26-12-2020, 06:20 PM
3/ Participation défi :
À moitié réveillé, Fabio enfila son bas de pyjama et sortit de sa chambre. Il croisa Papa Noël en combijama rouge et vert qui était sur le point d'entrer dans la salle de bains. Papa le regarda et aperçut la protubérance qui déformait son pantalon de flanelle. Il sourit et lui lança :
— Mon petit elfe devient un homme on dirait ! Tel père tel fils, rajouta-t-il, tu lui ressembles de plus en plus.
Il baissa les yeux sur le pyjama. Il vit sa pointe de sapin qui le tendait ! Il eut honte, le rouge devait atteindre la pointe de ses oreilles et il fila aux toilettes ! Un long pipi lui fit du bien et calma son pingouin qui retrouva sa taille normale...
Quand il sortit, ce fut pour voir que Papa avait laissé la porte de la salle de bains grand ouverte, et se savonnait dans la grande douche italienne. Il n’avait jamais vu son père entièrement nu, et eut un mouvement de recul.
— Viens ! cria Noël avec un grand geste. J’ai pensé que quand ta mère nous laisse entre hommes, on pourrait arrêter de faire des manières avec nos fringues… d’autant que c’est bien chauffé, ici, et qu’on n’a aucun vis-à-vis ! Alors tu pourrais virer cette culotte de pépé qui te comprime les organes, non ?
— Euh… fit Fabio, très gêné.
— Allez, viens !
Malgré qu’il en eût, Fabio dut baisser sa flanelle… Papa se saisit alors le prépuce et releva sa bite :
— J’ai dit que tu lui ressemblais, m’enfin j’en sais rien ! fit-il en regardant le kiki de Fabio. Ma foi, il me semble que c’est bien le cas ! Attendons de pouvoir faire une comparaison… chiffrée !
Fabio était stupéfait du naturel de son père, sur ces choses intimes.
— Pour le reste, y a encore un peu de boulot, hein ?
Les deux hommes, trente-huit et dix-huit ans, étaient de taille égale : un mètre nonante. Mais autant le père était harmonieusement découplé et finement musclé, autant le fils était gracile… d’où le surnom d’elfe que lui avait octroyé Papa.
Autre différence : Papa était fort joliment velu de sombre, avec une touffe qui fascina Fabio, lequel n’était pas à plaindre non plus en dessous du nombril ; mais sa poitrine débutait seulement dans la poiliculture…
Ici doit être précisé que Papa Noël n’était pas le père biologique de Fabio : celui-ci avait plaqué sa mère deux ans après sa naissance, à l’âge de vingt ans… ce qui avait permis à Noël de se placer auprès de Maman, que son vrai père lui avait soufflée à la fac…
Et il avait accepté d’élever le moutard, qui le considérait comme son vrai père.
On prit donc la douche ensemble, et Papa n’hésita pas à tapoter les petites fesses encore glabres de son lardon… qui se félicita de s’être tripoté juste avant !
Puis on alla à ses affaires. Fabio passa le reste de la matinée à poil, en priant le ciel pour que son père ne vînt pas le caresser… Puis il sortit avec son ami Nicolas, un grand dégingandé de sa trempe… en plus timide encore.
En rentrant, il croisa son père, qui était resté nu : il alla donc se déloquer, en espérant que sa belle épée ne se signalerait pas à l’attention des populations !
— J’ai eu un appel de ta mère : les nouvelles sont… moyennes.
— Hein ? Il lui arrivé quelque chose ?
— Oui, mais… c’est surtout à nous, qu’il va arriver quelque chose.
— Mais dis, quoi !
— Elle va prolonger son séjour à New-York au-delà des deux mois prévus — on était début mai. On lui propose un poste intéressant, et elle veut se faire une opinion.
— Ha !
— Et aussi… Là, c’est plus délicat.
— P'pa ! Tu me dis que ce que tu veux, bien sûr !
