20-12-2020, 09:56 PM
" - Faut qu'on parle.
Ça va sans doute être ma fête... Je m'efforce de regarder Claire dans les yeux bien que, même dans cette situation, la tentation soit grande de glisser un regard vers son haut de maillot.
- Comment tu as fait pour savoir que j'étais là haut ? demandé-je timidement.
- J'ai vu ton ombre sur le sol.
Elle sourit et je souris aussi tellement ça me paraît ridicule. Se faire avoir à cause d'un détail aussi bête... parfois je suis vraiment idiot !
- Mais je n'étais pas non plus là par hasard, continue-t-elle. J'espérais bien que tu regarderais par la fenêtre en te levant.
- Écoute Claire, je suis désolé pour ce qui s'est passé avec Marianne. J'ai...
- Désolé de quoi ? Tu sais je n'ai jamais eu l'intention de te garder pour moi toute seule. Et je suis content pour Marianne aussi, c'était bien que ce soit toi pour sa deuxième fois.
- Vous en aviez parlé toutes les deux ? demandé-je
- Possible... répond-elle avec un sourire énigmatique.
Je ne sais trop quoi répondre alors je garde le silence.
- En tout cas ça m'a fait beaucoup d'effet de vous entendre tous les deux l'autre jour ! enchaine Claire. Je suis même sortie de ma chambre pour mieux entendre. Et puis j'ai...
Elle ne termine pas sa phrase mais passe ses doigts sur son entrejambe par dessus son maillot.
- Tu vois ce que je veux dire ? ajoute-t-elle avec un clin d'œil.
Je vois très bien... La conversation est devenue beaucoup plus détendue. Claire n'a pas l'intention de me faire des reproches apparemment. Alors je me relaxe et je savoure la conversation. Après tout, ce n'est pas la première fois que nous parlons de sexe ma cousine et moi. En tout cas, mon érection ne semble pas vouloir se calmer.
- Je suis quand même un peu jalouse. Marianne avait l'air de prendre vraiment beaucoup de plaisir ! Tu crois que tu arriverais à me faire jouir moi aussi ?
- Je ferai de mon mieux ! promis-je en rougissant.
- Ahah ça fait plaisir de te voir comme ça ! J'avais l'impression que tu m'évitais depuis hier.
Je suis surpris.
- Ah bon ? Et moi j'avais l'impression que tu évitais mes regards. Je croyais que tu étais fâchée...
- Je te l'ai dit, je n'ai pas de raison d'être fâchée. Mais tu n'as pas senti quand je t'ai fait du pied sous la table ?
Je ris alors de bon cœur et Claire me regarde sans comprendre.
- Je croyais que c'était Marianne ! expliqué-je.
- Idiot ! réplique-t-elle en riant à son tour. Ce serait bien que nos parents fassent une sortie un de ces soirs et qu'ils nous laissent la maison rien que pour toi et moi.
- Ca serait génial ! murmuré-je alors que mon cœur s'accélère à cette idée.
- J'ai envie de voir si tu as progressé ! Et puis j'ai encore des choses à t'apprendre !
- Apprends moi comment te faire grimper au rideau Claire s'il te plait !
Sans réfléchir, j'avance ma main droite vers elle et je commence à peloter un de ses seins. Je le malaxe doucement par dessus le maillot. Elle ne me repousse pas et au contraire, elle me regarde avec bienveillance.
- Tu es super chaud Cyril ! dit-elle en tâtant mon sexe à travers le tissu de mon short de bain.
Elle se lève et marche jusqu'au bord de la piscine puis me fait signe de la rejoindre. Je vais jusqu'à elle, mon sexe en érection compressé contre ma cuisse par le maillot, me gêne un pour pour marcher. Claire pose ses deux mains à plat sur mes pectoraux, se hisse sur la pointe des pieds et me murmure à l'oreille.
- Tu as envie de moi ?
Pour toute réponse, j'approche mes lèvres des siennes pour l'embrasser. Soudain, d'un coup sec, Claire me pousse et je tombe dans l'eau. Quand je ressors, je la trouve en plein fou rire.
- Du calme, du calme ! articule-t-elle entre deux éclats de rire. Le moment viendra Cyril, c'est promis.
Elle commence à s'éloigner puis se retourne vers moi.
- Au fait, tu me rendras ma culotte. J'ai le soutien-gorge assorti alors ça m'ennuierait de la perdre... dit elle, toujours souriante. Si tu veux vraiment garder une de mes culottes, je t'en donnerai une, y a pas de problème tu sais.
