26-12-2020, 08:13 PM
Ce fut comme si ces mots avaient été la sensation de trop. Tom sentit l’orgasme venir. Marina l’avait aussi senti, son gland palpitant plus fort en elle. Elle aussi allait jouir, ils allaient jouir ensemble. Puis ce fut un déferlement de cris de jouissance. Ils se serrèrent l’un contre l’autre, oubliant tout autour d’eux : les autres couples, les petits cousins qui dormaient, les parents qui risquaient de rentrer. Au fond du ventre de Marina, Tom se contractait et jouissait par saccades puissantes. C’était la 1e fois pour lui que l’orgasme était aussi intense, aussi riche en sensations. La chaleur du minou de Marina, ses muscles qui se contractaient sur lui, il pouvait tout sentir. Marina avait également joui intensément avant de s’abandonner dans les draps, épuisée. Le jeune homme s’était allongé à côté d’elle et ils reprenaient leur souffle au même rythme, lui sa main posée sur le ventre de sa partenaire, elle la tête enfouit dans son cou. Ils s’embrassèrent doucement.
-"C’était génial" finit par dire Tom.
-"Oui, j’en avais tellement envie. Pauline a de la chance."
-"Euuh, tu n’es pas choquée d’avoir compris ça ?"
-"Vous êtes mignons tous les deux, vous avez juste pas eu de chance de naître ainsi."
-"C’est gentil. J’ai de la chance de l’avoir aussi."
-"En tout cas, cette nuit, tu as été à moi ! " ajouta-t-elle avec défi.
Doucement, le sommeil les prit et ils s’endormirent l’un contre l’autre. Pauline et Franck avaient été les derniers à quitter le salon. Comme tous les autres, ils étaient partis nus à travers la maison, emportant avec eux leurs vêtements. Pauline marchait devant Franck. Elle pouvait le sentir tout l’émoi de son cousin. Il ne pouvait s’empêcher d’éteindre sa hanche au détour d’un couloir, d’effleurer ses fesses quand elle marchait devant lui. Elle frissonnait de sentir le désir du jeune homme, son regard sur son corps. En marchant, elle pouvait sentir l’air glisser entre ses cuisses, contre son minou trempé. Cela lançait des frissons qui lui remontaient le dos. Durant cette courte promenade, elle réalisait combien elle était tremblante de désir, combien la transe du jeu l’avait désinhibée. Bon sang, elle avait sucé son cousin devant tout le monde, devant Tom. Et là, elle se dirigeait vers sa chambre pour passer la nuit avec Franck, pour faire…ce qu’ils voulaient, sans qu’on les voie.
Alors qu’elle pensait à cela, Franck la saisit par les hanches alors qu’ils passaient devant la chambre des garçons. Il la sera contre lui. Elle pouvait sentir sa verge en partie gonflée contre ses fesses.
-"Je fais juste une halte pour récupérer des préservatifs dans la salle de bain et je te rejoins" lui murmura-t-il à l’oreille.
Sans lui donner le temps de répondre, il avait déposé un baiser brûlant dans son cou et avant filé par la porte. Elle rejoignit seule sa chambre. Revoir ce sanctuaire, à Tom et elle, repenser à tous les câlins qu’ils y avaient faits, augmentait encore son désir charnel. Inconsciemment, sa main passa sur son ventre nu, son pubis et glissa sur ses lèvres. Elle réalisa combien elle était trempée. Les vagues de plaisir que cette simple caresse avait générées lui rappelèrent depuis combien de temps elle endurait le jeu, proche de l’orgasme. Tout son corps était électrique. Elle voulait…elle voulait…tout ! Elle voulait s’abandonner à ses désirs, ne plus penser, n’être qu’un être sexuel, jouir encore et encore.
C’est à ce moment que Franck entra à son tour dans la chambre et referma la porte derrière lui. Toujours enivrée par ses pensées, Pauline se retourna et avança vers lui d’un pas décidé. Elle lâcha ses vêtements au sol avant de repousser Franck contre le mur, d’attraper ses mains et de les plaquer dans les siennes contre le mur. Sans attendre de réaction de Franck, qui se soumettait joyeusement, elle plaqua sa bouche contre la sienne et lui communiqua tout son désir par un des baisers les plus torrides qu’elle ait donné.
