26-12-2020, 07:44 PM
- Tu veux commencer comment aujourd'hui ? demande Claire. Je te laisse choisir.
- Tu peux te mettre face au mur s'il te plait ?
Claire sourit en comprenant où je veux en venir puis elle se positionne face au mur de la salle, à côté du tableau. Elle se tient au mur avec ses mains et se penche légèrement en avant pour faire ressortir ses fesses. Je me place derrière elle. Mon cœur accélère d'un seul coup comme si je venais de réaliser. Nous sommes nus dans une salle de classe et je m'apprête à prendre Claire. Mon gland rentre en contact avec la chatte de ma cousine que je sens frissonner. Je fait glisser mon sexe dans le vagin de Claire, il y rentre centimètre par centimètre. Puis quand je suis complètement à l'intérieur d'elle, je pose mes mains sur ses hanches et je commence des va-et-vient.
C'est la première fois que Claire et moi nous baisons en plein jour. Et je crois que c'est encore mieux. Dans la lumière je peux admirer chaque détail de son corps. Ses hanches et son dos qui vibrent à chaque coup de rein, sa nuque, ses cheveux blonds, la couleur de sa peau. Tout le spectacle se son corps s'offre à moi dans la lumière du soleil. Mais déjà je panique. Comme à chaque fois, Claire m'intimide et j'ai peur de ne pas la satisfaire. Alors je fais n'importe quoi. Dès son premier soupir de plaisir, la machine s'emballe et je perds le contrôle. Mes mouvements de bassin sont beaucoup trop rapides et imprécis, leur rythme est chaotique. Et j'ai l'impression d'être déjà sur le point de jouir. Dans un effort surhumain, je retire mon sexe et je prends de grandes inspirations pour me calmer.
- Tu vas y arriver, me dit Claire. C'est très bien pour l'instant. Essaye juste de rester bien régulier.
Les encouragements me font chaud au cœur et je me remets en position. Cette fois, je suis calme. Mon sexe rentre d'un seul coup et très facilement dans la chatte de ma cousine. Je pose à nouveau les mains sur ses hanches et je reprends mon rythme. A chaque mouvement, mon bassin claque contre les fesses de Claire qui deviennent rouges. Des décharges de plaisir me traversent tout le corps. Plusieurs fois, je ralentis pour ne pas jouir trop vite.
- Ahhhh...
Claire pousse un premier gémissement. Elle soupire de plaisir depuis un moment déjà mais c'est son premier gémissement et c'est déjà une victoire pour moi. Ca veux dire qu'elle prend son pied autant que moi et aussi, ça veut dire que je progresse et je suis assez fier !
- Ahhhh Cyril c'est vraiment bon là...
Sa voix est légèrement plus aiguë que d'habitude. Mais je vois qu'elle se force à gémir à voix basse. Il ne faudrait pas oublier que nous sommes au lycée et qu'on pourrait nous surprendre... En tout cas je tiens le bon bout. Claire gigote et bouge ses fessés d'avant en arrière pour accentuer la pénétration. Mais je ralentis mes mouvements pour faire durer son plaisir et le mien. Je fixe des yeux le dos de Claire. Il est lisse, légèrement bronzé, piqué ça et là de petits grains de beauté. La marque légère de sa colonne vertébrale descend gracieusement jusqu'à ses fesses qui n'en finissent plus de claque contre mon ventre au rythme de mes va-et-vient. Ma cousine, toujours en appui contre le mur, est cambrée de plaisir. Et j'ai presque du mal à croire que c'est moi qui lui fait autant de bien. Mon plaisir à moi est de plus en plus intense et mon sexe est bouillant. J'ai l'impression que je vais jouir d'une seconde à l'autre mais je fais tout ce que je peux pour me retenir. Mes mains remontent sur les côtes de Claire puis j'attrape ses seins par en dessous. Je les sers entres mes doigts et je m'appuie sur eux pour stabiliser mes mouvements. La tête de Claire part légèrement en arrière puis tout son buste tandis qu'elle se redresse. Avec mes mains toujours sur sa poitrine, je la tire vers moi. Dans cette position, j'ai plus de mal à maintenir mon rythme mais les pénétrations sont plus profondes et encore plus agréables. J'en profite pour malaxer les deux seins de Claire.
- Ahh !
