31-12-2020, 07:23 PM
Les toilettes en question se trouvent, comme par hasard, à l’autre bout de l’aire de repos. C’est donc d’un pas rapide que je traverse les étendus d’herbe et de goudron qui me sépare du bâtiment des toilettes que j’aperçois au loin. En route, je rattrape deux jeunes filles qui marchent côte à côte, dans la même direction que moi. Elles ont toutes les deux les cheveux bruns et des vêtements légers puisque, j’ai déjà dû vous le dire, il fait très chaud. La fille de droite porte un débardeur noir et une jupe bleue assez courte, la fille de gauche à un débardeur blanc et une jupe presque identique à celle de sa camarade. Elles ont l’air très jolies, en tout cas c’est l’impression que j’ai en les voyant de dos.
Je calque mon allure sur la leur pour ne pas les dépasser et je marche donc à quelques mètres derrière elles. Je suis trop loin pour entendre ce qu’elles se disent mais leurs éclats de rire me parviennent aux oreilles. Mon regard se pose sur leurs jambes fines et remonte jusqu’à leurs fesses dont j’essaye de deviner la forme à travers le tissu.
Brusquement, un grand coup de vent secoue les arbres et soulève les deux jupes. Les jeunes filles ont le reflexe de les rabattre avec leurs mains mais trop tard : de là ou je suis, je n’ai pas perdu une miette du spectacle. La petite culotte de la demoiselle de droite et surtout, l’absence de culotte de celle de gauche. Pendant une seconde, j’ai aperçu ses jolies fesses qui avaient l’air bien fermes. Elles se retournent pour voir si quelqu’un avait été témoin de la scène. Nos regards se croisent. Elles se ressemblent énormément, des sœurs, surement des jumelles ; à peines plus âgées que moi je pense. Elles sont rouges de honte. Je suis un peu rouge moi aussi mais je leur fait un demi sourire. Elles accélèrent le pas et s’éloignent, surement un peu contrariées.
J’atteins les toilettes et je m’y engouffre. Puis, une fois fini, je retourne vers mes parents. Sur le chemin, je ne peux m’empêcher de penser que la fille au débardeur noir devait ignorer que sa sœur ne portait pas de culotte. Elle devait donc penser qu’elles avaient été vues en sous-vêtements mais pas plus… C’est un peu comme un secret partagé entre cette jolie inconnue et moi.377
Je calque mon allure sur la leur pour ne pas les dépasser et je marche donc à quelques mètres derrière elles. Je suis trop loin pour entendre ce qu’elles se disent mais leurs éclats de rire me parviennent aux oreilles. Mon regard se pose sur leurs jambes fines et remonte jusqu’à leurs fesses dont j’essaye de deviner la forme à travers le tissu.
Brusquement, un grand coup de vent secoue les arbres et soulève les deux jupes. Les jeunes filles ont le reflexe de les rabattre avec leurs mains mais trop tard : de là ou je suis, je n’ai pas perdu une miette du spectacle. La petite culotte de la demoiselle de droite et surtout, l’absence de culotte de celle de gauche. Pendant une seconde, j’ai aperçu ses jolies fesses qui avaient l’air bien fermes. Elles se retournent pour voir si quelqu’un avait été témoin de la scène. Nos regards se croisent. Elles se ressemblent énormément, des sœurs, surement des jumelles ; à peines plus âgées que moi je pense. Elles sont rouges de honte. Je suis un peu rouge moi aussi mais je leur fait un demi sourire. Elles accélèrent le pas et s’éloignent, surement un peu contrariées.
J’atteins les toilettes et je m’y engouffre. Puis, une fois fini, je retourne vers mes parents. Sur le chemin, je ne peux m’empêcher de penser que la fille au débardeur noir devait ignorer que sa sœur ne portait pas de culotte. Elle devait donc penser qu’elles avaient été vues en sous-vêtements mais pas plus… C’est un peu comme un secret partagé entre cette jolie inconnue et moi.377