24-12-2020, 08:27 PM
C'est vrai que j'ai l'impression de me sentir plus à l'étroit à l'intérieur de Claire. A chaque coup de rein, mon gland vient buter contre le fond de son vagin. Ses gémissement sont redevenus fréquents et aigus.
- Ha han ! Ha han ! Encore, oh oui comme ça !
La même sensation que tout à l'heure s'empare de moi. Mais je suis tellement dans les vapes que je ne réalise même pas que je vais jouir. Je profite juste de l'instant. Mon sexe tressaute à nouveau et je me vide pour la deuxième fois à l'intérieur de Claire en poussant un cri de jouissance.Aussitôt, je sens mon sexe ramollir dans son vagin. Je me retire et je m'assois sur le canapé, en regardant mes pieds.
- Désolé... dis-je.
Pas de réponse. Mais je sens que Claire s'est assise à côté de moi. Avec sa langue, elle me caresse la joue. Je tourne la tête vers elle et elle m'embrasse goulûment. Quand nos lèvres s'écartent, elle me murmure.
- Merci pour ce soir. Tu sais, quand je t'ai dit d'arrêter tout à l'heure, c'est parce que j'étais surprise mais je ne le pensais pas.
Je la regarde et je vois un grand sourire gourmand éclairer son visage. Alors je lui souris aussi. Puis nous finissons de ranger le salon. Je dévore Claire des yeux, son corps nu dans la pénombre, ses seins généreux dont les tétons sont moins dressés que tout à l'heure. Sa poitrine est encore rougie tant je l'ai malaxée, de même que ses fesses qui ont beaucoup claquées quand je la prenais en levrette. Et s'aperçoit que je la fixe des yeux.
- Je vais me rhabiller parce que je voudrais pas que tu me sautes dessus encore une fois !
Je rougis...
- C'est une blague cousin ! T'es bête ! ajoute-t-elle en riant.
Une fois la salon rangé, nous ouvrons grand les fenêtres pour aérer et nous décidons de regarder un film. Il n'est pas encore très tard.
Le lendemain, je me réveille de très bonne humeur. Enfoncé dans mon lit, je repense aux événements de la veille. Quelle soirée ! Les souvenirs me reviennent et déclenchent mon érection du matin. Pour me calmer, je prends une douche ; je m'habille et je descends. Claire est en bas, entrain de siroter une tasse de café.
"- Comment va mon cousin ce matin ? demande-t-elle d'une voie enjouée.
- Très bien et toi ?
- Ma mère a laissé un sms. Ils vont prendre leur temps pour rentrer et ils arriveront vers 14h00. Ils auront déjà manger mais ma mère dit que tu vas devoir cuisiner pour nous deux !
Je vais jusqu'au frigo et je regarde ce qu'il reste à manger.
- Une omelette ce t'ira ? demandé-je.
- Très bien ! J'aime quand tu cuisines pour moi Cyril...
Nous mangeons notre petit-déjeuner en bavardant sans faire allusion aux événements de la veille. Puis Claire se lève et déclare :
- Bon ! Vu qu'ils sont pas là, si on se mettait à l'aise ?
Sur ces mots, ma cousine enlève son t-shirt très lentement en faisant exprès de ne pas croiser mon regard. Puis elle dégrafe son soutien-gorge qui tombe à ses pieds. La voilà torse nu avec un mini short. Je la regarde interloqué. Ses deux seins généreux, sont la devant moi. Ils restent ronds et fermes malgré l'absence de soutien gorge. Les tétons sont d'un joli rose pâle.
- Tu es tout rouge Cyril. Si ça te gêne de me voir comme ça dès le matin, je me rhabille !
- Non non c'est bon ! m'exclamé-je. Ça t'arrive souvent de te balader nue quand tes parents sont absents ?
- A ton avis ?
- Euh... Oui ?
- Bien sur que non idiot ! C'est juste parce que tu es là !
Elle m'adresse un sourire complice. Je tends la main vers son sein droit. Au dernier moment, elle recule.
- Ah non ! Pas le droit de toucher Cyril !
Une fois de plus, Claire joue avec moi. Et je dois me plier aux règles qu'elle a choisi. Elle se penche en avant pour ramasser ses vêtement puis elle les jette un peu plus loin sur le sol. Au moment ou elle se penche, ses seins commencent à bouger dans le vide puis ils s'entrechoquent quand elle se redresse. L'envie de malaxer sa poitrine devient très forte et je bande dur dans mon short.
La matinée est comme une longue torture. J'ai beaucoup de mal à regarder ma cousine dans les yeux. Mon regard descend inlassablement vers ses deux seins, s'attarde sur ses belles épaules, sur son ventre plat. J'aime ce buste piqué de tâches de rousseur et de quelques grains de beauté. Sa peau légèrement bronzée et ses cheveux blonds contrastent intensément avec son mini short en jean. Je ne peux pas m'empêcher de repenser à ce qui s'est passé hier soir, à mon sexe entrant et sortant de sa chatte en cadence. À ces petits cris de plaisir aussi.
