10-01-2021, 05:34 AM
(Modification du message : 18-10-2022, 04:20 PM par fablelionsilencieux.)
Deuxième coureur,
Dans un slasher hollywoodien, le joggeur androgyne, maigrichon et potentiellement faible dans le parc déserté dont il ne sort pas vivant, c’est un scénario vraiment trop rebattu, mais on n’est pas aux Etats-Unis, puis s’il me manque bien quelques centimètres en hauteur, je suis un mec, un vrai ! Check rapide de la main sur mes attributs… Yep ! Tout est bien en place, confortablement calé dans un sous-vêtement adapté à la course, mais c’est important, hein ! Si le matériel balance trop librement, ça finit par irriter localement et ensuite, même la plus douce des caresses me met la grimace… Résultat, Jonah est brimé, je suis brimé, on se résout à mater un film, où une joggeuse trottine dans un parc au crépuscule, trébuche bêtement sur un caillou et… Bref, la soirée est pourrie.
'Encore cent mètres et je ralentis, toujours finir au pas' me suis-je dit en approchant du tunnel piétonnier sous l’avenue.
J’y ai directement remarqué le SUV stationné en sens inverse, hayon levé, avec ce mec qui fait de grands gestes du bras gauche, le droit posé dans une atèle.
- J’ai besoin d’un coup de main, tu peux te servir des deux, toi.
- Putain, mec, tu sais pas qu’il ne faut jamais arrêter un joggeur ? Enfin bon, c’est quoi, le problème ?" ai-je soufflé, ma grogne vite radoucie à la vue de la belle bête, la petite trentaine, la barbe de trois jours, près des deux mètres et du quintal de testostérone… Sauf que j’ai plus rien dans les jambes, là.
- Il y a un truc qui brimballe à l’arrière, tu peux m’aider à le fixer ?
- OK", ai-je soupiré, avant d’avancer vers le coffre ouvert, pour y découvrir la banquette rabattue, et un espace entièrement vide. "Qu’est-ce que…".
Une main s’est posée sur ma nuque et m’a écrasé le torse sur la moquette, et la seconde, décidément bien valide, a fait glisser mon pantalon de survêt’.
- Un jockstrap ? Avec la douce odeur de transpiration, c’est juste un appel au viol, ça" a-t-il grogné en poussant un doigt intrusif entre mes fesses, très vite remplacé par une autre partie de son anatomie, qu’en à peine quelques mouvements, il avait entièrement enfoncé, malgré mes cris, mes gémissements et mes 'Non, pitié, pas ça' pathétiques qui semblaient juste l’exciter encore plus.
Après trois… cinq minutes – comment dire ? – de ce traitement, sa main qui me muselait m’a fait me redresser à quarante-cinq degrés, j’ai pu porter la mienne à mon membre douloureusement dressé pour le libérer et entamer des gestes rapides qui m’ont étonnamment vite amené à la jouissance…
- Les véhicules sont interdits dans le parc" a crié une voix assez loin derrière nous, "et aussi ce que vous êtes en train de faire, pas de ça dans… Woputain ! Marcel, c’est des mecs, en plus"
On s’est retourné sur deux ouvriers communaux éberlués, armés d’un balai et d’un râteau.
- Avance, rentre dans la voiture, on se tire, magne !" a dit Jonah, avant de claquer le hayon et de se précipiter au volant, pour démarrer dans une volée de graviers.
- Eh ben, c’était chaud ! La mise en scène t’a plu ? Dis, euh… Je t’ai pas fait trop mal ? C’était méchamment serré au début, mais tu as une maîtrise de ton corps qui m’étonne chaque fois, ton sphincter est ton deuxième muscle que tu domines le mieux sur ton petit corps malingre.
- Tu le kiffes assez, je pense. Puis vingt kilos de plus, et même toi, tu ne pourrais plus me caler le dos au mur et me bourriner debout. Oh ! Et aussi, je vois à quoi tu penses pour le premier, mais c’est pas un muscle, techniquement. Si j’avais su que c’était pour aujourd’hui, j’aurais prévu un truc, mais d’habitude, je ne cours pas avec un butt-plug. Après, c’est bon, j’ai eu le temps de me faire plaisir, t’inquiète.
- Moi pas, a-t-il gémi, "Ils nous a interrompus trop tôt… Tu me suces ?"
- Jonah, pas pendant que tu conduis ! Puis t’avais pas de capote, c’est pas trop appétissant, là. Mais sitôt rentrés à l’appart', je file sous la douche et on peut se faire un film, disons… la scène de Psycho, tu m’y rejoins et tu pourras me poignarder aussi sauvagement que Norman Bates.
