22-12-2020, 01:57 AM
Quatrième voyage,
Dans les années 30, il se passa des choses bien étranges à bord d'un prestigieux train international reliant la gare Parisienne de la Compagnie du Nord à celle de Stockholm sise non loin du palais royal en cette ville septentrionale.
Ce soir-là de début juillet, Carlos-Manuel Rodriguez prit son service de chef de train une bonne heure avant le départ du convoi portant le nom de Nord-Express. Peu de monde sur le quai longeant la rame de voitures-lits, Pulman, restaurant qui allaient s'élancer sur les rails au signal du Chef de Sécurité, "l'homme au fromage blanc" que les simples voyageurs nomment tout bonnement le Chef-de-gare. La réputation maritale de ce brave homme ne souffrirait pas ce jour-là : le cheminot de service n'avait pas convolé avec une belle fille, restant donc officiellement célibataire.
Il en était de même pour Manuel. Officieusement, quelques-uns de ses amis savaient son fort penchant pour un joli garçon, jeune employé aux Grands Magasins de la Samaritaine, rue de Rivoli, avec lequel il partageait un modeste logement du XIIIe arrondissement près de la place d'Italie. Avant de rejoindre son poste, devant s'absenter pour plusieurs nuits, il était allé accueillir son amoureux à l'arrêt du tram 93 au coin de la rue de la glacière et du Boulevard Blanqui. Et de là, après avoir rejoint la porte de leur petit immeuble, il avait pris le métro à la station Corvisart pour rejoindre directement la Gare du Nord par cette ligne 5.
Carlos-Manuel était fils d'un noble espagnol d'une famille proche du roi Alphonse XIII et d'une mère napolitaine. Malheureusement son père, déjà marié, ne put le reconnaître. Sa mère recevait une modeste pension du papa secret. Mais, grâce à ce dernier, il put entrer à la Compagnie internationale des wagons-lits et des Grands express européens car il était ami d'un neveu de M. Nagelmakers.
Manuelito donc, selon son affectueux diminutif, monta dans le fourgon de queue. Nous lirons plus loin que cette qualité de situation en fin du convoi aurait mérité un pluriel...
À l'heure dite, le train s'ébranla (Sans jeu de mot déplacé, SVP!), tiré par une puissante 231 "chapelonnisée". Direction Creil puis Saint-Quentin, première gare d'arrêt une heure trente-cinq plus tard.
Ces fourgons, reliés par un soufflet à la dernière voiture-lit et prévus pour un voyage au long cours, comportaient également une couchette, des toilettes et aussi une petite douche à disposition des employés de la compagnie. Manuelito, le coquin, avait pratiqué une petite ouverture quasi indétectable entre le local"couchette" et celui voisin réservé aux bagages. Aussi, muni d'une petite caméra 8mm, il pouvait enregistrer les ébats de voyageurs aisés qui voulaient "s'en payer une tranche", profitant des temps de trajet entre deux gares. Il percevait les "royalties" de cette location hors-normes et très encadrée côté horaires. Les premiers à se présenter, dès le dépassement de la gare de Saint-Denis, étaient deux messieurs fort bien de leurs personnes, la quarantaine svelte. Manuelito, sitôt perçue son obole, leur ouvrit la porte du local-couchette, la referma sur eux et s'en fut de l'autre côté de la cloison, tenant la petite caméra. Il ne concentra pas son objectif sur le tas de vêtements de luxe déposé sur le sol rouge de terrazulite mais bien vers une partie plus centrale des deux messieurs allongés. Ah qu'ils en mettaient "un bon coup" ces deux-là! Dommage que les sons ne pouvaient pas-encore- être enregistrés!
Ayant terminé leur "petite affaire", les deux messieurs sortirent, n'oubliant pas de remercier, au passage, leur si gentil et appétissant chef de train. Ils le gratifièrent même d'un pourboire, supplément imprévu mais pas refusé non plus : il ne faut jamais vexer une clientèle si généreuse. «Saint-Quentin...deux minutes d'arrêt» entendit-on dans le haut-parleur du quai N° 2. Des voyageurs montèrent à bord des voitures, introduits par les conducteurs de la Compagnie de ce train particulier. 22 H 07, nouveau coup de sifflet, le train redémarra alors que le crépuscule et ses ombres venaient entourer le fumant convoi. Un léger "toc-toc" à la porte de son local-couchette fit se relever Manuelito juste en traversant la gare de Croix-Fonsomme, près de la source de ce petit fleuve donnant la moitié de son nom à la petite commune. Il ouvrit, se trouva face à un couple assez pressé de se retrouver en un endroit sûr. De nouveau, il perçut la modeste somme prévue, sa publicité se faisant discrètement par le bouche à oreille. Un monsieur bien mis et une dame occupèrent donc le local jusqu'aux approches de Maubeuge. Le chef de train ne jugea pas nécessaire de filmer cette séquence, ne désirant que le sexe dit "fort"pour enjoliver ses propres séances en compagnie de son joli vendeur. Maubeuge, deuxième et dernier arrêt en terre de France. Les "locataires" venaient tout juste de regagner leurs compartiments respectifs et, vers minuit vingt, nouvelle arrivée dans le fourgon. Cette fois-ci, deux tout jeunes gars, à peine la vingtaine, montrèrent leurs juvéniles visages de fils de bonnes familles.
