31-12-2020, 07:07 PM
Ils pouvaient éprouver le bien-être d’être serré contre celui et celle qui nous accepte, que rien ne peux éloigner. Quand ils desserrèrent leur étreinte, visage contre visage, ils échangèrent un baiser tendre d’abord qui se mua en baiser sensuel. Leurs langues avaient trouvé le chemin de la bouche de l’autre et dansaient ensemble. Il n’avait fallu que quelques secondes pour que leurs respirations s’accélèrent et leurs mains se crispent sur le corps de l’autre.
Tom sentait son corps se raidir sous l’effet du désir. Il resserra son étreinte contre le corps de Pauline. Elle s’était progressivement laissée glissée de sa position assisse à allongée et Tom, coincé entre ses cuisses, avait suivi le mouvement. Ils étaient l’un sur l’autre et, sans s’en rendre compte, synchronisaient les caresses de leurs corps l’un contre l’autre. Tom avait saisi les mains de Pauline et les tenait de chaque côté de la tête de la jeune fille, davantage dans une volonté de rester serrés l’un contre l’autre que de domination. Quand leurs bouches se quittèrent, celle de Tom glissa dans le cou de sa sœur, lui arrachant des gémissements dont l’intensité montrait l’état d’excitation avancé dans lequel était Pauline.
-"J’ai envie de toi" lui glissa-t-elle à l’oreille, dans un soupir qui ébranla Tom des pieds à la tête.
-"Maman m’a envoyé pour voir si tu allais bien. Je ne sais pas si nous avons beaucoup de temps. "
-"Alors prends-moi maintenant" le supplia-t-elle. "Je suis déjà trempée. "
Relevant la tête avec un sourire taquin, Tom libéra une des mains de sa sœur et glissa la sienne le long du corps de son amoureuse. Une fois entre ses cuisses, il posa ses doigts sur la culotte fine qui s’avéra en effet trempée.
-"On dirait bien oui" confirma-t-il.
Se relevant complètement, Tom fouilla dans la table de chevet et en sortit un préservatif. Alors qu’il allait commencer à retirer son T-shirt, Pauline l’arrêta.
-"Ne te déshabille pas, on n’a pas le temps. Enfile-la et viens en moi" lui demanda-t-elle.
Joignant le geste à la parole, elle avait passé ses mains sous sa jupe et avait fait glisser sa petite culotte blanche le long de ses jambes avant de l’abandonner au pied du lit. Tom n’avait pas perdu de temps non plus. Il avait déboutonné son short et l’avait baissé avec son boxer suffisamment pour libérer sa verge déjà tendue de désir. Une fois le préservatif enfilé, il revînt vers Pauline, qui l’accueillit en écartant les cuisses et les bras.
Sans attendre, il avait présenté son gland à l’entrée des lèvres gonflées de son amante. Dans une parfaite coordination, elle avait enroulé ses jambes autour de sa taille et c’est elle qui le poussa en elle. Elle gémit en sentant Tom entrer en elle jusqu’au bout. Trempée comme elle était, il n’y avait eu aucun mal. Tom pouvait la sentir se contracter autour de lui. Décidemment, Pauline était chaude comme la braise depuis hier.
Il entama un puissant va-et-vient, enivré par le désir et sachant qu’ils avaient peu de temps. Chacun d’eux essayait de contenir ses gémissements, que l’excitation croissante rendait toujours plus intenses. Ils avaient joints leurs bouches pour se bâillonner mutuellement. Pauline avait enlacé le cou de Tom et le gardait contre lui. Lui faisait de grands mouvements des reins lui permettant de ressortir quasiment complètement sa verge avant de l’enfoncer à nouveau en elle. D’ailleurs elle l’assistait dans la pénétration en pressant ses reins contre son minou à chaque qu’il la prenait.
Tout s’accélérait. Pauline se raidissait encore dans ses bras. Lui, presque euphorique de faire à nouveau l’amour à son amoureuse depuis la soirée de la veille, se rapprochait de l’orgasme. Dans ces conditions, ce fut un miracle qu’ils entendent les pas dans le couloir. Quelqu’un venait vers la chambre, c’était sûr. Le temps se figea l’espace d’une seconde. C’est d’un élan commun que Tom se retira de sa sœur et qu’ils se relevèrent du lit. Mais que faire ??! Ils étaient là, au milieu de la chambre, trop rougissants et débraillés pour que ce qu’ils fassent ne soit pas équivoque. Pauline supplia Tom du regard. Dans ces moments-là, la pensée atteint une vitesse rarement égalée. Où se cacher ? Sous le lit ? Trop bas. Derrière la porte ? Trop risqué à deux.
