26-12-2020, 08:23 PM
Je fis de même. Chapitre 2 : Première soirée
Marie brisa enfin un silence qui s'était installé de façon gênante après cet échange.
- Haha, je vois dans le magazine que 90% des 15-18 ans ont une copine ou un copain.
- Et alors ? répondis-je.
- Et alors ? Je me demandais si tu faisais partie des 90%.
Touché. Deuxième fois.
- Non plutôt des 10% depuis pas mal de temps...
- Sans déconner ? Moi qui te trouve plutôt mignon...
C'est gentil, et je rougis encore un peu plus.
- Ne t'inquiète pas, s'empressa-t-elle d'ajouter devinant ma gêne, moi non plus je ne trouve personne, enfin... personne ne veut de moi.
- Et pourtant ! Toi aussi tu es mignonne Marie ! Pourquoi tu ne trouves personne, tu n'as que l'embarras du choix !
Première torpille dans son camp, deux à un pour elle du coup.
- T'es un amour de me dire dire ça, mais bon soit ils sont cons, soit ils ne sont pas mon genre.
- Ah, et c'est quoi ton genre ? demandai-je.
Je sentis la discussion déraper.
- Et bien en fait... Un peu ton genre ! me dit-elle en souriant.
Elle avait dérapé.
Sans comprendre vraiment pourquoi, cette remarque me fit un bien fou, comme si de nouvelles portes s'ouvraient en moi.
- Je peux allumer la télé ?
- Oh oui, je laisse tomber ce magazine qui me fait déprimer, soupira Marie.
Les émissions n'étaient pas vraiment pas fameuses et finalement Marie me dit :
- Tu te souviens la dernière fois ? On avait regardé un porno.
Et comment que je m'en souvenais.
- Oui, je m'en souviens très bien.
Observer et attendre ce qu'elle me propose.
- T'en as regardé d'autres depuis ? continua-t-elle.
- Ouais... Enfin vite fait, c'est pas dur avec internet maintenant.
- J'en étais sûre ! Enfin si ça peut te rassurer, moi aussi, et j'en ai ramené un si ca te dit...
Coincé. L'an dernier elle était allé le chaparder tout en haut de la bibliothèque de la chambre de ses parents, un porno classique, mais très excitant pour les novices que nous étions. Nous l'avions regardé toute la nuit les yeux grands ouverts. Le DVD devait avoir des petits copains là-haut.
- Oui, ca sera toujours plus intéressant que ce documentaire sur les félins, répondais-je en guise d'excuse.
- Oui bien sûr ! m'ajouta-t-elle innocemment.
Elle me sourit, se leva, et sortit le DVD de dessous son matelas.
- T'en as d'autres trucs cachés là-dessous ? la taquinai-je. C'est une super planque pour tous les trucs pas propres que tu subtilises.
- Si tu savais.
Elle inséra le DVD dans le lecteur sous la télé et revient s'assoir sur son lit, à côté du mien.
Le gros avantage de la pièce ou nous étions, c'était qu'elle était calfeutrée et nous isolait complètement du reste de la maison, ce qui avait bien sûr facilité nos discussions la nuit ou nous n'étions pas très discrets par nos rires.
- Et voilà !
- Tu l'as déjà regardé ? lui demandai-je.
- Non, j'ai attendu que tu sois là, c'est pas marrant toute seule.
Elle semblait très excitée, le sentiment d'interdit sans doute. Ouais ça devait être ça.
Le film se lança, Marie la télécommande à la main sur son lit, et moi comme un idiot sur le mien, prêt à affronter Dame Nature.
A plat ventre, c'était le mieux. c'était le plus simple pour cacher une érection qui arriverait bientôt, et me mettre sous la couette aurait attiré l'attention, mais la position se révéla vite inconfortable pour des raisons anatomiques évidentes. Je mis sur le côté en espérant pouvoir me contrôler.
La scène débuta avec un scénario des plus classiques. L'actrice, belle, blonde, avec une magnifique poitrine, commença à se déshabiller, de façon langoureuse. Bon sang qu'elle en jetait. L'érection se fit plus forte.
