25-12-2020, 05:46 PM
(Modification du message : 28-12-2020, 10:18 PM par laurentdu51100.)
CHAPITRE 132 : « PENN » « Florian »
Une fois rassuré sur la santé de Tomoya et avoir pris les mesures nécessaires pour qu’à l’avenir de tels risques ne soient plus d’actualité, Florian retourne sur « PENN » reprendre là où il en était resté.
La précipitation lui fait oublier de revenir à l’instant précis de son départ, aussi se retrouve-t-il dans la salle de commande principale quelques heures plus tard, le temps qu’il a passé avec son fils et ses amis à résoudre le problème lié à cet appel de détresse.
***/***
Du coup Alexandre qu’il avait juste avant ça récupéré de sa visite au châtelain avec son frère de lait, s’est retrouvé seul avec les membres d’équipages qui curieux comme il se doit, l’ont questionné sur le jeune rouquin qui a disparu sous leurs yeux comme d’ailleurs d’autres avant lui et qu’ils ne s’expliquent pas de façon rationnelle.
Alexandre est de tous celui qui en sait sûrement le moins, aussi ses réponses restent vagues sans satisfaire pleinement la curiosité de ses nouveaux amis.
Pourtant malgré son ignorance évidente des sujets les plus importants pour eux, il s’aperçoit néanmoins que petit à petit ils empiètent sur son espace personnel jusqu’à presque le coller.
La jeunesse tout comme la beauté réelle de la plupart d’entre eux déclenche le même phénomène que celui du complexe De Bierne à son retour de vacances en France.
Les regards portés dorénavant sur lui montrent l’appétit grandissant qu’ils éprouvent désormais à son égard, un sourire lui vient, alors qu’une pensée émerge au-dessus des autres et très rapidement prend le dessus sur sa volonté, sa gorge laissant échapper involontairement ce fameux son propre à son espèce et auquel personne ne résiste.
***/***
Florian devant la salle de pilotage désertée ne perd pas de temps à en chercher la raison, son esprit s’élevant suffisamment pour avoir une vue d’ensemble du vaisseau.
Un endroit attire son attention par la nature même de la température y régnant, il décide alors d’aller rejoindre ce qui semble être le lieu de rassemblement actuel de tout l’équipage.
Le spectacle qu’il a maintenant sous les yeux lui rappelle des souvenirs de son voyage au Japon, lors du congrès international auquel il avait participé à la demande du président de l’époque.
Le même imbroglio de corps nus, enlacés dans toutes les positions possibles et imaginables, donnant un aperçu très réaliste des activités de ces dernières heures.
- Eh bien mes cochons !! Si c’est l’effet d’un millénaire de stase je veux bien essayer ! Hi ! Hi !
Pourtant il comprend vite en apercevant dans le tas le corps parfait d’Alexandre que cela n’a en fait rien à voir avec ce qu’il pensait au départ, mais qu’il se retrouve en plus important dans le même cas de figure que celui qu’il pense avoir réglé sur Terre.
L’équipage mixte du vaisseau a dû s’en donner à cœur joie vu tous ces couples enlacés dans leur sommeil, l’odeur flottant toujours dans l’air le démontre elle aussi en donnant l’ampleur de la joute sexuelle qui vient de s’y jouer.
Malgré une brève hésitation à les rejoindre quand ils s’éveilleront pour remettre le couvert, il s’en retourne avec quand même un profond soupir de regret, mais surtout en prenant soin d’emmener Alexandre avec lui pour que le "feu "ne se "rallume" pas.
Il doit rapidement régler les derniers problèmes liés à « PENN » et au vaisseau, pour ensuite poursuivre ses investigations dans l’autre univers afin d’obtenir les réponses à ses questions.
Questions qui sont dans l’ordre de priorité à savoir pourquoi ils ont agi ainsi avec lui et ensuite retrouver le lieu de naissance d’Alexandre pour mieux comprendre ce qu’il est, voire ce qu’ils sont car il devient de plus en plus évident qu’eux deux semblent issus d’une espèce commune.