Il ne restait que l’étroit placard encastré dans le mur à côté de leur lit et dans lequel ils avaient pendu leurs affaires. Sans réfléchir à la faisabilité réelle de la chose, Tom empoigna sa sœur et la guida vers le placard. Il ouvrit la porte, tassa les affaires d’un mouvement et de l’autre libéra Pauline qui avait compris le plan. Ils eurent à peine le temps de refermer la porte sur eux que celle de la chambre s’ouvrait. Ils ne pouvaient pas voir qui était venu les voir mais ils pouvaient entendre.
-"Bah, où sont-ils passés ? Je pensais qu’ils étaient montés ? " s’étonna leur mère à haute voix.
-"Ils sont pas là ! " cria le petit cousin Thomas en entrant dans la chambre.
-"Ils sont pas là ! " répéta sa sœur Clémentine en l’accompagnant.
-"Bon, on repart les enfants ! " ordonna leur mère. Mais déjà les enfants avaient pris possession de la chambre qu’ils ne connaissaient pas et se couraient après en sautant sur le lit. "Ok, restez-là pendant que je les cherche encore. Mais après vous redescendez. Et vous ne touchez à rien, c’est promis ? "
-"Promiiiiis" firent les enfants de concert.
Tom et Pauline entendirent les pas de leur mère s’éloigner dans le couloir. Soulagés, ils lâchèrent un soupir ensemble, qu’ils pensèrent à étouffer juste à temps. Ils n’étaient pas encore sortis d’affaire puisque Clémentine et Thomas jouaient à se courir après dans la chambre. Ils pouvaient les entendre passer sur et sous le lit, se courir autour en criant des provocations. Ils n’avaient pas le choix, il fallait attendre.
Pourtant, une fois l’adrénaline de la surprise retombée, le souvenir de l’excitation revînt en eux. Il faut dire que l’étroitesse du placard les maintenait serrés l’un contre l’autre. Les mains de Tom se glissèrent autour de la taille de Pauline et la serrèrent contre son ventre. Pauline put sentir la verge à nouveau gonflée de son frère. D’abord stressée par la situation et les cris des enfants, elle comprit que le feu qui habitait encore son ventre ne demandait qu’à être éteint. Se mordant la lèvre inférieure et elle provoqua Tom du regard en enroulant ses bras autour de son cou.
Autant que possible, Tom l’appuya contre le mur derrière elle, contre les vêtements qu’ils avaient tassés. Le minuscule grincement des cintres sur la tringle leur semblait décuplé dans le secret de leur refuge. Ils se figèrent un instant mais leurs petits cousins ne semblaient pas avoir entendu. Pourtant, il n’était pas question de s’arrêter là. Pauline releva sa jambe droite, ouvrant un passage entre ses cuisses à son frère. Tom saisit sa cuisse et la serra contre sa hanche, glissant ainsi contre sa sœur.
Joueur, il passa d’abord son pénis dressé contre les lèvres trempées de Pauline, la caressant ainsi dans un mouvement sensuel de va-et-vient. Puis, n’y tenant plus, il pointa son gland à l’entrée de son minou et se glissa en elle. Bien sûr, il ne pouvait entrer beaucoup dans cette position, les deux amants faisant presque la même taille. Pourtant, ainsi, sa verge venait presque frotter le clitoris de Pauline, ce qui la rendait folle.
La jeune fille eut à peine le temps d’enfouir son visage dans le cou de Tom avant d’un gémissement ne quitte sa gorge. Tom passa son autre main sur la fesse gauche de sa sœur et la serra contre lui à chacun de ses mouvements de pénétration.
L’atmosphère était torride dans ce placard. Chaque soupir qu’ils retenaient leur semblait un signal au monde entier de leur plaisir. Avec une prise de conscience assez diffuse du risque encouru, ils ne comprenaient pas comment les enfants ne pouvaient pas les entendre. Les ongles de Pauline griffaient les épaules de Tom tant elle essayait de se maintenir debout. La situation, et leur position sans doute, avaient décuplé leur plaisir. Tom se délectait de cet angle de pénétration et ne retenait pas ses coups de reins. Il sentait que Pauline faiblissait sous le plaisir et luttait pour rester debout. Pourtant, il a prenait encore et encore, s’enivrant de la chaleur étouffante du placard.
