26-12-2020, 08:10 PM
Tom n’avait pas résisté au tressaillement brutal qui l’avait secoué sous le désir ardent que provoquait Marina contre lui. Il l’avait saisi dans ses bras pour l’étreindre fermement, lui faire sentir combien il la désirait. Il se sentait emporté par son désir à présent, dans cette obscurité, devant cette fille qui se dérobait à son regard. Tous ses muscles se bandèrent pour réprimer son élan.
- "Ouiii, je sens ça…"soupira-t-elle dans son cou. "Je suis à toi et tu es à moi pour la nuit…alors viens."
Sur ces mots, elle s’était écartée de Tom et le guida vers le grand lit où elle dormait habituellement avec Sylvia.
L’obscurité régnait toujours dans la pièce, rendant l’atmosphère étrange. Pourtant, l’idée d’allumer la lumière n’avait même pas effleuré Tom. Quelque part dans l’ombre, Marina l’attendait, toute nue, offerte à lui pour la nuit. Ses sens étaient exacerbés, son esprit dans une sorte d’éveil plus large que l’on ne connait qu’une fois privé de la vue. Chaque son qu’il entendait résonnait dans son esprit. Allongée quelque part devant lui, Marina avait soupiré « viens contre moi », à peine audible en temps normal mais un véritable cri dans la tête du jeune homme.
Il avait posé le genou sur le lit et sa peau qui frôlait les draps lui renvoyait de véritables décharges le long du dos. Qu’allait-il se passer quand il oserait la toucher ? Les mots de la jeune fille continuaient de résonner dans sa tête et il semblait guidé par eux.
Sa main gauche rencontra le mollet gauche nu de la jeune fille. Un frisson électrique le parcourut. Il continua à avancer, montant vers elle. Il laissa sa main le guider le long de la jambe de Marina, passa sur genou et glissant sur sa cuisse chaude. La caresse lui faisait bondir le cœur. Il pouvait sentir tout son corps palpiter, jusqu’à son gland gonflé entre ses cuisses. Il montait vers elle, suivant ses courbes de ses doigts, passant sur sa cuisse, effleurant son pubis et passant sur son ventre doux et chaud. Il l’avait senti frissonner sous sa main mais elle n’avait rien dit dans l’obscurité, retenant son souffle.
Tom posa sa main sur le flanc droit de Marina et son genou entre ses cuisses, se tenant ainsi au-dessus d’elle. Chaque centimètre de sa peau en contact avec celle de Marina était électrique et chaud à la fois. Tout à l’heure lorsqu’il avait été entre ses cuisses, cela avait également été dans le noir mais cette fois, personne n’était aux aguets. Cette fois, ce n’était pas pour le jeu. Il était là où il désirait être depuis le début de la soirée : dans le lit de Marina, avec elle pour lui seul.
Elle avait passé ses bras autour de son cou, l’avait attiré plus bas contre elle.
-"Embrasse-moi comme tu l’embrasses, elle" susurra-t-elle.
Et se penchant encore, Tom rencontra les lèvres de Marina pour la 1e fois. Plus rien n’exista au monde, hormis Marina contre lui, la sensation de sa bouche contre la sienne. Il n’était pas question de l’embrasser comme il l’aurait fait avec Pauline car sa sœur avait disparu de son esprit. Il l’embrassait en exprimant tout le désir qu’il avait pour elle, comme si elle était la seule femme au monde pour lui. Elle pouvait le sentir et ses bras se resserrèrent autour du jeune homme, sa bouche s’ouvrit davantage et sa langue vînt danser avec celle de Tom en exprimant toute la sensualité qu’elle avait en elle. Ils pouvaient le sentir malgré l’obscurité : ils brûlaient de désir. Mais pas seulement dû au jeu. Ils brûlaient de désir l’un envers l’autre et cette soirée n’avait été que l’opportunité de laisser ce désir s’exprimer. Ils étaient l’un à l’autre pour toute la nuit.
Sentant cette complicité entre eux, leur sensualité se libéra. Tom ne quittait pas les lèvres de Marina, ses doigts caressant les cheveux, la joue de la jeune fille. Elle le serrait encore plus contre lui, serrant sa poitrine contre le torse de Tom, son pubis contre sa verge tendue. Dans la nuit de cette chambre, leurs soupirs semblaient se perdre, étouffés.
