31-12-2020, 07:10 PM
-"…j’ai eu envie de toi" continua-t-elle d’un ton plus envoûtant. "J’ai eu envie de caresser tes jambes. " Tout en parlant, Marina accentua sa caresse le long de la cuisse de Pauline. "J’ai eu envie de caresser ton ventre. " La main de Marina s’associait à ses mots et remonta la cuisse de Pauline pour passer sur sa hanche puis son ventre.
Pauline avait l’impression que son cœur s’était mis à battre par bonds. Le contact de la peau de Marina contre la sienne l’avait déjà émue. Mais depuis qu’elle s’était mise à parler de son désir et que ses caresses s’étaient accentuées, le corps de Pauline était parcouru de petits frissons. Elle sentait son cœur battre plus fort. Ca commençait ? Cette expérience entre filles commençait maintenant ? Elle se laissait complètement faire, ne sachant pas quoi dire ou même penser. Est-ce qu’elle aimait cela ? C’était étrange, pas pareil qu’avec un garçon. Pas pareil, mais…
-"J’ai eu envie de caresser tes jolis seins tout ronds" continuait inexorablement Marina, tout en regardant le corps de Pauline. Sa main était passée du ventre de la jeune fille à son sein gauche.
Pauline s’était raidie en sentant la main de Marina sur son sein. Elle s’était refermée sur lui et, même à travers son soutien-gorge, elle pouvait sentir son étreinte. Son souffle s’était accéléré un peu, elle s’en rendait compte. Ce n’était pas pareil qu’un garçon mais c’était bon. Cette main sur elle était plus tendre, plus petite, plus…pas pareil. Et le regard de Marina sur son corps... Comme durant la soirée de la veille, se sentir regardée et désirée avait un effet certain sur Pauline.
-"J’ai eu envie de venir goûter ta peau…embrasser ton cou…" La voix de Marina se faisait plus faible. Il était évident qu’elle subissait aussi un désir fort pour la jeune fille.
En entendant les mots "embrasser ton cou", Pauline eu un frisson. Allait-elle réellement le faire ? Elle la caressait comme elle parlait depuis tout à l’heure. Allait-elle l’embrasser aussi ? Son corps était chaud tout à coup. Son cou semblait la brûler.
Mais déjà, elle voyait que Marina se penchait sur elle. Le temps semblait filer trop vite. Elle ne contrôlait rien. Soudain elle sentir la chaleur des lèvres de Marina se poser dans son cou, à droite, et la chaleur dans son corps augmenta encore. Il n’y avait pas que la bouche de Marina qui la touchait. Du fait qu’elle s’était penchée sur elle, leurs corps se frôlaient, se touchaient un peu plus. La main de Marina n’avait pas relâché son sein et le serrait toujours tendrement. Ses longs cheveux châtains avaient glissé sur sa poitrine et chacun d’eux avaient été une nouvelle caresse. Et puis ces lèvres qui la goûtaient. Si chaudes, si douces, elles glissaient sur sa peau comme une caresse, remontaient depuis son épaule dans son cou.
-"Mmmh"
"Oh, mon Dieu" pensa-t-elle, surprise de n’avoir pas pu retenir un gémissement de plaisir. Elle aimait cela ? Les baisers d’une fille ? Les lèvres qui remontaient dans son cou lui ôtaient le doute au fur et à mesure. C’était bon. Elle aimait cela.
-"J’ai eu envie d’embrasser tes lèvres…" soupira Marina à son oreille.
Un frisson parcourut tout le corps de Pauline. Ses lèvres ? Un vrai baiser ? Maintenant ? Un baiser avec Marina ? Déjà la main sur son sein remontait du côté gauche de son cou, ajoutant encore cette caresse si douce sur sa peau. Elle avait senti le souffle de Marina passer sur son oreille quand elle avait quitté son cou. Tout allait trop vite. Aimait-elle ça ? Voulait-elle continuer ? Déjà, les mains de Marina se posaient sur ses joues et la tournait vers elle. Marina avançait son visage vers le sien. Qu’est-ce qu’elle faisait ? Qu’est-ce qu’il fallait faire ?
Mais sans réfléchir, Pauline ferma les yeux et reçu les lèvres de Marina sur les siennes. Un frisson parcourut à nouveau son corps et elle sentit que c’était pareil pour Marina. Leurs lèvres semblèrent se chercher d’abord, s’effleurer. Le contact n’était pas désagréable. Le baiser d’une fille ? C’était bon aussi. Une fois leurs lèvres habituées l’une à l’autre, le vrai baiser commença. Pauline se surprit à entrouvrir les lèvres, toujours soumise à l’étreinte de Marina. La douceur du baiser lui plaisait. Sans réfléchir, ses mains étaient venues se poser dans le dos de Marina. Elle sentait la peau nue sous ses doigts et elle sentit son ventre se contracter de désir.