— Tu dois savoir. En fait… je crois que… que je suis remplacé dans ses pensées… et dans son lit aussi.
— Oh, P'pa ! s’écria Fabio en se collant contre Noël, oubliant toute prévention.
Au demeurant, ce qu’il venait d’apprendre lui avait coupé la chique. Papa le prit par le cou, et Fabio posa la tête contre celui de son père.
— Moi, je te plaque pas !
Papa déclara qu’il s’y attendait plus ou moins, et décida que les choses étant ce qu’elles étaient, il fallait réagir… et ordonna la tournée de bulles. La première flûte n’était pas terminée qu’il déclara :
— Et puis il faut que je te dise des choses entre nous. À propos de ce matin… j’ai vu que tu étais gêné de montrer ta grande forme… Sache qu’ado, la moindre caresse, ou frottement, me donnait la gaule. Je me tripotais jusqu’à cinq, six fois par jour ! Quand j’ai commencé à déborder, je me suis amusé avec les potes du collège… mais à quatorze ans, je suis tombé sur une grande de dix-huit qui m’a déniaisé, et après j’ai eu tout de suite la chance de pas tomber sur des mijaurées, et j’ai pu niquer sans trop de problèmes… ce qui m’empêchait pas de me toucher, aux entractes ! Enfin, tout ça pour te dire que t’as pas à te cacher de bander devant moi ; je sais pas si t’as la couenne aussi sensible que moi, mais t’as plus à t’enfermer aux vatères pour dégouliner quand t’as envie ! Rappelle-toi qu’on est seuls ici… et pour longtemps !
— Merci, P'pa, mais…
— Sois pas gêné devant moi, mon grand. Et tiens, tu sais quoi ? Ça m’amuserait de voir comment tu fais, toi.
— Oh, je… Je dois pas être très original.
— Je te dirai… mon avis de vieux branleur !
— Tu n’es pas vieux !
— Bon : alors branleur, seulement !
On se sourit et l’on retrinqua. Fabio n’en revenait pas de ce qu’il avait appris et vécu depuis le matin ! Voilà un samedi qui resterait dans l’histoire !
D’autant que cet après-midi, le fin Nicolas, un blond foncé apparemment bien monté, s’il en croyait les entrevues aux vestiaires du lycée, lui avait fait une sorte de demi-confidence : Fabio lui avait dit qu’il avait vu son beau-père à poil.
— T’as de la chance, toi ! Le mien est super bien foutu, mais à la maison, il se promène même pas en slip !
— Si tu veux voir le mien à poil… tu dors chez moi, et on va se doucher avec lui. Ou on se met tous à poil.
— Oh ! Tu rigoles ! Jamais j’oserais un truc pareil !
— Et… avec moi tout seul ? osa un Fabio que sa matinée avait commencé à décoincer.
— Oh… J’aurais trop peur de…
— Est-ce que tu sais que tous les garçons bandent ?
— Pas toujours dans les mêmes occasions…
On en resta là, et Fabio demeura songeur.
Or donc, le Vouvray — on marchait à la Loire, dans ce canton — faisant son effet, Noël prit Fabio par le cou… et ses doigts frôlèrent un téton dudit, qui eut un frisson.
— Oh ! Je te gêne ?
— Non, mais… je suis très sensible là…
— Tiens ! Moi aussi. Encore un trait commun, mon lutin préféré !
Et Noël de tripoter sans vergogne les deux tétons de son lutin… qui se sentit bander à vitesse grand V.
— T’es beau, mon fils. Tiens, fais-toi du bien…
Et de prendre la dextre du lardon pour la lui mettre sur la queue. Fabio ferma les yeux : il était excité au dernier degré, et les savantes agaceries de son beau-père sur ses tétons lui donnaient un vif désir de jouir ; il s’activa donc.
— Hep ! Prends ton temps, mon gars ! tempéra Noël.
