26-12-2020, 07:26 PM
C’était un moment irréel. Réveillé au beau milieu de la nuit, je n’avais pas vraiment compris ce qui m’arrivait. A tel point qui si mon torse n’était pas couvert de sperme, j’aurais pu croire que j’avais rêvé… Claire et moi avions partagé ce moment, nous nous étions donné du plaisir sans dire un mot et j’avais particulièrement apprécié de faire ça silencieusement, doucement… je me rendors vite, comme si rien ne m’avait jamais réveillé…
Le lendemain je me réveille très en forme. Sous la douche, je repense à ce qui s’est passé hier soir. Je me demande toujours si je n’ai pas rêvé. Le souvenir de la silhouette de Claire rentrant dans ma chambre pour me faire jouir doucement et repartant aussi vite me fait bander fort dès le matin. Si c’était un rêve, c’était un rêve très agréable !
Au petit déjeuner pourtant, mes parents me rappellent que nous repartons à la maison dès demain en début d’après-midi et mon moral redescend… J’avais complètement oublié je dois dire… Mais c’est évident que l’on ne pouvait pas rester ici pour toujours. Claire a l’air déçu elle aussi. Nous nous retrouvons dans sa chambre pour discuter.
"- Cet après-midi, il y a un goûter organisé au lycée pour les anciens élèves, dit-elle. Je pense que je vais y aller, tu m’accompagnes ?
- Tu crois qu’ils me laisseront rentrer ?
- Oui sans problème !
- Avec plaisir alors !
Aux alentours de 16h00, nous nous retrouvons donc dehors pour aller au lycée. Claire porte un chemisier blanc et une jupe jaune pale plutôt courte. Ses cheveux sont dénoués et elle a mis de petites boucles d’oreilles discrètes. Nous marchons quelques minutes jusqu’à l’arrêt de bus, puis après dix minutes de route, l’autocar nous dépose juste devant le lycée. Nous entrons.
- On dirait qu’il n’y a personne… fais-je remarquer.
-C’est parce qu’on est super en retard. C’est au deuxième étage dans le gymnase, suis moi !
Nous montons l’escalier de pierre. Claire passe devant et de ce fait, ma tête se retrouve juste au niveau de ses fesses. La jupe se froisse et se défroisse au rythme des mouvements de ma cousine, laissant deviner le galbe de ses fesses. Dans me position, j’essaye de voir en dessous mais sans succès… Arrivée au premier étage, ma cousine fait une pause et me regarde.
-Tu bandes ! dit elle en riant.
Je rougis. C’est vrai que mon sexe fait une bosse bien visible sur mon jeans.
-Euh… Oui, c’est toi… Enfin c’est ta jupe, euh...
-Et encore tu n’as rien vu ! je n’ai pas mis de culotte aujourd'hui !
Claire me fait un clin d’œil puis commence à relever tout doucement sa jupe comme pour me prouver qu’elle n’a pas menti. Je suis tout rouge et dans mon caleçon, mon sexe a atteint sa taille maximale. Soudain, des bruits de pas résonnent depuis le rez-de-chaussée.
-Quelqu’un vient ! fait Claire en m’attrapant par le bras. Par ici, vite !
Elle me pousse dans un casier qui se trouve contre le mur et referme la porte derrière nous. C’est le genre de casier qui, en temps normal, doit servir à ranger des affaires des cours. Il est juste assez haut pour que je puisse y tenir debout mais pas très large. Tellement peu large en fait que j’ai le dos collé contre le fond du casier et que Claire se retrouve face à moi, comprimée elle aussi. Sa poitrine s’écrase contre mon torse tandis que mon sexe toujours en érection vient appuyer contre son ventre. J’aime ce contact et je passe mes mains dans son dos pour qu’elle reste bien serrée contre moi. Le bruit de pas se rapproche. Claire et moi sommes tous rouges, nous nous regardons en silence.
Mon cœur bat fort. Je savoure le contact de la poitrine de Claire, écrasée contre mon torse. Il me prend l'envie de vérifier ce qu'elle m'a dit sur son absence de sous-vêtements. Mes mains glissent doucement sous sa jupe, remontent le longs de ses cuisses pour arriver jusqu'à ses fesses, douces et rondes. Effectivement, elle n'a pas de culotte... Je malaxe doucement ses deux fesses entre mes doigts, elles ne sont ni trop fermes ni trop molles, juste terriblement excitantes. D'ailleurs mon sexe est à l'étroit dans mon pantalon et forme une bosse qui vient buter contre le ventre de ma cousine. Claire a l'air de paniquer.
