24-12-2020, 08:23 PM
- Je te plais comme ça ? demande-t-elle.
- Beaucoup... je réponds dans un souffle.
- J'ai pensé qu'on pourrait danser un peu, comme la dernière fois.
Je reconnais bien là le tempérament joueur de ma cousine. Voilà qu'elle recrée les conditions dans lesquelles nous avions sauté le pas l'autre fois. Elle lance une playlist en mettant le son assez bas. Au premier slow, mes bras passent derrière son dos et ses mains se posent sur mes épaules. Nous sommes si proches... La courbure de ses seins à travers la robe me touche presque. Claire ferme les yeux et se laisse guider par la musique et par mes mouvements. J'en profite pour jeter un regard plongeant dans son décolleté sans qu'elle s'en aperçoive. J'aperçois son grain de beauté entre les seins et j'ai soudainement envie de les toucher. Cependant, mes mains, plaquées contre son dos, descendent lentement jusqu'à ses fesses. Je prends une fesse dans chacune de mes paumes et je commence à les malaxer doucement. J'adore les pétrir et sentir leur contact moelleux mais ferme contre mes doigts. Claire rouvre les yeux, un peu surprise, et me fais un grand sourire. Puis je sens ses mains descendre le long de ma taille et me malaxer les fesses également. Ce contact me plait. Je tire ma cousine vers moi et ses seins viennent s'écraser contre mon torse. A cet instant, j'aimerais que Claire soit nue pour sentir ses tétons contre moi ! Mon sexe forme une bosse dure contre mon jean qui vient presque toucher le ventre de Claire. Je pose mon front contre son front et nous restons là à danser dans cette position.
Claire se recule un peu, rompant le contact entre ses seins et mon torse. Puis elle se hisse sur la pointe des pieds et me dépose une succession de petits baisers rapides sur la bouche. Répondant à son appel, je me penche vers elle et je lui rend un long baiser. Sans rien dire, Claire se retourne, me présentant son dos. Je comprends qu'elle veut que je descende la discrète fermeture éclaire de la robe. Ce que je fais, très lentement. La peau de ma cousine apparaît petit à petit, légèrement bronzée, elle contraste délicieusement avec la couleur de la robe. J'abaisse la fermeture jusqu'en bas, au commencement des fesses. Puis je pose mes mains sur ses épaules et je fais descendre le tissu de chaque côté de son corps. Tout son dos se dévoile à moi, barré par la lanière du soutien gorge. Je tire le tissu vers la bas. Sa culotte apparaît puis la robe tombe à ses pieds. Claire fait un pas de côté puis se tourne vers moi. Elle sourit.
Ses sous vêtements sont noirs comme sa robe. Je la regarde de haut en bas goulûment. Claire s'approche de moi et m'embrasse tout en déboutonnant ma chemise qui va rejoindre sa robe sur le sol. Je pose mes mains sur son soutien-gorge mais je ne le lui retire pas complètement. Je tire les deux bonnets vers la bas, juste assez pour dévoiler ses tétons roses et durs. Le soutien gorge couvre toujours le bas de ses seins et dans cette position, il les pousse légèrement vers le haut. J'approche ma bouche d'un des tétons de Claire et je lui donne des petits coups de langue tout autour. Je la sens frissonner et pousser un petit soupir en fermant les yeux. Je me rappelle qu'elle m'avait dit qu'elle était très sensible à cet endroit là. Je fais de même avec l'autre téton. À plusieurs reprises, la bosse de mon jean vient taper doucement contre son ventre tellement nous sommes proches.
Quand j'en ai fini, Claire me regarde et pose ses deux mains à plat sur mon torse.