Je jetai un coup d'œil à Marie, qui elle, dévorait des yeux l'acteur, qui avait sans doute passé son casting avec succès niveau mensurations. Ça y est ils étaient nus, la fille se lança dans une fellation en très gros plan.
- Pas mal les acteurs, soufflai-je.
- C'est vrai, enfin pour ce qu'ils font j'en sais rien, j'ai jamais été aussi loin, par contre, si tu parles du physique, c'est vrai ils sont pas mal, le mec me plait, il en a une bien belle, répondit-elle sans quitter l'écran des yeux.
Première confidence.
- Oh moi aussi, je suis encore puceau, tu sais j'ai jamais été plus loin que les bisous...
- Ha ça me fait plaisir ! s'écria-t-elle en se tournant vers moi, je vais pouvoir en parler avec toi, on est sur un pied d'égalité. Et puis mes copines sont soit trop coincées, soit elles l'ont déjà fait refusent d'en parler.
- C'est dommage quand même.
Pendant ce temps, les choses sérieuses avaient débuté, la fille était en levrette et l'homme semblait ne plus pouvoir s'arrêter de lui rentrer son sexe, le ressortir, le remettre, et ainsi de suite.
Marie fit une pause sur le pénis de l'acteur, bien gros, le pénis standard d'acteur porno.
- La vache c'est quand même gros une bite !
- Bah toutes ne sont pas comme ca, là le mec c'est un professionnel, y en a de toutes les tailles, on est pas tous montés comme ça, faut pas que ça te fasse peur !
- J'ai pas peur ! dit-elle sur un ton de défi.
Elle s'empressa de remettre le film en route, et l'acteur continua tranquillement ses va-et-vient.
- Tu te branles ? me lâche-t-elle soudain.
Elle eut alors l'air de la fille qui a le sentiment d'être allée trop loin, je répondis très rapidement :
- Oui. Et toi tu te masturbes ?
Reçu, renvoyé.
Ce fut à moi d'avoir l'impression d'être allé trop loin.
- Oui.
L'atmosphère se fit plus électrique. Chapitre 2 (bis) : Première soirée (bis)
Marie me regarda en biais.
-J'ai jamais vu un garçon se branler...
Il y avait une question dans cette affirmation. Elle voulait voir mon sexe, et me voir m'en servir. C'était la première fois qu'on me demandait ça, c'était Marie. Merde.
C'est à partir de là que ça a commencé à déraper. La porte s'était grande ouverte, et l'exitation me la fit franchir, mais bien sûr, j'allais moi aussi en profiter...
Cette fois ci, j'allais jouer le jeu de Marie :
- Bah si tu veux... J'te montre, mais ça serait injuste que ça soit à sens unique... dis-je d'un ton innocent.
Marie se retourna, un sourire au lèvre, le même qu'elle affichait au moment de mettre le porno sur "play", j'avais l'impression qu'elle savourait ce moment alors qu'elle n'avait encore rien vu.
Elle répondit simplement :
- Si tu montres je te montre aussi.
C'était honnête. Elle avait le même ton innocent, on aurait dit deux personnes parlant de la pluie et du beau temps... Ça devenait dingue.
Après cette phrase Marie mit de nouveau sur pause le film porno, nous nous regardions, sans nous quitter des yeux pendant un petit moment, personne n'osant initier la manœuvre.
-Bon alors, ca te dis ? finit-elle par demander.
Bien sûr que ça me disait. Une appréhension m'envahit, juste le temps d'être chassée par l'excitation qui était bien plus forte, j'avais confiance, c'était Marie, je répondis calmement :
- Honneur aux dames !
Autant voir en premier, mais Marie me regarda d'un air bizarre.Oui elle avait raison, mon attitude était très étrange, j'eus soudain honte d'avoir proposé ça, mais après tout c'est elle qui avait commencé !
- Ah non en même temps alors ! me dit Marie avec un grand sourire.