Pauline avait soudain senti le bout de la langue de Marina venir caresser ses lèvres timidement. Elle ne l’avait pas repoussée et avait libéré la sienne. Chacune expérimentait ce qu’était un baiser entre filles et aimait cela. Rapidement, leurs bouches s’ouvrirent et leurs langues vinrent danser ensemble. Pauline sentait son souffle s’accélérer, comme celui de Marina. Elle sentait les mains de Marina se serrer sur ses joues, comme les siennes étreignaient plus fort le corps entre ses bras.
Leurs bouches ne se lâchaient plus, si ce n’était pour leur permettre de reprendre leur souffle. Il n’avait fallu qu’un baiser. Comme si chacune avait attendu de vérifier si cela lui plairait. Et elles aimaient cela. Marina avait libéré le visage de Pauline pour enlacer son corps elle aussi. Apres avoir gouté à la langue l’une de l’autre, les deux jeunes filles commençaient à explorer la sensualité de ce baiser nouveau. Elles alternaient des baisers plus légers, comme des caresses sur leurs lèvres, des jeux du bout de leur langue et des danses endiablées, lèvres étroitement jointes.
Pauline sentait la poitrine de Marina s’écraser sur la sienne, ses seins durs contre les siens. Elle ne pouvait retenir des gémissements de plaisir quand la bouche de Marina la prenait. Elle s’accoutumait au contact de la peau féminine sous ses doigts et commençait à en explorer les courbes, se laissant envahir par l’excitation de leurs baisers torrides. Plus de questions, plus de doutes. Seulement le moment présent et le plaisir à la fois débridé et tendre de ce baiser entre filles.
Les mains de Marina caressaient le dos de Pauline et celle-ci pouvait deviner les frissons de plaisir de sa partenaire aux crispations de ses doigts sur sa peau. Marina était clairement dans le même état qu’elle. Les caresses qui parcouraient sa peau donnaient l’impression à Pauline de se fondre en Marina. Elle se donnait à elle, en toute confiance. Marina serrait son corps contre le sien, leur chaleur s’échangeait, leurs gémissements se confondaient. Pauline sentit à peine les doigts de Marina dégrafer son soutien-gorge. Mais elle s’en rendit compte quand sa partenaire s’écarta un peu d’elle et que ses seins se libérèrent du sous-vêtement. D’un geste plein de douceur, de précaution et de désir, Marina fit glisser ses mains sur les épaules de Pauline et entrainant les bretelles du soutien-gorge avec elles. Docile, Pauline se laissa dévêtir, rougissant encore mais plongeant son regard dans celui de Marina. Les deux jeunes filles se regardaient pour la première fois depuis le début de ce baiser et chacune pouvait lire dans le regard de l’autre le feu du désir et l’envie d’explorer ces nouveaux plaisirs.
Elle eut un léger frisson en sentant l’air passer sur ses seins nus. Mais cette sensation fut de courte durée.
"Que tu es belle", avoua Marina en découvrant ses seins. "Laisse-moi les toucher…"
Pour toute réponse, Pauline se mordit la lèvre inférieure en bombant légèrement le torse. Elle sentit son ventre se contracter d’excitation en voyant la pulsion de désir dans les yeux de sa partenaire d’un soir. Marina n’attendait que cette invitation.
Pauline ronronna en sentant les mains de la jeune fille se refermer sur ses seins. Marina fut maladroite d’abord mais trouva rapidement ses marques. Pauline avait l’impression que tout son corps se réduisait à la peau effleurée, caressée, serrée par les doigts agiles de Marina. Ses caresses n’étaient pas celles d’un homme, c’était une sensation nouvelle étrange. Alors que les mains de Tom et des autres garçons semblaient se saisir d’elle et lui arracher du plaisir autant qu’elles en prenaient, la posséder, celles de Marina l’exploraient, la découvraient, se faisaient plus hardies, plus spontanées, plus joueuses aussi. Ces mains découvraient les courbes féminines d’une autre fille mais s’ingéniaient à rechercher les zones, les mouvements procurant du plaisir à Pauline.
