11-01-2021, 07:49 PM
Les baisers de Marina descendirent encore sur son corps. Ils accompagnaient ses caresses sur son ventre puis glissèrent sur son bas-ventre, sur le haut de sa cuisse tandis que les mains de Marina écartaient tendrement ses cuisses. Soumise, Pauline la laissait disposer de son corps. Elle gémit de plaisir en sentant la bouche chaude passer sur son aine et le haut de sa cuisse. Marina était passée entre ses cuisses, agenouillée. Elle avait relevé l’une des cuisses de Pauline et promenait sa bouche tout son long jusqu’au genou. Sa main gauche remonta l’autre cuisse dans une caresse sensuelle qui se glissait encore et encore vers son sexe trempé.
Le ventre de Pauline s’était crispé, son souffle se faisait court. Elle semblait attendre. Qu’allait-elle ressentir quand la main d’une autre fille viendrait se poser entre ses cuisses, quand elle viendrait caresser son minou ? Elle était déjà dans un tel état d’excitation et redoutait de perdre le peu de contrôle qui lui restait. Pourtant, les doigts de Marina remontaient encore et encore, glissaient à l’intérieur de sa cuisse, la massaient en même temps. Et cette bouche chaude sur son autre jambe la rendait ivre de plaisir. Bon sang, elle voulait plus ! Elle voulait que Marina la prenne. Elle la voulait, elle, maintenant. Et ses vœux furent exaucés quand la main de Marina rencontra ses lèvres humides.
Marina était aussi à fleur de peau. Toucher le sexe d’une fille pour la 1e fois la rendait folle d’excitation. Ses doigts vinrent s’écraser contre les lèvres douces et chaudes de Pauline. Elle les caressa, remonta vers le clitoris sensible et recommença encore et encore, toujours plus hardie. Chaque caresse arrachait un râle de plaisir à Pauline. Sentir cette main contre son minou, qui la caressait, la découvrait la rendait folle. Elle pouvait sentir les doigts glisser un peu entre ses lèvres trop trempées pour les retenir mais ne pas encore oser aller plus loin. C’était un délice.
Puis son ventre se serra à nouveau en sentant la bouche de Marina qui remontait sa cuisse à son tour, baissant sa jambe au fur et à mesure que la jeune fille se penchait entre ses cuisses. Sentir cette main entre ses cuisses était déjà si intense. Comment allait être cette bouche ? Les lèvres de Marina…chaudes…qui remontaient sa cuisse…allait bientôt…s’emparer de son minou…Pauline sentait qu’elle s’abandonnait, corps et âme, qu’elle subissait les caresses de Marina sur son corps et se livrait à elle en toute confiance.
La bouche de Marina était arrivée en haut de sa cuisse. Elle pouvait sentir le souffle chaud de sa bouche contre son sexe. Son cœur battait à sortir de sa poitrine. Marina semblait ne pas oser puis succomba au désir. Pauline sentit sa bouche se poser sur ses lèvres, venir les embrasser d’abord timidement puis avec passion. Marina parcourait ses lèvres de baisers torrides. Puis elle sentit sa bouche s’entre-ouvrir et sa langue remonter le long de ses lèvres. Pauline se sentit littéralement couler contre la bouche de sa partenaire. Elle ne put réprimer un long et puissant gémissement tandis qu’elle se cambrait doucement.
-"Mmmmmh….c’est si boooon…encoooore…" parvint-elle à articuler, les yeux toujours fermés.
Comme pour lui obéir, Marina libéra sa langue sur son minou, lapant sensuellement ses lèvres, les remontant doucement pour venir effleurer du bout de la langue son clitoris gonflé. Pauline tressaillait à chaque fois. La bouche de Marina se serrait davantage sur le sexe trempé de la jeune fille. Ses mains se refermaient sur les hanches de Pauline, caressaient son ventre tendrement tandis que sa langue découvrait toujours plus de la jeune fille.
Encouragée par les gémissements de Pauline, Marina glissa sa langue entre ses lèvres. Comme pour répondre à cette nouvelle caresse, les reins de Pauline se cambrèrent tandis qu’elle étouffa un long gémissement en fermant la bouche. Elle sentait la langue exploratrice de Marina glisser en elle, allant et venant, toujours plus loin en elle. Heureusement que Marina la retenait contre sa bouche car, sous l’effet de l’excitation, Pauline avait du mal à contrôler ses hanches.