Ainsi fut fait. Repensant à la remarque de son beau-père, Fabio eut à cœur de varier les pratiques… avec une rouerie qu’il ne se fût pas devinée la veille ! Et le moment dura presqu’un quart d’heure. Il explosa comme rarement.
— Il est beau, mon p’tit elfe, murmura Papa.
Qui bandait ferme, asteur. Mais Fabio n’osa lui proposer de se toucher aussi. Ni le toucher lui-même non plus.
— Mon Papa Noël, il est super beau, lui !
— Il va falloir qu’il aille la vendre ailleurs, sa beauté, le Papa Noël !
— Chut ! fit Fabio en lui tendant son verre… et gardant un œil sur la sublime tige de son paternel.
Et remarquant in petto que c’était en le caressant, lui, que Papa avait bandé… Noël reprit alors :
— T’en es où toi, avec les filles ?
— En plein désert, comme un chameau mort de soif.
— Ah ! Ah ! Ah ! J’t’adore… Puceau, donc… et j’imagine que c’est pas ton ectoplasme de Nicolas, qui est adorable, certes, qui va t’entraîner à la chasse au minou !
— Papa !
— Excuse-moi. J’ai… un genre d’idée… Et si je te présentais une nana… mignonne comme tout ?
— Hein ? Mais…
— J’ai une jeune collègue, vingt-quatre ans, qui me fait un rentre dedans pas possible et…
— Mais P'pa ! Vas-y, toi, maintenant que…
— Et si on y allait… tous les deux, ensemble ? Je crois qu’on est assez proches, maintenant, pour que je te montre des trucs comme ça, non ?
— Oh, P'pa ! fit Fabio, saisi… et piégé.
Comment refuser ? Du moins, si la chose se faisait, aurait-il des certitudes… en connaissance de cause. Papa échafauda des stratégies… et proposa même de convier Nicolas à la fête !
— Jamais il voudra !
— On se la fait à deux, ma poulette ?
Le reste de la fin de semaine fut étrange, pour Fabio. Après le dîner, on se sépara, et avant d’aller se coucher Papa vint le voir en sa chambre, où il était à son ordinateur, et lui pinçota les tétons.
— Arrête, P'pa, je vais…
— Justement, ça m’amuse de te faire bander ! Au fait, et à propos de bander, si on la convoquait demain après-midi, ma petite saute-au-paf ?
— Oh, déjà ? Hmm, hmm soupira Fabio, à qui la trique venait, effectivement.
— Touche-toi, bébé ! Ça me fait plaisir que tu sois aussi sensuel que moi… Sexuel, même !
Fabio ne tarda pas à jouir, et quand il se leva, il vit que Papa bandait ferme, lui aussi.
Noël arrangea le coup, et la Krystel fut conviée au brunch, à onze heures. Fabio avait été interdit de branlette, et ce furent deux super gourdins qui se frôlèrent dans la douche du matin.
De fait, la drôlesse n’était pas farouche, et elle montra tout de suite des signes d’intérêt pour Fabio… surtout quand Noël lui eut soufflé que ce garçon était puceau.
Les choses s’engagèrent gentiment et sans fioritures après la première coupe de champagne. De voir Papa en cette occurrence avait vite rendu Fabio dur comme le marbre… en plus chaud. Ce bleu-là alla bravement au feu, et ne fut pas trop dégoûté par la foufoune de la blanche et jolie blondinette. Qu’il fourra avec application, les mains de Papa lui triturant les fesses.
Et quel magnifique spectacle que les fesses musclées d’iceluy s’agitant entre les pâles cuisses de la fillette !
Un deuxième service dans l’après-midi vit même ces deux beaux chibres se voisiner dans la dame, un devant et l’autre derrière… ce qui électrisa Fabio !
La conférence qui suivit le départ de Krystel vit Fabio se lâcher.
— Merci, Papa, mais… je crois que j’ai eu ma dose.
