina. Ses reins se cambrèrent sous l’étreinte. Elle savoura de sentir les mains de Marina glisser sur ses fesses et les saisir, les masser, les écarter sensuellement. Elle sentait l’air passer contre son minou trempé et l’excitation remonta en flèche dans son corps.
Tout en continua de se serrer contre Marina, elle glissa contre son corps, laissa sa bouche descendre dans le cou de la jeune fille et sur sa poitrine. Le décalage de sensation que pouvait ressentir Pauline au début de ces câlins avec Marina, de ces 1eres caresses du corps d’une fille avait disparu avec son orgasme. Elle adorait cette peau, cette odeur et cela lui paraissait normal parce que c’était bon. C’était bon de saisir le sein de Marina dans sa bouche, d’en téter le téton avec désir. Elle aimait cela et il n’y avait que cela qui comptait en cet instant.
Ses lèvres pinçaient amoureusement le téton droit de Marina et elle se délectait des soupirs de sa partenaire. Elle aimait sentir son sein gauche enfermé dans sa main, à sa merci. Marina était soumise à ses caresses à présent. Elle avait un corps magnifique. Cette brune au teint bronzé, ce regard tendre et provoquant à la fois, cette odeur de monoï, de vanille. Elle était une fille mais Pauline était enivrée de promener sa bouche et ses mains sur son corps. Et elles étaient proches en cet instant, dans ce lit, complices dans la découverte et le désir de l’autre. Le ventre de Pauline se serrait à l’idée de donner du plaisir à cette Marina envoûtante, à celle qui avait aussi envoûté son frère bien-aimé.
Elle relâcha le sein de Marina presque à regret et glissa encore le long du corps de la jeune fille. Marina écartait doucement les cuisses pour laisser Pauline s’installer entre elles. Leurs corps se frottaient l’un à l’autre, se caressaient sensuellement. Les baisers de Pauline parcouraient le ventre de Marina, sa langue la goûtait. La jeune fille n’eut même pas une hésitation quand sa bouche passa sur le bas-ventre de Marina puis sur son pubis taillé court pour venir se loger dans son aine. La main de Marina vint se poser dans les cheveux de Pauline, comme pour l’encourager. Elle écarta encore les cuisses tandis que les mains de Pauline les caressaient sensuellement, remontant doucement entre elles.
-"J’aime ce que tu me fais…" soupira Marina, les yeux fermés.
-"J’aime ta peau, j’ai tellement envie de te goûter…" confessa Pauline, le ventre crispé de désir sauvage.
-"Je suis à toi…" souffla une Marina qui s’abandonnait réellement.
Le cœur de Pauline fit un bond et elle sourit contre la peau de Marina. Le plaisir la grisait. Tout comme l’abandon de sa partenaire. Elle laissa sa bouche glisser dans l’aine de Marina. Ses lèvres caressèrent l’intérieur de sa cuisse. Elle sentait Marina retenir son souffle au fur et à mesure qu’elle approchait de son joli minou. La jeune fille se sentait enivrée par le doux parfum du savon et du désir de Marina. Sans aucune autre pensée que celle du désir charnel brut, elle posa ses lèvres sur le sexe humide tant désiré.
Un courant électrique passa dans tout son corps quand elle réalisa une fraction de seconde qu’elle embrassait le sexe d’une autre fille, comme un courant de tabou qui se rompt, un courant qu’elle connaissait bien.
Puis ses baisers parcoururent les lèvres gonflées de Marina, les exploraient, les caressaient, goutant le jus de la jeune fille. Pauline fut surprise de découvrir un goût suave, presque sucré. Décidemment, Marina était superbe. Sans vouloir réprimer davantage le désir qu’elle éprouvait, Pauline laissa sa langue glisser le long de ces lèvres chéries. En entendant le long gémissement de Marina, elle s’enhardit encore. Ses mains se serraient autour des cuisses de la jeune fille et elle libéra sa langue sur le minou offert. Son désir augmentait avec celui que prenait Marina. Chaque fois que sa langue glissait sur ses lèvres, les gémissements à peine étouffés de la jeune fille la faisait trembler de plaisir.
Finalement, elle osa passer sa langue entre les lèvres trempées. Dans un long râle, Marina cambra ses reins et serra encore davantage la bouche de Pauline sur son sexe. Alors la jeune fille continua et s’enfonça encore plus en elle, explorant le plaisir qu’elle pouvait donner à une autre fille. Chaque mouvement de la langue de Pauline arrachait un nouveau gémissement à Marina si bien qu’elle du rapidement bâillonner sa bouche avec un des coussins.
Pauline savait maintenant comment sa partenaire aimait prendre du plaisir et elle laissa sa langue explorer tantôt sa grotte humide tantôt son bouton d’amour, se délectant de le titiller du bout de sa langue. Elle pouvait entendre les encouragements étouffés de Marina ainsi que la pression de sa main sur sa tête qui augmentait pour lui indiquer ce qu’elle aimait. Pauline se plut à faire durer le plaisir de sa partenaire, alternant des phases de caresses tendres et d’autres plus torrides, enfonçant sa langue au maximum en elle. Marina haletait et subissait avec délice cette douce torture. Ses reins ondulaient au rythme des caresses de Pauline.