08-01-2021, 08:40 AM
(Modification du message : 18-10-2022, 04:20 PM par fablelionsilencieux.)
Premier coureur,
Peu après le retour à la paix dans les années 1950, Jonnass KARLSSON a été nommé vice-consul du royaume de Suède en poste à Paris. Bien sûr, il avait connu Raoul Nordling qui joua un si grand rôle en août 1944. Il avait donc emménagé rue Gazan, dans le XIVe arrondissement, dans un petit hôtel particulier face au Parc Montsouris. Son épouse, Mariata Voïvodescu, d'origine princière de Roumanie, rencontrée en 1930 à un congrès médical à Bucarest, est très avancée dans les recherches sur l'embryon et surtout la fécondation multiple de l'ovule chez les mammifères. Elle continue de s'y consacrer dans le célèbre labo d'un institut parisien renommé.
Piotr, leur grand fils sorti de l'adolescence, a pu s'inscrire à la fac de droit dans le Ve près du Panthéon. Très sportif, élancé, au "pelage" blond en brosse, visage assez fin et grands yeux bleus, la seule chose toute noire qu'il porte sur sa personne -reste maternel- n'est pas visible habituellement en conditions normales. Seul leur médecin de famille a pu observer cette particularité en vérifiant si "tout allait bien de ce côté-là!"
Ce dimanche matin de printemps, par un temps idéal, Piotr franchit le petit portail du parc face à son domicile. Un léger sac de toile en bandoulière porte une petite gourde : il faut bien songer à s'hydrater, comme le lui rappelait sa maman. Il porte un short plutôt ample qui permet un mouvement quelque peu régulier de ses "attributs personnels" car Dame Nature ne l'avait pas oublié en distribuant ses cadeaux.
Le voilà donc parti au pas de course en prenant la droite de l'allée secondaire parallèle à la rue. Il atteint le lac et s'engage sur le chemin longeant la pièce d'eau. Mais voilà : d'autres garçons en tenue de gymnastique font une pause près du théâtre de guignol inoccupé à cette heure matinale. Est-ce le mouvement des "petites choses" de Piotr? Son aspect général de "BG"? Toujours est-il que les deux gars reprennent leur course à sa suite, à environ une vingtaine de mètres.
Furtivement, arrivé près de la cascade où des marches de ciment permettent de gravir le dénivelé, Piotr se retourne et aperçoit ses deux poursuivants. Il continue maintenant en longeant la ligne de chemin de fer dite "de Sceaux" en tranchée à la station "Cité Universitaire". Et voilà qu'un troisième garçon, pas mal fait non plus, prend sa course en se joignant aux deux poursuivants. «Décidément, pense Piotr, j'ai du succès ce matin. Et puis, ils ne sont pas vilains du tout ces trois-là. Mhhh, j'ai une idée : on va bien voir ce qu'ils me veulent et ce que ça va donner.»
Le jeune étudiant avait eu le temps, depuis au moins deux ans, d'explorer les environs. Il savait où trouver des coins tranquilles derrière la Maison Internationale, de l'autre côté du Boulevard Jourdan, dans l'enceinte de la Cité Universitaire.
Aucune auto ne passant à ce moment, il sort du parc et, sans coup férir toujours au pas de course, pénètre dans le domaine estudiantin. Il prend à droite, toujours suivi des trois autres gaillards à petite distance. De là, il se dirige en petites foulées sur les pelouse du jardin, vers la cheminée d'aération pour le tunnel ferroviaire joignant les stations de Gentilly et celle nommée précédemment. Il sait que le solide grillage obturant le large conduit est entouré d'une très épaisse haie de thuyas, isolant des regards cet utile aérateur : lors du passage d'un train au-dessous, un courant d'air sort en force puis, après son passage, une aspiration procure d'étranges sensations.
Piotr pénètre donc en se baissant et attend cinq ou six secondes. Il voit alors se profiler la partie supérieure du premier poursuivant, légèrement interloqué ; le second suit et enfin le troisième. Piotr leur sourit largement. À ce moment, un train passe et les shorts des garçons en sont tout agités...et pas seulement les shorts mais encore leurs contenus! L'aspiration qui s'ensuit les fait frissonner. Sans se départir, Piotr passe les bras autour du cou de deux d'entre eux et avance la tête vers celle du gars à sa gauche. Un solide baiser commence la fête ; puis celui de droite a droit au même cadeau. Quant au troisième, en plus du bisou, il est gratifié d'une caresse bien douce quelque part sous la ceinture de sa "culotte de sport." Des mains s'aventurent alors autour de la taille des garçons, s'ingéniant à un abaissement synchronisé de ce qui cachait encore pour quelques dixièmes de secondes le plus joli spectacle que Piotr attendait depuis longtemps. Ah, mes aïeux! Quelle...tournée générale! On se "bouche", on s'abouche et même on forme ...une chaîne, un peu comme pour les chaises musicale où celui qui est en tête de file passe, si j'ose dire, en queue à chaque courant d'air d'une rame du métro et ainsi de suite une bonne dizaine de fois. Comme cela, pas de jaloux et chacun en profite tout à son aise. Enfin, après une bonne heure de ce régime, un peu fourbus quand même et aussi très satisfaits, tels les Trois Mousquetaires qui étaient quatre, les garçons recueillent les reliquats de leurs ébats dans leurs mouchoirs, reprennent leurs légers vêtements et conviennent de se retrouver le samedi suivant au même endroit.