— Hein ? Mais tu t’es bien éclaté, non ?
— Parce que tu étais là, mais… tout seul…
— Qu’est-ce que veux me dire, là, mon lutin ?
— Que… Oh, P'pa, je sais pas trop, mais…
— Bon. Champagne. On va fêter le début de notre vie à deux, et de notre confiance entre vrais mecs. Je t’ai choqué, en te forçant à te faire dépuceler ?
— Non ! C’était une bonne expérience.
— Mais tu préfères sans doute la petite gueule innocente de Nicolas… J’me trompe ?
— Et ta gueule moins innocente, Papa Noël !
Noël serra vivement Fabio. Il murmura :
— Ça t’a plu, de me voir baiser ?
— T’es magnifique, Papa !
Alors Noël fit parler Fabio de ses fantasmes : rien que de très classique, pour un gay puceau ! Il susurra alors :
— Et si, Nicolas et toi, vous m’initiiez ?
— Hein ? Mais, P'pa ! Lui et moi, on n’a jamais…
— Il sait qu’on se balade à poil, ici, et apparemment, ça le titille, le sexe. Faisons d’une pierre deux coups ! Amène-le vendredi soir.
Fabio n’eut pas trop de la semaine pour convaincre son prude ami ! Entretemps, il bandait dès que Noël lui mettait la main aux fesses, ou lui prenait les tétons… On riait, et il se branlait comme un petit fou. Ce ne fut que le mercredi que Papa se toucha en même temps que lui : alors chacun triturait un téton de l’autre ; et l’on s’arrangea pour s’arroser l’un l’autre.
Ce fut un Nicolas bien emprunté qui arriva le vendredi soir après le bahut. Pour tomber sur un Noël nu, qui lui serra la pince avec chaleur.
— Je vous laisse vous doucher, les garçons ? J’ai prévu un apéro dînatoire.
Quasi pétrifié, Nicolas suivit Fabio et dut bien se déloquer : oui sa bite était superbe. Et Fabio le complimenta sur sa plastique, avant de faire du genre sous la douche… et de se faire bander. Nicolas l’imita bientôt, sans un mot. Et l’on se séchait en se matant quand parut Noël :
— Vous êtes prêts, les garçons ? Je mets des trucs au four, alors. Et vous êtes vraiment beaux, tous les deux !
— Tu vois qu’il y a pas de souci à avoir avec lui ! dit Fabio à son ami, qui sourit faiblement… sans débander.
— Apparemment, c’est nettement plus cool avec un beau-père qu’avec un vrai père ! commenta Nicolas, mi-figue, mi-raisin.
— C’est p'têt' pas vrai avec tous, mais là, suis tombé sur le bon, tu sais ? répliqua Fabio, tout fier.
Noël usa de la perfide méthode (champenoise) des séducteurs de salon : le Vouvray. Et Nicolas ne tarda pas à rire aux éclats aux facéties d’un Noël que Fabio n’avait jamais vu en telle verve ! Et qui pria, plus tard, Nicolas de l’aider en cuisine… où il lui prit les tétons : bingo, le minet adora ça ! Et la suite fut que Noël banda dur, et que… la bouffe faillit brûler. Pour les sens, c’était déjà fait.
On s’entresuça à trois avec application, et le rusé Noël ayant prévu un gros bidon de gel (en plus des bulles), on passa à des exercices de grandes personnes. Ou ces trois débutants perdirent leur virginité arrière, et plus d’une fois.
Depuis, la maison est devenu un genre de paradis, où Papa baise la Krystel dans le salon, en même temps que Nicolas bourre Fabio… Et Nicolas a même essayé la blondinette… Et Papa Noël les cajole, ses lutins… car il aime les faire bander. Eux savent comment lui rendre la pareille.
— Génial, avoua un soir Nicolas : c’est comme si j’avais un beau-père, moi aussi !...
— Si ton père t’entendait !
