02-01-2021, 02:36 PM
Cinquième train :
«Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine et malgré vous nous resterons Français ...»
—Jean! Ça suffit comme ça ! Arrête de hurler cette chanson !
—J'arrêterai si je veux Pierre ! Tu n'es qu'un couard !
—Mais enfin ça ne t'a pas suffi la dernière fois ? On a failli se faire tuer et j'en ai encore mal aux fesses et au cul !
Pierre et Jean sont deux cousins qui habitaient un petit village d'Alsace quand L'Alsace et la Lorraine étaient encore françaises.
Mais après le désastre de Sedan en 1870 et l'annexion de ces territoires, ils ont décidé de fuir en France.
Déjà, les aînés sont partis en emportant la fortune familiale et ils se sont installés juste derrière la nouvelle frontière pour attendre le reste de la famille.
Les deux garçons sont grands et musclés pour leur âge. À 17 ans, ils ont la vie devant eux ! Enfin, si Jean décide de se tenir tranquille bien sûr.
Tous les deux sont blonds aux yeux bleus, ils venaient d'obtenir leur baccalauréat. Puis la guerre a éclaté et la France a été écrasée et vaincue.
Ils auraient dû reprendre leurs études mais maintenant qu'ils étaient «germaniques», il faudrait qu'ils le fassent en allemand ! Et ça, ils ne le veulent pas pour tout l'or du monde.
Les cousins voyageaient par de petits chemins pour éviter les grands axes qui étaient surveillés et ils risquaient d'être réquisitionnés par les allemands pour divers travaux et ça ils ne le voulaient pas non plus !
—Des chevaux arrivent ! On doit se planquer !
Ils coururent jusqu'à une haie qui bordait un champ et se cachèrent derrière. Peu après un régiment de Uhlans passa. Ça rappela de mauvais souvenirs aux cousins.
Trois jours plus tôt.
Il faisait chaud, très chaud ! Au loin ils virent une rangée d'arbres et en s'approchant, ils entendirent le clapotis de l'eau, une rivière coulait derrière. Comment résister à une telle tentation ?
Mais en s'approchant ils virent trois chevaux attachés à l'ombre et un peu plus loin trois tas d'habits.
Jean murmura à Pierre :
—C'est des Uhlans ! Viens , on va leur piquer leurs affaires !
Mais tu es fou Jean ! Si on se fait prendre on va se faire fusiller !
Mais c'était déjà trop tard ! Jean avait en mains les habits de deux Uhlans. Alors qu'il allait ramasser le troisième tas, sortit d'on ne sait où, un Uhlan nu comme un vers l'attrapa par le col de sa chemise et le redressa d'un coup.
—Alors petit voleur ! Comme ça tu voulais nous prendre nos vêtements ? Toi là-bas tu approches sinon lui va mourir sous tes yeux !
—Non Monsieur, ne lui faites pas mal, j'arrive !
Le Uhlan cria quelque chose et les deux qui se baignaient arrivèrent en courant. L'homme qui tenait toujours Jean leur parla et bien vite on se retrouva nus attachés à un arbre.
Le premier coup de ceinture me fit hurler .
—Sois fort Pierre, serre les dents !
Je fis comme il me disait et les coups redoublèrent. Je pleurais de rage et de douleur. De l'autre côté j'entendais aussi les coups de ceinture pleuvoir. Jean lui aussi devait serrer les dents et de temps à autre l'un de nous lâchait un gémissement.
Lassés de nous battre on les entendit parler entre eux à voix basse. Ils nous détachèrent pour nous attacher les mains plus bas, le corps à l’équerre. Puis à grands coups de pieds ils nous firent écarter les jambes auxquelles ils attachèrent des cordes nous obligeant à rester bloqués comme ça.
Puis, chacun, on entendit un bruit de pas qui s’arrêta derrière nous et là ce fut des cris de douleur et d'horreur qui sortirent de nos bouches !
Deux de ses salops venaient de nous enfoncer leurs queues d'un seul coup.
On eut beau les supplier d'arrêter mais rien n'y fit. Et ce n'est qu'après avoir reçu une dose de sperme de chacun d'eux qu'ils partirent nous laissant comme ça attachés à notre arbre les jambes écartées.