Le marché était équitable. J'opinai du chef.
- 3, 2, 1 !
Marie et moi nous déshabillâmes, je calais mon rythme au sien pour qu'elle enlève sa robe de chambre et ses deux sous vêtements de le même laps de temps qu'il me fallut pour retirer mon short short et mon boxer.
Quand elle enleva sa robe de chambre, je ne fis pas mine de détourner le regard.
Nous fûmes en sous-vêtements, prêts à franchir la frontière interdite.
- Oh Oh, ca a grandi depuis tout à l'heure, s'exclama-t-elle en voyant la bosse de mon boxer, c'est moi qui te mes dans un état comme ca ?
Je ne répondis pas, car en même temps elle venait d'enlever son soutien-gorge, je devenais rouge, mais à cause de sa question, ou à cause de ses magnifiques seins ?
Nous enlevâmes nos bas restants en même temps.
Nous restâmes debout pas mal de temps, sans quitter le sexe de l'un ou de l'autre des yeux.
Puis je dis :
- Tu es très belle !
En effet, ses seins, étaient magnifiques, et son sexe était rasé en "ticket de métro", si j'en crois les sites spécialisés, moi qui n'en avait jamais vu, en vrai, me voilà comblé, à à peine un mètre devant moi, le paradis à une longueur de bras.
Marie me regarda enfin dans les yeux et me répondit :
- Merci, t'es pas mal, c'est vraiment grand, c'est mieux en vrai que sur les films !
Elle ne le quitta pas des yeux, je fis de même pour elle, d'un coup elle s'assit, et je fis de même.
Rien de plus ? Elle quitta enfin mon corps des yeux, et remit le film en route. Elle avait surement une autre idée, car après trente secondes, elle me demanda :
- D'habitude tu te masturbes devant un porno ?
- Oui ca m'arrive.
- Moi aussi, ca serait pas mieux de le faire ensemble pour tester ? Comme ca je verrai comment tu fais et vice versa...
Ben voyons.
- Bah oui, c'est d'ailleurs ce que j'allais te proposer !
Marie brisa enfin un silence qui s'était installé de façon gênante après cet échange.
- Haha, je vois dans le magazine que 90% des 15-18 ans ont une copine ou un copain.
- Et alors ? répondis-je.
- Et alors ? Je me demandais si tu faisais partie des 90%.
Touché. Deuxième fois.
- Non plutôt des 10% depuis pas mal de temps...
- Sans déconner ? Moi qui te trouve plutôt mignon...
C'est gentil, et je rougis encore un peu plus.
- Ne t'inquiète pas, s'empressa-t-elle d'ajouter devinant ma gêne, moi non plus je ne trouve personne, enfin... personne ne veut de moi.
- Et pourtant ! Toi aussi tu es mignonne Marie ! Pourquoi tu ne trouves personne, tu n'as que l'embarras du choix !
Première torpille dans son camp, deux à un pour elle du coup.
- T'es un amour de me dire dire ça, mais bon soit ils sont cons, soit ils ne sont pas mon genre.
- Ah, et c'est quoi ton genre ? demandai-je.
Je sentis la discussion déraper.
- Et bien en fait... Un peu ton genre ! me dit-elle en souriant.
Elle avait dérapé.
Sans comprendre vraiment pourquoi, cette remarque me fit un bien fou, comme si de nouvelles portes s'ouvraient en moi.
- Je peux allumer la télé ?
- Oh oui, je laisse tomber ce magazine qui me fait déprimer, soupira Marie.
Les émissions n'étaient pas vraiment pas fameuses et finalement Marie me dit :
- Tu te souviens la dernière fois ? On avait regardé un porno.
Et comment que je m'en souvenais.
- Oui, je m'en souviens très bien.
Observer et attendre ce qu'elle me propose.
- T'en as regardé d'autres depuis ? continua-t-elle.
- Ouais... Enfin vite fait, c'est pas dur avec internet maintenant.
- J'en étais sûre ! Enfin si ça peut te rassurer, moi aussi, et j'en ai ramené un si ca te dit...