- Ha han ! Ha han ! Encore, oh oui comme ça !
La même sensation que tout à l'heure s'empare de moi. Mais je suis tellement dans les vapes que je ne réalise même pas que je vais jouir. Je profite juste de l'instant. Mon sexe tressaute à nouveau et je me vide pour la deuxième fois à l'intérieur de Claire en poussant un cri de jouissance.Aussitôt, je sens mon sexe ramollir dans son vagin. Je me retire et je m'assois sur le canapé, en regardant mes pieds.
- Désolé... dis-je.
Pas de réponse. Mais je sens que Claire s'est assise à côté de moi. Avec sa langue, elle me caresse la joue. Je tourne la tête vers elle et elle m'embrasse goulûment. Quand nos lèvres s'écartent, elle me murmure.
- Merci pour ce soir. Tu sais, quand je t'ai dit d'arrêter tout à l'heure, c'est parce que j'étais surprise mais je ne le pensais pas.
Je la regarde et je vois un grand sourire gourmand éclairer son visage. Alors je lui souris aussi. Puis nous finissons de ranger le salon. Je dévore Claire des yeux, son corps nu dans la pénombre, ses seins généreux dont les tétons sont moins dressés que tout à l'heure. Sa poitrine est encore rougie tant je l'ai malaxée, de même que ses fesses qui ont beaucoup claquées quand je la prenais en levrette. Et s'aperçoit que je la fixe des yeux.
- Je vais me rhabiller parce que je voudrais pas que tu me sautes dessus encore une fois !
Je rougis...
- C'est une blague cousin ! T'es bête ! ajoute-t-elle en riant.
Une fois la salon rangé, nous ouvrons grand les fenêtres pour aérer et nous décidons de regarder un film. Il n'est pas encore très tard.
Le lendemain, je me réveille de très bonne humeur. Enfoncé dans mon lit, je repense aux événements de la veille. Quelle soirée ! Les souvenirs me reviennent et déclenchent mon érection du matin. Pour me calmer, je prends une douche ; je m'habille et je descends. Claire est en bas, entrain de siroter une tasse de café.
"- Comment va mon cousin ce matin ? demande-t-elle d'une voie enjouée.
- Très bien et toi ?
- Ma mère a laissé un sms. Ils vont prendre leur temps pour rentrer et ils arriveront vers 14h00. Ils auront déjà manger mais ma mère dit que tu vas devoir cuisiner pour nous deux !
Je vais jusqu'au frigo et je regarde ce qu'il reste à manger.
- Une omelette ce t'ira ? demandé-je.
- Très bien ! J'aime quand tu cuisines pour moi Cyril...
Nous mangeons notre petit-déjeuner en bavardant sans faire allusion aux événements de la veille. Puis Claire se lève et déclare :
- Bon ! Vu qu'ils sont pas là, si on se mettait à l'aise ?
Sur ces mots, ma cousine enlève son t-shirt très lentement en faisant exprès de ne pas croiser mon regard. Puis elle dégrafe son soutien-gorge qui tombe à ses pieds. La voilà torse nu avec un mini short. Je la regarde interloqué. Ses deux seins généreux, sont la devant moi. Ils restent ronds et fermes malgré l'absence de soutien gorge. Les tétons sont d'un joli rose pâle.
- Tu es tout rouge Cyril. Si ça te gêne de me voir comme ça dès le matin, je me rhabille !
- Non non c'est bon ! m'exclamé-je. Ça t'arrive souvent de te balader nue quand tes parents sont absents ?
- A ton avis ?
- Euh... Oui ?
- Bien sur que non idiot ! C'est juste parce que tu es là !
Elle m'adresse un sourire complice. Je tends la main vers son sein droit. Au dernier moment, elle recule.
- Ah non ! Pas le droit de toucher Cyril !
Une fois de plus, Claire joue avec moi. Et je dois me plier aux règles qu'elle a choisi. Elle se penche en avant pour ramasser ses vêtement puis elle les jette un peu plus loin sur le sol. Au moment ou elle se penche, ses seins commencent à bouger dans le vide puis ils s'entrechoquent quand elle se redresse. L'envie de malaxer sa poitrine devient très forte et je bande dur dans mon short.
La matinée est comme une longue torture. J'ai beaucoup de mal à regarder ma cousine dans les yeux. Mon regard descend inlassablement vers ses deux seins, s'attarde sur ses belles épaules, sur son ventre plat. J'aime ce buste piqué de tâches de rousseur et de quelques grains de beauté. Sa peau légèrement bronzée et ses cheveux blonds contrastent intensément avec son mini short en jean. Je ne peux pas m'empêcher de repenser à ce qui s'est passé hier soir, à mon sexe entrant et sortant de sa chatte en cadence. À ces petits cris de plaisir aussi.