Pauline était enivrée par le désir et l’ascendant qu’elle avait pris sur Franck. Ses seins se serraient contre la poitrine du jeune homme, son ventre contre sa verge tendue. Tout en l’embrassant, elle frottait son corps contre le sien, caressant ses tétons contre sa peau. Elle gémissait de désir dans la bouche de Franck, continuait à faire danser leurs langues. Au fond de son esprit, loin sous les brumes du désir, elle avait peur de quitter sa bouche car elle ne pourrait plus se retenir. Pourtant son bas ventre se contractait d’excitation, ses reins se cambraient pour qu’elle s’écrase toujours plus contre cette verge tant désirée.
Elle ne put résister bien longtemps. Elle relâcha les mains de Franck, laissa ses ongles griffer sa peau tout le long de ses bras puis le long de son torse et de son ventre au fur et à mesure qu’elle s’agenouillait devant lui. Franck se laissait faire en mordant sa lèvre inférieure sous la douce douleur et l’excitation de voir le visage de Pauline devant son sexe.
Quand elle posa ses yeux sur le pénis gonflé du jeune homme, Pauline sentit ses reins se contracter sous le coup de l’excitation intense. Il n’était plus temps de réfléchir devant ce gland rouge de désir. Elle enserra la verge dressée dans sa main droite et enfourna sans attendre le gland de Franck dans sa bouche. Que c’était bon de le sucer à nouveau, de l’aspirer entre ses lèvres, de sentir la verge palpitée dans sa main serrée et Franck qui gémissait au-dessus d’elle. Elle ne le ménageait pas et le pompait littéralement, enfonçant toujours plus loin le gland dans sa bouche. Une petite voix lointaine dans son esprit semblait l’avertir qu’elle perdait le contrôle mais elle la refoulait aussitôt.
Ne tenant plus dans son corps brûlant de désir, Pauline relâcha la verge tendue à l’extrême. Franck soupira presque de soulagement, proche qu’il était de jouir une nouvelle fois. Elle se releva face à lui puis recula sans se retourner, sans le quitter des yeux, jusqu’au lit. Elle s’y allongea sur le dos en gardant son regard dans le sien, puis écarta les cuisses pour l’inviter à la prendre. Elle vit Franck tressaillir et venir la rejoindre d’un pas affamé. Devant elle, il enfila un préservatif qu’il avait amené et monta la rejoindre sur le lit.
Pas de préambule, pas de baiser. Pauline, les bras tendus au-dessus de sa tête, les mains enfouies dans les coussins s’offrait toute entière. Elle sentit le gland de Franck se poser à l’entrée de son minou et glisser en elle sans aucune difficulté. Il la pénétra en une fois, d’une seule poussée et jusqu’à avoir enfoui en elle toute sa verge. Elle avait relevé ses genoux pour lui permettre de le faire. Quand elle le sentit entré à fond, elle lâcha un long gémissement de plaisir, comme si elle avait attendu ce moment toute la soirée. Le plaisir était décuplé. Pour lui aussi. Il restait là, au fond de son ventre, immobile. Elle le sentait palpiter en elle.
Elle l’enserra dans ses bras et lui murmura de la prendre comme il le voulait.
Il n’en fallut pas plus à Franck pour libérer ses reins et entamer un va-et-vient puissant. Le visage enfoui dans le cou de son amant, ses mains crispées dans son dos et ses cuisses largement ouvertes, Pauline tremblait de tout son corps à chaque coup de reins de Franck en elle. Chaque mouvement en elle, chaque pénétration de cette verge dure dans son minou lui faisait trembler le ventre. Elle pouvait se sentir contractée autour de lui, de cet homme qui la prenait enfin. Chaque fois qu’il entrait en elle, une secousse puissante explosait dans son ventre, parcourait son dos, ses seins et explosait dans sa tête. Et chaque fois cette secousse s’amplifiait…encore…encore…toujours plus puissante…noyant son esprit dans une explosion de plaisir sans cesse augmenté.