Cette fois c'est moi qui lâche un petit cri de plaisir. J'ai atteint ma limite, si je continue ne serait-ce qu'un peu, je vais jouir. Mon corps tout entier est enveloppé d'une douce chaleur et mes muscles sont tendus dans l'attente de l'éjaculation. Mais non, je ne veux pas déjà jouir ! Je retire mon sexe du vagin de Claire et je libère se poitrine de l'emprise de mes mains. Et se tourne vers moi mais avant qu'elle puisse dire quoi que ce soit, je la pousse contre le mur et je l'embrasse comme jamais. Nos lèvres fusionnent et mes mains caressent ses joues et ses cheveux avec tout la tendresse dont je suis capable.
- Pourquoi tu t'es arrêté ? demande-t-elle avec un air gourmand.
- C'était bien ? demandé-je sans répondre à sa question.
- Tu progresses Cyril, ça c'est sur ! Si on était à la maison, crois moi j'aurais crié beaucoup plus fort !
Je suis vraiment flatté par les compliments que me fait la cousine. C'est la première fois que j'ai le sentiment qu'elle a pris autant de plaisir que moi.
- Tu veux qu'on continue comment ? demandé-je.
Claire regarde autour d'elle et je vois son regard s'allumer d'une lueur malicieuse comme si elle venait d'avoir une idée.
- Suis moi ! dit-elle.
Elle m'amène au fond de la salle et s'allonge sur un des bureaux. Je lui lance un regard interrogateur.
- C'est sur ce bureau que j'ai eu cours toute l'année.
Claire passe ses mains sous sa tête et s'en sert comme d'un oreiller ce qui a pour effet de révéler ses jolies aisselles et de faire s'étaler sa poitrine sur son buste. Ma cousine est toute frissonnante.
- Claire, tu trembles.
- Si tu savais comme ça m'excite de le faire ici ! Y a un mois j'étais assise ici en cours d'anglais et maintenant je vais me faire prendre dans mon lycée, dans ma salle, sur mon bureau ! Je peux plus attendre Cyril !
- Tes tétons pointent vraiment beaucoup...
Disant cela, elle positionne l'entrée de sa chatte bien au bord du bureau et elle écarte les cuisses. Ca petit dialogue, de même que la vue de Claire complètement offerte, a remis mon sexe en état de marche. Je n'avais jamais vu ma cousine comme ça ! Elle tremble d'excitation comme si elle allait réaliser un fantasme à tel point que j'ai peur de la décevoir...
- Tu peux te mettre face au mur s'il te plait ?
Claire sourit en comprenant où je veux en venir puis elle se positionne face au mur de la salle, à côté du tableau. Elle se tient au mur avec ses mains et se penche légèrement en avant pour faire ressortir ses fesses. Je me place derrière elle. Mon cœur accélère d'un seul coup comme si je venais de réaliser. Nous sommes nus dans une salle de classe et je m'apprête à prendre Claire. Mon gland rentre en contact avec la chatte de ma cousine que je sens frissonner. Je fait glisser mon sexe dans le vagin de Claire, il y rentre centimètre par centimètre. Puis quand je suis complètement à l'intérieur d'elle, je pose mes mains sur ses hanches et je commence des va-et-vient.
C'est la première fois que Claire et moi nous baisons en plein jour. Et je crois que c'est encore mieux. Dans la lumière je peux admirer chaque détail de son corps. Ses hanches et son dos qui vibrent à chaque coup de rein, sa nuque, ses cheveux blonds, la couleur de sa peau. Tout le spectacle se son corps s'offre à moi dans la lumière du soleil. Mais déjà je panique. Comme à chaque fois, Claire m'intimide et j'ai peur de ne pas la satisfaire. Alors je fais n'importe quoi. Dès son premier soupir de plaisir, la machine s'emballe et je perds le contrôle. Mes mouvements de bassin sont beaucoup trop rapides et imprécis, leur rythme est chaotique. Et j'ai l'impression d'être déjà sur le point de jouir. Dans un effort surhumain, je retire mon sexe et je prends de grandes inspirations pour me calmer.
- Tu vas y arriver, me dit Claire. C'est très bien pour l'instant. Essaye juste de rester bien régulier.
Les encouragements me font chaud au cœur et je me remets en position. Cette fois, je suis calme. Mon sexe rentre d'un seul coup et très facilement dans la chatte de ma cousine. Je pose à nouveau les mains sur ses hanches et je reprends mon rythme. A chaque mouvement, mon bassin claque contre les fesses de Claire qui deviennent rouges. Des décharges de plaisir me traversent tout le corps. Plusieurs fois, je ralentis pour ne pas jouir trop vite.