- Je vais te montrer quelque chose... murmure-t-elle
Ses deux mains glissent vers mon ventre alors qu'elle s'accroupit devant moi. Dans cette position, surélevé que je suis, j'ai une belle vu sur son dos qui se prolonge par sa culotte noir. Je frissonne d'un coup : Claire déboutonne mon jean et le fait glisser le long de mes jambes. Elle fait de même avec mon caleçon. Le contact de ses mains froides contre mon bassin est terriblement excitant. Libéré de sa prison de tissu, mon sexe gonflé de désir se dresse fièrement tout près du visage de Claire. Elle pose un main autour de mon pénis et fait quelques va et vient puis elle le décalotte d'un coup. Une onde de plaisir me traverse déjà. Mon gland est rougi et impatient. Claire le regarde et à l'air satisfaite de voir qu'il est tout propre. J'ai peut être bien fait de prendre une douche finalement. Soudain, du bout de sa langue, elle se met à caresser mon gland et elle l'avale d'un seul coup. Je frissonne de surprise et de plaisir. La sensation humide et froide est nouvelle pour moi. Je sens la langue de Claire faire le tour de mon gland sans en épargner aucun endroit tandis qu'elle donne des mouvements de tête pour continuer le va et vient. Le plaisir monte rapidement en moi et je ferme les yeux pour savourer l'instant.
Mon jeans et mon caleçon sont autour de mes chevilles et m'empêchent de bouger librement mes jambes. J'ai l'impression d'être prisonnier et de ne pas pouvoir me libérer. Étrangement, cette sensation me plait. J'aime être à la merci de ma cousine. Bientôt, Claire s'aide d'une main, puis de deux, pour accentuer le va-et-vient et me donner encore plus de plaisir. Sa langue tourbillonne de plus en plus rapidement autour de mon gland. Un bruit aqueux se fait entendre à chaque aller retour le long de mon sexe parfaitement lubrifié. Je n'avais jamais ressenti ça avant. C'est tellement mieux qu'une simple branlette. Claire va très vite maintenant, vite et en même temps c'est très doux. J'arrive au bout de la résistance. Mon souffle s'est accéléré et dans un soupir je dis :
- Je vais jouir...
Claire ralentit jusqu'à s'arrêter complètement. Elle retire mon gland de sa bouche qui en sort tout brillant.
- Déjà ? Ah, c'est vrai que c'est tout nouveau pour toi alors pas étonnant... Mais c'est beaucoup trop tôt pour que tu jouisses ! J'en ai pas fini avec toi Cyril, je vais te croquer !
Sur ce elle se relève me pose en baiser sur les lèvres et retire doucement sa culotte. Je peux alors voir sa petite chatte d'où un peu de mouille ruissèle. Elle est maintenant entièrement nue à l'exception du soutien gorge toujours dans la même position. Ses tétons m'ont l'air encore plus durs et dressés que tout à l'heure. J'aimerais les mordiller mais elle ne m'en laisse pas le temps.
- Allonge toi sur le canapé, dit-elle.
J'obéis et je m'allonge sur le canapé, les bras le long du corps, la tête sur un coussin. Mon sexe est dressé vers le ciel, comme si ce premier voyage dans la bouche de ma cousine ne lui avait pas suffit. Claire monte sur la canapé et se positionne au dessus de moi, un genou de chaque côté de mon bassin, son orifice au dessus de mon pénis. Elle saisit mon sexe du bout des doigts et le guide vers l'entrée de son vagin. J'ai l'impression que mon sexe ne m'appartient plus et qu'elle peut en faire ce qu'elle veut. Elle caresse l'entrée de son vagin avec le bout de mon gland et je sens sa mouille se déposer dessus. Puis elle introduit mon gland dans son vagin tout doucement, de quelques centimètres seulement. Elle reste figée ainsi pendant un moment puis elle fait progresser mon sexe plus profondément en elle avant de faire une nouvelle pause. Je comprends qu'elle n'est pas assez lubrifiée et qu'il faut qu'elle y aille doucement pour ne pas se faire mal. Et d'ailleurs, j'adore ce moment : voir mon sexe rentrer par pallier de plus en plus profondément à l'intérieur de ma cousine m'excite au plus haut point.
