31-12-2020, 07:42 PM
J’atteins les toilettes et je m’y engouffre. Puis, une fois fini, je retourne vers mes parents. Sur le chemin, je ne peux m’empêcher de penser que la fille au débardeur noir devait ignorer que sa sœur ne portait pas de culotte. Elle devait donc penser qu’elles avaient été vues en sous-vêtements mais pas plus… C’est un peu comme un secret partagé entre cette jolie inconnue et moi.
Avant de remonter dans la voiture, nous profitons encore quelques minutes, mes parents et moi, de l’air presque pur et, assis à notre table, nous discutons joyeusement. Puis nous nous dirigeons vers le parking. Mon père et ma mère monte dans la voiture et alors que je m’apprête à faire de même, j’aperçois les jumelles à quelques mètres seulement, accompagnée d’une dame qui doit être leur mère, occupée à ranger des sacs dans le coffre de son auto. Mon regard croise celui de la fille aux si jolies fesses. Je la reconnais à la couleur de son débardeur. Elle a un petit geste de recul puis, à ma grande surprise, elle s’approche de moi. Quant elle arrive tout prêt, elle me dit à voix basse :
- Tu n’as rien vu pas vrai ?
- Euh… non… rien du tout…
- Je suis rassurée alors !
Elle me fait un clin d’œil puis tourne les talons. Quant à moi, je monte dans la voiture et mon père démarre. C’est reparti pour des heures de route…
- Tu la connaissais cette fille ? demande ma mère.
- Pas vraiment…
- Elle est mignonne en tout cas… Dis Cyril, quand est-ce que tu nous présenteras une petite copine ?
- Ne l’embête pas ! intervient mon père en rigolant.
- Oui, ne m’embête pas… ajouté-je.
Et nous roulons encore et encore. En regardant par la fenêtre, je vois défiler à toute allure des paysages de campagnes, des champs de maïs ou de blé. Mon père a allumé la radio puis l’a éteinte. Moi, j’ai fini mon livre et je m’ennuis… Le téléphone portable de ma mère sonne. Elle décroche et je l’entends discuter d’un ton enjoué avec la personne à l’autre bout du fil.
- C’était Justine ! annonce-t-elle une fois sa conversation terminée. Elle nous confirme qu’elle arrivera à la maison demain.
Justine, c’est ma sœur. Je vous ai déjà parlé d’elle il y a longtemps. Fine, brune, aujourd’hui elle a 21 ans. Elle a fait une classe prépa avant d’intégrer une école de commerce à Marseille. Elle vit dans un petit appartement étudiant, pas très grand mais pratique d’après ce qu’elle en dit. Probablement pas un truc très cher même si mes parents ont une bonne situation. Comme ses études lui ont pris beaucoup de temps durant l’année, elle n’est pas revenue souvent à la maison. Et elle ne nous a pas accompagné non plus en Bretagne parce qu’elle a préféré rester à Marseille pour travailler à mi-temps comme caissière dans un magasin et se faire un peu d’argent. Pour profiter de ses amies aussi j’imagine. Je peux la comprendre, elle ne se serait probablement pas amusée autant que moi si elle était venue avec nous. Bref, tout ça pour dire que nous ne nous étions pas vu depuis longtemps et que ça me faisait plaisir de la revoir.
Finalement, en fin d’après midi, nous arrivons à la maison. Ca fait du bien de retrouver son chez-soi après un long moment d’absence et une si longue route. Nous habitons au 4ème étage d’un petit immeuble du quartier résidentiel. J’aide à monter les valises puis je file dans ma chambre que je retrouve dans l’état où je l’avais laissée : bien rangée comme d’habitude. Je remets mes affaires de voyage à leur place puis je prends une douche pour me détendre. Après un repas du soir frugal, je me couche et je m’endors rapidement.
Quand je me réveille le lendemain, ma mère est déjà sur le pont depuis longtemps, à laver le linge sale et à repasser le linge propre. Je mange mon petit déjeuner en vitesse.
-A quelle heure arrive Justine ? demandé-je.
- Aux alentours de midi, pour le repas. Tiens Cyril, viens m’aider à faire le lit de ta sœur, je vais lui mettre des draps propres.
Je suis donc ma mère dans la chambre de ma sœur, voisine de la mienne. Chacun d’un côté du lit, nous installons les draps et la couverture.
- Je vais finir tout seul si tu veux, dis-je à ma mère.
- Merci, je retourne à mon linge alors.