— Qu’il reste dans ses vieux slips kangourou !
À moitié réveillé, Fabio enfila son bas de pyjama et sortit de sa chambre. Il croisa Papa Noël en combijama rouge et vert qui était sur le point d'entrer dans la salle de bains. Papa le regarda et aperçut la protubérance qui déformait son pantalon de flanelle. Il sourit et lui lança :
— Mon petit elfe devient un homme on dirait ! Tel père tel fils, rajouta-t-il, tu lui ressembles de plus en plus.
Il baissa les yeux sur le pyjama. Il vit sa pointe de sapin qui le tendait ! Il eut honte, le rouge devait atteindre la pointe de ses oreilles et il fila aux toilettes ! Un long pipi lui fit du bien et calma son pingouin qui retrouva sa taille normale...
Quand il sortit, ce fut pour voir que Papa avait laissé la porte de la salle de bains grand ouverte, et se savonnait dans la grande douche italienne. Il n’avait jamais vu son père entièrement nu, et eut un mouvement de recul.
— Viens ! cria Noël avec un grand geste. J’ai pensé que quand ta mère nous laisse entre hommes, on pourrait arrêter de faire des manières avec nos fringues… d’autant que c’est bien chauffé, ici, et qu’on n’a aucun vis-à-vis ! Alors tu pourrais virer cette culotte de pépé qui te comprime les organes, non ?
— Euh… fit Fabio, très gêné.
— Allez, viens !
Malgré qu’il en eût, Fabio dut baisser sa flanelle… Papa se saisit alors le prépuce et releva sa bite :
— J’ai dit que tu lui ressemblais, m’enfin j’en sais rien ! fit-il en regardant le kiki de Fabio. Ma foi, il me semble que c’est bien le cas ! Attendons de pouvoir faire une comparaison… chiffrée !
Fabio était stupéfait du naturel de son père, sur ces choses intimes.
— Pour le reste, y a encore un peu de boulot, hein ?
Les deux hommes, trente-huit et dix-huit ans, étaient de taille égale : un mètre nonante. Mais autant le père était harmonieusement découplé et finement musclé, autant le fils était gracile… d’où le surnom d’elfe que lui avait octroyé Papa.
Autre différence : Papa était fort joliment velu de sombre, avec une touffe qui fascina Fabio, lequel n’était pas à plaindre non plus en dessous du nombril ; mais sa poitrine débutait seulement dans la poiliculture…
Ici doit être précisé que Papa Noël n’était pas le père biologique de Fabio : celui-ci avait plaqué sa mère deux ans après sa naissance, à l’âge de vingt ans… ce qui avait permis à Noël de se placer auprès de Maman, que son vrai père lui avait soufflée à la fac…
Et il avait accepté d’élever le moutard, qui le considérait comme son vrai père.
On prit donc la douche ensemble, et Papa n’hésita pas à tapoter les petites fesses encore glabres de son lardon… qui se félicita de s’être tripoté juste avant !
Puis on alla à ses affaires. Fabio passa le reste de la matinée à poil, en priant le ciel pour que son père ne vînt pas le caresser… Puis il sortit avec son ami Nicolas, un grand dégingandé de sa trempe… en plus timide encore.
En rentrant, il croisa son père, qui était resté nu : il alla donc se déloquer, en espérant que sa belle épée ne se signalerait pas à l’attention des populations !
— J’ai eu un appel de ta mère : les nouvelles sont… moyennes.
— Hein ? Il lui arrivé quelque chose ?
— Oui, mais… c’est surtout à nous, qu’il va arriver quelque chose.
— Mais dis, quoi !
— Elle va prolonger son séjour à New-York au-delà des deux mois prévus — on était début mai. On lui propose un poste intéressant, et elle veut se faire une opinion.
— Ha !
— Et aussi… Là, c’est plus délicat.
— P'pa ! Tu me dis que ce que tu veux, bien sûr !