Tom finit par relâcher les lèvres de Marina. Un instant le monde se suspendit entre eux, comme s’ils venaient de prendre conscience de l’ampleur du désir qu’ils avaient relâché pendant ce baiser et qu’ils avaient soudain peur de le laisser aller. Puis le temps reprit son cours, signalant que la menue digue qui les retenait encore venait de rompre délicieusement. Tom enfouit sa bouche dans le cou de Marina, qui retînt à peine un râle de plaisir en saisissant la tête du garçon contre elle. Il pouvait sentir le corps de la jeune fille frissonner contre le sien à chacun de ses baisers, chacune de ses morsures. Sa main étreignait la hanche fine de Marina et remontait vers sa poitrine.
Il avait été charmé dès qu’il l’avait vue, avait été subjugué quand il l’avait découverte nue sous la douche et durant cette soirée et maintenant il pouvait goûter sa peau, chaque parcelle de son corps, suivre chacune de ses courbes, la sentir gémir sous elle. Elle lui susurrait de continuer, qu’elle était à lui.
La main de Tom s’était refermée sur son sein droit et il se délectait de sentir sa forme la remplir. Même s’il adorait les seins de Pauline, ceux de Marina étaient plus pulpeux, plus lourds. Il serra ce sein tendrement, le massa, avant que ses baisers ne viennent seconder ses doigts. Marina, les yeux fermés, le laissait faire et savourait la chaleur de sa bouche. Il la sentit frissonner quand ses lèvres se refermèrent sur ton téton déjà durci par l’excitation et les caresses. Quel plaisir c’était de téter ce sein, de savoir que Marina s’abandonnait à ses caresses. Il titillait le téton de sa langue, le suçait, le mordillait même pour la faire frémir. Sous son ventre, il sentait les hanches de la jeune fille se cambrer quand il l’aspirait entre ses lèvres.
Elle ne parlait plus mais les râles qu’elle laissait échapper et ses doigts qui parcouraient les cheveux de Tom en disaient longs sur son excitation. Presque à regret, Tom relâcha le sein de sa jolie brune. Il voulait lui donner encore plus de plaisir mais aussi parcourir tout son corps de ses caresses et de sa bouche, chose qu’il n’avait pu faire dans le salon tout à l’heure. Marina avait relâché sa tête et enfoui ses mains sous les coussins autour d’elle. Elle se laissait faire et voulait savourer les caresses du jeune homme.
Les baisers de Tom étaient descendus sur son ventre, sa langue goûtait sa peau douce et parfumée par le désir. Ses mains caressaient les flancs de Marina, qui se tordait sous les frissons que cela lui procurait. Quand les baisers de Tom atteignirent le pubis de sa partenaire, il se redressa sur ses genoux, se campa entre les cuisses de la jeune fille. Il sentit qu’elle les écartait en les passant autour de son bassin, s’offrant avec pudeur, voilée dans l’obscurité. Comme un aveugle, il avait envie de la découvrir par le toucher, en entier, pour graver dans son souvenir ce corps qui l’avait fait chavirer.
Il posa à nouveau ses mains sur elle, sur le haut de ses cuisses. Il la sentit tressaillir quand leurs peaux entrèrent à nouveau en contact. Les yeux fermés, comme pour se concentrer plutôt que d’essayer de percer l’obscurité de son regard, Tom commença à parcourir le corps de Marina. Ses mains se firent tantôt douces tantôt plus fermes. Il l’étreignait en même temps qu’il l’enveloppait de caresses. Ses mains saisirent ses hanches, l’attirant contre lui, permettant ainsi à leurs sexes de se presser l’un contre l’autre. Tom pouvait sentir sa verge palpiter contre les lèvres de Marina. Un instant il pensa qu’il lui suffirait d’une poussée pour entrer en elle, autour de lui…mais pour l’instant il savourait de se retenir et de la découvrir lentement. Ils avaient cette unique nuit pour eux et il entendait en profiter pleinement.