***/***
Les préparatifs prirent le reste de la journée avant qu’enfin tout soit prêt pour leur départ, ayant pris soin avant, d’envoyer Lorgan rejoindre Antonin et Thomas sur Imperia, après lui avoir posé la question sur ses envies des prochains jours.
Le vaisseau se retrouve en orbite haute alors que l’équipage se prépare à poursuivre sa mission de base tandis que l'équipe criminelle se retrouve à nouveau en stase dans l’attente de coloniser un système vierge d’êtres pensants et pouvant les accueillir, l’idée de les laisser sur « PENN » à commencer ici une nouvelle vie ayant été rejetée à la quasi-unanimité.
***/***
« Dans la caverne derrière la grande muraille. »
Florian se retrouve là une fois avoir pris toutes les dispositions possibles, il s’avance vers la stèle où Alexandre dort toujours comme un enfant depuis qu’il l’y a déposé.
Il se sent inhabituellement nerveux, sans doute est-ce lié au fait qu’il va se lancer dans ce qui se rapproche pour lui le plus de l’inconnu.
Une autre question se pose toutefois à lui : aura-t-il les mêmes pouvoirs en changeant d’univers ? Ses brèves visites aux cinq vieillards auraient tendance à lui dire que oui, tout comme le fait qu’Alexandre découvre progressivement les siens alors qu’ici bàs il n’est, à l’évidence, pas à sa vraie place.
- Bah !! Un peu de piquant me changera, le risque fait aussi partie de la vie et jusqu’à maintenant je le faisais plutôt subir aux autres qu’à moi ! Hi ! Hi !
Il admire un bref instant la plastique sans défaut d’Alexandre, avant de le secouer gentiment pour le réveiller.
- Aller mon grand !! On doit y aller !!
- Où ça donc ?
- Trouver les réponses aux questions que tu n’arrêtes pas de te poser !!
Alexandre qui était encore à moitié endormi se lève d’un bond sous l’effet du puissant envoi d’adrénaline venant de son cerveau à l’idée de connaître sa véritable raison d’être.
- On commence par où ?
- Par ceux qui t’ont envoyé parmi nous, il n’y a que de cette façon que nous pourrons remonter jusqu’à l’endroit où ils t’ont trouvé et découvrir leurs véritables intentions par la même occasion.
- J’ai bien peur que nous nous retrouvions dans la même impasse que toi au final.
- C’est une probabilité mais ne soyons pas pessimistes avant d’avoir au moins essayé.
- Tu penses qu’il est possible que nous trouvions une planète semblable à la Terre ?
- Ce n’est à vrai dire pas le plus important, mais ça résoudrait quand même quelques problèmes si c’était le cas.
- Tu penses comme moi ?
- J’imagine que oui !
Florian commence à se concentrer pour les envoyer traverser le vide effrayant séparant les deux univers, captant au passage la grimace d’appréhension d’Alexandre qui sur une impulsion vient lui prendre la main.
Un changement notable survient alors quand ils traversent le « non-univers » en seulement un battement de cœur, les laissant l’un comme l’autre à chercher à comprendre ce qui s’est passé.
- Ouah !! Je n’ai rien ressenti cette fois !!
- Bonne idée que tu as eue de t’accrocher à moi, maintenant nous aurons moins d’appréhension à faire le voyage.
- Moins d’appréhension peut-être, mais toujours avec le besoin ensuite de recharger les batteries ! Hi ! Hi !
- De quoi ?
Un doigt pointé vers son entrejambe renseigne Florian sur la raison de cette phrase dite sur le ton du badinage, mais aussi d’une certaine envie qu’il lui serait très difficile de nier vu l’état de tension de leur bas-ventre.
- Je ne pense pas pourtant que ce soit le bon moment pour les galipettes.
- Au contraire !! Que savons-nous des difficultés que nous allons devoir traverser ? D’avoir nos « batteries » chargées à bloc sera peut-être ce qui nous aidera le mieux à nous en sortir sans casse ?