Puis elle enfile une petite tunique blanche et quitte les lieux en accentuant le dandinement de ses petites fesses. Je suis tout rouge et encore sonné par ma baignade brutale. Je la regarde s'éloigner et je reste dans l'eau jusqu'à ce que mon érection se calme. Claire m'a joué un sale tour mais en même temps elle m'a fait une promesse : elle a encore des choses à m'apprendre d'ici la fin des vacances...
Je sors de l'eau, je me sèche en vitesse puis je décide de profiter moi aussi du soleil. Alors je m'allonge sur le transat où nous nous étions assis Claire et moi pour discuter et je bronze pendant un moment. Puis je retourne dans la maison. A midi, nous mangeons du poulet rôti. Claire et moi discutons avec les adultes et rions de bon cœur. L'ambiance à table est beaucoup plus agréable que lorsque je la croyais fâchée. Soudain, je sens un pied nu, le sien, rentrer en contact avec ma jambe et venir la frotter. Je fais comme si de rien n'était et je continue à manger.
"- Papa, Maman, dit Claire, vous avez parlé à nos invités du festival de LeTallec ?
- Qu'est ce que c'est ? demande mon père.
- C'est un festival qui dure 4 jours tous les ans. Il y a une projection en plein air de films et noir et blanc tous les soirs.
- C'est chouette ! dit ma mère.
- En plus on y est pas allé depuis des années ! renchérit ma tante.
Devant l'enthousiasme des adultes, Claire m'adresse un clin d'œil. Je vois où elle veut en venir.
Claire et moi passons l'après midi ensemble, dans le petit salon du premier étage. Nous disputons plusieurs parties d'échec qu'elle remporte presque toutes. Puis nous jouons aux cartes, ce qui est plus propice aux bavardages.
- Alors tu me fais du pied à tous les repas maintenant ? Faudrait pas que ça devienne une habitude ! dis-je sur un ton faussement contrarié.
- Bah, je suis sur que ça t'a plu au fond ! répond-elle en riant. Et puis cette fois ça ne pouvait pas être le pied de Marianne !
La référence à notre conversation de la matinée me fait sourire. Mon portable sonne m'indiquant que j'ai reçu un sms. Je le sors de ma poche ; le numéro de l'envoyeur m'est inconnu du coup je n'ouvre pas le sms. J'ai mieux à faire, c'est à dire discuter avec ma cousine et gagner cette fichue partie de cartes.
- Comment tu as trouvé ma remarque sur le festival ? demande Claire.
- Brillante !
- Tes parents avaient l'air intéressé. Avec un peu de chance, ils vont nous annoncer qu'ils ont décidé d'y aller et on l'aura notre soirée tous les deux.
- Ça serait l'idéal ! J'aime beaucoup ton t-shirt au fait !
- Merci ahah !
Ça va sans doute être ma fête... Je m'efforce de regarder Claire dans les yeux bien que, même dans cette situation, la tentation soit grande de glisser un regard vers son haut de maillot.
- Comment tu as fait pour savoir que j'étais là haut ? demandé-je timidement.
- J'ai vu ton ombre sur le sol.
Elle sourit et je souris aussi tellement ça me paraît ridicule. Se faire avoir à cause d'un détail aussi bête... parfois je suis vraiment idiot !
- Mais je n'étais pas non plus là par hasard, continue-t-elle. J'espérais bien que tu regarderais par la fenêtre en te levant.
- Écoute Claire, je suis désolé pour ce qui s'est passé avec Marianne. J'ai...
- Désolé de quoi ? Tu sais je n'ai jamais eu l'intention de te garder pour moi toute seule. Et je suis content pour Marianne aussi, c'était bien que ce soit toi pour sa deuxième fois.
- Vous en aviez parlé toutes les deux ? demandé-je
- Possible... répond-elle avec un sourire énigmatique.
Je ne sais trop quoi répondre alors je garde le silence.
- En tout cas ça m'a fait beaucoup d'effet de vous entendre tous les deux l'autre jour ! enchaine Claire. Je suis même sortie de ma chambre pour mieux entendre. Et puis j'ai...
Elle ne termine pas sa phrase mais passe ses doigts sur son entrejambe par dessus son maillot.
- Tu vois ce que je veux dire ? ajoute-t-elle avec un clin d'œil.
Je vois très bien... La conversation est devenue beaucoup plus détendue. Claire n'a pas l'intention de me faire des reproches apparemment. Alors je me relaxe et je savoure la conversation. Après tout, ce n'est pas la première fois que nous parlons de sexe ma cousine et moi. En tout cas, mon érection ne semble pas vouloir se calmer.
- Je suis quand même un peu jalouse. Marianne avait l'air de prendre vraiment beaucoup de plaisir ! Tu crois que tu arriverais à me faire jouir moi aussi ?