"-Qu'est ce que tu fais... murmure-t-elle. C'est pas le moment...
- C'est bon si on ne fait pas de bruit.
C'est vrai que j'en oublierais presque que nous nous sommes cachés dans un casier après avoir entendu un bruit dans l'escalier. D'ailleurs, les pas se rapprochent. Je malaxe les fesses de Claire de plus en plus fort. J'avoue que ça m'excite énormément de me dire que quelqu'un va passer juste devant nous sans nous voir et sans savoir ce que nous faisons. J'ai même envie d'aller plus loin ! En faisant glisser mes doigts, je trouve l'anus de Claire. Je le titille un peu, c'est la première fois que j'ai cette envie. Puis, sans prévenir, je rentre le bout de mon index à l'intérieur, sur quelques millimètres seulement. La tête de Claire part en arrière tandis qu'elle étouffe un petit cri de surprise. Elle gigote et me supplie du regard. Pour une fois, ce n'est pas elle qui s'amuse avec moi. La personne qui monte les escalier doit être juste à coté du casier maintenant et je sens que Claire a vraiment peur que nous soyons découverts. Moi aussi, les battements de mon cœur s'accélèrent.
Mais le bruit de pas s'éloigne. Je vois que Claire se détend. Alors je décide de continuer mon exploration avec le trou que je connais le mieux. Mes mains quittent les fesses de Claire. Avec la main droite, je repasse sous sa jupe, j'écarte doucement ses grandes lèvres et je commence à caresser sa petite fente qui mouille déjà un peu. Avec la gauche, je déboutonne mon jean et j'entreprends de libérer mon sexe qui se dresse vers la haut. En comprenant où je veux en venir, Claire colle ses lèvres contres les miennes et m'embrasse fougueusement. Puis, elle me murmure à l'oreille :
- Pas ici, je connais un endroit...
En continuant de caresser sa petite chatte, je sens qu'elle mouille de plus en plus. Alors je remonte mon jean tandis qu'elle remet sa jupe en place et nous ouvrons la porte du casier. Heureusement pour nous, le couloir est désert et Claire me prend par la main en me disant de la suivre. Nous rions bêtement et un peu fort, au risque de nous faire remarquer. Ma cousine s'arrête devant une salle de cours. Elle sort une petite clé, la tourne dans la serrure et la porte s'ouvre. Nous rentrons précipitamment puis elle ferme à double tour derrière nous. Elle me fait un grand sourire.
- Comment ça se fait que tu aies les clés ?
- J'étais déléguée des élèves l'année dernière alors j'avais un accès à la plupart des salles. Je devais profiter de la fête d'aujourd'hui pour rendre la clé, mais ça attendra !
- C'est une salle de quoi ?
- C'était mais salle d'anglais. Mais tu veux vraiment que je te raconte ma vie ou on est là pour autre chose ?
Elle me sourit et j'entreprends de me déshabiller. Elle fait de même et nous voilà pieds nus, moi en caleçon et elle avec seulement son soutien gorge, sa culotte étant restée chez elle dans un placard ! Je m'approche d'elle et je passe une main dans son dos pour dégrapher le soutien gorge qui tombe à nos pieds. Sa poitrine se dévoile dans toute sa splendeur. Je prends doucement son sein droit dans mes mains et je lèche le téton du bout de ma langue. Je sens Claire frissonner. Tandis que ma langue s'active, ma main droite redescend vers sa chatte et reprend ses caresses de tout à l'heure. Je sais que Claire prend du plaisir à sa respiration qui se fait de plus en plus saccadée. Puis je place ma tête entre ses deux seins, le temps de donner quelques petits coups de langue sur le grain de beauté que j'aime tant ! Enfin je me redresse.
Je regarde l'effet qu'ont eu mes caresses sur ma chère cousine. Son téton droit est rougi par mes coups de langue et sa chatte est brillante d'excitation. Elle a même l'air un peu déçue que j'en ai déjà fini. Mais le sourire qu'elle me lance, en baissant mon caleçon, est radieux. Elle semble hésiter un moment sur le traitement à faire subir à mon sexe. Puis, après quelques secondes de réflexion, elle le décalotte délicatement, dévoilant mon gland gonflé et rougi de désir, puis entame de doux va-et-vient du bout des doigts. Je me laisse aller à ses caresses en fermant les yeux. Quand je les réouvre, mon pénis est plus dur que jamais.