Comme dans un brouillard, elle sentait que des cris sortaient de sa bouche. Elle les entendait à peine mais devinait qu’ils étaient forts. Ses ongles s’étaient enfoncés dans le dos de Franck, qui continuait à la prendre avec autant de vigueur. Il n’avait fallu qu’une dizaine de pénétration pour la mettre dans cet état. Devant la rapidité de son plaisir et son intensité, elle prit peur et voulut crier à Franck de s’arrêter, d’arrêter, que son corps ne pourrait pas supporter autant de plaisir. Pourtant, ses supplications étaient noyées par ses cris arrachés par chaque coup de rein de Franck.
Elle perdait pieds, serrée contre le corps de Franck, essayant de retenir tout le plaisir contenu durant toute la soirée et qui déferlait enfin dans son corps sans retenue. Mais c’était trop tard, c’était trop…Un ultime coup de rein eut raison de son esprit et elle céda toute entière à l’orgasme monumental qui la secouait des pieds à la tête.
Franck n’avait pas compris l’ampleur du plaisir de Pauline, n’avait pas vu la torture de plaisir charnel qu’elle avait vécu et n’avait durée somme toute d’une minute maximum. Il fut totalement surpris par l’orgasme soudain et démesuré de la jeune fille et la sentait se contracter autour de sa verge avec force.
Comme perdue dans un vertige, Pauline jouissait encore et encore. Franck n’avait pas cessé de la prendre et chaque nouveau coup de son gland dans son ventre décuplait le plaisir qui l’inondait. Ses cris n’étaient mués en un cri long et aigu tandis que tout son corps se raidissait autour de son minou. Elle avait tenté de résister mais elle avait succombé aux décharges qui parcouraient son corps. Chaque coup en elle faisait s’estomper sa conscience. Elle revoyait toute les scènes de la soirée, son minou gonflé frottant sur le tapis du salon, la verge de Anthony devant laquelle elle s’était masturbée, la langue de Franck entre ses fesses puis sa verge dans sa bouche. Elle revoyait tout et jouissait encore et encore…
Elle n’avait pas compris quand cela s’était arrêté. A un moment, elle avait perdu conscience de ce qui se passait. Elle reprenait ses esprits, allongée dans les draps de son lit, son corps encore engourdi. Les douces caresses de Franck, allongé à côté d’elle, faisaient doucement frissonner son corps. Elle réalisait que son visage arborait un sourire radieux, presque hébété et qu’un rire montait dans sa gorge. Elle ne chercha pas à le retenir et son rire clair envahit la chambre et contamina Franck. Tous deux riaient ensemble, comme de beaux amants qui ne pensaient pas au lendemain. Ils riaient de leur abandon l’un à l’autre pour une nuit, riaient de ce qu’ils avaient accompli ensemble, riaient pour remercier la vie d’avoir créé tant de plaisir. Pauline s’était tournée et avait enlacé Franck, se serrant contre lui. Son rire s’était tu dans son cou.
-"C’était génial" finit par dire Tom.
-"Oui, j’en avais tellement envie. Pauline a de la chance."
-"Euuh, tu n’es pas choquée d’avoir compris ça ?"
-"Vous êtes mignons tous les deux, vous avez juste pas eu de chance de naître ainsi."
-"C’est gentil. J’ai de la chance de l’avoir aussi."
-"En tout cas, cette nuit, tu as été à moi ! " ajouta-t-elle avec défi.
Doucement, le sommeil les prit et ils s’endormirent l’un contre l’autre. Pauline et Franck avaient été les derniers à quitter le salon. Comme tous les autres, ils étaient partis nus à travers la maison, emportant avec eux leurs vêtements. Pauline marchait devant Franck. Elle pouvait le sentir tout l’émoi de son cousin. Il ne pouvait s’empêcher d’éteindre sa hanche au détour d’un couloir, d’effleurer ses fesses quand elle marchait devant lui. Elle frissonnait de sentir le désir du jeune homme, son regard sur son corps. En marchant, elle pouvait sentir l’air glisser entre ses cuisses, contre son minou trempé. Cela lançait des frissons qui lui remontaient le dos. Durant cette courte promenade, elle réalisait combien elle était tremblante de désir, combien la transe du jeu l’avait désinhibée. Bon sang, elle avait sucé son cousin devant tout le monde, devant Tom. Et là, elle se dirigeait vers sa chambre pour passer la nuit avec Franck, pour faire…ce qu’ils voulaient, sans qu’on les voie.