«Bonjour monsieur, fit l'un, notre ami nous a dit qu'on pouvait...Tenez, voici les cinquante francs promis.
-Mais bien sûr, répondit Manuel, ici vous êtes tranquilles jusque à Aix-la-Chapelle. Notre train ne dessert pas la gare de Liège, vous avez tout votre temps. Profitez-en.
-Ah, merci, monsieur, vous êtes très aimable.
-Pas de souci, je suis à côté, vous tapez contre la cloison de droite en cas de besoin.»
Et une fois la porte refermée, "manu" s'empressa aussi pour passer de l'autre côté à nouveau, salivant d'avance pour les belles prises de vues. Il ne fut pas déçu : ces deux jeunes lui firent un tel effet, dans leurs élans, qu'il s'imagina lui-même être avec son chéri et que sa main libre se dirigea vers le haut de son pantalon d'uniforme de la Compagnie des Wagons-lits. Rien n'échappa aux délicates attentions des deux garçons, aucun endroit sensible de ces beaux corps ne fut épargné, des pieds à la tête ou réciproquement, selon les désirs du donneur et du receveur. "Ah, pensait l'employé ferroviaire, on dirait qu'ils ont fait ça toute leur vie !". Et de fait, ce morceau de pellicule restera parmi les meilleurs enregistrés dans la petite boîte noire. On prétend même qu'elle figura bien plus tard dans les archives "vintages" de certains forums spécialisés où elle fit les délices de spectateurs ravis. Mais on n'en était pas encore là.
Et ce fut ainsi, dans la voiture de...queues sans quasiment aucun intermède sinon aux escales de ce train qui finit par atteindre la gare de KØBNHAVN -Copenhague en français- avant d'embarquer sur le ferry traversant le bras de la Baltique. Au final Manuel rentra boulevard Blanqui trois jours plus tard, son porte-monnaie ayant pris de l'embonpoint. Il en profita pour rapporter une excellente bouteille de Don Pérignon 1929, remise en douce par le chef-cuisinier de la voiture-restaurant : ce brave homme avait oublié son portefeuille et n'avait trouvé que ce moyen de paiement pour venir occuper le local dorénavant en-tête du convoi de retour, avec un jeune serveur, à la fin du 2ème service.
Dans les années 30, il se passa des choses bien étranges à bord d'un prestigieux train international reliant la gare Parisienne de la Compagnie du Nord à celle de Stockholm sise non loin du palais royal en cette ville septentrionale.
Ce soir-là de début juillet, Carlos-Manuel Rodriguez prit son service de chef de train une bonne heure avant le départ du convoi portant le nom de Nord-Express. Peu de monde sur le quai longeant la rame de voitures-lits, Pulman, restaurant qui allaient s'élancer sur les rails au signal du Chef de Sécurité, "l'homme au fromage blanc" que les simples voyageurs nomment tout bonnement le Chef-de-gare. La réputation maritale de ce brave homme ne souffrirait pas ce jour-là : le cheminot de service n'avait pas convolé avec une belle fille, restant donc officiellement célibataire.
Il en était de même pour Manuel. Officieusement, quelques-uns de ses amis savaient son fort penchant pour un joli garçon, jeune employé aux Grands Magasins de la Samaritaine, rue de Rivoli, avec lequel il partageait un modeste logement du XIIIe arrondissement près de la place d'Italie. Avant de rejoindre son poste, devant s'absenter pour plusieurs nuits, il était allé accueillir son amoureux à l'arrêt du tram 93 au coin de la rue de la glacière et du Boulevard Blanqui. Et de là, après avoir rejoint la porte de leur petit immeuble, il avait pris le métro à la station Corvisart pour rejoindre directement la Gare du Nord par cette ligne 5.
Carlos-Manuel était fils d'un noble espagnol d'une famille proche du roi Alphonse XIII et d'une mère napolitaine. Malheureusement son père, déjà marié, ne put le reconnaître. Sa mère recevait une modeste pension du papa secret. Mais, grâce à ce dernier, il put entrer à la Compagnie internationale des wagons-lits et des Grands express européens car il était ami d'un neveu de M. Nagelmakers.
Manuelito donc, selon son affectueux diminutif, monta dans le fourgon de queue. Nous lirons plus loin que cette qualité de situation en fin du convoi aurait mérité un pluriel...
À l'heure dite, le train s'ébranla (Sans jeu de mot déplacé, SVP!), tiré par une puissante 231 "chapelonnisée". Direction Creil puis Saint-Quentin, première gare d'arrêt une heure trente-cinq plus tard.
