01-01-2021, 07:02 PM
10/ Participation, inspirée du défi :
[Bart] Komen ca va, gros.
[James] Sa va et toi, mon frère.
[Bart] TFK.
[James] Trankil.
[Bart] BTG.
[James] Je glande.
[Bart] LOL.
[James] Té un badass, toi.
[Bart]Va donc, boloss. Ca marche toujours pour ce soir.
[James] J’espère bien.
[Bart] Cé tout bon. Jé fait la résa tout à l’heure. A kelle heure on s’arrache ?
[James] Passe chez wam vers 21 heures, ce serait bien. On aura graillé, les vieux seront devant la téloche, je pourrai me tirer soum-soum.
[Bart] OK, je te mettrai un caillou dans la fenêtre, comme dab. Tu les as prévenus que tu seras pas là ce soir.
[James] Tu rigole ? Et toi, tu l’as dit à ton daron.
[Bart] Moi ca va passer crème, il sera déjà bourré, il s’en rendra même pas compte. J’aurai eu le temps de faire la bouffe et la vaisselle.
[James] Miskine. Cé poche.
[Bart] A+. Jtm.
[James] Moi aussi je t’aime.
Quelques heures plus tard...
Je rentre dans la chambre, où je retrouve James en train de se faire une partie de Minecraft en mode survie sur la console. Il frappe un creeper à l’épée, puis il met sur pause et me demande :
— Eh bé, dis donc, t’as été vachement long. T’as fait des mauvaises rencontres ?
— Ouais, ben, tu crois pas si bien dire. J’ai croisé un mec bizarre dans le couloir. Il portait une espèce de grenouillère rouge et verte, une sorte de déguisement, et il m’a fait des remarques un peu cochonnes sur la taille de ma bite !
— Putain, c’est pas vrai ? Un pédophile, tu crois ?
— Peut-être bien. Il me disait qu’il avait déjà baisé avec mon daron et, si j’ai bien compris, il aurait bien aimé faire pareil avec moi. Alors j’ai couru m’enferme dans les gogues, et quand je suis sorti il avait disparu.
— Tu le connaissais pas ? Il était comment ?
— J’l’avais jamais vu. C’était un adulte, pas trop vieux, plus jeune que mon père, en tout cas.
— Il avait une barbe ?
— Non, pas de barbe, il n’était pas si vieux, et il avait encore des cheveux sur la tête. Je me demande ce qu’il voulait.
— Tu crois que c’était un cambrioleur ?
— Ca ne donnait pas l’impression. Il n’avait pas un grand sac pour mettre ce qu’il aurait chouré, et puis il n’avait pas l’air trop stressé.
A son tour, James est allé faire un tour aux toilettes. Il n’a vu personne. Alors on a fermé à clé la porte de la chambre, et on n’a plus pensé à ce pervers. On s’est serré l’un contre l’autre, et on s’est endormis ensemble. C’était une bonne soirée de Noël pour moi, la meilleure depuis des années. Mon père se bourrait la gueule tous les soirs, ma mère s’était barrée parce que qu’elle en avait marre de se faire tabasser, et j’essayais juste d’éviter de prendre des coups. Je faisais la cuisine, le ménage, la lessive, j’étais un vrai garçon modèle.
Chez James, ce n’était pas pareil. C’était plus pernicieux, on ne le frappait pas, mais on profitait de toutes les occasions pour l’humilier et me faire comprendre qu’il n’était vraiment qu’un petit crétin, sa mère comme son père : ils se détestaient, tous les deux, on se demande pourquoi ils restaient ensemble, mais ils détestaient leur fils encore plus. Alors, évidemment, il faisait tout son possible pour les faire chier, et, semblait-il, il ne se débrouillait pas mal.
J’avais gagné un peu d’argent, auprès d’un vieux voisin sympa qui me payait pour tondre la pelouse ou laver la voiture. Alors, j’ai proposé à James qu’on passe cette soirée ensemble, et il a tout de suite accepté. Passer une soirée tranquille, loin de chez soi, c’était le rêve, pour lui comme pour moi, et puis on était bien ensemble. Heureusement, les chambres n’étaient pas chères pour la soirée de Noël, ils faisaient une réduction, je m’en suis sorti pour 32 €. J’ai fait la réservation et payé par internet. On s’est éclipsé discrètement après le dîner hier soir. Moi j’ai fait semblant d’aller dans ma chambre, mon père était déjà bien avancé, vu le nombre de canette vides, normalement il ne se sera même pas rendu compte de mon absence.