Ses mains remontèrent vers les seins de Marina, les enserrèrent, les massèrent. Ils se durcirent encore sous l’excitation. Un peu taquin, il saisit les tétons de la jeune fille pour les pincer sensuellement. Elle gémit en se tordant d’excitation, les mains toujours perdues sous les draps. Les mouvements de Marina faisaient se frotter leurs sexes l’un sur l’autre de manière torride et des frissons parcouraient le dos de Tom. La tension montait encore entre eux. Les doigts de Tom griffaient tendrement maintenant la peau de la jeune fille, la faisant se cambrer. Les mains de Tom parcoururent le corps entier de Marina, la faisant frissonner sans arrêt.
Puis il descendit entre ses cuisses, relâchant son étreinte sur le minou trempé de Marina. Ses caresses suivirent le long de ses cuisses musclées, épousant chaque courbe, laissant la jeune fille dans un état docile. Elle tressaillit en sentant la bouche de Tom se poser à l’intérieur de sa cuisse. Elle susurra un encouragement, soumise à son plaisir. Doucement les baisers de Tom remontèrent le long de sa cuisse pour rejoindre les lèvres trempées par le désir. Sans attendre et poussé lui-même par l’envie de la posséder, Tom engouffra sa langue dans ce minou qu’il connaissait déjà.
La réaction de Marina fut immédiate et elle ne put retenir un cri de plaisir en saisissant la tête du jeune homme entre ses cuisses.
-"Oooh, ouiiii…j’adore ta langue, Tom" soupira-t-elle. "Continue comme ça…"
Galvanisé par les encouragements de Marina, Tom laissa libre court à son désir. Il glissa sa langue en elle, aussi loin qu’il le pouvait, la dévorait. Les reins de Marina se cambrèrent tandis qu’elle le pressait contre son minou en haletant. Il allait et venait en elle, prenant soin de s’attarder sur les zones sensibles qu’il avait découvertes plus tôt. Quand il remonta sa langue sur le clitoris gonflé de Marina, ses doigts se glissèrent à leur tour en elle, pour son plus grand plaisir. Les cris de la jeune fille redoublèrent. Il la pénétrait avec vigueur tout en massant son bouton d’amour de ses lèvres, le suçait, le titillait. Il pouvait sentir les contractions du vagin de Marina autour de ses doigts. Elle prenait son pied et il aimait la sentir ainsi.
- "Ouiii, je sens ça…"soupira-t-elle dans son cou. "Je suis à toi et tu es à moi pour la nuit…alors viens."
Sur ces mots, elle s’était écartée de Tom et le guida vers le grand lit où elle dormait habituellement avec Sylvia.
L’obscurité régnait toujours dans la pièce, rendant l’atmosphère étrange. Pourtant, l’idée d’allumer la lumière n’avait même pas effleuré Tom. Quelque part dans l’ombre, Marina l’attendait, toute nue, offerte à lui pour la nuit. Ses sens étaient exacerbés, son esprit dans une sorte d’éveil plus large que l’on ne connait qu’une fois privé de la vue. Chaque son qu’il entendait résonnait dans son esprit. Allongée quelque part devant lui, Marina avait soupiré « viens contre moi », à peine audible en temps normal mais un véritable cri dans la tête du jeune homme.
Il avait posé le genou sur le lit et sa peau qui frôlait les draps lui renvoyait de véritables décharges le long du dos. Qu’allait-il se passer quand il oserait la toucher ? Les mots de la jeune fille continuaient de résonner dans sa tête et il semblait guidé par eux.
Sa main gauche rencontra le mollet gauche nu de la jeune fille. Un frisson électrique le parcourut. Il continua à avancer, montant vers elle. Il laissa sa main le guider le long de la jambe de Marina, passa sur genou et glissant sur sa cuisse chaude. La caresse lui faisait bondir le cœur. Il pouvait sentir tout son corps palpiter, jusqu’à son gland gonflé entre ses cuisses. Il montait vers elle, suivant ses courbes de ses doigts, passant sur sa cuisse, effleurant son pubis et passant sur son ventre doux et chaud. Il l’avait senti frissonner sous sa main mais elle n’avait rien dit dans l’obscurité, retenant son souffle.