En repartant vers le Parc Montsouris, Piotr révèle alors à ses nouveaux camarades de plaisir que sa mère étudie les relations de multiples spermatozoïdes sur un seul ovule et leur dit, en forme de plaisanterie, qu'ils viennent d'en expérimenter les formes les plus évoluées. Et il conclut, dans un grand éclat de rire au moment de se séparer, qu'il en communiquerait les résultats prochainement à l'Académie des Sciences.
Peu après le retour à la paix dans les années 1950, Jonnass KARLSSON a été nommé vice-consul du royaume de Suède en poste à Paris. Bien sûr, il avait connu Raoul Nordling qui joua un si grand rôle en août 1944. Il avait donc emménagé rue Gazan, dans le XIVe arrondissement, dans un petit hôtel particulier face au Parc Montsouris. Son épouse, Mariata Voïvodescu, d'origine princière de Roumanie, rencontrée en 1930 à un congrès médical à Bucarest, est très avancée dans les recherches sur l'embryon et surtout la fécondation multiple de l'ovule chez les mammifères. Elle continue de s'y consacrer dans le célèbre labo d'un institut parisien renommé.
Piotr, leur grand fils sorti de l'adolescence, a pu s'inscrire à la fac de droit dans le Ve près du Panthéon. Très sportif, élancé, au "pelage" blond en brosse, visage assez fin et grands yeux bleus, la seule chose toute noire qu'il porte sur sa personne -reste maternel- n'est pas visible habituellement en conditions normales. Seul leur médecin de famille a pu observer cette particularité en vérifiant si "tout allait bien de ce côté-là!"
Ce dimanche matin de printemps, par un temps idéal, Piotr franchit le petit portail du parc face à son domicile. Un léger sac de toile en bandoulière porte une petite gourde : il faut bien songer à s'hydrater, comme le lui rappelait sa maman. Il porte un short plutôt ample qui permet un mouvement quelque peu régulier de ses "attributs personnels" car Dame Nature ne l'avait pas oublié en distribuant ses cadeaux.
Le voilà donc parti au pas de course en prenant la droite de l'allée secondaire parallèle à la rue. Il atteint le lac et s'engage sur le chemin longeant la pièce d'eau. Mais voilà : d'autres garçons en tenue de gymnastique font une pause près du théâtre de guignol inoccupé à cette heure matinale. Est-ce le mouvement des "petites choses" de Piotr? Son aspect général de "BG"? Toujours est-il que les deux gars reprennent leur course à sa suite, à environ une vingtaine de mètres.
Furtivement, arrivé près de la cascade où des marches de ciment permettent de gravir le dénivelé, Piotr se retourne et aperçoit ses deux poursuivants. Il continue maintenant en longeant la ligne de chemin de fer dite "de Sceaux" en tranchée à la station "Cité Universitaire". Et voilà qu'un troisième garçon, pas mal fait non plus, prend sa course en se joignant aux deux poursuivants. «Décidément, pense Piotr, j'ai du succès ce matin. Et puis, ils ne sont pas vilains du tout ces trois-là. Mhhh, j'ai une idée : on va bien voir ce qu'ils me veulent et ce que ça va donner.»
Le jeune étudiant avait eu le temps, depuis au moins deux ans, d'explorer les environs. Il savait où trouver des coins tranquilles derrière la Maison Internationale, de l'autre côté du Boulevard Jourdan, dans l'enceinte de la Cité Universitaire.
Aucune auto ne passant à ce moment, il sort du parc et, sans coup férir toujours au pas de course, pénètre dans le domaine estudiantin. Il prend à droite, toujours suivi des trois autres gaillards à petite distance. De là, il se dirige en petites foulées sur les pelouse du jardin, vers la cheminée d'aération pour le tunnel ferroviaire joignant les stations de Gentilly et celle nommée précédemment. Il sait que le solide grillage obturant le large conduit est entouré d'une très épaisse haie de thuyas, isolant des regards cet utile aérateur : lors du passage d'un train au-dessous, un courant d'air sort en force puis, après son passage, une aspiration procure d'étranges sensations.
Piotr pénètre donc en se baissant et attend cinq ou six secondes. Il voit alors se profiler la partie supérieure du premier poursuivant, légèrement interloqué ; le second suit et enfin le troisième. Piotr leur sourit largement. À ce moment, un train passe et les shorts des garçons en sont tout agités...et pas seulement les shorts mais encore leurs contenus! L'aspiration qui s'ensuit les fait frissonner. Sans se départir, Piotr passe les bras autour du cou de deux d'entre eux et avance la tête vers celle du gars à sa gauche. Un solide baiser commence la fête ; puis celui de droite a droit au même cadeau. Quant au troisième, en plus du bisou, il est gratifié d'une caresse bien douce quelque part sous la ceinture de sa "culotte de sport." Des mains s'aventurent alors autour de la taille des garçons, s'ingéniant à un abaissement synchronisé de ce qui cachait encore pour quelques dixièmes de secondes le plus joli spectacle que Piotr attendait depuis longtemps. Ah, mes aïeux! Quelle...tournée générale! On se "bouche", on s'abouche et même on forme ...une chaîne, un peu comme pour les chaises musicale où celui qui est en tête de file passe, si j'ose dire, en queue à chaque courant d'air d'une rame du métro et ainsi de suite une bonne dizaine de fois. Comme cela, pas de jaloux et chacun en profite tout à son aise. Enfin, après une bonne heure de ce régime, un peu fourbus quand même et aussi très satisfaits, tels les Trois Mousquetaires qui étaient quatre, les garçons recueillent les reliquats de leurs ébats dans leurs mouchoirs, reprennent leurs légers vêtements et conviennent de se retrouver le samedi suivant au même endroit.
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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