Le lendemain matin, on s’est réveillé à peu près ensemble. Il m’a dit « Joyeux Noël, Bart » et je lui ai répondu « Joyeux Noël, James ». J’ai dit qu’on n’avait pas de cadeaux à se faire, il m’a répondu que le cadeau c’était cette nuit ensemble. Alors on s’est serrés l’un contre l’autre et on s’est fait des bisous. Je lui ai dit : « tu sais, je vais avoir 16 ans le mois prochain, alors je finis l’année scolaire et puis je me barre. Je trouverai un poste en apprentissage, à partir de 16 ans, c’est possible. Je gagnerai de l’argent, j’aurai une chambre en foyer, et tu pourras venir me voir ». Il n’a rien dit, mais j’ai bien vu que les larmes commençaient à venir, parce que lui, ses parents ne seront jamais d’accord pour qu’il s’en aille, alors que moi je ne demande rien à mon père, je me barrerai sans même le prévenir. On s’est serrés un peu plus l’un contre l’autre. Et puis j’ai mis mes lèvres sur les siennes, et puis comme il fermait les yeux sur ses paupières, et je lui ai dit de ne pas être triste, qu’on s’en sortirait tous les deux.
Il bandait, moi aussi, on a commencé à se caresser la queue. On s’était déjà branlés trois fois hier soir, mais ça n’empêchait pas. Il m’a sucé, c’était sympa. Moi, j’ai envie de lui faire aussi, mais je trouve ça un peu dégoûtant, alors je me suis contenté de le branler. Et puis on a joui tous les deux, et on est encore restés comme ça, ensemble. Il s’est peut-être même un peu rendormi, ses yeux étaient fermés et sa respiration régulière. Je le regardais. Et puis un moment il a ouvert les yeux, et il m’a souri et on s’est encore faits un baiser.
Et puis on est sortis pour prendre une douche. Ils avaient de grandes cabines, toutes en plastique. Nous sommes allés tous les deux dans la même. Il y avait un distributeur mural pour le savon. Nous avons passé un bon moment à nous savonner, nous champouiner, nous caresser, sa peau était douce avec le savon. Nous nous sommes essuyés avec la petite serviette qu’ils nous avaient donnée dans la chambre, elle n’était pas beaucoup plus grosse qu’un torchon de cuisine, c’était un peu juste, mais on en avait chacun une.
Et puis on est descendu dans la salle où on pouvait prendre le petit déjeuner. Je n’en n’avais réservé qu’un seul, mais comme tout était à volonté on en a profité tous les deux. Je ne sais pas si la dame qui était là a vu qu’on resquillait, mais elle avait l’air sympa, elle n’a rien dit.
On a revu le père Noël dans la salle du petit déjeuner. Il passait des coups de fil. Apparemment, il était sorti de prison la veille, il cherchait quelqu’un qui pourrait l’héberger. Ça n’avait pas l’air facile pour lui. On s’est regardé avec James et on s’est dit que nous au moins on savait où aller, même si on n’en avait pas très envie.
On est parti vers 8 heures. Il ne faisait pas chaud, mais il ne pleuvait pas. On est passé à la boulangerie, je devais prendre du pain pour la maison, et puis on est rentrés chez nous. On a marché pendant 30 ou 40 minutes. J’avais envie de prendre la main de James, mais je n’osais pas trop, à cause des voisins. Alors on a marché sans trop dire grand-chose. Tous les deux on était un peu tristes de revenir à la maison. J’ai vu que James stressait un peu en arrivant devant chez lui. Par chance, la fenêtre de sa chambre était juste poussée, il a pu rentrer discrètement, mais je me suis dit qu’il allait se prendre une grosse avoinée quand ils verraient qu’il était revenu. Et je suis retourné chez moi en traînant les pieds. On avait vraiment passé une super soirée de Noël, mais là c’était le retour à la réalité…
[Bart] Komen ca va, gros.