Une fois rassuré sur la santé de Tomoya et avoir pris les mesures nécessaires pour qu’à l’avenir de tels risques ne soient plus d’actualité, Florian retourne sur « PENN » reprendre là où il en était resté.
La précipitation lui fait oublier de revenir à l’instant précis de son départ, aussi se retrouve-t-il dans la salle de commande principale quelques heures plus tard, le temps qu’il a passé avec son fils et ses amis à résoudre le problème lié à cet appel de détresse.
***/***
Du coup Alexandre qu’il avait juste avant ça récupéré de sa visite au châtelain avec son frère de lait, s’est retrouvé seul avec les membres d’équipages qui curieux comme il se doit, l’ont questionné sur le jeune rouquin qui a disparu sous leurs yeux comme d’ailleurs d’autres avant lui et qu’ils ne s’expliquent pas de façon rationnelle.
Alexandre est de tous celui qui en sait sûrement le moins, aussi ses réponses restent vagues sans satisfaire pleinement la curiosité de ses nouveaux amis.
Pourtant malgré son ignorance évidente des sujets les plus importants pour eux, il s’aperçoit néanmoins que petit à petit ils empiètent sur son espace personnel jusqu’à presque le coller.
La jeunesse tout comme la beauté réelle de la plupart d’entre eux déclenche le même phénomène que celui du complexe De Bierne à son retour de vacances en France.
Les regards portés dorénavant sur lui montrent l’appétit grandissant qu’ils éprouvent désormais à son égard, un sourire lui vient, alors qu’une pensée émerge au-dessus des autres et très rapidement prend le dessus sur sa volonté, sa gorge laissant échapper involontairement ce fameux son propre à son espèce et auquel personne ne résiste.
***/***
Florian devant la salle de pilotage désertée ne perd pas de temps à en chercher la raison, son esprit s’élevant suffisamment pour avoir une vue d’ensemble du vaisseau.
Un endroit attire son attention par la nature même de la température y régnant, il décide alors d’aller rejoindre ce qui semble être le lieu de rassemblement actuel de tout l’équipage.
Le spectacle qu’il a maintenant sous les yeux lui rappelle des souvenirs de son voyage au Japon, lors du congrès international auquel il avait participé à la demande du président de l’époque.
Le même imbroglio de corps nus, enlacés dans toutes les positions possibles et imaginables, donnant un aperçu très réaliste des activités de ces dernières heures.
- Eh bien mes cochons !! Si c’est l’effet d’un millénaire de stase je veux bien essayer ! Hi ! Hi !
Pourtant il comprend vite en apercevant dans le tas le corps parfait d’Alexandre que cela n’a en fait rien à voir avec ce qu’il pensait au départ, mais qu’il se retrouve en plus important dans le même cas de figure que celui qu’il pense avoir réglé sur Terre.
L’équipage mixte du vaisseau a dû s’en donner à cœur joie vu tous ces couples enlacés dans leur sommeil, l’odeur flottant toujours dans l’air le démontre elle aussi en donnant l’ampleur de la joute sexuelle qui vient de s’y jouer.
Malgré une brève hésitation à les rejoindre quand ils s’éveilleront pour remettre le couvert, il s’en retourne avec quand même un profond soupir de regret, mais surtout en prenant soin d’emmener Alexandre avec lui pour que le "feu "ne se "rallume" pas.
Il doit rapidement régler les derniers problèmes liés à « PENN » et au vaisseau, pour ensuite poursuivre ses investigations dans l’autre univers afin d’obtenir les réponses à ses questions.
Questions qui sont dans l’ordre de priorité à savoir pourquoi ils ont agi ainsi avec lui et ensuite retrouver le lieu de naissance d’Alexandre pour mieux comprendre ce qu’il est, voire ce qu’ils sont car il devient de plus en plus évident qu’eux deux semblent issus d’une espèce commune.
