24-12-2020, 08:29 PM
Mon érection ne diminue pas. Claire fait semblant de ne pas la voir de même qu'elle fait semblant de ne pas avoir remarqué que je la dévore des yeux... Elle discute avec moi comme si de rien était sans se soucier de ses deux seins qui s'agitent à chacun de ses mouvements. J'enrage de ne pas pouvoir les prendre dans mes mains... À midi, je prépare le repas comme prévu. Je me place devant la poêle et je surveille la cuisson de l'omelette. Soudain, Claire qui se trouve derrière moi passe ses mains autour de mon cou et colle son torse contre mon dos. Je sens ses deux seins bien fermes appuyer contre mes omoplates. Je commence à tourner la tête vers elle.
- Non, dit-elle. Concentre toi sur ta cuisine.
J'imagine le sourire qu'elle doit avoir sur les lèvres. La torture continue. Claire descend sa main droite jusque sur mon short.
- Je te fais toujours autant d'effet à ce que je vois !
- Hum...
- Je vais te soulager un peu.
Sur ces mots, Claire passe sa main sous mon short et sous mon caleçon. Le contact de sa main froide contre mon sexe bouillant me fait frissonner. Elle le prend entre ses doigts et commence à le malaxer. Je garde les yeux rivés sur la poêle mais je profite de chaque sensation : les seins de Claire dans mon dos, ses doigts autour de mon sexe, les petits baisers qu'elle me dépose dans le cou. Le plaisir monte en moi et ma respiration s'accélère. Je ferme les yeux et je m'abandonne aux bons soins de ma cousine. J'attends d'atteindre le point de non retour et qu'elle me fasse jouir entre ses doigts. Elle s'arrête brusquement :
- Je crois que c'est cuit. Passons à table !
Les seins de Claire quittent mon dos et sa main sort doucement de mon short. C'est vrai que l'omelette est cuite... Nous mangeons tranquillement en parlant de choses et d'autres. Je ne quitte pas ma cousine des yeux mais mon sexe, après cette matinée épuisante pour lui, n'a même plus la force de bander et reste mou dans mon caleçon. Quand nous avons terminé, nous débarrassons la table et Claire va s'allonger sur la canapé, prétextant l'envie de faire une sieste. Je me tiens debout à côté d'elle. Sa poitrine s'étale sur son torse et se soulève au rythme de sa respiration, très calme. C'est sur ce même canapé que je l'ai prise pour la première fois il n'y a pas si longtemps. Elle était allongée comme ça. Et c'est ici qu'hier soir encore nous jouissions tous les deux... Je suis sur que Claire fait semblant de dormir et qu'elle sait très bien que je l'observe. Ça doit beaucoup l'amuser.
Un bruit de voiture qui s'approche m'arrache à mes réflexions. Ce sont nos parents respectifs qui viennent de rentrer. La voiture se gare dans le petite cour, le bruit des pneus contre le gravier fait un bruit caractéristique. Claire écarquille les yeux, pousse un petit cri de stupeur, devient toute rouge et court jusqu'à l'escalier qu'elle gravit à grands pas. Alors comme ça elle ne veut pas que ses parents la voient en si petite tenue ? Je rigole, bien content d'avoir eu comme une petite revanche. Ensuite, je m'installe sur le canapé, juste avant que les adultes n'entrent dans la maison. La clé tourne dans la serrure, la porte d'entrée s'ouvre. Je viens juste de remarquer que Claire, dans sa précipitation, a laissé ses vêtements sur le sol. Son haut et son soutif traînent négligemment pas très loin de les pieds...La porte d'entrée de la maison s'ouvre et j'entends les quatre adultes rentrer. J'essaye de prendre un air détendu, assis sur la canapé, mais mon cœur bat la chamade. Les voilà dans le salon. Ils me saluent et j'entame la conversation sur ce qu'ils ont fait la veille. Tout en discutant, je m'efforce de ne pas regarder le tas de vêtements de ma cousine qui gît sur le sol non loin du canapé de peur d'attirer leur attention dessus. Mais je sais bien qu'ils finiront par le voir tôt ou tard et alors, qui sait ce qu'ils diront... Mais non, les voilà tous les quatre qui changent de pièce. J'ai à peine le temps de me détendre que ma tante revient sur ses pas et me demande :
" Ou est Claire ?