Coincé. L'an dernier elle était allé le chaparder tout en haut de la bibliothèque de la chambre de ses parents, un porno classique, mais très excitant pour les novices que nous étions. Nous l'avions regardé toute la nuit les yeux grands ouverts. Le DVD devait avoir des petits copains là-haut.
- Oui, ca sera toujours plus intéressant que ce documentaire sur les félins, répondais-je en guise d'excuse.
- Oui bien sûr ! m'ajouta-t-elle innocemment.
Elle me sourit, se leva, et sortit le DVD de dessous son matelas.
- T'en as d'autres trucs cachés là-dessous ? la taquinai-je. C'est une super planque pour tous les trucs pas propres que tu subtilises.
- Si tu savais.
Elle inséra le DVD dans le lecteur sous la télé et revient s'assoir sur son lit, à côté du mien.
Le gros avantage de la pièce ou nous étions, c'était qu'elle était calfeutrée et nous isolait complètement du reste de la maison, ce qui avait bien sûr facilité nos discussions la nuit ou nous n'étions pas très discrets par nos rires.
- Et voilà !
- Tu l'as déjà regardé ? lui demandai-je.
- Non, j'ai attendu que tu sois là, c'est pas marrant toute seule.
Elle semblait très excitée, le sentiment d'interdit sans doute. Ouais ça devait être ça.
Le film se lança, Marie la télécommande à la main sur son lit, et moi comme un idiot sur le mien, prêt à affronter Dame Nature.
A plat ventre, c'était le mieux. c'était le plus simple pour cacher une érection qui arriverait bientôt, et me mettre sous la couette aurait attiré l'attention, mais la position se révéla vite inconfortable pour des raisons anatomiques évidentes. Je mis sur le côté en espérant pouvoir me contrôler.
La scène débuta avec un scénario des plus classiques. L'actrice, belle, blonde, avec une magnifique poitrine, commença à se déshabiller, de façon langoureuse. Bon sang qu'elle en jetait. L'érection se fit plus forte.
Je jetai un coup d'œil à Marie, qui elle, dévorait des yeux l'acteur, qui avait sans doute passé son casting avec succès niveau mensurations. Ça y est ils étaient nus, la fille se lança dans une fellation en très gros plan.
- Pas mal les acteurs, soufflai-je.
- C'est vrai, enfin pour ce qu'ils font j'en sais rien, j'ai jamais été aussi loin, par contre, si tu parles du physique, c'est vrai ils sont pas mal, le mec me plait, il en a une bien belle, répondit-elle sans quitter l'écran des yeux.
Première confidence.
- Oh moi aussi, je suis encore puceau, tu sais j'ai jamais été plus loin que les bisous...
- Ha ça me fait plaisir ! s'écria-t-elle en se tournant vers moi, je vais pouvoir en parler avec toi, on est sur un pied d'égalité. Et puis mes copines sont soit trop coincées, soit elles l'ont déjà fait refusent d'en parler.
- C'est dommage quand même.
Pendant ce temps, les choses sérieuses avaient débuté, la fille était en levrette et l'homme semblait ne plus pouvoir s'arrêter de lui rentrer son sexe, le ressortir, le remettre, et ainsi de suite.
Marie fit une pause sur le pénis de l'acteur, bien gros, le pénis standard d'acteur porno.
- La vache c'est quand même gros une bite !
- Bah toutes ne sont pas comme ca, là le mec c'est un professionnel, y en a de toutes les tailles, on est pas tous montés comme ça, faut pas que ça te fasse peur !
- J'ai pas peur ! dit-elle sur un ton de défi.
Elle s'empressa de remettre le film en route, et l'acteur continua tranquillement ses va-et-vient.
- Tu te branles ? me lâche-t-elle soudain.
Elle eut alors l'air de la fille qui a le sentiment d'être allée trop loin, je répondis très rapidement :
- Oui. Et toi tu te masturbes ?
Reçu, renvoyé.