Dans des moments de lucidité, la jeune fille était étonnée de ressentir de telles choses. C’était comme si c’était son premier cunnilingus, comme si Tom ne l’avait jamais embrassée ici, jamais explorée de sa langue, jamais faite jouir encore et encore. Marina était comme sa 1er partenaire, effaçant le reste. Il était évident qu’elle n’avait pas une technique supérieure à celle de Tom, étant également sa 1e expérience lesbienne. Pourtant, cette technique était différente, à l’instar de ses caresses et de ses baisers. Elle la goûtait, la découvrait tout en cherchant à lui donner le maximum de plaisir. Il était également certain que Marina se basait sur son expérience pour savoir comment la stimuler. Et tout cela donnait des sensations nouvelles, intenses, terriblement érotiques.
Pauline avait encore écarté ses cuisses et sa main avait quitté les draps pour venir s’enfouir dans les cheveux de la belle brune entre ses jambes. Marina suivait le rythme des ondulations du bassin de Pauline. Sa bouche épousait les lèvres gonflées de sa partenaire pour l’explorer et s’enivrer du goût d’une fille, du pouvoir de l’excitation suscitée sur elle. Puis elle la relâchait pour venir caresser à nouveau ses lèvres de sa langue et prendre soin de ce clitoris si réactif. Les gémissements de Pauline changeaient et se faisaient plus intenses quand Marina venait le titiller, le sucer.
Pauline était surprise de la technique de Marina et du plaisir qu’elle arrivait à lui donner et se laissait enivrer par lui, gémissant encore et encore, laissant ses doigts tremblants caresser son corps. Ouvrant à peine les yeux, elle avait croisé le regard de Tom qui assistait silencieusement à la scène depuis un coin de la chambre. Elle se mordit la lèvre pour lui communiquer le plaisir qu’elle prenait, avant refermer les yeux et de se laisser aller encore davantage aux délices de cette langue entre ses cuisses, de glisser doucement dans la ouate du plaisir charnel.
Dans les nimbes de ce plaisir, elle sentit à peine l’étreinte de Marina se desserrer autour de sa hanche et l’une de ses mains glisser entre ses cuisses. Pourtant, une nouvelle vague de sensation crispa son ventre et remonta dans son dos quand elle sentit un doigt se glisser lentement entre ses lèvres.
-"Mmmmmmmh…ooooooh…" fut tout ce que Pauline put articuler à la découverte de cette nouvelle caresse.136
Le ventre de Pauline s’était crispé, son souffle se faisait court. Elle semblait attendre. Qu’allait-elle ressentir quand la main d’une autre fille viendrait se poser entre ses cuisses, quand elle viendrait caresser son minou ? Elle était déjà dans un tel état d’excitation et redoutait de perdre le peu de contrôle qui lui restait. Pourtant, les doigts de Marina remontaient encore et encore, glissaient à l’intérieur de sa cuisse, la massaient en même temps. Et cette bouche chaude sur son autre jambe la rendait ivre de plaisir. Bon sang, elle voulait plus ! Elle voulait que Marina la prenne. Elle la voulait, elle, maintenant. Et ses vœux furent exaucés quand la main de Marina rencontra ses lèvres humides.
Marina était aussi à fleur de peau. Toucher le sexe d’une fille pour la 1e fois la rendait folle d’excitation. Ses doigts vinrent s’écraser contre les lèvres douces et chaudes de Pauline. Elle les caressa, remonta vers le clitoris sensible et recommença encore et encore, toujours plus hardie. Chaque caresse arrachait un râle de plaisir à Pauline. Sentir cette main contre son minou, qui la caressait, la découvrait la rendait folle. Elle pouvait sentir les doigts glisser un peu entre ses lèvres trop trempées pour les retenir mais ne pas encore oser aller plus loin. C’était un délice.
Puis son ventre se serra à nouveau en sentant la bouche de Marina qui remontait sa cuisse à son tour, baissant sa jambe au fur et à mesure que la jeune fille se penchait entre ses cuisses. Sentir cette main entre ses cuisses était déjà si intense. Comment allait être cette bouche ? Les lèvres de Marina…chaudes…qui remontaient sa cuisse…allait bientôt…s’emparer de son minou…Pauline sentait qu’elle s’abandonnait, corps et âme, qu’elle subissait les caresses de Marina sur son corps et se livrait à elle en toute confiance.
