24-12-2020, 08:31 PM
Marianne et moi discutons assez souvent par sms. Je ne pense pas que Claire soit au courant d’ailleurs… Quand je parle avec la jolie brune, je sens toujours chez elle cette espèce de timidité et de retenue qui la caractérise, comme si elle ne se lâchait pas complètement. Malgré tout ce qui s’est passé entre nous, elle alterne entre des moments où elle ose être un peu coquine et d’autres où elle est sur la défensive. Mais c’est aussi ce qui fait son charme.
Je suis assez surpris par la teneur du sms. Elle m’écrit « J’ai besoin de ton avis. Lequel tu préfères ? » suivi de deux photos d’elle, prises avec son téléphone devant un miroir, dans deux maillots de bains différents. Je regarde les deux photos pendant un long moment, moins intéressé par les maillots de bain que par la courbe gracieuse de la poitrine de Marianne qu’ils me permettent d’entrevoir. Je souris en repensant à cette matinée à la plage, il y a une semaine, où elle m’avait également demandé de choisir pour elle entre deux maillots de bain. Clairement, elle fait allusion à cette journée mais c’est surtout l’occasion pour moi de pouvoir contempler son corps et j’en suis ravi.
Je me rends compte que je bande et qu’une bosse s’est formée sur mon maillot. Alors je réponds en vitesse à Marianne et je me jette à l’eau. Je nage pendant un long moment puis, comme je commence à avoir trop froid, je sors, je fais quelques pompes sur le bord de la piscine puis je me sèche à la va vite et je remonte à la chambre. Je décide de prendre une douche. Dans la salle de bain, je me déshabille et je monte dans la baignoire. Mon sexe est devenu tout petit à cause de la piscine et ça m’amuse de le voir dans cet état. Je joue un peu avec lui, je le titille puis je me glisse sous le jet d’eau. La chaleur de la douche me fait un bien fou ! Quand je ressors, c’est déjà l’heure du diner.
Après manger, je monte dans ma chambre. Je lis comme souvent, tout en continuant ma conversation par sms avec Marianne. Puis, sur le coup des dix heures, je me couche et je m’endors assez vite. Mais je suis réveillé une heure plus tard par le bruit familier de quelqu’un qui gratte à ma porte. Les yeux tous embués de sommeil, j’allume ma lampe de chevet pendant que ma cousine entre dans ma chambre.
« - Claire… balbutié-je.
Elle pose son doigt sur ses lèvres pour me dire de me taire et me fait un sourire. Elle porte une nuisette blanche assez courte et avec un jolie décolleté. Je peux voir par transparence son soutien-gorge, blanc également. J’avais complètement oublié qu’elle avait dit qu’elle passerait me voir ce soir… Claire retire les couvertures sous lesquelles je me trouve. Je suis en caleçon. Toujours en me faisant signe de ne rien dire et de ne pas bouger, elle retire mon caleçon pour libérer mon sexe. Ses mains effleurent mes hanches et mes jambes pendant l’opération, me faisant frissonner. Claire se place debout au bord du lit, perpendiculairement à moi. Elle se penche en avant, m’offrant ainsi une vue imprenable sur son décolleté et attrape mon sexe du bout des doigts. Elle le malaxe et le caresse doucement. Celui-ci se gonfle et devient dur entre ses doigts tandis qu’une sensation de chaleur caractéristique m’envahit.
Mon sexe a maintenant atteint se taille maximale. Claire le prend à pleine main et commence de petits va-et-vient. Puis elle décalotte mon pénis, révélant mon gland rougi. Ses gestes sont doux et lents pour ne pas me faire mal mais au fur et à mesure, elle accélère le mouvement. Je profite de l’instant en regardant tantôt les doigts de Claire qui entourent mon sexe, tantôt son décolleté qui me laisse voir la courbure de ses seins et le grain de beauté qu’elle a entre les deux. Cette vision m’excite encore davantage. La pièce est à peine éclairée par la lampe de chevet qui crée une lumière tamisée et intime.
Ma cousine me procure un bien fou. La sensation de bien être enveloppe tout mon corps. Chaque va-et-vient sur mon sexe envoie un décharge de plaisir dans mes membres. Pendant qu’elle continue son travail, je tends ma main vers elle, je soulève légèrement le bas de sa nuisette et je m’y faufile. Mes doigts rentrent en contact directement avec ses grandes lèvres, elle ne porte pas de culotte… Un frisson me traverse. Claire aussi est surprise, je le sens parce que pendant un bref instant, elle arrête ses mouvements. Mais elle reprend de plus belle et j’en déduis que j’ai son accord pour explorer son intimité. Mes doigts caressent doucement ses lèvres. L’entre-jambe de Claire est chaud et je le sens devenir humide sous mes caresses. Un coup d’œil sur le visage de ma cousine me confirme qu’elle apprécie ce moment autant que moi.