- Bon plan, a-t-il grimacé. "Tu auras rechargé ? J’aime bien voir ton plaisir… physiquement, quoi"
- Comme tu as dit, j’ai une excellente maîtrise de mon corps, et des réserves presque inépuisables. Mais sinon, le problème à ta caisse et le bras en atèle… Ted Bundy, sérieux ?
- Ben, tu kiffes les jeux de rôle, non ?
- Ouais mais bon, si on se refait les serial killers célèbres, épargne-moi au moins John Wayne Gacy, je déteste les clowns.
- Tu veux un animal en baudruche, mon petit garçon ?
Dans un slasher hollywoodien, le joggeur androgyne, maigrichon et potentiellement faible dans le parc déserté dont il ne sort pas vivant, c’est un scénario vraiment trop rebattu, mais on n’est pas aux Etats-Unis, puis s’il me manque bien quelques centimètres en hauteur, je suis un mec, un vrai ! Check rapide de la main sur mes attributs… Yep ! Tout est bien en place, confortablement calé dans un sous-vêtement adapté à la course, mais c’est important, hein ! Si le matériel balance trop librement, ça finit par irriter localement et ensuite, même la plus douce des caresses me met la grimace… Résultat, Jonah est brimé, je suis brimé, on se résout à mater un film, où une joggeuse trottine dans un parc au crépuscule, trébuche bêtement sur un caillou et… Bref, la soirée est pourrie.
'Encore cent mètres et je ralentis, toujours finir au pas' me suis-je dit en approchant du tunnel piétonnier sous l’avenue.
J’y ai directement remarqué le SUV stationné en sens inverse, hayon levé, avec ce mec qui fait de grands gestes du bras gauche, le droit posé dans une atèle.
- J’ai besoin d’un coup de main, tu peux te servir des deux, toi.
- Putain, mec, tu sais pas qu’il ne faut jamais arrêter un joggeur ? Enfin bon, c’est quoi, le problème ?" ai-je soufflé, ma grogne vite radoucie à la vue de la belle bête, la petite trentaine, la barbe de trois jours, près des deux mètres et du quintal de testostérone… Sauf que j’ai plus rien dans les jambes, là.
- Il y a un truc qui brimballe à l’arrière, tu peux m’aider à le fixer ?
- OK", ai-je soupiré, avant d’avancer vers le coffre ouvert, pour y découvrir la banquette rabattue, et un espace entièrement vide. "Qu’est-ce que…".
Une main s’est posée sur ma nuque et m’a écrasé le torse sur la moquette, et la seconde, décidément bien valide, a fait glisser mon pantalon de survêt’.
- Un jockstrap ? Avec la douce odeur de transpiration, c’est juste un appel au viol, ça" a-t-il grogné en poussant un doigt intrusif entre mes fesses, très vite remplacé par une autre partie de son anatomie, qu’en à peine quelques mouvements, il avait entièrement enfoncé, malgré mes cris, mes gémissements et mes 'Non, pitié, pas ça' pathétiques qui semblaient juste l’exciter encore plus.
Après trois… cinq minutes – comment dire ? – de ce traitement, sa main qui me muselait m’a fait me redresser à quarante-cinq degrés, j’ai pu porter la mienne à mon membre douloureusement dressé pour le libérer et entamer des gestes rapides qui m’ont étonnamment vite amené à la jouissance…
- Les véhicules sont interdits dans le parc" a crié une voix assez loin derrière nous, "et aussi ce que vous êtes en train de faire, pas de ça dans… Woputain ! Marcel, c’est des mecs, en plus"
On s’est retourné sur deux ouvriers communaux éberlués, armés d’un balai et d’un râteau.
- Avance, rentre dans la voiture, on se tire, magne !" a dit Jonah, avant de claquer le hayon et de se précipiter au volant, pour démarrer dans une volée de graviers.
- Eh ben, c’était chaud ! La mise en scène t’a plu ? Dis, euh… Je t’ai pas fait trop mal ? C’était méchamment serré au début, mais tu as une maîtrise de ton corps qui m’étonne chaque fois, ton sphincter est ton deuxième muscle que tu domines le mieux sur ton petit corps malingre.
- Tu le kiffes assez, je pense. Puis vingt kilos de plus, et même toi, tu ne pourrais plus me caler le dos au mur et me bourriner debout. Oh ! Et aussi, je vois à quoi tu penses pour le premier, mais c’est pas un muscle, techniquement. Si j’avais su que c’était pour aujourd’hui, j’aurais prévu un truc, mais d’habitude, je ne cours pas avec un butt-plug. Après, c’est bon, j’ai eu le temps de me faire plaisir, t’inquiète.
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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