Alors qu’elle pensait à cela, Franck la saisit par les hanches alors qu’ils passaient devant la chambre des garçons. Il la sera contre lui. Elle pouvait sentir sa verge en partie gonflée contre ses fesses.
-"Je fais juste une halte pour récupérer des préservatifs dans la salle de bain et je te rejoins" lui murmura-t-il à l’oreille.
Sans lui donner le temps de répondre, il avait déposé un baiser brûlant dans son cou et avant filé par la porte. Elle rejoignit seule sa chambre. Revoir ce sanctuaire, à Tom et elle, repenser à tous les câlins qu’ils y avaient faits, augmentait encore son désir charnel. Inconsciemment, sa main passa sur son ventre nu, son pubis et glissa sur ses lèvres. Elle réalisa combien elle était trempée. Les vagues de plaisir que cette simple caresse avait générées lui rappelèrent depuis combien de temps elle endurait le jeu, proche de l’orgasme. Tout son corps était électrique. Elle voulait…elle voulait…tout ! Elle voulait s’abandonner à ses désirs, ne plus penser, n’être qu’un être sexuel, jouir encore et encore.
C’est à ce moment que Franck entra à son tour dans la chambre et referma la porte derrière lui. Toujours enivrée par ses pensées, Pauline se retourna et avança vers lui d’un pas décidé. Elle lâcha ses vêtements au sol avant de repousser Franck contre le mur, d’attraper ses mains et de les plaquer dans les siennes contre le mur. Sans attendre de réaction de Franck, qui se soumettait joyeusement, elle plaqua sa bouche contre la sienne et lui communiqua tout son désir par un des baisers les plus torrides qu’elle ait donné.
Pauline était enivrée par le désir et l’ascendant qu’elle avait pris sur Franck. Ses seins se serraient contre la poitrine du jeune homme, son ventre contre sa verge tendue. Tout en l’embrassant, elle frottait son corps contre le sien, caressant ses tétons contre sa peau. Elle gémissait de désir dans la bouche de Franck, continuait à faire danser leurs langues. Au fond de son esprit, loin sous les brumes du désir, elle avait peur de quitter sa bouche car elle ne pourrait plus se retenir. Pourtant son bas ventre se contractait d’excitation, ses reins se cambraient pour qu’elle s’écrase toujours plus contre cette verge tant désirée.
Elle ne put résister bien longtemps. Elle relâcha les mains de Franck, laissa ses ongles griffer sa peau tout le long de ses bras puis le long de son torse et de son ventre au fur et à mesure qu’elle s’agenouillait devant lui. Franck se laissait faire en mordant sa lèvre inférieure sous la douce douleur et l’excitation de voir le visage de Pauline devant son sexe.
Quand elle posa ses yeux sur le pénis gonflé du jeune homme, Pauline sentit ses reins se contracter sous le coup de l’excitation intense. Il n’était plus temps de réfléchir devant ce gland rouge de désir. Elle enserra la verge dressée dans sa main droite et enfourna sans attendre le gland de Franck dans sa bouche. Que c’était bon de le sucer à nouveau, de l’aspirer entre ses lèvres, de sentir la verge palpitée dans sa main serrée et Franck qui gémissait au-dessus d’elle. Elle ne le ménageait pas et le pompait littéralement, enfonçant toujours plus loin le gland dans sa bouche. Une petite voix lointaine dans son esprit semblait l’avertir qu’elle perdait le contrôle mais elle la refoulait aussitôt.
Ne tenant plus dans son corps brûlant de désir, Pauline relâcha la verge tendue à l’extrême. Franck soupira presque de soulagement, proche qu’il était de jouir une nouvelle fois. Elle se releva face à lui puis recula sans se retourner, sans le quitter des yeux, jusqu’au lit. Elle s’y allongea sur le dos en gardant son regard dans le sien, puis écarta les cuisses pour l’inviter à la prendre. Elle vit Franck tressaillir et venir la rejoindre d’un pas affamé. Devant elle, il enfila un préservatif qu’il avait amené et monta la rejoindre sur le lit.