De mon côté, je ferme les yeux pour profiter au maximum de toutes les sensations que je ressens. Ma main continue ses caresses sur la chatte de Claire qui se retrouve trempée de mouille et la sensation de chaleur autour de mon sexe devient très intense. Claire et moi ne disons rien mais nous continuons à nous faire du bien. Ma respiration devient très rapide, je ne vais plus tenir très longtemps. Je rouvre les yeux, Claire me fixe du regard. Elle sent que je suis à bout et elle s’applique sur les derniers va et vient en allant un peu plus doucement mais en descendant bien jusqu’à la base de mon pénis et en remontant jusqu’en haut. Le plaisir que je ressens est immense. Soudain je m’exclame « Ahhhh » tandis que je jouis en quatre grosses saccades qui retombe sur mon torse. Claire a retiré sa main, elle me fait un dernier sourire et quitte ma chambre, me laissant allongé sur mon lit, complètement vidé, les bras ballant, le sexe ramolli entres mes cuisses.362
Je suis assez surpris par la teneur du sms. Elle m’écrit « J’ai besoin de ton avis. Lequel tu préfères ? » suivi de deux photos d’elle, prises avec son téléphone devant un miroir, dans deux maillots de bains différents. Je regarde les deux photos pendant un long moment, moins intéressé par les maillots de bain que par la courbe gracieuse de la poitrine de Marianne qu’ils me permettent d’entrevoir. Je souris en repensant à cette matinée à la plage, il y a une semaine, où elle m’avait également demandé de choisir pour elle entre deux maillots de bain. Clairement, elle fait allusion à cette journée mais c’est surtout l’occasion pour moi de pouvoir contempler son corps et j’en suis ravi.
Je me rends compte que je bande et qu’une bosse s’est formée sur mon maillot. Alors je réponds en vitesse à Marianne et je me jette à l’eau. Je nage pendant un long moment puis, comme je commence à avoir trop froid, je sors, je fais quelques pompes sur le bord de la piscine puis je me sèche à la va vite et je remonte à la chambre. Je décide de prendre une douche. Dans la salle de bain, je me déshabille et je monte dans la baignoire. Mon sexe est devenu tout petit à cause de la piscine et ça m’amuse de le voir dans cet état. Je joue un peu avec lui, je le titille puis je me glisse sous le jet d’eau. La chaleur de la douche me fait un bien fou ! Quand je ressors, c’est déjà l’heure du diner.
Après manger, je monte dans ma chambre. Je lis comme souvent, tout en continuant ma conversation par sms avec Marianne. Puis, sur le coup des dix heures, je me couche et je m’endors assez vite. Mais je suis réveillé une heure plus tard par le bruit familier de quelqu’un qui gratte à ma porte. Les yeux tous embués de sommeil, j’allume ma lampe de chevet pendant que ma cousine entre dans ma chambre.
« - Claire… balbutié-je.
Elle pose son doigt sur ses lèvres pour me dire de me taire et me fait un sourire. Elle porte une nuisette blanche assez courte et avec un jolie décolleté. Je peux voir par transparence son soutien-gorge, blanc également. J’avais complètement oublié qu’elle avait dit qu’elle passerait me voir ce soir… Claire retire les couvertures sous lesquelles je me trouve. Je suis en caleçon. Toujours en me faisant signe de ne rien dire et de ne pas bouger, elle retire mon caleçon pour libérer mon sexe. Ses mains effleurent mes hanches et mes jambes pendant l’opération, me faisant frissonner. Claire se place debout au bord du lit, perpendiculairement à moi. Elle se penche en avant, m’offrant ainsi une vue imprenable sur son décolleté et attrape mon sexe du bout des doigts. Elle le malaxe et le caresse doucement. Celui-ci se gonfle et devient dur entre ses doigts tandis qu’une sensation de chaleur caractéristique m’envahit.
Mon sexe a maintenant atteint se taille maximale. Claire le prend à pleine main et commence de petits va-et-vient. Puis elle décalotte mon pénis, révélant mon gland rougi. Ses gestes sont doux et lents pour ne pas me faire mal mais au fur et à mesure, elle accélère le mouvement. Je profite de l’instant en regardant tantôt les doigts de Claire qui entourent mon sexe, tantôt son décolleté qui me laisse voir la courbure de ses seins et le grain de beauté qu’elle a entre les deux. Cette vision m’excite encore davantage. La pièce est à peine éclairée par la lampe de chevet qui crée une lumière tamisée et intime.
Ma cousine me procure un bien fou. La sensation de bien être enveloppe tout mon corps. Chaque va-et-vient sur mon sexe envoie un décharge de plaisir dans mes membres. Pendant qu’elle continue son travail, je tends ma main vers elle, je soulève légèrement le bas de sa nuisette et je m’y faufile. Mes doigts rentrent en contact directement avec ses grandes lèvres, elle ne porte pas de culotte… Un frisson me traverse. Claire aussi est surprise, je le sens parce que pendant un bref instant, elle arrête ses mouvements. Mais elle reprend de plus belle et j’en déduis que j’ai son accord pour explorer son intimité. Mes doigts caressent doucement ses lèvres. L’entre-jambe de Claire est chaud et je le sens devenir humide sous mes caresses. Un coup d’œil sur le visage de ma cousine me confirme qu’elle apprécie ce moment autant que moi.
De mon côté, je ferme les yeux pour profiter au maximum de toutes les sensations que je ressens. Ma main continue ses caresses sur la chatte de Claire qui se retrouve trempée de mouille et la sensation de chaleur autour de mon sexe devient très intense. Claire et moi ne disons rien mais nous continuons à nous faire du bien. Ma respiration devient très rapide, je ne vais plus tenir très longtemps. Je rouvre les yeux, Claire me fixe du regard. Elle sent que je suis à bout et elle s’applique sur les derniers va et vient en allant un peu plus doucement mais en descendant bien jusqu’à la base de mon pénis et en remontant jusqu’en haut. Le plaisir que je ressens est immense. Soudain je m’exclame « Ahhhh » tandis que je jouis en quatre grosses saccades qui retombe sur mon torse. Claire a retiré sa main, elle me fait un dernier sourire et quitte ma chambre, me laissant allongé sur mon lit, complètement vidé, les bras ballant, le sexe ramolli entres mes cuisses.362