Ce fut à moi d'avoir l'impression d'être allé trop loin.
- Oui.
L'atmosphère se fit plus électrique. Chapitre 2 (bis) : Première soirée (bis)
Marie me regarda en biais.
-J'ai jamais vu un garçon se branler...
Il y avait une question dans cette affirmation. Elle voulait voir mon sexe, et me voir m'en servir. C'était la première fois qu'on me demandait ça, c'était Marie. Merde.
C'est à partir de là que ça a commencé à déraper. La porte s'était grande ouverte, et l'exitation me la fit franchir, mais bien sûr, j'allais moi aussi en profiter...
Cette fois ci, j'allais jouer le jeu de Marie :
- Bah si tu veux... J'te montre, mais ça serait injuste que ça soit à sens unique... dis-je d'un ton innocent.
Marie se retourna, un sourire au lèvre, le même qu'elle affichait au moment de mettre le porno sur "play", j'avais l'impression qu'elle savourait ce moment alors qu'elle n'avait encore rien vu.
Elle répondit simplement :
- Si tu montres je te montre aussi.
C'était honnête. Elle avait le même ton innocent, on aurait dit deux personnes parlant de la pluie et du beau temps... Ça devenait dingue.
Après cette phrase Marie mit de nouveau sur pause le film porno, nous nous regardions, sans nous quitter des yeux pendant un petit moment, personne n'osant initier la manœuvre.
-Bon alors, ca te dis ? finit-elle par demander.
Bien sûr que ça me disait. Une appréhension m'envahit, juste le temps d'être chassée par l'excitation qui était bien plus forte, j'avais confiance, c'était Marie, je répondis calmement :
- Honneur aux dames !
Autant voir en premier, mais Marie me regarda d'un air bizarre.Oui elle avait raison, mon attitude était très étrange, j'eus soudain honte d'avoir proposé ça, mais après tout c'est elle qui avait commencé !
- Ah non en même temps alors ! me dit Marie avec un grand sourire.
Le marché était équitable. J'opinai du chef.
- 3, 2, 1 !
Marie et moi nous déshabillâmes, je calais mon rythme au sien pour qu'elle enlève sa robe de chambre et ses deux sous vêtements de le même laps de temps qu'il me fallut pour retirer mon short short et mon boxer.
Quand elle enleva sa robe de chambre, je ne fis pas mine de détourner le regard.
Nous fûmes en sous-vêtements, prêts à franchir la frontière interdite.
- Oh Oh, ca a grandi depuis tout à l'heure, s'exclama-t-elle en voyant la bosse de mon boxer, c'est moi qui te mes dans un état comme ca ?
Je ne répondis pas, car en même temps elle venait d'enlever son soutien-gorge, je devenais rouge, mais à cause de sa question, ou à cause de ses magnifiques seins ?
Nous enlevâmes nos bas restants en même temps.
Nous restâmes debout pas mal de temps, sans quitter le sexe de l'un ou de l'autre des yeux.
Puis je dis :
- Tu es très belle !
En effet, ses seins, étaient magnifiques, et son sexe était rasé en "ticket de métro", si j'en crois les sites spécialisés, moi qui n'en avait jamais vu, en vrai, me voilà comblé, à à peine un mètre devant moi, le paradis à une longueur de bras.
Marie me regarda enfin dans les yeux et me répondit :
- Merci, t'es pas mal, c'est vraiment grand, c'est mieux en vrai que sur les films !
Elle ne le quitta pas des yeux, je fis de même pour elle, d'un coup elle s'assit, et je fis de même.
Rien de plus ? Elle quitta enfin mon corps des yeux, et remit le film en route. Elle avait surement une autre idée, car après trente secondes, elle me demanda :
- D'habitude tu te masturbes devant un porno ?
- Oui ca m'arrive.
- Moi aussi, ca serait pas mieux de le faire ensemble pour tester ? Comme ca je verrai comment tu fais et vice versa...
Ben voyons.
- Bah oui, c'est d'ailleurs ce que j'allais te proposer !