La jeune fille soupirait en sentant les mains épouser la forme de son sein, les doigts venir titiller son téton dressé de plaisir. Au fil de la découverte, Marina se faisait plus hardie, saisissant ses seins, les pressant entre ses mains, éprouvant leur volume. Pauline avait fermé à nouveau les yeux et se livrait au plaisir en soupirant. Elle sentait, entre ses cuisses que son minou désirait plus. Toutefois, une nouvelle vague de plaisir vînt la secouer quand elle sentit les longs cheveux de Marina venir caresser son épaule et sa poitrine puis sa bouche chaude se poser à nouveau dans son cou. Encore une fois, Pauline se délecta des lèvres douces et humides de la jeune fille, de ces baisers qui la suçaient et la mordillait en même temps. Déjà, des gémissements s’échappaient de sa gorge sans qu’elle cherche à les retenir. Ses doigts s’étaient glissés dans ces cheveux à l’odeur si entêtante.130
Pauline avait l’impression que son cœur s’était mis à battre par bonds. Le contact de la peau de Marina contre la sienne l’avait déjà émue. Mais depuis qu’elle s’était mise à parler de son désir et que ses caresses s’étaient accentuées, le corps de Pauline était parcouru de petits frissons. Elle sentait son cœur battre plus fort. Ca commençait ? Cette expérience entre filles commençait maintenant ? Elle se laissait complètement faire, ne sachant pas quoi dire ou même penser. Est-ce qu’elle aimait cela ? C’était étrange, pas pareil qu’avec un garçon. Pas pareil, mais…
-"J’ai eu envie de caresser tes jolis seins tout ronds" continuait inexorablement Marina, tout en regardant le corps de Pauline. Sa main était passée du ventre de la jeune fille à son sein gauche.
Pauline s’était raidie en sentant la main de Marina sur son sein. Elle s’était refermée sur lui et, même à travers son soutien-gorge, elle pouvait sentir son étreinte. Son souffle s’était accéléré un peu, elle s’en rendait compte. Ce n’était pas pareil qu’un garçon mais c’était bon. Cette main sur elle était plus tendre, plus petite, plus…pas pareil. Et le regard de Marina sur son corps... Comme durant la soirée de la veille, se sentir regardée et désirée avait un effet certain sur Pauline.
-"J’ai eu envie de venir goûter ta peau…embrasser ton cou…" La voix de Marina se faisait plus faible. Il était évident qu’elle subissait aussi un désir fort pour la jeune fille.
En entendant les mots "embrasser ton cou", Pauline eu un frisson. Allait-elle réellement le faire ? Elle la caressait comme elle parlait depuis tout à l’heure. Allait-elle l’embrasser aussi ? Son corps était chaud tout à coup. Son cou semblait la brûler.
Mais déjà, elle voyait que Marina se penchait sur elle. Le temps semblait filer trop vite. Elle ne contrôlait rien. Soudain elle sentir la chaleur des lèvres de Marina se poser dans son cou, à droite, et la chaleur dans son corps augmenta encore. Il n’y avait pas que la bouche de Marina qui la touchait. Du fait qu’elle s’était penchée sur elle, leurs corps se frôlaient, se touchaient un peu plus. La main de Marina n’avait pas relâché son sein et le serrait toujours tendrement. Ses longs cheveux châtains avaient glissé sur sa poitrine et chacun d’eux avaient été une nouvelle caresse. Et puis ces lèvres qui la goûtaient. Si chaudes, si douces, elles glissaient sur sa peau comme une caresse, remontaient depuis son épaule dans son cou.
-"Mmmh"
"Oh, mon Dieu" pensa-t-elle, surprise de n’avoir pas pu retenir un gémissement de plaisir. Elle aimait cela ? Les baisers d’une fille ? Les lèvres qui remontaient dans son cou lui ôtaient le doute au fur et à mesure. C’était bon. Elle aimait cela.
-"J’ai eu envie d’embrasser tes lèvres…" soupira Marina à son oreille.
Un frisson parcourut tout le corps de Pauline. Ses lèvres ? Un vrai baiser ? Maintenant ? Un baiser avec Marina ? Déjà la main sur son sein remontait du côté gauche de son cou, ajoutant encore cette caresse si douce sur sa peau. Elle avait senti le souffle de Marina passer sur son oreille quand elle avait quitté son cou. Tout allait trop vite. Aimait-elle ça ? Voulait-elle continuer ? Déjà, les mains de Marina se posaient sur ses joues et la tournait vers elle. Marina avançait son visage vers le sien. Qu’est-ce qu’elle faisait ? Qu’est-ce qu’il fallait faire ?
Mais sans réfléchir, Pauline ferma les yeux et reçu les lèvres de Marina sur les siennes. Un frisson parcourut à nouveau son corps et elle sentit que c’était pareil pour Marina. Leurs lèvres semblèrent se chercher d’abord, s’effleurer. Le contact n’était pas désagréable. Le baiser d’une fille ? C’était bon aussi. Une fois leurs lèvres habituées l’une à l’autre, le vrai baiser commença. Pauline se surprit à entrouvrir les lèvres, toujours soumise à l’étreinte de Marina. La douceur du baiser lui plaisait. Sans réfléchir, ses mains étaient venues se poser dans le dos de Marina. Elle sentait la peau nue sous ses doigts et elle sentit son ventre se contracter de désir.