Le lendemain je me réveille très en forme. Sous la douche, je repense à ce qui s’est passé hier soir. Je me demande toujours si je n’ai pas rêvé. Le souvenir de la silhouette de Claire rentrant dans ma chambre pour me faire jouir doucement et repartant aussi vite me fait bander fort dès le matin. Si c’était un rêve, c’était un rêve très agréable !
Au petit déjeuner pourtant, mes parents me rappellent que nous repartons à la maison dès demain en début d’après-midi et mon moral redescend… J’avais complètement oublié je dois dire… Mais c’est évident que l’on ne pouvait pas rester ici pour toujours. Claire a l’air déçu elle aussi. Nous nous retrouvons dans sa chambre pour discuter.
"- Cet après-midi, il y a un goûter organisé au lycée pour les anciens élèves, dit-elle. Je pense que je vais y aller, tu m’accompagnes ?
- Tu crois qu’ils me laisseront rentrer ?
- Oui sans problème !
- Avec plaisir alors !
Aux alentours de 16h00, nous nous retrouvons donc dehors pour aller au lycée. Claire porte un chemisier blanc et une jupe jaune pale plutôt courte. Ses cheveux sont dénoués et elle a mis de petites boucles d’oreilles discrètes. Nous marchons quelques minutes jusqu’à l’arrêt de bus, puis après dix minutes de route, l’autocar nous dépose juste devant le lycée. Nous entrons.
- On dirait qu’il n’y a personne… fais-je remarquer.
-C’est parce qu’on est super en retard. C’est au deuxième étage dans le gymnase, suis moi !
Nous montons l’escalier de pierre. Claire passe devant et de ce fait, ma tête se retrouve juste au niveau de ses fesses. La jupe se froisse et se défroisse au rythme des mouvements de ma cousine, laissant deviner le galbe de ses fesses. Dans me position, j’essaye de voir en dessous mais sans succès… Arrivée au premier étage, ma cousine fait une pause et me regarde.
-Tu bandes ! dit elle en riant.
Je rougis. C’est vrai que mon sexe fait une bosse bien visible sur mon jeans.
-Euh… Oui, c’est toi… Enfin c’est ta jupe, euh...
-Et encore tu n’as rien vu ! je n’ai pas mis de culotte aujourd'hui !
Claire me fait un clin d’œil puis commence à relever tout doucement sa jupe comme pour me prouver qu’elle n’a pas menti. Je suis tout rouge et dans mon caleçon, mon sexe a atteint sa taille maximale. Soudain, des bruits de pas résonnent depuis le rez-de-chaussée.
-Quelqu’un vient ! fait Claire en m’attrapant par le bras. Par ici, vite !
Elle me pousse dans un casier qui se trouve contre le mur et referme la porte derrière nous. C’est le genre de casier qui, en temps normal, doit servir à ranger des affaires des cours. Il est juste assez haut pour que je puisse y tenir debout mais pas très large. Tellement peu large en fait que j’ai le dos collé contre le fond du casier et que Claire se retrouve face à moi, comprimée elle aussi. Sa poitrine s’écrase contre mon torse tandis que mon sexe toujours en érection vient appuyer contre son ventre. J’aime ce contact et je passe mes mains dans son dos pour qu’elle reste bien serrée contre moi. Le bruit de pas se rapproche. Claire et moi sommes tous rouges, nous nous regardons en silence.
Mon cœur bat fort. Je savoure le contact de la poitrine de Claire, écrasée contre mon torse. Il me prend l'envie de vérifier ce qu'elle m'a dit sur son absence de sous-vêtements. Mes mains glissent doucement sous sa jupe, remontent le longs de ses cuisses pour arriver jusqu'à ses fesses, douces et rondes. Effectivement, elle n'a pas de culotte... Je malaxe doucement ses deux fesses entre mes doigts, elles ne sont ni trop fermes ni trop molles, juste terriblement excitantes. D'ailleurs mon sexe est à l'étroit dans mon pantalon et forme une bosse qui vient buter contre le ventre de ma cousine. Claire a l'air de paniquer.