Ces fourgons, reliés par un soufflet à la dernière voiture-lit et prévus pour un voyage au long cours, comportaient également une couchette, des toilettes et aussi une petite douche à disposition des employés de la compagnie. Manuelito, le coquin, avait pratiqué une petite ouverture quasi indétectable entre le local"couchette" et celui voisin réservé aux bagages. Aussi, muni d'une petite caméra 8mm, il pouvait enregistrer les ébats de voyageurs aisés qui voulaient "s'en payer une tranche", profitant des temps de trajet entre deux gares. Il percevait les "royalties" de cette location hors-normes et très encadrée côté horaires. Les premiers à se présenter, dès le dépassement de la gare de Saint-Denis, étaient deux messieurs fort bien de leurs personnes, la quarantaine svelte. Manuelito, sitôt perçue son obole, leur ouvrit la porte du local-couchette, la referma sur eux et s'en fut de l'autre côté de la cloison, tenant la petite caméra. Il ne concentra pas son objectif sur le tas de vêtements de luxe déposé sur le sol rouge de terrazulite mais bien vers une partie plus centrale des deux messieurs allongés. Ah qu'ils en mettaient "un bon coup" ces deux-là! Dommage que les sons ne pouvaient pas-encore- être enregistrés!
Ayant terminé leur "petite affaire", les deux messieurs sortirent, n'oubliant pas de remercier, au passage, leur si gentil et appétissant chef de train. Ils le gratifièrent même d'un pourboire, supplément imprévu mais pas refusé non plus : il ne faut jamais vexer une clientèle si généreuse. «Saint-Quentin...deux minutes d'arrêt» entendit-on dans le haut-parleur du quai N° 2. Des voyageurs montèrent à bord des voitures, introduits par les conducteurs de la Compagnie de ce train particulier. 22 H 07, nouveau coup de sifflet, le train redémarra alors que le crépuscule et ses ombres venaient entourer le fumant convoi. Un léger "toc-toc" à la porte de son local-couchette fit se relever Manuelito juste en traversant la gare de Croix-Fonsomme, près de la source de ce petit fleuve donnant la moitié de son nom à la petite commune. Il ouvrit, se trouva face à un couple assez pressé de se retrouver en un endroit sûr. De nouveau, il perçut la modeste somme prévue, sa publicité se faisant discrètement par le bouche à oreille. Un monsieur bien mis et une dame occupèrent donc le local jusqu'aux approches de Maubeuge. Le chef de train ne jugea pas nécessaire de filmer cette séquence, ne désirant que le sexe dit "fort"pour enjoliver ses propres séances en compagnie de son joli vendeur. Maubeuge, deuxième et dernier arrêt en terre de France. Les "locataires" venaient tout juste de regagner leurs compartiments respectifs et, vers minuit vingt, nouvelle arrivée dans le fourgon. Cette fois-ci, deux tout jeunes gars, à peine la vingtaine, montrèrent leurs juvéniles visages de fils de bonnes familles.
«Bonjour monsieur, fit l'un, notre ami nous a dit qu'on pouvait...Tenez, voici les cinquante francs promis.
-Mais bien sûr, répondit Manuel, ici vous êtes tranquilles jusque à Aix-la-Chapelle. Notre train ne dessert pas la gare de Liège, vous avez tout votre temps. Profitez-en.
-Ah, merci, monsieur, vous êtes très aimable.
-Pas de souci, je suis à côté, vous tapez contre la cloison de droite en cas de besoin.»
Et une fois la porte refermée, "manu" s'empressa aussi pour passer de l'autre côté à nouveau, salivant d'avance pour les belles prises de vues. Il ne fut pas déçu : ces deux jeunes lui firent un tel effet, dans leurs élans, qu'il s'imagina lui-même être avec son chéri et que sa main libre se dirigea vers le haut de son pantalon d'uniforme de la Compagnie des Wagons-lits. Rien n'échappa aux délicates attentions des deux garçons, aucun endroit sensible de ces beaux corps ne fut épargné, des pieds à la tête ou réciproquement, selon les désirs du donneur et du receveur. "Ah, pensait l'employé ferroviaire, on dirait qu'ils ont fait ça toute leur vie !". Et de fait, ce morceau de pellicule restera parmi les meilleurs enregistrés dans la petite boîte noire. On prétend même qu'elle figura bien plus tard dans les archives "vintages" de certains forums spécialisés où elle fit les délices de spectateurs ravis. Mais on n'en était pas encore là.
Et ce fut ainsi, dans la voiture de...queues sans quasiment aucun intermède sinon aux escales de ce train qui finit par atteindre la gare de KØBNHAVN -Copenhague en français- avant d'embarquer sur le ferry traversant le bras de la Baltique. Au final Manuel rentra boulevard Blanqui trois jours plus tard, son porte-monnaie ayant pris de l'embonpoint. Il en profita pour rapporter une excellente bouteille de Don Pérignon 1929, remise en douce par le chef-cuisinier de la voiture-restaurant : ce brave homme avait oublié son portefeuille et n'avait trouvé que ce moyen de paiement pour venir occuper le local dorénavant en-tête du convoi de retour, avec un jeune serveur, à la fin du 2ème service.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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