Jean réussit avec ses dents à détacher une de mes mains. Une fois libre, on alla à la rivière se laver des traces de sperme qui avaient coulé le long de nos jambes et de la honte qu'on venait de subir mais on eut beau frotter ,elle, elle ne partit pas. Jean marmonna !
—Je me vengerai !
Et ça faisait trois jours qu'il ruminait sa rancune ! Cette nuit on allait pouvoir dormir en sécurité. Et si tout se passait bien demain on serait en France.
On arrivait en vue de la ferme qui devait nous servir d'étape. On frappa à la porte et une femme nous ouvrit. On donna le mot de passe et elle nous fit entrer.
Soyez les bienvenus jeunes gens. Je vais vous donner à manger et après mon fils va vous conduire ailleurs, parce qu'ici il n'y a plus de place pour vous cacher. Antoine, viens ici.
Un garçon de notre âge arriva. Il portait un gros pain. Sa mère déposa sur la table deux assiettes qu'elle remplit d'une soupe épaisse qu'on mangea de bon appétit. Puis Antoine nous conduisit dans une grange toute proche. On venait d'y entrer quand trois Uhlans arrivèrent et entrèrent dans la ferme. On entendit crier et bientôt on entendait des bruits de verre et un peu plus tard des chansons à boire.
Puis petit à petit se fut le silence.
Il avait fallu qu'on retienne Antoine mais là, même nous, on devenait inquiets à cause de ce silence.
On approcha prudemment et on vit les Uhlans ivres morts qui dormaient écroulés sur la table de la ferme tandis que la mère d'Antoine était prostrée dans un coin.
En approchant plus on reconnut les hommes qui nous avaient violé. Jean sauta sur le premier et commença à le déshabiller. Antoine lui demanda pourquoi il faisait ça.
On lui expliqua ce qu'on avait subi et il nous aida.
On les chargea sur leurs chevaux et on alla dans un coin très tranquille. On les attacha et on attendit qu'ils se réveillent. Comme ils hurlaient qu'on les libère, on les bâillonna. Et comme ils nous avaient fait, on commença par une longue série de coups de ceinture. Et quand leurs fesses et cuisses furent suffisamment rouges à notre goût, on les sodomisa tous les trois et on les féconda... trois fois, changeant de cul !
Les délaissant un moment Antoine nous questionna :
—Vous savez monter à cheval ?
—Oui bien sûr mais pourquoi ?
—Je connais un passage gardé par de vieux territoriaux. C'est juste à côté d'un tunnel. Et quand le train passe, il rentrent dans la cabane pour ne pas respirer les odeurs de fumée de charbon. On passera à ce moment-là. Le temps qu'ils réagissent on sera en France.
—Oui mais toi ? Tu vas faire comment pour rentrer ?
—Je ne rentre pas, je vais rester en France.
—Mais ta mère et ta famille ?
—Il ne reste plus que ma mère et moi à la ferme et ce soir on devait aussi partir après avoir mis le feu.
—On fait quoi d'eux ?
C'est Jean qui venait de dire ça. Antoine caressait son sexe à travers son pantalon.
—Et si on leur en remettait une dose ? J'ai encore la queue raide.
Lui et Jean recommencèrent. Ça m'excita et je me joignis à eux. Mais bon la quatrième fois ça a été long à venir ! Et j'avoue que de voir mon cousin et Antoine qui baisaient ces mecs, ça m'excitait autant que de baiser comme j'étais en train de le faire.
On décida de changer de fesses et je vis de près la queue longue et fine d'Antoine et celle plus courte et large de mon cousin. Mais celle-là je la connaissais déjà depuis longtemps .
Alors que je limais le cul du plus jeune, une idée me traversa l'esprit.
Antoine jouit dans son Uhlan et bien vite, Jean le suivit. Moi ça voulait pas venir et le petit jeune gémissait. Je changeais une nouvelle fois de cul et finalement je retournais dans celui du plus jeune où j'envoyais la méga dose.
On se rhabilla et prenant les chevaux par la bride on s'éloigna.
Les laissant là, bâillonnés, attachés, du sperme débordant de leurs anus.