"-Qu'est ce que tu fais... murmure-t-elle. C'est pas le moment...
- C'est bon si on ne fait pas de bruit.
C'est vrai que j'en oublierais presque que nous nous sommes cachés dans un casier après avoir entendu un bruit dans l'escalier. D'ailleurs, les pas se rapprochent. Je malaxe les fesses de Claire de plus en plus fort. J'avoue que ça m'excite énormément de me dire que quelqu'un va passer juste devant nous sans nous voir et sans savoir ce que nous faisons. J'ai même envie d'aller plus loin ! En faisant glisser mes doigts, je trouve l'anus de Claire. Je le titille un peu, c'est la première fois que j'ai cette envie. Puis, sans prévenir, je rentre le bout de mon index à l'intérieur, sur quelques millimètres seulement. La tête de Claire part en arrière tandis qu'elle étouffe un petit cri de surprise. Elle gigote et me supplie du regard. Pour une fois, ce n'est pas elle qui s'amuse avec moi. La personne qui monte les escalier doit être juste à coté du casier maintenant et je sens que Claire a vraiment peur que nous soyons découverts. Moi aussi, les battements de mon cœur s'accélèrent.
Mais le bruit de pas s'éloigne. Je vois que Claire se détend. Alors je décide de continuer mon exploration avec le trou que je connais le mieux. Mes mains quittent les fesses de Claire. Avec la main droite, je repasse sous sa jupe, j'écarte doucement ses grandes lèvres et je commence à caresser sa petite fente qui mouille déjà un peu. Avec la gauche, je déboutonne mon jean et j'entreprends de libérer mon sexe qui se dresse vers la haut. En comprenant où je veux en venir, Claire colle ses lèvres contres les miennes et m'embrasse fougueusement. Puis, elle me murmure à l'oreille :
- Pas ici, je connais un endroit...
En continuant de caresser sa petite chatte, je sens qu'elle mouille de plus en plus. Alors je remonte mon jean tandis qu'elle remet sa jupe en place et nous ouvrons la porte du casier. Heureusement pour nous, le couloir est désert et Claire me prend par la main en me disant de la suivre. Nous rions bêtement et un peu fort, au risque de nous faire remarquer. Ma cousine s'arrête devant une salle de cours. Elle sort une petite clé, la tourne dans la serrure et la porte s'ouvre. Nous rentrons précipitamment puis elle ferme à double tour derrière nous. Elle me fait un grand sourire.
- Comment ça se fait que tu aies les clés ?
- J'étais déléguée des élèves l'année dernière alors j'avais un accès à la plupart des salles. Je devais profiter de la fête d'aujourd'hui pour rendre la clé, mais ça attendra !
- C'est une salle de quoi ?
- C'était mais salle d'anglais. Mais tu veux vraiment que je te raconte ma vie ou on est là pour autre chose ?
Elle me sourit et j'entreprends de me déshabiller. Elle fait de même et nous voilà pieds nus, moi en caleçon et elle avec seulement son soutien gorge, sa culotte étant restée chez elle dans un placard ! Je m'approche d'elle et je passe une main dans son dos pour dégrapher le soutien gorge qui tombe à nos pieds. Sa poitrine se dévoile dans toute sa splendeur. Je prends doucement son sein droit dans mes mains et je lèche le téton du bout de ma langue. Je sens Claire frissonner. Tandis que ma langue s'active, ma main droite redescend vers sa chatte et reprend ses caresses de tout à l'heure. Je sais que Claire prend du plaisir à sa respiration qui se fait de plus en plus saccadée. Puis je place ma tête entre ses deux seins, le temps de donner quelques petits coups de langue sur le grain de beauté que j'aime tant ! Enfin je me redresse.
Je regarde l'effet qu'ont eu mes caresses sur ma chère cousine. Son téton droit est rougi par mes coups de langue et sa chatte est brillante d'excitation. Elle a même l'air un peu déçue que j'en ai déjà fini. Mais le sourire qu'elle me lance, en baissant mon caleçon, est radieux. Elle semble hésiter un moment sur le traitement à faire subir à mon sexe. Puis, après quelques secondes de réflexion, elle le décalotte délicatement, dévoilant mon gland gonflé et rougi de désir, puis entame de doux va-et-vient du bout des doigts. Je me laisse aller à ses caresses en fermant les yeux. Quand je les réouvre, mon pénis est plus dur que jamais.