- Beaucoup... je réponds dans un souffle.
- J'ai pensé qu'on pourrait danser un peu, comme la dernière fois.
Je reconnais bien là le tempérament joueur de ma cousine. Voilà qu'elle recrée les conditions dans lesquelles nous avions sauté le pas l'autre fois. Elle lance une playlist en mettant le son assez bas. Au premier slow, mes bras passent derrière son dos et ses mains se posent sur mes épaules. Nous sommes si proches... La courbure de ses seins à travers la robe me touche presque. Claire ferme les yeux et se laisse guider par la musique et par mes mouvements. J'en profite pour jeter un regard plongeant dans son décolleté sans qu'elle s'en aperçoive. J'aperçois son grain de beauté entre les seins et j'ai soudainement envie de les toucher. Cependant, mes mains, plaquées contre son dos, descendent lentement jusqu'à ses fesses. Je prends une fesse dans chacune de mes paumes et je commence à les malaxer doucement. J'adore les pétrir et sentir leur contact moelleux mais ferme contre mes doigts. Claire rouvre les yeux, un peu surprise, et me fais un grand sourire. Puis je sens ses mains descendre le long de ma taille et me malaxer les fesses également. Ce contact me plait. Je tire ma cousine vers moi et ses seins viennent s'écraser contre mon torse. A cet instant, j'aimerais que Claire soit nue pour sentir ses tétons contre moi ! Mon sexe forme une bosse dure contre mon jean qui vient presque toucher le ventre de Claire. Je pose mon front contre son front et nous restons là à danser dans cette position.
Claire se recule un peu, rompant le contact entre ses seins et mon torse. Puis elle se hisse sur la pointe des pieds et me dépose une succession de petits baisers rapides sur la bouche. Répondant à son appel, je me penche vers elle et je lui rend un long baiser. Sans rien dire, Claire se retourne, me présentant son dos. Je comprends qu'elle veut que je descende la discrète fermeture éclaire de la robe. Ce que je fais, très lentement. La peau de ma cousine apparaît petit à petit, légèrement bronzée, elle contraste délicieusement avec la couleur de la robe. J'abaisse la fermeture jusqu'en bas, au commencement des fesses. Puis je pose mes mains sur ses épaules et je fais descendre le tissu de chaque côté de son corps. Tout son dos se dévoile à moi, barré par la lanière du soutien gorge. Je tire le tissu vers la bas. Sa culotte apparaît puis la robe tombe à ses pieds. Claire fait un pas de côté puis se tourne vers moi. Elle sourit.
Ses sous vêtements sont noirs comme sa robe. Je la regarde de haut en bas goulûment. Claire s'approche de moi et m'embrasse tout en déboutonnant ma chemise qui va rejoindre sa robe sur le sol. Je pose mes mains sur son soutien-gorge mais je ne le lui retire pas complètement. Je tire les deux bonnets vers la bas, juste assez pour dévoiler ses tétons roses et durs. Le soutien gorge couvre toujours le bas de ses seins et dans cette position, il les pousse légèrement vers le haut. J'approche ma bouche d'un des tétons de Claire et je lui donne des petits coups de langue tout autour. Je la sens frissonner et pousser un petit soupir en fermant les yeux. Je me rappelle qu'elle m'avait dit qu'elle était très sensible à cet endroit là. Je fais de même avec l'autre téton. À plusieurs reprises, la bosse de mon jean vient taper doucement contre son ventre tellement nous sommes proches.
Quand j'en ai fini, Claire me regarde et pose ses deux mains à plat sur mon torse.