Tom posa sa main sur le flanc droit de Marina et son genou entre ses cuisses, se tenant ainsi au-dessus d’elle. Chaque centimètre de sa peau en contact avec celle de Marina était électrique et chaud à la fois. Tout à l’heure lorsqu’il avait été entre ses cuisses, cela avait également été dans le noir mais cette fois, personne n’était aux aguets. Cette fois, ce n’était pas pour le jeu. Il était là où il désirait être depuis le début de la soirée : dans le lit de Marina, avec elle pour lui seul.
Elle avait passé ses bras autour de son cou, l’avait attiré plus bas contre elle.
-"Embrasse-moi comme tu l’embrasses, elle" susurra-t-elle.
Et se penchant encore, Tom rencontra les lèvres de Marina pour la 1e fois. Plus rien n’exista au monde, hormis Marina contre lui, la sensation de sa bouche contre la sienne. Il n’était pas question de l’embrasser comme il l’aurait fait avec Pauline car sa sœur avait disparu de son esprit. Il l’embrassait en exprimant tout le désir qu’il avait pour elle, comme si elle était la seule femme au monde pour lui. Elle pouvait le sentir et ses bras se resserrèrent autour du jeune homme, sa bouche s’ouvrit davantage et sa langue vînt danser avec celle de Tom en exprimant toute la sensualité qu’elle avait en elle. Ils pouvaient le sentir malgré l’obscurité : ils brûlaient de désir. Mais pas seulement dû au jeu. Ils brûlaient de désir l’un envers l’autre et cette soirée n’avait été que l’opportunité de laisser ce désir s’exprimer. Ils étaient l’un à l’autre pour toute la nuit.
Sentant cette complicité entre eux, leur sensualité se libéra. Tom ne quittait pas les lèvres de Marina, ses doigts caressant les cheveux, la joue de la jeune fille. Elle le serrait encore plus contre lui, serrant sa poitrine contre le torse de Tom, son pubis contre sa verge tendue. Dans la nuit de cette chambre, leurs soupirs semblaient se perdre, étouffés.
Tom finit par relâcher les lèvres de Marina. Un instant le monde se suspendit entre eux, comme s’ils venaient de prendre conscience de l’ampleur du désir qu’ils avaient relâché pendant ce baiser et qu’ils avaient soudain peur de le laisser aller. Puis le temps reprit son cours, signalant que la menue digue qui les retenait encore venait de rompre délicieusement. Tom enfouit sa bouche dans le cou de Marina, qui retînt à peine un râle de plaisir en saisissant la tête du garçon contre elle. Il pouvait sentir le corps de la jeune fille frissonner contre le sien à chacun de ses baisers, chacune de ses morsures. Sa main étreignait la hanche fine de Marina et remontait vers sa poitrine.
Il avait été charmé dès qu’il l’avait vue, avait été subjugué quand il l’avait découverte nue sous la douche et durant cette soirée et maintenant il pouvait goûter sa peau, chaque parcelle de son corps, suivre chacune de ses courbes, la sentir gémir sous elle. Elle lui susurrait de continuer, qu’elle était à lui.
La main de Tom s’était refermée sur son sein droit et il se délectait de sentir sa forme la remplir. Même s’il adorait les seins de Pauline, ceux de Marina étaient plus pulpeux, plus lourds. Il serra ce sein tendrement, le massa, avant que ses baisers ne viennent seconder ses doigts. Marina, les yeux fermés, le laissait faire et savourait la chaleur de sa bouche. Il la sentit frissonner quand ses lèvres se refermèrent sur ton téton déjà durci par l’excitation et les caresses. Quel plaisir c’était de téter ce sein, de savoir que Marina s’abandonnait à ses caresses. Il titillait le téton de sa langue, le suçait, le mordillait même pour la faire frémir. Sous son ventre, il sentait les hanches de la jeune fille se cambrer quand il l’aspirait entre ses lèvres.
Elle ne parlait plus mais les râles qu’elle laissait échapper et ses doigts qui parcouraient les cheveux de Tom en disaient longs sur son excitation. Presque à regret, Tom relâcha le sein de sa jolie brune. Il voulait lui donner encore plus de plaisir mais aussi parcourir tout son corps de ses caresses et de sa bouche, chose qu’il n’avait pu faire dans le salon tout à l’heure. Marina avait relâché sa tête et enfoui ses mains sous les coussins autour d’elle. Elle se laissait faire et voulait savourer les caresses du jeune homme.