***/***
Les préparatifs prirent le reste de la journée avant qu’enfin tout soit prêt pour leur départ, ayant pris soin avant, d’envoyer Lorgan rejoindre Antonin et Thomas sur Imperia, après lui avoir posé la question sur ses envies des prochains jours.
Le vaisseau se retrouve en orbite haute alors que l’équipage se prépare à poursuivre sa mission de base tandis que l'équipe criminelle se retrouve à nouveau en stase dans l’attente de coloniser un système vierge d’êtres pensants et pouvant les accueillir, l’idée de les laisser sur « PENN » à commencer ici une nouvelle vie ayant été rejetée à la quasi-unanimité.
***/***
« Dans la caverne derrière la grande muraille. »
Florian se retrouve là une fois avoir pris toutes les dispositions possibles, il s’avance vers la stèle où Alexandre dort toujours comme un enfant depuis qu’il l’y a déposé.
Il se sent inhabituellement nerveux, sans doute est-ce lié au fait qu’il va se lancer dans ce qui se rapproche pour lui le plus de l’inconnu.
Une autre question se pose toutefois à lui : aura-t-il les mêmes pouvoirs en changeant d’univers ? Ses brèves visites aux cinq vieillards auraient tendance à lui dire que oui, tout comme le fait qu’Alexandre découvre progressivement les siens alors qu’ici bàs il n’est, à l’évidence, pas à sa vraie place.
- Bah !! Un peu de piquant me changera, le risque fait aussi partie de la vie et jusqu’à maintenant je le faisais plutôt subir aux autres qu’à moi ! Hi ! Hi !
Il admire un bref instant la plastique sans défaut d’Alexandre, avant de le secouer gentiment pour le réveiller.
- Aller mon grand !! On doit y aller !!
- Où ça donc ?
- Trouver les réponses aux questions que tu n’arrêtes pas de te poser !!
Alexandre qui était encore à moitié endormi se lève d’un bond sous l’effet du puissant envoi d’adrénaline venant de son cerveau à l’idée de connaître sa véritable raison d’être.
- On commence par où ?
- Par ceux qui t’ont envoyé parmi nous, il n’y a que de cette façon que nous pourrons remonter jusqu’à l’endroit où ils t’ont trouvé et découvrir leurs véritables intentions par la même occasion.
- J’ai bien peur que nous nous retrouvions dans la même impasse que toi au final.
- C’est une probabilité mais ne soyons pas pessimistes avant d’avoir au moins essayé.
- Tu penses qu’il est possible que nous trouvions une planète semblable à la Terre ?
- Ce n’est à vrai dire pas le plus important, mais ça résoudrait quand même quelques problèmes si c’était le cas.
- Tu penses comme moi ?
- J’imagine que oui !
Florian commence à se concentrer pour les envoyer traverser le vide effrayant séparant les deux univers, captant au passage la grimace d’appréhension d’Alexandre qui sur une impulsion vient lui prendre la main.
Un changement notable survient alors quand ils traversent le « non-univers » en seulement un battement de cœur, les laissant l’un comme l’autre à chercher à comprendre ce qui s’est passé.
- Ouah !! Je n’ai rien ressenti cette fois !!
- Bonne idée que tu as eue de t’accrocher à moi, maintenant nous aurons moins d’appréhension à faire le voyage.
- Moins d’appréhension peut-être, mais toujours avec le besoin ensuite de recharger les batteries ! Hi ! Hi !
- De quoi ?
Un doigt pointé vers son entrejambe renseigne Florian sur la raison de cette phrase dite sur le ton du badinage, mais aussi d’une certaine envie qu’il lui serait très difficile de nier vu l’état de tension de leur bas-ventre.
- Je ne pense pas pourtant que ce soit le bon moment pour les galipettes.
- Au contraire !! Que savons-nous des difficultés que nous allons devoir traverser ? D’avoir nos « batteries » chargées à bloc sera peut-être ce qui nous aidera le mieux à nous en sortir sans casse ?
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