Une fois seul dans la chambre, je mets en place l’oreiller et le traversin, je donne la touche finale en arrangeant les draps et le lit est parfait. J’ouvre la fenêtre pour aérer puis par curiosité, je jette un coup d’œil dans le placard de ma sœur. Celui-ci est plutôt vide. Normal, elle a dû emporter la plupart de ses affaires dans son appartement à Marseille. Dans un des compartiments, je découvre ses sous-vêtements. Des culottes et des soutifs assortis, plutôt sobres. Je me souviens qu’il y a quelques années en arrière, je m’introduisais parfois en douce dans sa chambre pour regarder les sous-vêtements. Je referme le placard et je retourne dans ma chambre.
Aux alentours de midi, ma sœur finit par arriver. C’est un grand plaisir de revoir la famille au complet, autour du repas. Et ce n’était pas arrivé depuis un bon moment maintenant. Ma sœur est égale à elle-même, très souriante, agréable à regarder avec son corps de jolie jeune fille de 21 ans qui, autrefois, ne me laissait pas indifférent. Nous prolongeons le repas par un café puis je retourne dans ma chambre alors que Justine reste discuter avec mes parents.
Je m’allonge sur mon lit et le café ne m’empêche pas de faire une petite sieste. J’avoue que même si nous sommes rentrés depuis hier à peine, je m’ennuie déjà. La torpeur de la maison contraste avec les événements des dernières semaines. J’aimerais bien sortir avec des amis pour me distraire mais la plupart d’entre eux sont indisponibles. Soudain, on frappe à ma porte.
Soudain, on frappe à ma porte. Ma sœur entre et s’assoit sur le lit près de moi. Elle porte un t-shirt blanc avec un décolleté assez important et vu que je suis allongé, elle incline légèrement le buste pour me parler ce qui m’offre une vue très appréciable sur le haut de ses petits seins et sur la vallée qui les sépare.
- Alors Cyril, bien passées ses vacances en Bretagne ?
- Oui, c’était sympa !
- Tu as passé mon bonjour à Claire ?
- Euh… bafouillé-je en rougissant. Je crois bien que j’ai oublié…
- Pffff, on ne peut pas te faire confiance, pas vrai ? répond-elle avec un sourire qui prouve qu’elle n’est pas vraiment fâchée.
- Comment ça se passe à Marseille ? demandé-je pour changer de sujet.
- Pas trop mal ! Les exams de fin d’année, c’est dans la poche et puis bosser au magasin ça me permet de me faire un peu de sous. J’ai pris quelques jours de congé pour revenir vous voir mais je ne vais pas tarder à devoir y retourner. Et toi alors ? Avec les filles, ça avance ?
- Pas trop… dis-je évasivement avec un petit geste de la main pour montrer que je n’ai pas très envie d’aborder le sujet. Et toi Justine, tu es toujours avec ton copain ?
- Oui, toujours avec Thibaut ! Ca va faire deux ans et demi maintenant alors c’est du sérieux ! répond-elle en souriant avec enthousiasme.
- Vous allez bientôt habiter ensemble alors ! dis-je en plaisantant.
- Ca serait déjà fait si Papa et Maman ne me payaient pas un appartement aussi petit ! répond-elle sur le même ton.
Elle rit. Je souris moi aussi en essayant de le regarder dans les yeux même si mon regard redescend inlassablement vers le décolleté.
- C’est vrai que les rares fois où je l’ai vu à la maison, vous aviez l’air de bien vous entendre !
- Oui, et je sais que tu as bien vu ! ajoute-t-elle énigmatiquement.
- Quoi ?
- Laisse tomber. Bon… Je m’étais réservé un chambre dans hôtel avec spa pour la nuit de Lundi à Mardi prochain. Mais avec mon emploi du temps au magasin, je ne vais pas pouvoir y aller. Alors je me suis dit que tu pourrais t’y rendre à ma place. Enfin, si tu es d’accord !
- Waouh c’est génial merci sœurette !
- Contente que ça ta plaise ! J’ai déjà vu avec Papa, c’est lui qui t’emmènera en voiture.
Bien, bien ! Il semblerait que j’ai finalement trouvé une occupation pour ces prochains jours ! Une nuit à l’hôtel, tranquille, ça va être sympa !
Le jour J arrive enfin. Justine est retournée à Marseille avant-hier déjà. Me voilà dans la voiture avec mon père qui me conduit jusqu’au fameux hôtel. J’ai hâte d’y être. Après une bonne demi-heure de route, nous atteignons notre destination. Mon père me souhaite une bonne journée et me donne rendez-vous pour demain à 11 heures. Je descends de la voiture qui démarre et disparait au loin.
Je suis agréablement surpris par l’hôtel, ma sœur ne s’est pas moquée de moi. Il se trouve à l’entrée d’un petit village tranquille, la façade est belle, moderne. Je rentre dans le hall et j’annonce à l’hôtesse d’accueil que j’ai une réservation. Elle me remet les clefs, tout se passe pour le mieux. En me dirigeant vers l’ascenseur, je note le bar-restaurant de l’hôtel avec une salle à l’intérieur qui se prolonge par une terrasse où quelques clients finissent leur repas. Il est maintenant 14 heures.