— Tu dois savoir. En fait… je crois que… que je suis remplacé dans ses pensées… et dans son lit aussi.
— Oh, P'pa ! s’écria Fabio en se collant contre Noël, oubliant toute prévention.
Au demeurant, ce qu’il venait d’apprendre lui avait coupé la chique. Papa le prit par le cou, et Fabio posa la tête contre celui de son père.
— Moi, je te plaque pas !
Papa déclara qu’il s’y attendait plus ou moins, et décida que les choses étant ce qu’elles étaient, il fallait réagir… et ordonna la tournée de bulles. La première flûte n’était pas terminée qu’il déclara :
— Et puis il faut que je te dise des choses entre nous. À propos de ce matin… j’ai vu que tu étais gêné de montrer ta grande forme… Sache qu’ado, la moindre caresse, ou frottement, me donnait la gaule. Je me tripotais jusqu’à cinq, six fois par jour ! Quand j’ai commencé à déborder, je me suis amusé avec les potes du collège… mais à quatorze ans, je suis tombé sur une grande de dix-huit qui m’a déniaisé, et après j’ai eu tout de suite la chance de pas tomber sur des mijaurées, et j’ai pu niquer sans trop de problèmes… ce qui m’empêchait pas de me toucher, aux entractes ! Enfin, tout ça pour te dire que t’as pas à te cacher de bander devant moi ; je sais pas si t’as la couenne aussi sensible que moi, mais t’as plus à t’enfermer aux vatères pour dégouliner quand t’as envie ! Rappelle-toi qu’on est seuls ici… et pour longtemps !
— Merci, P'pa, mais…
— Sois pas gêné devant moi, mon grand. Et tiens, tu sais quoi ? Ça m’amuserait de voir comment tu fais, toi.
— Oh, je… Je dois pas être très original.
— Je te dirai… mon avis de vieux branleur !
— Tu n’es pas vieux !
— Bon : alors branleur, seulement !
On se sourit et l’on retrinqua. Fabio n’en revenait pas de ce qu’il avait appris et vécu depuis le matin ! Voilà un samedi qui resterait dans l’histoire !
D’autant que cet après-midi, le fin Nicolas, un blond foncé apparemment bien monté, s’il en croyait les entrevues aux vestiaires du lycée, lui avait fait une sorte de demi-confidence : Fabio lui avait dit qu’il avait vu son beau-père à poil.
— T’as de la chance, toi ! Le mien est super bien foutu, mais à la maison, il se promène même pas en slip !
— Si tu veux voir le mien à poil… tu dors chez moi, et on va se doucher avec lui. Ou on se met tous à poil.
— Oh ! Tu rigoles ! Jamais j’oserais un truc pareil !
— Et… avec moi tout seul ? osa un Fabio que sa matinée avait commencé à décoincer.
— Oh… J’aurais trop peur de…
— Est-ce que tu sais que tous les garçons bandent ?
— Pas toujours dans les mêmes occasions…
On en resta là, et Fabio demeura songeur.
Or donc, le Vouvray — on marchait à la Loire, dans ce canton — faisant son effet, Noël prit Fabio par le cou… et ses doigts frôlèrent un téton dudit, qui eut un frisson.
— Oh ! Je te gêne ?
— Non, mais… je suis très sensible là…
— Tiens ! Moi aussi. Encore un trait commun, mon lutin préféré !
Et Noël de tripoter sans vergogne les deux tétons de son lutin… qui se sentit bander à vitesse grand V.
— T’es beau, mon fils. Tiens, fais-toi du bien…
Et de prendre la dextre du lardon pour la lui mettre sur la queue. Fabio ferma les yeux : il était excité au dernier degré, et les savantes agaceries de son beau-père sur ses tétons lui donnaient un vif désir de jouir ; il s’activa donc.
— Hep ! Prends ton temps, mon gars ! tempéra Noël.