- Ahhhh...
Claire pousse un premier gémissement. Elle soupire de plaisir depuis un moment déjà mais c'est son premier gémissement et c'est déjà une victoire pour moi. Ca veux dire qu'elle prend son pied autant que moi et aussi, ça veut dire que je progresse et je suis assez fier !
- Ahhhh Cyril c'est vraiment bon là...
Sa voix est légèrement plus aiguë que d'habitude. Mais je vois qu'elle se force à gémir à voix basse. Il ne faudrait pas oublier que nous sommes au lycée et qu'on pourrait nous surprendre... En tout cas je tiens le bon bout. Claire gigote et bouge ses fessés d'avant en arrière pour accentuer la pénétration. Mais je ralentis mes mouvements pour faire durer son plaisir et le mien. Je fixe des yeux le dos de Claire. Il est lisse, légèrement bronzé, piqué ça et là de petits grains de beauté. La marque légère de sa colonne vertébrale descend gracieusement jusqu'à ses fesses qui n'en finissent plus de claque contre mon ventre au rythme de mes va-et-vient. Ma cousine, toujours en appui contre le mur, est cambrée de plaisir. Et j'ai presque du mal à croire que c'est moi qui lui fait autant de bien. Mon plaisir à moi est de plus en plus intense et mon sexe est bouillant. J'ai l'impression que je vais jouir d'une seconde à l'autre mais je fais tout ce que je peux pour me retenir. Mes mains remontent sur les côtes de Claire puis j'attrape ses seins par en dessous. Je les sers entres mes doigts et je m'appuie sur eux pour stabiliser mes mouvements. La tête de Claire part légèrement en arrière puis tout son buste tandis qu'elle se redresse. Avec mes mains toujours sur sa poitrine, je la tire vers moi. Dans cette position, j'ai plus de mal à maintenir mon rythme mais les pénétrations sont plus profondes et encore plus agréables. J'en profite pour malaxer les deux seins de Claire.
- Ahh !
Cette fois c'est moi qui lâche un petit cri de plaisir. J'ai atteint ma limite, si je continue ne serait-ce qu'un peu, je vais jouir. Mon corps tout entier est enveloppé d'une douce chaleur et mes muscles sont tendus dans l'attente de l'éjaculation. Mais non, je ne veux pas déjà jouir ! Je retire mon sexe du vagin de Claire et je libère se poitrine de l'emprise de mes mains. Et se tourne vers moi mais avant qu'elle puisse dire quoi que ce soit, je la pousse contre le mur et je l'embrasse comme jamais. Nos lèvres fusionnent et mes mains caressent ses joues et ses cheveux avec tout la tendresse dont je suis capable.
- Pourquoi tu t'es arrêté ? demande-t-elle avec un air gourmand.
- C'était bien ? demandé-je sans répondre à sa question.
- Tu progresses Cyril, ça c'est sur ! Si on était à la maison, crois moi j'aurais crié beaucoup plus fort !
Je suis vraiment flatté par les compliments que me fait la cousine. C'est la première fois que j'ai le sentiment qu'elle a pris autant de plaisir que moi.
- Tu veux qu'on continue comment ? demandé-je.
Claire regarde autour d'elle et je vois son regard s'allumer d'une lueur malicieuse comme si elle venait d'avoir une idée.
- Suis moi ! dit-elle.
Elle m'amène au fond de la salle et s'allonge sur un des bureaux. Je lui lance un regard interrogateur.
- C'est sur ce bureau que j'ai eu cours toute l'année.
Claire passe ses mains sous sa tête et s'en sert comme d'un oreiller ce qui a pour effet de révéler ses jolies aisselles et de faire s'étaler sa poitrine sur son buste. Ma cousine est toute frissonnante.
- Claire, tu trembles.
- Si tu savais comme ça m'excite de le faire ici ! Y a un mois j'étais assise ici en cours d'anglais et maintenant je vais me faire prendre dans mon lycée, dans ma salle, sur mon bureau ! Je peux plus attendre Cyril !
- Tes tétons pointent vraiment beaucoup...
Disant cela, elle positionne l'entrée de sa chatte bien au bord du bureau et elle écarte les cuisses. Ca petit dialogue, de même que la vue de Claire complètement offerte, a remis mon sexe en état de marche. Je n'avais jamais vu ma cousine comme ça ! Elle tremble d'excitation comme si elle allait réaliser un fantasme à tel point que j'ai peur de la décevoir...