Avant de remonter dans la voiture, nous profitons encore quelques minutes, mes parents et moi, de l’air presque pur et, assis à notre table, nous discutons joyeusement. Puis nous nous dirigeons vers le parking. Mon père et ma mère monte dans la voiture et alors que je m’apprête à faire de même, j’aperçois les jumelles à quelques mètres seulement, accompagnée d’une dame qui doit être leur mère, occupée à ranger des sacs dans le coffre de son auto. Mon regard croise celui de la fille aux si jolies fesses. Je la reconnais à la couleur de son débardeur. Elle a un petit geste de recul puis, à ma grande surprise, elle s’approche de moi. Quant elle arrive tout prêt, elle me dit à voix basse :
- Tu n’as rien vu pas vrai ?
- Euh… non… rien du tout…
- Je suis rassurée alors !
Elle me fait un clin d’œil puis tourne les talons. Quant à moi, je monte dans la voiture et mon père démarre. C’est reparti pour des heures de route…
- Tu la connaissais cette fille ? demande ma mère.
- Pas vraiment…
- Elle est mignonne en tout cas… Dis Cyril, quand est-ce que tu nous présenteras une petite copine ?
- Ne l’embête pas ! intervient mon père en rigolant.
- Oui, ne m’embête pas… ajouté-je.
Et nous roulons encore et encore. En regardant par la fenêtre, je vois défiler à toute allure des paysages de campagnes, des champs de maïs ou de blé. Mon père a allumé la radio puis l’a éteinte. Moi, j’ai fini mon livre et je m’ennuis… Le téléphone portable de ma mère sonne. Elle décroche et je l’entends discuter d’un ton enjoué avec la personne à l’autre bout du fil.
- C’était Justine ! annonce-t-elle une fois sa conversation terminée. Elle nous confirme qu’elle arrivera à la maison demain.
Justine, c’est ma sœur. Je vous ai déjà parlé d’elle il y a longtemps. Fine, brune, aujourd’hui elle a 21 ans. Elle a fait une classe prépa avant d’intégrer une école de commerce à Marseille. Elle vit dans un petit appartement étudiant, pas très grand mais pratique d’après ce qu’elle en dit. Probablement pas un truc très cher même si mes parents ont une bonne situation. Comme ses études lui ont pris beaucoup de temps durant l’année, elle n’est pas revenue souvent à la maison. Et elle ne nous a pas accompagné non plus en Bretagne parce qu’elle a préféré rester à Marseille pour travailler à mi-temps comme caissière dans un magasin et se faire un peu d’argent. Pour profiter de ses amies aussi j’imagine. Je peux la comprendre, elle ne se serait probablement pas amusée autant que moi si elle était venue avec nous. Bref, tout ça pour dire que nous ne nous étions pas vu depuis longtemps et que ça me faisait plaisir de la revoir.
Finalement, en fin d’après midi, nous arrivons à la maison. Ca fait du bien de retrouver son chez-soi après un long moment d’absence et une si longue route. Nous habitons au 4ème étage d’un petit immeuble du quartier résidentiel. J’aide à monter les valises puis je file dans ma chambre que je retrouve dans l’état où je l’avais laissée : bien rangée comme d’habitude. Je remets mes affaires de voyage à leur place puis je prends une douche pour me détendre. Après un repas du soir frugal, je me couche et je m’endors rapidement.
Quand je me réveille le lendemain, ma mère est déjà sur le pont depuis longtemps, à laver le linge sale et à repasser le linge propre. Je mange mon petit déjeuner en vitesse.
-A quelle heure arrive Justine ? demandé-je.
- Aux alentours de midi, pour le repas. Tiens Cyril, viens m’aider à faire le lit de ta sœur, je vais lui mettre des draps propres.
Je suis donc ma mère dans la chambre de ma sœur, voisine de la mienne. Chacun d’un côté du lit, nous installons les draps et la couverture.
- Je vais finir tout seul si tu veux, dis-je à ma mère.
- Merci, je retourne à mon linge alors.
Une fois seul dans la chambre, je mets en place l’oreiller et le traversin, je donne la touche finale en arrangeant les draps et le lit est parfait. J’ouvre la fenêtre pour aérer puis par curiosité, je jette un coup d’œil dans le placard de ma sœur. Celui-ci est plutôt vide. Normal, elle a dû emporter la plupart de ses affaires dans son appartement à Marseille. Dans un des compartiments, je découvre ses sous-vêtements. Des culottes et des soutifs assortis, plutôt sobres. Je me souviens qu’il y a quelques années en arrière, je m’introduisais parfois en douce dans sa chambre pour regarder les sous-vêtements. Je referme le placard et je retourne dans ma chambre.