Ainsi fut fait. Repensant à la remarque de son beau-père, Fabio eut à cœur de varier les pratiques… avec une rouerie qu’il ne se fût pas devinée la veille ! Et le moment dura presqu’un quart d’heure. Il explosa comme rarement.
— Il est beau, mon p’tit elfe, murmura Papa.
Qui bandait ferme, asteur. Mais Fabio n’osa lui proposer de se toucher aussi. Ni le toucher lui-même non plus.
— Mon Papa Noël, il est super beau, lui !
— Il va falloir qu’il aille la vendre ailleurs, sa beauté, le Papa Noël !
— Chut ! fit Fabio en lui tendant son verre… et gardant un œil sur la sublime tige de son paternel.
Et remarquant in petto que c’était en le caressant, lui, que Papa avait bandé… Noël reprit alors :
— T’en es où toi, avec les filles ?
— En plein désert, comme un chameau mort de soif.
— Ah ! Ah ! Ah ! J’t’adore… Puceau, donc… et j’imagine que c’est pas ton ectoplasme de Nicolas, qui est adorable, certes, qui va t’entraîner à la chasse au minou !
— Papa !
— Excuse-moi. J’ai… un genre d’idée… Et si je te présentais une nana… mignonne comme tout ?
— Hein ? Mais…
— J’ai une jeune collègue, vingt-quatre ans, qui me fait un rentre dedans pas possible et…
— Mais P'pa ! Vas-y, toi, maintenant que…
— Et si on y allait… tous les deux, ensemble ? Je crois qu’on est assez proches, maintenant, pour que je te montre des trucs comme ça, non ?
— Oh, P'pa ! fit Fabio, saisi… et piégé.
Comment refuser ? Du moins, si la chose se faisait, aurait-il des certitudes… en connaissance de cause. Papa échafauda des stratégies… et proposa même de convier Nicolas à la fête !
— Jamais il voudra !
— On se la fait à deux, ma poulette ?
Le reste de la fin de semaine fut étrange, pour Fabio. Après le dîner, on se sépara, et avant d’aller se coucher Papa vint le voir en sa chambre, où il était à son ordinateur, et lui pinçota les tétons.
— Arrête, P'pa, je vais…
— Justement, ça m’amuse de te faire bander ! Au fait, et à propos de bander, si on la convoquait demain après-midi, ma petite saute-au-paf ?
— Oh, déjà ? Hmm, hmm soupira Fabio, à qui la trique venait, effectivement.
— Touche-toi, bébé ! Ça me fait plaisir que tu sois aussi sensuel que moi… Sexuel, même !
Fabio ne tarda pas à jouir, et quand il se leva, il vit que Papa bandait ferme, lui aussi.
Noël arrangea le coup, et la Krystel fut conviée au brunch, à onze heures. Fabio avait été interdit de branlette, et ce furent deux super gourdins qui se frôlèrent dans la douche du matin.
De fait, la drôlesse n’était pas farouche, et elle montra tout de suite des signes d’intérêt pour Fabio… surtout quand Noël lui eut soufflé que ce garçon était puceau.
Les choses s’engagèrent gentiment et sans fioritures après la première coupe de champagne. De voir Papa en cette occurrence avait vite rendu Fabio dur comme le marbre… en plus chaud. Ce bleu-là alla bravement au feu, et ne fut pas trop dégoûté par la foufoune de la blanche et jolie blondinette. Qu’il fourra avec application, les mains de Papa lui triturant les fesses.
Et quel magnifique spectacle que les fesses musclées d’iceluy s’agitant entre les pâles cuisses de la fillette !
Un deuxième service dans l’après-midi vit même ces deux beaux chibres se voisiner dans la dame, un devant et l’autre derrière… ce qui électrisa Fabio !
La conférence qui suivit le départ de Krystel vit Fabio se lâcher.
— Merci, Papa, mais… je crois que j’ai eu ma dose.
— Hein ? Mais tu t’es bien éclaté, non ?