Pauline avait soudain senti le bout de la langue de Marina venir caresser ses lèvres timidement. Elle ne l’avait pas repoussée et avait libéré la sienne. Chacune expérimentait ce qu’était un baiser entre filles et aimait cela. Rapidement, leurs bouches s’ouvrirent et leurs langues vinrent danser ensemble. Pauline sentait son souffle s’accélérer, comme celui de Marina. Elle sentait les mains de Marina se serrer sur ses joues, comme les siennes étreignaient plus fort le corps entre ses bras.
Leurs bouches ne se lâchaient plus, si ce n’était pour leur permettre de reprendre leur souffle. Il n’avait fallu qu’un baiser. Comme si chacune avait attendu de vérifier si cela lui plairait. Et elles aimaient cela. Marina avait libéré le visage de Pauline pour enlacer son corps elle aussi. Apres avoir gouté à la langue l’une de l’autre, les deux jeunes filles commençaient à explorer la sensualité de ce baiser nouveau. Elles alternaient des baisers plus légers, comme des caresses sur leurs lèvres, des jeux du bout de leur langue et des danses endiablées, lèvres étroitement jointes.
Pauline sentait la poitrine de Marina s’écraser sur la sienne, ses seins durs contre les siens. Elle ne pouvait retenir des gémissements de plaisir quand la bouche de Marina la prenait. Elle s’accoutumait au contact de la peau féminine sous ses doigts et commençait à en explorer les courbes, se laissant envahir par l’excitation de leurs baisers torrides. Plus de questions, plus de doutes. Seulement le moment présent et le plaisir à la fois débridé et tendre de ce baiser entre filles.
Les mains de Marina caressaient le dos de Pauline et celle-ci pouvait deviner les frissons de plaisir de sa partenaire aux crispations de ses doigts sur sa peau. Marina était clairement dans le même état qu’elle. Les caresses qui parcouraient sa peau donnaient l’impression à Pauline de se fondre en Marina. Elle se donnait à elle, en toute confiance. Marina serrait son corps contre le sien, leur chaleur s’échangeait, leurs gémissements se confondaient. Pauline sentit à peine les doigts de Marina dégrafer son soutien-gorge. Mais elle s’en rendit compte quand sa partenaire s’écarta un peu d’elle et que ses seins se libérèrent du sous-vêtement. D’un geste plein de douceur, de précaution et de désir, Marina fit glisser ses mains sur les épaules de Pauline et entrainant les bretelles du soutien-gorge avec elles. Docile, Pauline se laissa dévêtir, rougissant encore mais plongeant son regard dans celui de Marina. Les deux jeunes filles se regardaient pour la première fois depuis le début de ce baiser et chacune pouvait lire dans le regard de l’autre le feu du désir et l’envie d’explorer ces nouveaux plaisirs.
Elle eut un léger frisson en sentant l’air passer sur ses seins nus. Mais cette sensation fut de courte durée.
"Que tu es belle", avoua Marina en découvrant ses seins. "Laisse-moi les toucher…"
Pour toute réponse, Pauline se mordit la lèvre inférieure en bombant légèrement le torse. Elle sentit son ventre se contracter d’excitation en voyant la pulsion de désir dans les yeux de sa partenaire d’un soir. Marina n’attendait que cette invitation.
Pauline ronronna en sentant les mains de la jeune fille se refermer sur ses seins. Marina fut maladroite d’abord mais trouva rapidement ses marques. Pauline avait l’impression que tout son corps se réduisait à la peau effleurée, caressée, serrée par les doigts agiles de Marina. Ses caresses n’étaient pas celles d’un homme, c’était une sensation nouvelle étrange. Alors que les mains de Tom et des autres garçons semblaient se saisir d’elle et lui arracher du plaisir autant qu’elles en prenaient, la posséder, celles de Marina l’exploraient, la découvraient, se faisaient plus hardies, plus spontanées, plus joueuses aussi. Ces mains découvraient les courbes féminines d’une autre fille mais s’ingéniaient à rechercher les zones, les mouvements procurant du plaisir à Pauline.
La jeune fille soupirait en sentant les mains épouser la forme de son sein, les doigts venir titiller son téton dressé de plaisir. Au fil de la découverte, Marina se faisait plus hardie, saisissant ses seins, les pressant entre ses mains, éprouvant leur volume. Pauline avait fermé à nouveau les yeux et se livrait au plaisir en soupirant. Elle sentait, entre ses cuisses que son minou désirait plus. Toutefois, une nouvelle vague de plaisir vînt la secouer quand elle sentit les longs cheveux de Marina venir caresser son épaule et sa poitrine puis sa bouche chaude se poser à nouveau dans son cou. Encore une fois, Pauline se délecta des lèvres douces et humides de la jeune fille, de ces baisers qui la suçaient et la mordillait en même temps. Déjà, des gémissements s’échappaient de sa gorge sans qu’elle cherche à les retenir. Ses doigts s’étaient glissés dans ces cheveux à l’odeur si entêtante.130