La bouche de Marina était arrivée en haut de sa cuisse. Elle pouvait sentir le souffle chaud de sa bouche contre son sexe. Son cœur battait à sortir de sa poitrine. Marina semblait ne pas oser puis succomba au désir. Pauline sentit sa bouche se poser sur ses lèvres, venir les embrasser d’abord timidement puis avec passion. Marina parcourait ses lèvres de baisers torrides. Puis elle sentit sa bouche s’entre-ouvrir et sa langue remonter le long de ses lèvres. Pauline se sentit littéralement couler contre la bouche de sa partenaire. Elle ne put réprimer un long et puissant gémissement tandis qu’elle se cambrait doucement.
-"Mmmmmh….c’est si boooon…encoooore…" parvint-elle à articuler, les yeux toujours fermés.
Comme pour lui obéir, Marina libéra sa langue sur son minou, lapant sensuellement ses lèvres, les remontant doucement pour venir effleurer du bout de la langue son clitoris gonflé. Pauline tressaillait à chaque fois. La bouche de Marina se serrait davantage sur le sexe trempé de la jeune fille. Ses mains se refermaient sur les hanches de Pauline, caressaient son ventre tendrement tandis que sa langue découvrait toujours plus de la jeune fille.
Encouragée par les gémissements de Pauline, Marina glissa sa langue entre ses lèvres. Comme pour répondre à cette nouvelle caresse, les reins de Pauline se cambrèrent tandis qu’elle étouffa un long gémissement en fermant la bouche. Elle sentait la langue exploratrice de Marina glisser en elle, allant et venant, toujours plus loin en elle. Heureusement que Marina la retenait contre sa bouche car, sous l’effet de l’excitation, Pauline avait du mal à contrôler ses hanches.
Dans des moments de lucidité, la jeune fille était étonnée de ressentir de telles choses. C’était comme si c’était son premier cunnilingus, comme si Tom ne l’avait jamais embrassée ici, jamais explorée de sa langue, jamais faite jouir encore et encore. Marina était comme sa 1er partenaire, effaçant le reste. Il était évident qu’elle n’avait pas une technique supérieure à celle de Tom, étant également sa 1e expérience lesbienne. Pourtant, cette technique était différente, à l’instar de ses caresses et de ses baisers. Elle la goûtait, la découvrait tout en cherchant à lui donner le maximum de plaisir. Il était également certain que Marina se basait sur son expérience pour savoir comment la stimuler. Et tout cela donnait des sensations nouvelles, intenses, terriblement érotiques.
Pauline avait encore écarté ses cuisses et sa main avait quitté les draps pour venir s’enfouir dans les cheveux de la belle brune entre ses jambes. Marina suivait le rythme des ondulations du bassin de Pauline. Sa bouche épousait les lèvres gonflées de sa partenaire pour l’explorer et s’enivrer du goût d’une fille, du pouvoir de l’excitation suscitée sur elle. Puis elle la relâchait pour venir caresser à nouveau ses lèvres de sa langue et prendre soin de ce clitoris si réactif. Les gémissements de Pauline changeaient et se faisaient plus intenses quand Marina venait le titiller, le sucer.
Pauline était surprise de la technique de Marina et du plaisir qu’elle arrivait à lui donner et se laissait enivrer par lui, gémissant encore et encore, laissant ses doigts tremblants caresser son corps. Ouvrant à peine les yeux, elle avait croisé le regard de Tom qui assistait silencieusement à la scène depuis un coin de la chambre. Elle se mordit la lèvre pour lui communiquer le plaisir qu’elle prenait, avant refermer les yeux et de se laisser aller encore davantage aux délices de cette langue entre ses cuisses, de glisser doucement dans la ouate du plaisir charnel.
Dans les nimbes de ce plaisir, elle sentit à peine l’étreinte de Marina se desserrer autour de sa hanche et l’une de ses mains glisser entre ses cuisses. Pourtant, une nouvelle vague de sensation crispa son ventre et remonta dans son dos quand elle sentit un doigt se glisser lentement entre ses lèvres.
-"Mmmmmmmh…ooooooh…" fut tout ce que Pauline put articuler à la découverte de cette nouvelle caresse.136