—les gars, j'ai eu une idée. Si on retourne à la ferme et qu'on enfile les uniformes des Uhlans. On pourra traverser avec le maximum de personnes. Personne ne nous poserait de questions en nous voyant escorter des civils. Ça ne sera pas la première fois que des soldats escortent des civils pour les déplacer.
—Oui c'est une bonne idée. Allons en parler à ma mère.
Sa mère accepta notre idée et Antoine partit au galop dans les fermes environnantes récupérer les candidats à l'exil volontaire. Et après avoir revêtu nos uniformes, on escorta une cinquantaine de personnes.
On leur expliqua notre plan.
Au loin le train arrivait. Les territoriaux rentèrent dans la cabane et on traversa. Le temps que la fumée sortant du tunnel se dissipe on était en France et des Dragons vinrent en nous chargeant sabre au clair . Il fallut que certains s'interposent entre eux et nous pour qu'ils stoppent leur charge. On nous conduisit devant des officiers qui, mis au courant, nous félicitèrent de notre courage et de notre ingéniosité.
On décida de recommencer l'opération plusieurs fois qui réussirent elles aussi.
Mais la chance nous abandonna finalement et Antoine – dont la monture venait de tomber - n'eut la vie sauve que grâce au courage de Jean qui fit demi-tour et le prit en croupe in extremis.
Ce fut notre dernier exploit militaire ! Mais de temps en temps on menait des raids. On s'en prenait aux sentinelles ou aux soldats isolés qu'on abusait jusqu'au jour où je demandais à Antoine et à Jean de me prendre comme on prenait les Allemands.
Bien que surpris, ils acceptèrent et moi je jouis comme jamais. Quelques jours après ce fut Antoine qui demanda à me remplacer alors que je me faisais prendre. Puis ce fut au tour de Jean. Et finalement on cessa aussi nos raids, devenu trop dangereux.
Mais cela nous avait ouvert à la bougrerie et on continua à le faire entre nous.
Quelques années plus tard, on était mariés et, tous les trois, père de famille. Mais avant cela on avait profité de notre jeunesse pour faire le tour de France et voir toutes les beautés de ce fantastique pays…
Et on continua à se voir aussi souvent que possible !
«Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine et malgré vous nous resterons Français ...»
—Jean! Ça suffit comme ça ! Arrête de hurler cette chanson !
—J'arrêterai si je veux Pierre ! Tu n'es qu'un couard !
—Mais enfin ça ne t'a pas suffi la dernière fois ? On a failli se faire tuer et j'en ai encore mal aux fesses et au cul !
Pierre et Jean sont deux cousins qui habitaient un petit village d'Alsace quand L'Alsace et la Lorraine étaient encore françaises.
Mais après le désastre de Sedan en 1870 et l'annexion de ces territoires, ils ont décidé de fuir en France.
Déjà, les aînés sont partis en emportant la fortune familiale et ils se sont installés juste derrière la nouvelle frontière pour attendre le reste de la famille.
Les deux garçons sont grands et musclés pour leur âge. À 17 ans, ils ont la vie devant eux ! Enfin, si Jean décide de se tenir tranquille bien sûr.
Tous les deux sont blonds aux yeux bleus, ils venaient d'obtenir leur baccalauréat. Puis la guerre a éclaté et la France a été écrasée et vaincue.
Ils auraient dû reprendre leurs études mais maintenant qu'ils étaient «germaniques», il faudrait qu'ils le fassent en allemand ! Et ça, ils ne le veulent pas pour tout l'or du monde.
Les cousins voyageaient par de petits chemins pour éviter les grands axes qui étaient surveillés et ils risquaient d'être réquisitionnés par les allemands pour divers travaux et ça ils ne le voulaient pas non plus !
—Des chevaux arrivent ! On doit se planquer !
Ils coururent jusqu'à une haie qui bordait un champ et se cachèrent derrière. Peu après un régiment de Uhlans passa. Ça rappela de mauvais souvenirs aux cousins.
Trois jours plus tôt.
Il faisait chaud, très chaud ! Au loin ils virent une rangée d'arbres et en s'approchant, ils entendirent le clapotis de l'eau, une rivière coulait derrière. Comment résister à une telle tentation ?