- Je vais te montrer quelque chose... murmure-t-elle
Ses deux mains glissent vers mon ventre alors qu'elle s'accroupit devant moi. Dans cette position, surélevé que je suis, j'ai une belle vu sur son dos qui se prolonge par sa culotte noir. Je frissonne d'un coup : Claire déboutonne mon jean et le fait glisser le long de mes jambes. Elle fait de même avec mon caleçon. Le contact de ses mains froides contre mon bassin est terriblement excitant. Libéré de sa prison de tissu, mon sexe gonflé de désir se dresse fièrement tout près du visage de Claire. Elle pose un main autour de mon pénis et fait quelques va et vient puis elle le décalotte d'un coup. Une onde de plaisir me traverse déjà. Mon gland est rougi et impatient. Claire le regarde et à l'air satisfaite de voir qu'il est tout propre. J'ai peut être bien fait de prendre une douche finalement. Soudain, du bout de sa langue, elle se met à caresser mon gland et elle l'avale d'un seul coup. Je frissonne de surprise et de plaisir. La sensation humide et froide est nouvelle pour moi. Je sens la langue de Claire faire le tour de mon gland sans en épargner aucun endroit tandis qu'elle donne des mouvements de tête pour continuer le va et vient. Le plaisir monte rapidement en moi et je ferme les yeux pour savourer l'instant.
Mon jeans et mon caleçon sont autour de mes chevilles et m'empêchent de bouger librement mes jambes. J'ai l'impression d'être prisonnier et de ne pas pouvoir me libérer. Étrangement, cette sensation me plait. J'aime être à la merci de ma cousine. Bientôt, Claire s'aide d'une main, puis de deux, pour accentuer le va-et-vient et me donner encore plus de plaisir. Sa langue tourbillonne de plus en plus rapidement autour de mon gland. Un bruit aqueux se fait entendre à chaque aller retour le long de mon sexe parfaitement lubrifié. Je n'avais jamais ressenti ça avant. C'est tellement mieux qu'une simple branlette. Claire va très vite maintenant, vite et en même temps c'est très doux. J'arrive au bout de la résistance. Mon souffle s'est accéléré et dans un soupir je dis :
- Je vais jouir...
Claire ralentit jusqu'à s'arrêter complètement. Elle retire mon gland de sa bouche qui en sort tout brillant.
- Déjà ? Ah, c'est vrai que c'est tout nouveau pour toi alors pas étonnant... Mais c'est beaucoup trop tôt pour que tu jouisses ! J'en ai pas fini avec toi Cyril, je vais te croquer !
Sur ce elle se relève me pose en baiser sur les lèvres et retire doucement sa culotte. Je peux alors voir sa petite chatte d'où un peu de mouille ruissèle. Elle est maintenant entièrement nue à l'exception du soutien gorge toujours dans la même position. Ses tétons m'ont l'air encore plus durs et dressés que tout à l'heure. J'aimerais les mordiller mais elle ne m'en laisse pas le temps.
- Allonge toi sur le canapé, dit-elle.
J'obéis et je m'allonge sur le canapé, les bras le long du corps, la tête sur un coussin. Mon sexe est dressé vers le ciel, comme si ce premier voyage dans la bouche de ma cousine ne lui avait pas suffit. Claire monte sur la canapé et se positionne au dessus de moi, un genou de chaque côté de mon bassin, son orifice au dessus de mon pénis. Elle saisit mon sexe du bout des doigts et le guide vers l'entrée de son vagin. J'ai l'impression que mon sexe ne m'appartient plus et qu'elle peut en faire ce qu'elle veut. Elle caresse l'entrée de son vagin avec le bout de mon gland et je sens sa mouille se déposer dessus. Puis elle introduit mon gland dans son vagin tout doucement, de quelques centimètres seulement. Elle reste figée ainsi pendant un moment puis elle fait progresser mon sexe plus profondément en elle avant de faire une nouvelle pause. Je comprends qu'elle n'est pas assez lubrifiée et qu'il faut qu'elle y aille doucement pour ne pas se faire mal. Et d'ailleurs, j'adore ce moment : voir mon sexe rentrer par pallier de plus en plus profondément à l'intérieur de ma cousine m'excite au plus haut point.