Pas de préambule, pas de baiser. Pauline, les bras tendus au-dessus de sa tête, les mains enfouies dans les coussins s’offrait toute entière. Elle sentit le gland de Franck se poser à l’entrée de son minou et glisser en elle sans aucune difficulté. Il la pénétra en une fois, d’une seule poussée et jusqu’à avoir enfoui en elle toute sa verge. Elle avait relevé ses genoux pour lui permettre de le faire. Quand elle le sentit entré à fond, elle lâcha un long gémissement de plaisir, comme si elle avait attendu ce moment toute la soirée. Le plaisir était décuplé. Pour lui aussi. Il restait là, au fond de son ventre, immobile. Elle le sentait palpiter en elle.
Elle l’enserra dans ses bras et lui murmura de la prendre comme il le voulait.
Il n’en fallut pas plus à Franck pour libérer ses reins et entamer un va-et-vient puissant. Le visage enfoui dans le cou de son amant, ses mains crispées dans son dos et ses cuisses largement ouvertes, Pauline tremblait de tout son corps à chaque coup de reins de Franck en elle. Chaque mouvement en elle, chaque pénétration de cette verge dure dans son minou lui faisait trembler le ventre. Elle pouvait se sentir contractée autour de lui, de cet homme qui la prenait enfin. Chaque fois qu’il entrait en elle, une secousse puissante explosait dans son ventre, parcourait son dos, ses seins et explosait dans sa tête. Et chaque fois cette secousse s’amplifiait…encore…encore…toujours plus puissante…noyant son esprit dans une explosion de plaisir sans cesse augmenté.
Comme dans un brouillard, elle sentait que des cris sortaient de sa bouche. Elle les entendait à peine mais devinait qu’ils étaient forts. Ses ongles s’étaient enfoncés dans le dos de Franck, qui continuait à la prendre avec autant de vigueur. Il n’avait fallu qu’une dizaine de pénétration pour la mettre dans cet état. Devant la rapidité de son plaisir et son intensité, elle prit peur et voulut crier à Franck de s’arrêter, d’arrêter, que son corps ne pourrait pas supporter autant de plaisir. Pourtant, ses supplications étaient noyées par ses cris arrachés par chaque coup de rein de Franck.
Elle perdait pieds, serrée contre le corps de Franck, essayant de retenir tout le plaisir contenu durant toute la soirée et qui déferlait enfin dans son corps sans retenue. Mais c’était trop tard, c’était trop…Un ultime coup de rein eut raison de son esprit et elle céda toute entière à l’orgasme monumental qui la secouait des pieds à la tête.
Franck n’avait pas compris l’ampleur du plaisir de Pauline, n’avait pas vu la torture de plaisir charnel qu’elle avait vécu et n’avait durée somme toute d’une minute maximum. Il fut totalement surpris par l’orgasme soudain et démesuré de la jeune fille et la sentait se contracter autour de sa verge avec force.
Comme perdue dans un vertige, Pauline jouissait encore et encore. Franck n’avait pas cessé de la prendre et chaque nouveau coup de son gland dans son ventre décuplait le plaisir qui l’inondait. Ses cris n’étaient mués en un cri long et aigu tandis que tout son corps se raidissait autour de son minou. Elle avait tenté de résister mais elle avait succombé aux décharges qui parcouraient son corps. Chaque coup en elle faisait s’estomper sa conscience. Elle revoyait toute les scènes de la soirée, son minou gonflé frottant sur le tapis du salon, la verge de Anthony devant laquelle elle s’était masturbée, la langue de Franck entre ses fesses puis sa verge dans sa bouche. Elle revoyait tout et jouissait encore et encore…
Elle n’avait pas compris quand cela s’était arrêté. A un moment, elle avait perdu conscience de ce qui se passait. Elle reprenait ses esprits, allongée dans les draps de son lit, son corps encore engourdi. Les douces caresses de Franck, allongé à côté d’elle, faisaient doucement frissonner son corps. Elle réalisait que son visage arborait un sourire radieux, presque hébété et qu’un rire montait dans sa gorge. Elle ne chercha pas à le retenir et son rire clair envahit la chambre et contamina Franck. Tous deux riaient ensemble, comme de beaux amants qui ne pensaient pas au lendemain. Ils riaient de leur abandon l’un à l’autre pour une nuit, riaient de ce qu’ils avaient accompli ensemble, riaient pour remercier la vie d’avoir créé tant de plaisir. Pauline s’était tournée et avait enlacé Franck, se serrant contre lui. Son rire s’était tu dans son cou.