Aux alentours de midi, ma sœur finit par arriver. C’est un grand plaisir de revoir la famille au complet, autour du repas. Et ce n’était pas arrivé depuis un bon moment maintenant. Ma sœur est égale à elle-même, très souriante, agréable à regarder avec son corps de jolie jeune fille de 21 ans qui, autrefois, ne me laissait pas indifférent. Nous prolongeons le repas par un café puis je retourne dans ma chambre alors que Justine reste discuter avec mes parents.
Je m’allonge sur mon lit et le café ne m’empêche pas de faire une petite sieste. J’avoue que même si nous sommes rentrés depuis hier à peine, je m’ennuie déjà. La torpeur de la maison contraste avec les événements des dernières semaines. J’aimerais bien sortir avec des amis pour me distraire mais la plupart d’entre eux sont indisponibles. Soudain, on frappe à ma porte.
Soudain, on frappe à ma porte. Ma sœur entre et s’assoit sur le lit près de moi. Elle porte un t-shirt blanc avec un décolleté assez important et vu que je suis allongé, elle incline légèrement le buste pour me parler ce qui m’offre une vue très appréciable sur le haut de ses petits seins et sur la vallée qui les sépare.
- Alors Cyril, bien passées ses vacances en Bretagne ?
- Oui, c’était sympa !
- Tu as passé mon bonjour à Claire ?
- Euh… bafouillé-je en rougissant. Je crois bien que j’ai oublié…
- Pffff, on ne peut pas te faire confiance, pas vrai ? répond-elle avec un sourire qui prouve qu’elle n’est pas vraiment fâchée.
- Comment ça se passe à Marseille ? demandé-je pour changer de sujet.
- Pas trop mal ! Les exams de fin d’année, c’est dans la poche et puis bosser au magasin ça me permet de me faire un peu de sous. J’ai pris quelques jours de congé pour revenir vous voir mais je ne vais pas tarder à devoir y retourner. Et toi alors ? Avec les filles, ça avance ?
- Pas trop… dis-je évasivement avec un petit geste de la main pour montrer que je n’ai pas très envie d’aborder le sujet. Et toi Justine, tu es toujours avec ton copain ?
- Oui, toujours avec Thibaut ! Ca va faire deux ans et demi maintenant alors c’est du sérieux ! répond-elle en souriant avec enthousiasme.
- Vous allez bientôt habiter ensemble alors ! dis-je en plaisantant.
- Ca serait déjà fait si Papa et Maman ne me payaient pas un appartement aussi petit ! répond-elle sur le même ton.
Elle rit. Je souris moi aussi en essayant de le regarder dans les yeux même si mon regard redescend inlassablement vers le décolleté.
- C’est vrai que les rares fois où je l’ai vu à la maison, vous aviez l’air de bien vous entendre !
- Oui, et je sais que tu as bien vu ! ajoute-t-elle énigmatiquement.
- Quoi ?
- Laisse tomber. Bon… Je m’étais réservé un chambre dans hôtel avec spa pour la nuit de Lundi à Mardi prochain. Mais avec mon emploi du temps au magasin, je ne vais pas pouvoir y aller. Alors je me suis dit que tu pourrais t’y rendre à ma place. Enfin, si tu es d’accord !
- Waouh c’est génial merci sœurette !
- Contente que ça ta plaise ! J’ai déjà vu avec Papa, c’est lui qui t’emmènera en voiture.
Bien, bien ! Il semblerait que j’ai finalement trouvé une occupation pour ces prochains jours ! Une nuit à l’hôtel, tranquille, ça va être sympa !
Le jour J arrive enfin. Justine est retournée à Marseille avant-hier déjà. Me voilà dans la voiture avec mon père qui me conduit jusqu’au fameux hôtel. J’ai hâte d’y être. Après une bonne demi-heure de route, nous atteignons notre destination. Mon père me souhaite une bonne journée et me donne rendez-vous pour demain à 11 heures. Je descends de la voiture qui démarre et disparait au loin.
Je suis agréablement surpris par l’hôtel, ma sœur ne s’est pas moquée de moi. Il se trouve à l’entrée d’un petit village tranquille, la façade est belle, moderne. Je rentre dans le hall et j’annonce à l’hôtesse d’accueil que j’ai une réservation. Elle me remet les clefs, tout se passe pour le mieux. En me dirigeant vers l’ascenseur, je note le bar-restaurant de l’hôtel avec une salle à l’intérieur qui se prolonge par une terrasse où quelques clients finissent leur repas. Il est maintenant 14 heures.