Mais en s'approchant ils virent trois chevaux attachés à l'ombre et un peu plus loin trois tas d'habits.
Jean murmura à Pierre :
—C'est des Uhlans ! Viens , on va leur piquer leurs affaires !
Mais tu es fou Jean ! Si on se fait prendre on va se faire fusiller !
Mais c'était déjà trop tard ! Jean avait en mains les habits de deux Uhlans. Alors qu'il allait ramasser le troisième tas, sortit d'on ne sait où, un Uhlan nu comme un vers l'attrapa par le col de sa chemise et le redressa d'un coup.
—Alors petit voleur ! Comme ça tu voulais nous prendre nos vêtements ? Toi là-bas tu approches sinon lui va mourir sous tes yeux !
—Non Monsieur, ne lui faites pas mal, j'arrive !
Le Uhlan cria quelque chose et les deux qui se baignaient arrivèrent en courant. L'homme qui tenait toujours Jean leur parla et bien vite on se retrouva nus attachés à un arbre.
Le premier coup de ceinture me fit hurler .
—Sois fort Pierre, serre les dents !
Je fis comme il me disait et les coups redoublèrent. Je pleurais de rage et de douleur. De l'autre côté j'entendais aussi les coups de ceinture pleuvoir. Jean lui aussi devait serrer les dents et de temps à autre l'un de nous lâchait un gémissement.
Lassés de nous battre on les entendit parler entre eux à voix basse. Ils nous détachèrent pour nous attacher les mains plus bas, le corps à l’équerre. Puis à grands coups de pieds ils nous firent écarter les jambes auxquelles ils attachèrent des cordes nous obligeant à rester bloqués comme ça.
Puis, chacun, on entendit un bruit de pas qui s’arrêta derrière nous et là ce fut des cris de douleur et d'horreur qui sortirent de nos bouches !
Deux de ses salops venaient de nous enfoncer leurs queues d'un seul coup.
On eut beau les supplier d'arrêter mais rien n'y fit. Et ce n'est qu'après avoir reçu une dose de sperme de chacun d'eux qu'ils partirent nous laissant comme ça attachés à notre arbre les jambes écartées.
Jean réussit avec ses dents à détacher une de mes mains. Une fois libre, on alla à la rivière se laver des traces de sperme qui avaient coulé le long de nos jambes et de la honte qu'on venait de subir mais on eut beau frotter ,elle, elle ne partit pas. Jean marmonna !
—Je me vengerai !
Et ça faisait trois jours qu'il ruminait sa rancune ! Cette nuit on allait pouvoir dormir en sécurité. Et si tout se passait bien demain on serait en France.
On arrivait en vue de la ferme qui devait nous servir d'étape. On frappa à la porte et une femme nous ouvrit. On donna le mot de passe et elle nous fit entrer.
Soyez les bienvenus jeunes gens. Je vais vous donner à manger et après mon fils va vous conduire ailleurs, parce qu'ici il n'y a plus de place pour vous cacher. Antoine, viens ici.
Un garçon de notre âge arriva. Il portait un gros pain. Sa mère déposa sur la table deux assiettes qu'elle remplit d'une soupe épaisse qu'on mangea de bon appétit. Puis Antoine nous conduisit dans une grange toute proche. On venait d'y entrer quand trois Uhlans arrivèrent et entrèrent dans la ferme. On entendit crier et bientôt on entendait des bruits de verre et un peu plus tard des chansons à boire.
Puis petit à petit se fut le silence.
Il avait fallu qu'on retienne Antoine mais là, même nous, on devenait inquiets à cause de ce silence.
On approcha prudemment et on vit les Uhlans ivres morts qui dormaient écroulés sur la table de la ferme tandis que la mère d'Antoine était prostrée dans un coin.
En approchant plus on reconnut les hommes qui nous avaient violé. Jean sauta sur le premier et commença à le déshabiller. Antoine lui demanda pourquoi il faisait ça.
On lui expliqua ce qu'on avait subi et il nous aida.