-A l'étage, réponds-je
Soudain, ma tante aperçoit le tas de vêtements. Je regarde dans le même direction qu'elle en prenant un air surpris.
- Roh... C'est pas possible ! dit-elle. Claire descend tout de suite !
Ma cousine apparait dans l'escalier. D'abord ses jambes, puis sa taille et enfin son joli visage souriant. Je constate qu'elle est habillée cette fois !
- Oui maman ?
- Regarde ça ! Tu laisses trainer tes affaires partout ! Essaye d'être un peu plus organisée, surtout quand on a des invités à la maison...
- Pardon maman... Je ferai plus attention la prochaine fois... Tu viens Cyril ?
Claire ramasse ses vêtements et me fait signe de la suivre. Je monte à sa suite dans l'escalier. Je me retrouve dans le couloir familier qui mène à nos chambres respectives. J'ai l'impression d'être sur mon territoire et j'arrive enfin à me détendre. Claire m'invite à rentrer dans sa chambre et verrouille la porte derrière nous. Nous nous asseyons côte à côte sur son lit.
- Ah la gaffe ! s'exclame-t-elle en riant de bon cœur.
- Tu crois que ta mère a compris ?
- Non, pas de risque, j'ai tendance à laisser trainer mes affaires partout de toute façon.
- Ça me rassure...
Claire me fait un sourire que je lui rends.
- Au fait, dis-je, ça y est tu arrêtes de te balader nue dans toute la maison ?
- Ça ne serait pas très prudent... Mais tu as aimé ça, pas vrai ? dit-elle pour me taquiner.
Pour toute réponse, j'approche ma main de son décolleté. Au moment où je vais la glisser dedans, elle me repousse.
- Eh ! Pas touche cousin !
Je préfère ne pas insister. Mais à son sourire complice, je comprends très vite qu'elle n'est pas fâchée mais qu'elle continue juste à jouer avec moi, comme ce matin.
- Bon, dit Claire, on devrait redescendre et discuter un peu avec nos chers parents. Je passerai peut-être ye voir dans ta chambre ce soir...
Sur ces mots, nous retournons dans le salon du bas, où nous retrouvons les adultes.
Les adultes nous racontent en long, en large et en travers le déroulement de leur soirée. Je m’ennuie profondément mais je fais mine de m’y intéresser pour ne pas les vexer. Finalement, je décide d’aller à la piscine. Le temps de remonter dans ma chambre pour me changer et pour prendre une serviette et me voilà au bord de l’eau. Je me mets en maillot et je m’allonge quelques instants sur la chaise longue. Soudain, je reçois un sms de Marianne.
- Non, dit-elle. Concentre toi sur ta cuisine.
J'imagine le sourire qu'elle doit avoir sur les lèvres. La torture continue. Claire descend sa main droite jusque sur mon short.
- Je te fais toujours autant d'effet à ce que je vois !
- Hum...
- Je vais te soulager un peu.
Sur ces mots, Claire passe sa main sous mon short et sous mon caleçon. Le contact de sa main froide contre mon sexe bouillant me fait frissonner. Elle le prend entre ses doigts et commence à le malaxer. Je garde les yeux rivés sur la poêle mais je profite de chaque sensation : les seins de Claire dans mon dos, ses doigts autour de mon sexe, les petits baisers qu'elle me dépose dans le cou. Le plaisir monte en moi et ma respiration s'accélère. Je ferme les yeux et je m'abandonne aux bons soins de ma cousine. J'attends d'atteindre le point de non retour et qu'elle me fasse jouir entre ses doigts. Elle s'arrête brusquement :
- Je crois que c'est cuit. Passons à table !
Les seins de Claire quittent mon dos et sa main sort doucement de mon short. C'est vrai que l'omelette est cuite... Nous mangeons tranquillement en parlant de choses et d'autres. Je ne quitte pas ma cousine des yeux mais mon sexe, après cette matinée épuisante pour lui, n'a même plus la force de bander et reste mou dans mon caleçon. Quand nous avons terminé, nous débarrassons la table et Claire va s'allonger sur la canapé, prétextant l'envie de faire une sieste. Je me tiens debout à côté d'elle. Sa poitrine s'étale sur son torse et se soulève au rythme de sa respiration, très calme. C'est sur ce même canapé que je l'ai prise pour la première fois il n'y a pas si longtemps. Elle était allongée comme ça. Et c'est ici qu'hier soir encore nous jouissions tous les deux... Je suis sur que Claire fait semblant de dormir et qu'elle sait très bien que je l'observe. Ça doit beaucoup l'amuser.