Tom sentait son corps se raidir sous l’effet du désir. Il resserra son étreinte contre le corps de Pauline. Elle s’était progressivement laissée glissée de sa position assisse à allongée et Tom, coincé entre ses cuisses, avait suivi le mouvement. Ils étaient l’un sur l’autre et, sans s’en rendre compte, synchronisaient les caresses de leurs corps l’un contre l’autre. Tom avait saisi les mains de Pauline et les tenait de chaque côté de la tête de la jeune fille, davantage dans une volonté de rester serrés l’un contre l’autre que de domination. Quand leurs bouches se quittèrent, celle de Tom glissa dans le cou de sa sœur, lui arrachant des gémissements dont l’intensité montrait l’état d’excitation avancé dans lequel était Pauline.
-"J’ai envie de toi" lui glissa-t-elle à l’oreille, dans un soupir qui ébranla Tom des pieds à la tête.
-"Maman m’a envoyé pour voir si tu allais bien. Je ne sais pas si nous avons beaucoup de temps. "
-"Alors prends-moi maintenant" le supplia-t-elle. "Je suis déjà trempée. "
Relevant la tête avec un sourire taquin, Tom libéra une des mains de sa sœur et glissa la sienne le long du corps de son amoureuse. Une fois entre ses cuisses, il posa ses doigts sur la culotte fine qui s’avéra en effet trempée.
-"On dirait bien oui" confirma-t-il.
Se relevant complètement, Tom fouilla dans la table de chevet et en sortit un préservatif. Alors qu’il allait commencer à retirer son T-shirt, Pauline l’arrêta.
-"Ne te déshabille pas, on n’a pas le temps. Enfile-la et viens en moi" lui demanda-t-elle.
Joignant le geste à la parole, elle avait passé ses mains sous sa jupe et avait fait glisser sa petite culotte blanche le long de ses jambes avant de l’abandonner au pied du lit. Tom n’avait pas perdu de temps non plus. Il avait déboutonné son short et l’avait baissé avec son boxer suffisamment pour libérer sa verge déjà tendue de désir. Une fois le préservatif enfilé, il revînt vers Pauline, qui l’accueillit en écartant les cuisses et les bras.
Sans attendre, il avait présenté son gland à l’entrée des lèvres gonflées de son amante. Dans une parfaite coordination, elle avait enroulé ses jambes autour de sa taille et c’est elle qui le poussa en elle. Elle gémit en sentant Tom entrer en elle jusqu’au bout. Trempée comme elle était, il n’y avait eu aucun mal. Tom pouvait la sentir se contracter autour de lui. Décidemment, Pauline était chaude comme la braise depuis hier.
Il entama un puissant va-et-vient, enivré par le désir et sachant qu’ils avaient peu de temps. Chacun d’eux essayait de contenir ses gémissements, que l’excitation croissante rendait toujours plus intenses. Ils avaient joints leurs bouches pour se bâillonner mutuellement. Pauline avait enlacé le cou de Tom et le gardait contre lui. Lui faisait de grands mouvements des reins lui permettant de ressortir quasiment complètement sa verge avant de l’enfoncer à nouveau en elle. D’ailleurs elle l’assistait dans la pénétration en pressant ses reins contre son minou à chaque qu’il la prenait.
Tout s’accélérait. Pauline se raidissait encore dans ses bras. Lui, presque euphorique de faire à nouveau l’amour à son amoureuse depuis la soirée de la veille, se rapprochait de l’orgasme. Dans ces conditions, ce fut un miracle qu’ils entendent les pas dans le couloir. Quelqu’un venait vers la chambre, c’était sûr. Le temps se figea l’espace d’une seconde. C’est d’un élan commun que Tom se retira de sa sœur et qu’ils se relevèrent du lit. Mais que faire ??! Ils étaient là, au milieu de la chambre, trop rougissants et débraillés pour que ce qu’ils fassent ne soit pas équivoque. Pauline supplia Tom du regard. Dans ces moments-là, la pensée atteint une vitesse rarement égalée. Où se cacher ? Sous le lit ? Trop bas. Derrière la porte ? Trop risqué à deux.