On les chargea sur leurs chevaux et on alla dans un coin très tranquille. On les attacha et on attendit qu'ils se réveillent. Comme ils hurlaient qu'on les libère, on les bâillonna. Et comme ils nous avaient fait, on commença par une longue série de coups de ceinture. Et quand leurs fesses et cuisses furent suffisamment rouges à notre goût, on les sodomisa tous les trois et on les féconda... trois fois, changeant de cul !
Les délaissant un moment Antoine nous questionna :
—Vous savez monter à cheval ?
—Oui bien sûr mais pourquoi ?
—Je connais un passage gardé par de vieux territoriaux. C'est juste à côté d'un tunnel. Et quand le train passe, il rentrent dans la cabane pour ne pas respirer les odeurs de fumée de charbon. On passera à ce moment-là. Le temps qu'ils réagissent on sera en France.
—Oui mais toi ? Tu vas faire comment pour rentrer ?
—Je ne rentre pas, je vais rester en France.
—Mais ta mère et ta famille ?
—Il ne reste plus que ma mère et moi à la ferme et ce soir on devait aussi partir après avoir mis le feu.
—On fait quoi d'eux ?
C'est Jean qui venait de dire ça. Antoine caressait son sexe à travers son pantalon.
—Et si on leur en remettait une dose ? J'ai encore la queue raide.
Lui et Jean recommencèrent. Ça m'excita et je me joignis à eux. Mais bon la quatrième fois ça a été long à venir ! Et j'avoue que de voir mon cousin et Antoine qui baisaient ces mecs, ça m'excitait autant que de baiser comme j'étais en train de le faire.
On décida de changer de fesses et je vis de près la queue longue et fine d'Antoine et celle plus courte et large de mon cousin. Mais celle-là je la connaissais déjà depuis longtemps .
Alors que je limais le cul du plus jeune, une idée me traversa l'esprit.
Antoine jouit dans son Uhlan et bien vite, Jean le suivit. Moi ça voulait pas venir et le petit jeune gémissait. Je changeais une nouvelle fois de cul et finalement je retournais dans celui du plus jeune où j'envoyais la méga dose.
On se rhabilla et prenant les chevaux par la bride on s'éloigna.
Les laissant là, bâillonnés, attachés, du sperme débordant de leurs anus.
—les gars, j'ai eu une idée. Si on retourne à la ferme et qu'on enfile les uniformes des Uhlans. On pourra traverser avec le maximum de personnes. Personne ne nous poserait de questions en nous voyant escorter des civils. Ça ne sera pas la première fois que des soldats escortent des civils pour les déplacer.
—Oui c'est une bonne idée. Allons en parler à ma mère.
Sa mère accepta notre idée et Antoine partit au galop dans les fermes environnantes récupérer les candidats à l'exil volontaire. Et après avoir revêtu nos uniformes, on escorta une cinquantaine de personnes.
On leur expliqua notre plan.
Au loin le train arrivait. Les territoriaux rentèrent dans la cabane et on traversa. Le temps que la fumée sortant du tunnel se dissipe on était en France et des Dragons vinrent en nous chargeant sabre au clair . Il fallut que certains s'interposent entre eux et nous pour qu'ils stoppent leur charge. On nous conduisit devant des officiers qui, mis au courant, nous félicitèrent de notre courage et de notre ingéniosité.
On décida de recommencer l'opération plusieurs fois qui réussirent elles aussi.
Mais la chance nous abandonna finalement et Antoine – dont la monture venait de tomber - n'eut la vie sauve que grâce au courage de Jean qui fit demi-tour et le prit en croupe in extremis.
Ce fut notre dernier exploit militaire ! Mais de temps en temps on menait des raids. On s'en prenait aux sentinelles ou aux soldats isolés qu'on abusait jusqu'au jour où je demandais à Antoine et à Jean de me prendre comme on prenait les Allemands.
Bien que surpris, ils acceptèrent et moi je jouis comme jamais. Quelques jours après ce fut Antoine qui demanda à me remplacer alors que je me faisais prendre. Puis ce fut au tour de Jean. Et finalement on cessa aussi nos raids, devenu trop dangereux.
Mais cela nous avait ouvert à la bougrerie et on continua à le faire entre nous.
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