Un bruit de voiture qui s'approche m'arrache à mes réflexions. Ce sont nos parents respectifs qui viennent de rentrer. La voiture se gare dans le petite cour, le bruit des pneus contre le gravier fait un bruit caractéristique. Claire écarquille les yeux, pousse un petit cri de stupeur, devient toute rouge et court jusqu'à l'escalier qu'elle gravit à grands pas. Alors comme ça elle ne veut pas que ses parents la voient en si petite tenue ? Je rigole, bien content d'avoir eu comme une petite revanche. Ensuite, je m'installe sur le canapé, juste avant que les adultes n'entrent dans la maison. La clé tourne dans la serrure, la porte d'entrée s'ouvre. Je viens juste de remarquer que Claire, dans sa précipitation, a laissé ses vêtements sur le sol. Son haut et son soutif traînent négligemment pas très loin de les pieds...La porte d'entrée de la maison s'ouvre et j'entends les quatre adultes rentrer. J'essaye de prendre un air détendu, assis sur la canapé, mais mon cœur bat la chamade. Les voilà dans le salon. Ils me saluent et j'entame la conversation sur ce qu'ils ont fait la veille. Tout en discutant, je m'efforce de ne pas regarder le tas de vêtements de ma cousine qui gît sur le sol non loin du canapé de peur d'attirer leur attention dessus. Mais je sais bien qu'ils finiront par le voir tôt ou tard et alors, qui sait ce qu'ils diront... Mais non, les voilà tous les quatre qui changent de pièce. J'ai à peine le temps de me détendre que ma tante revient sur ses pas et me demande :
" Ou est Claire ?
-A l'étage, réponds-je
Soudain, ma tante aperçoit le tas de vêtements. Je regarde dans le même direction qu'elle en prenant un air surpris.
- Roh... C'est pas possible ! dit-elle. Claire descend tout de suite !
Ma cousine apparait dans l'escalier. D'abord ses jambes, puis sa taille et enfin son joli visage souriant. Je constate qu'elle est habillée cette fois !
- Oui maman ?
- Regarde ça ! Tu laisses trainer tes affaires partout ! Essaye d'être un peu plus organisée, surtout quand on a des invités à la maison...
- Pardon maman... Je ferai plus attention la prochaine fois... Tu viens Cyril ?
Claire ramasse ses vêtements et me fait signe de la suivre. Je monte à sa suite dans l'escalier. Je me retrouve dans le couloir familier qui mène à nos chambres respectives. J'ai l'impression d'être sur mon territoire et j'arrive enfin à me détendre. Claire m'invite à rentrer dans sa chambre et verrouille la porte derrière nous. Nous nous asseyons côte à côte sur son lit.
- Ah la gaffe ! s'exclame-t-elle en riant de bon cœur.
- Tu crois que ta mère a compris ?
- Non, pas de risque, j'ai tendance à laisser trainer mes affaires partout de toute façon.
- Ça me rassure...
Claire me fait un sourire que je lui rends.
- Au fait, dis-je, ça y est tu arrêtes de te balader nue dans toute la maison ?
- Ça ne serait pas très prudent... Mais tu as aimé ça, pas vrai ? dit-elle pour me taquiner.
Pour toute réponse, j'approche ma main de son décolleté. Au moment où je vais la glisser dedans, elle me repousse.
- Eh ! Pas touche cousin !
Je préfère ne pas insister. Mais à son sourire complice, je comprends très vite qu'elle n'est pas fâchée mais qu'elle continue juste à jouer avec moi, comme ce matin.
- Bon, dit Claire, on devrait redescendre et discuter un peu avec nos chers parents. Je passerai peut-être ye voir dans ta chambre ce soir...
Sur ces mots, nous retournons dans le salon du bas, où nous retrouvons les adultes.
Les adultes nous racontent en long, en large et en travers le déroulement de leur soirée. Je m’ennuie profondément mais je fais mine de m’y intéresser pour ne pas les vexer. Finalement, je décide d’aller à la piscine. Le temps de remonter dans ma chambre pour me changer et pour prendre une serviette et me voilà au bord de l’eau. Je me mets en maillot et je m’allonge quelques instants sur la chaise longue. Soudain, je reçois un sms de Marianne.