Il ne restait que l’étroit placard encastré dans le mur à côté de leur lit et dans lequel ils avaient pendu leurs affaires. Sans réfléchir à la faisabilité réelle de la chose, Tom empoigna sa sœur et la guida vers le placard. Il ouvrit la porte, tassa les affaires d’un mouvement et de l’autre libéra Pauline qui avait compris le plan. Ils eurent à peine le temps de refermer la porte sur eux que celle de la chambre s’ouvrait. Ils ne pouvaient pas voir qui était venu les voir mais ils pouvaient entendre.
-"Bah, où sont-ils passés ? Je pensais qu’ils étaient montés ? " s’étonna leur mère à haute voix.
-"Ils sont pas là ! " cria le petit cousin Thomas en entrant dans la chambre.
-"Ils sont pas là ! " répéta sa sœur Clémentine en l’accompagnant.
-"Bon, on repart les enfants ! " ordonna leur mère. Mais déjà les enfants avaient pris possession de la chambre qu’ils ne connaissaient pas et se couraient après en sautant sur le lit. "Ok, restez-là pendant que je les cherche encore. Mais après vous redescendez. Et vous ne touchez à rien, c’est promis ? "
-"Promiiiiis" firent les enfants de concert.
Tom et Pauline entendirent les pas de leur mère s’éloigner dans le couloir. Soulagés, ils lâchèrent un soupir ensemble, qu’ils pensèrent à étouffer juste à temps. Ils n’étaient pas encore sortis d’affaire puisque Clémentine et Thomas jouaient à se courir après dans la chambre. Ils pouvaient les entendre passer sur et sous le lit, se courir autour en criant des provocations. Ils n’avaient pas le choix, il fallait attendre.
Pourtant, une fois l’adrénaline de la surprise retombée, le souvenir de l’excitation revînt en eux. Il faut dire que l’étroitesse du placard les maintenait serrés l’un contre l’autre. Les mains de Tom se glissèrent autour de la taille de Pauline et la serrèrent contre son ventre. Pauline put sentir la verge à nouveau gonflée de son frère. D’abord stressée par la situation et les cris des enfants, elle comprit que le feu qui habitait encore son ventre ne demandait qu’à être éteint. Se mordant la lèvre inférieure et elle provoqua Tom du regard en enroulant ses bras autour de son cou.
Autant que possible, Tom l’appuya contre le mur derrière elle, contre les vêtements qu’ils avaient tassés. Le minuscule grincement des cintres sur la tringle leur semblait décuplé dans le secret de leur refuge. Ils se figèrent un instant mais leurs petits cousins ne semblaient pas avoir entendu. Pourtant, il n’était pas question de s’arrêter là. Pauline releva sa jambe droite, ouvrant un passage entre ses cuisses à son frère. Tom saisit sa cuisse et la serra contre sa hanche, glissant ainsi contre sa sœur.
Joueur, il passa d’abord son pénis dressé contre les lèvres trempées de Pauline, la caressant ainsi dans un mouvement sensuel de va-et-vient. Puis, n’y tenant plus, il pointa son gland à l’entrée de son minou et se glissa en elle. Bien sûr, il ne pouvait entrer beaucoup dans cette position, les deux amants faisant presque la même taille. Pourtant, ainsi, sa verge venait presque frotter le clitoris de Pauline, ce qui la rendait folle.
La jeune fille eut à peine le temps d’enfouir son visage dans le cou de Tom avant d’un gémissement ne quitte sa gorge. Tom passa son autre main sur la fesse gauche de sa sœur et la serra contre lui à chacun de ses mouvements de pénétration.
L’atmosphère était torride dans ce placard. Chaque soupir qu’ils retenaient leur semblait un signal au monde entier de leur plaisir. Avec une prise de conscience assez diffuse du risque encouru, ils ne comprenaient pas comment les enfants ne pouvaient pas les entendre. Les ongles de Pauline griffaient les épaules de Tom tant elle essayait de se maintenir debout. La situation, et leur position sans doute, avaient décuplé leur plaisir. Tom se délectait de cet angle de pénétration et ne retenait pas ses coups de reins. Il sentait que Pauline faiblissait sous le plaisir et luttait pour rester debout. Pourtant, il a prenait encore et encore, s’enivrant de la chaleur étouffante du placard.