Les baisers de Tom étaient descendus sur son ventre, sa langue goûtait sa peau douce et parfumée par le désir. Ses mains caressaient les flancs de Marina, qui se tordait sous les frissons que cela lui procurait. Quand les baisers de Tom atteignirent le pubis de sa partenaire, il se redressa sur ses genoux, se campa entre les cuisses de la jeune fille. Il sentit qu’elle les écartait en les passant autour de son bassin, s’offrant avec pudeur, voilée dans l’obscurité. Comme un aveugle, il avait envie de la découvrir par le toucher, en entier, pour graver dans son souvenir ce corps qui l’avait fait chavirer.
Il posa à nouveau ses mains sur elle, sur le haut de ses cuisses. Il la sentit tressaillir quand leurs peaux entrèrent à nouveau en contact. Les yeux fermés, comme pour se concentrer plutôt que d’essayer de percer l’obscurité de son regard, Tom commença à parcourir le corps de Marina. Ses mains se firent tantôt douces tantôt plus fermes. Il l’étreignait en même temps qu’il l’enveloppait de caresses. Ses mains saisirent ses hanches, l’attirant contre lui, permettant ainsi à leurs sexes de se presser l’un contre l’autre. Tom pouvait sentir sa verge palpiter contre les lèvres de Marina. Un instant il pensa qu’il lui suffirait d’une poussée pour entrer en elle, autour de lui…mais pour l’instant il savourait de se retenir et de la découvrir lentement. Ils avaient cette unique nuit pour eux et il entendait en profiter pleinement.
Ses mains remontèrent vers les seins de Marina, les enserrèrent, les massèrent. Ils se durcirent encore sous l’excitation. Un peu taquin, il saisit les tétons de la jeune fille pour les pincer sensuellement. Elle gémit en se tordant d’excitation, les mains toujours perdues sous les draps. Les mouvements de Marina faisaient se frotter leurs sexes l’un sur l’autre de manière torride et des frissons parcouraient le dos de Tom. La tension montait encore entre eux. Les doigts de Tom griffaient tendrement maintenant la peau de la jeune fille, la faisant se cambrer. Les mains de Tom parcoururent le corps entier de Marina, la faisant frissonner sans arrêt.
Puis il descendit entre ses cuisses, relâchant son étreinte sur le minou trempé de Marina. Ses caresses suivirent le long de ses cuisses musclées, épousant chaque courbe, laissant la jeune fille dans un état docile. Elle tressaillit en sentant la bouche de Tom se poser à l’intérieur de sa cuisse. Elle susurra un encouragement, soumise à son plaisir. Doucement les baisers de Tom remontèrent le long de sa cuisse pour rejoindre les lèvres trempées par le désir. Sans attendre et poussé lui-même par l’envie de la posséder, Tom engouffra sa langue dans ce minou qu’il connaissait déjà.
La réaction de Marina fut immédiate et elle ne put retenir un cri de plaisir en saisissant la tête du jeune homme entre ses cuisses.
-"Oooh, ouiiii…j’adore ta langue, Tom" soupira-t-elle. "Continue comme ça…"
Galvanisé par les encouragements de Marina, Tom laissa libre court à son désir. Il glissa sa langue en elle, aussi loin qu’il le pouvait, la dévorait. Les reins de Marina se cambrèrent tandis qu’elle le pressait contre son minou en haletant. Il allait et venait en elle, prenant soin de s’attarder sur les zones sensibles qu’il avait découvertes plus tôt. Quand il remonta sa langue sur le clitoris gonflé de Marina, ses doigts se glissèrent à leur tour en elle, pour son plus grand plaisir. Les cris de la jeune fille redoublèrent. Il la pénétrait avec vigueur tout en massant son bouton d’amour de ses lèvres, le suçait, le titillait. Il pouvait sentir les contractions du vagin de Marina autour de ses doigts. Elle prenait son pied et il aimait la sentir ainsi.