[James] Sa va et toi, mon frère.
[Bart] TFK.
[James] Trankil.
[Bart] BTG.
[James] Je glande.
[Bart] LOL.
[James] Té un badass, toi.
[Bart]Va donc, boloss. Ca marche toujours pour ce soir.
[James] J’espère bien.
[Bart] Cé tout bon. Jé fait la résa tout à l’heure. A kelle heure on s’arrache ?
[James] Passe chez wam vers 21 heures, ce serait bien. On aura graillé, les vieux seront devant la téloche, je pourrai me tirer soum-soum.
[Bart] OK, je te mettrai un caillou dans la fenêtre, comme dab. Tu les as prévenus que tu seras pas là ce soir.
[James] Tu rigole ? Et toi, tu l’as dit à ton daron.
[Bart] Moi ca va passer crème, il sera déjà bourré, il s’en rendra même pas compte. J’aurai eu le temps de faire la bouffe et la vaisselle.
[James] Miskine. Cé poche.
[Bart] A+. Jtm.
[James] Moi aussi je t’aime.
Quelques heures plus tard...
Je rentre dans la chambre, où je retrouve James en train de se faire une partie de Minecraft en mode survie sur la console. Il frappe un creeper à l’épée, puis il met sur pause et me demande :
— Eh bé, dis donc, t’as été vachement long. T’as fait des mauvaises rencontres ?
— Ouais, ben, tu crois pas si bien dire. J’ai croisé un mec bizarre dans le couloir. Il portait une espèce de grenouillère rouge et verte, une sorte de déguisement, et il m’a fait des remarques un peu cochonnes sur la taille de ma bite !
— Putain, c’est pas vrai ? Un pédophile, tu crois ?
— Peut-être bien. Il me disait qu’il avait déjà baisé avec mon daron et, si j’ai bien compris, il aurait bien aimé faire pareil avec moi. Alors j’ai couru m’enferme dans les gogues, et quand je suis sorti il avait disparu.
— Tu le connaissais pas ? Il était comment ?
— J’l’avais jamais vu. C’était un adulte, pas trop vieux, plus jeune que mon père, en tout cas.
— Il avait une barbe ?
— Non, pas de barbe, il n’était pas si vieux, et il avait encore des cheveux sur la tête. Je me demande ce qu’il voulait.
— Tu crois que c’était un cambrioleur ?
— Ca ne donnait pas l’impression. Il n’avait pas un grand sac pour mettre ce qu’il aurait chouré, et puis il n’avait pas l’air trop stressé.
A son tour, James est allé faire un tour aux toilettes. Il n’a vu personne. Alors on a fermé à clé la porte de la chambre, et on n’a plus pensé à ce pervers. On s’est serré l’un contre l’autre, et on s’est endormis ensemble. C’était une bonne soirée de Noël pour moi, la meilleure depuis des années. Mon père se bourrait la gueule tous les soirs, ma mère s’était barrée parce que qu’elle en avait marre de se faire tabasser, et j’essayais juste d’éviter de prendre des coups. Je faisais la cuisine, le ménage, la lessive, j’étais un vrai garçon modèle.
Chez James, ce n’était pas pareil. C’était plus pernicieux, on ne le frappait pas, mais on profitait de toutes les occasions pour l’humilier et me faire comprendre qu’il n’était vraiment qu’un petit crétin, sa mère comme son père : ils se détestaient, tous les deux, on se demande pourquoi ils restaient ensemble, mais ils détestaient leur fils encore plus. Alors, évidemment, il faisait tout son possible pour les faire chier, et, semblait-il, il ne se débrouillait pas mal.
J’avais gagné un peu d’argent, auprès d’un vieux voisin sympa qui me payait pour tondre la pelouse ou laver la voiture. Alors, j’ai proposé à James qu’on passe cette soirée ensemble, et il a tout de suite accepté. Passer une soirée tranquille, loin de chez soi, c’était le rêve, pour lui comme pour moi, et puis on était bien ensemble. Heureusement, les chambres n’étaient pas chères pour la soirée de Noël, ils faisaient une réduction, je m’en suis sorti pour 32 €. J’ai fait la réservation et payé par internet. On s’est éclipsé discrètement après le dîner hier soir. Moi j’ai fait semblant d’aller dans ma chambre, mon père était déjà bien avancé, vu le nombre de canette vides, normalement il ne se sera même pas rendu compte de mon absence.