— Parce que tu étais là, mais… tout seul…
— Qu’est-ce que veux me dire, là, mon lutin ?
— Que… Oh, P'pa, je sais pas trop, mais…
— Bon. Champagne. On va fêter le début de notre vie à deux, et de notre confiance entre vrais mecs. Je t’ai choqué, en te forçant à te faire dépuceler ?
— Non ! C’était une bonne expérience.
— Mais tu préfères sans doute la petite gueule innocente de Nicolas… J’me trompe ?
— Et ta gueule moins innocente, Papa Noël !
Noël serra vivement Fabio. Il murmura :
— Ça t’a plu, de me voir baiser ?
— T’es magnifique, Papa !
Alors Noël fit parler Fabio de ses fantasmes : rien que de très classique, pour un gay puceau ! Il susurra alors :
— Et si, Nicolas et toi, vous m’initiiez ?
— Hein ? Mais, P'pa ! Lui et moi, on n’a jamais…
— Il sait qu’on se balade à poil, ici, et apparemment, ça le titille, le sexe. Faisons d’une pierre deux coups ! Amène-le vendredi soir.
Fabio n’eut pas trop de la semaine pour convaincre son prude ami ! Entretemps, il bandait dès que Noël lui mettait la main aux fesses, ou lui prenait les tétons… On riait, et il se branlait comme un petit fou. Ce ne fut que le mercredi que Papa se toucha en même temps que lui : alors chacun triturait un téton de l’autre ; et l’on s’arrangea pour s’arroser l’un l’autre.
Ce fut un Nicolas bien emprunté qui arriva le vendredi soir après le bahut. Pour tomber sur un Noël nu, qui lui serra la pince avec chaleur.
— Je vous laisse vous doucher, les garçons ? J’ai prévu un apéro dînatoire.
Quasi pétrifié, Nicolas suivit Fabio et dut bien se déloquer : oui sa bite était superbe. Et Fabio le complimenta sur sa plastique, avant de faire du genre sous la douche… et de se faire bander. Nicolas l’imita bientôt, sans un mot. Et l’on se séchait en se matant quand parut Noël :
— Vous êtes prêts, les garçons ? Je mets des trucs au four, alors. Et vous êtes vraiment beaux, tous les deux !
— Tu vois qu’il y a pas de souci à avoir avec lui ! dit Fabio à son ami, qui sourit faiblement… sans débander.
— Apparemment, c’est nettement plus cool avec un beau-père qu’avec un vrai père ! commenta Nicolas, mi-figue, mi-raisin.
— C’est p'têt' pas vrai avec tous, mais là, suis tombé sur le bon, tu sais ? répliqua Fabio, tout fier.
Noël usa de la perfide méthode (champenoise) des séducteurs de salon : le Vouvray. Et Nicolas ne tarda pas à rire aux éclats aux facéties d’un Noël que Fabio n’avait jamais vu en telle verve ! Et qui pria, plus tard, Nicolas de l’aider en cuisine… où il lui prit les tétons : bingo, le minet adora ça ! Et la suite fut que Noël banda dur, et que… la bouffe faillit brûler. Pour les sens, c’était déjà fait.
On s’entresuça à trois avec application, et le rusé Noël ayant prévu un gros bidon de gel (en plus des bulles), on passa à des exercices de grandes personnes. Ou ces trois débutants perdirent leur virginité arrière, et plus d’une fois.
Depuis, la maison est devenu un genre de paradis, où Papa baise la Krystel dans le salon, en même temps que Nicolas bourre Fabio… Et Nicolas a même essayé la blondinette… Et Papa Noël les cajole, ses lutins… car il aime les faire bander. Eux savent comment lui rendre la pareille.
— Génial, avoua un soir Nicolas : c’est comme si j’avais un beau-père, moi aussi !...
— Si ton père t’entendait !
— Qu’il reste dans ses vieux slips kangourou !
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
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