Le lendemain matin, on s’est réveillé à peu près ensemble. Il m’a dit « Joyeux Noël, Bart » et je lui ai répondu « Joyeux Noël, James ». J’ai dit qu’on n’avait pas de cadeaux à se faire, il m’a répondu que le cadeau c’était cette nuit ensemble. Alors on s’est serrés l’un contre l’autre et on s’est fait des bisous. Je lui ai dit : « tu sais, je vais avoir 16 ans le mois prochain, alors je finis l’année scolaire et puis je me barre. Je trouverai un poste en apprentissage, à partir de 16 ans, c’est possible. Je gagnerai de l’argent, j’aurai une chambre en foyer, et tu pourras venir me voir ». Il n’a rien dit, mais j’ai bien vu que les larmes commençaient à venir, parce que lui, ses parents ne seront jamais d’accord pour qu’il s’en aille, alors que moi je ne demande rien à mon père, je me barrerai sans même le prévenir. On s’est serrés un peu plus l’un contre l’autre. Et puis j’ai mis mes lèvres sur les siennes, et puis comme il fermait les yeux sur ses paupières, et je lui ai dit de ne pas être triste, qu’on s’en sortirait tous les deux.
Il bandait, moi aussi, on a commencé à se caresser la queue. On s’était déjà branlés trois fois hier soir, mais ça n’empêchait pas. Il m’a sucé, c’était sympa. Moi, j’ai envie de lui faire aussi, mais je trouve ça un peu dégoûtant, alors je me suis contenté de le branler. Et puis on a joui tous les deux, et on est encore restés comme ça, ensemble. Il s’est peut-être même un peu rendormi, ses yeux étaient fermés et sa respiration régulière. Je le regardais. Et puis un moment il a ouvert les yeux, et il m’a souri et on s’est encore faits un baiser.
Et puis on est sortis pour prendre une douche. Ils avaient de grandes cabines, toutes en plastique. Nous sommes allés tous les deux dans la même. Il y avait un distributeur mural pour le savon. Nous avons passé un bon moment à nous savonner, nous champouiner, nous caresser, sa peau était douce avec le savon. Nous nous sommes essuyés avec la petite serviette qu’ils nous avaient donnée dans la chambre, elle n’était pas beaucoup plus grosse qu’un torchon de cuisine, c’était un peu juste, mais on en avait chacun une.
Et puis on est descendu dans la salle où on pouvait prendre le petit déjeuner. Je n’en n’avais réservé qu’un seul, mais comme tout était à volonté on en a profité tous les deux. Je ne sais pas si la dame qui était là a vu qu’on resquillait, mais elle avait l’air sympa, elle n’a rien dit.
On a revu le père Noël dans la salle du petit déjeuner. Il passait des coups de fil. Apparemment, il était sorti de prison la veille, il cherchait quelqu’un qui pourrait l’héberger. Ça n’avait pas l’air facile pour lui. On s’est regardé avec James et on s’est dit que nous au moins on savait où aller, même si on n’en avait pas très envie.
On est parti vers 8 heures. Il ne faisait pas chaud, mais il ne pleuvait pas. On est passé à la boulangerie, je devais prendre du pain pour la maison, et puis on est rentrés chez nous. On a marché pendant 30 ou 40 minutes. J’avais envie de prendre la main de James, mais je n’osais pas trop, à cause des voisins. Alors on a marché sans trop dire grand-chose. Tous les deux on était un peu tristes de revenir à la maison. J’ai vu que James stressait un peu en arrivant devant chez lui. Par chance, la fenêtre de sa chambre était juste poussée, il a pu rentrer discrètement, mais je me suis dit qu’il allait se prendre une grosse avoinée quand ils verraient qu’il était revenu. Et je suis retourné chez moi en traînant les pieds. On avait vraiment passé une super soirée de Noël, mais là c’était le retour à la réalité…
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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