- Je ferai de mon mieux ! promis-je en rougissant.
- Ahah ça fait plaisir de te voir comme ça ! J'avais l'impression que tu m'évitais depuis hier.
Je suis surpris.
- Ah bon ? Et moi j'avais l'impression que tu évitais mes regards. Je croyais que tu étais fâchée...
- Je te l'ai dit, je n'ai pas de raison d'être fâchée. Mais tu n'as pas senti quand je t'ai fait du pied sous la table ?
Je ris alors de bon cœur et Claire me regarde sans comprendre.
- Je croyais que c'était Marianne ! expliqué-je.
- Idiot ! réplique-t-elle en riant à son tour. Ce serait bien que nos parents fassent une sortie un de ces soirs et qu'ils nous laissent la maison rien que pour toi et moi.
- Ca serait génial ! murmuré-je alors que mon cœur s'accélère à cette idée.
- J'ai envie de voir si tu as progressé ! Et puis j'ai encore des choses à t'apprendre !
- Apprends moi comment te faire grimper au rideau Claire s'il te plait !
Sans réfléchir, j'avance ma main droite vers elle et je commence à peloter un de ses seins. Je le malaxe doucement par dessus le maillot. Elle ne me repousse pas et au contraire, elle me regarde avec bienveillance.
- Tu es super chaud Cyril ! dit-elle en tâtant mon sexe à travers le tissu de mon short de bain.
Elle se lève et marche jusqu'au bord de la piscine puis me fait signe de la rejoindre. Je vais jusqu'à elle, mon sexe en érection compressé contre ma cuisse par le maillot, me gêne un pour pour marcher. Claire pose ses deux mains à plat sur mes pectoraux, se hisse sur la pointe des pieds et me murmure à l'oreille.
- Tu as envie de moi ?
Pour toute réponse, j'approche mes lèvres des siennes pour l'embrasser. Soudain, d'un coup sec, Claire me pousse et je tombe dans l'eau. Quand je ressors, je la trouve en plein fou rire.
- Du calme, du calme ! articule-t-elle entre deux éclats de rire. Le moment viendra Cyril, c'est promis.
Elle commence à s'éloigner puis se retourne vers moi.
- Au fait, tu me rendras ma culotte. J'ai le soutien-gorge assorti alors ça m'ennuierait de la perdre... dit elle, toujours souriante. Si tu veux vraiment garder une de mes culottes, je t'en donnerai une, y a pas de problème tu sais.
Puis elle enfile une petite tunique blanche et quitte les lieux en accentuant le dandinement de ses petites fesses. Je suis tout rouge et encore sonné par ma baignade brutale. Je la regarde s'éloigner et je reste dans l'eau jusqu'à ce que mon érection se calme. Claire m'a joué un sale tour mais en même temps elle m'a fait une promesse : elle a encore des choses à m'apprendre d'ici la fin des vacances...
Je sors de l'eau, je me sèche en vitesse puis je décide de profiter moi aussi du soleil. Alors je m'allonge sur le transat où nous nous étions assis Claire et moi pour discuter et je bronze pendant un moment. Puis je retourne dans la maison. A midi, nous mangeons du poulet rôti. Claire et moi discutons avec les adultes et rions de bon cœur. L'ambiance à table est beaucoup plus agréable que lorsque je la croyais fâchée. Soudain, je sens un pied nu, le sien, rentrer en contact avec ma jambe et venir la frotter. Je fais comme si de rien n'était et je continue à manger.
"- Papa, Maman, dit Claire, vous avez parlé à nos invités du festival de LeTallec ?
- Qu'est ce que c'est ? demande mon père.
- C'est un festival qui dure 4 jours tous les ans. Il y a une projection en plein air de films et noir et blanc tous les soirs.
- C'est chouette ! dit ma mère.
- En plus on y est pas allé depuis des années ! renchérit ma tante.
Devant l'enthousiasme des adultes, Claire m'adresse un clin d'œil. Je vois où elle veut en venir.
Claire et moi passons l'après midi ensemble, dans le petit salon du premier étage. Nous disputons plusieurs parties d'échec qu'elle remporte presque toutes. Puis nous jouons aux cartes, ce qui est plus propice aux bavardages.
- Alors tu me fais du pied à tous les repas maintenant ? Faudrait pas que ça devienne une habitude ! dis-je sur un ton faussement contrarié.
- Bah, je suis sur que ça t'a plu au fond ! répond-elle en riant. Et puis cette fois ça ne pouvait pas être le pied de Marianne !
La référence à notre conversation de la matinée me fait sourire. Mon portable sonne m'indiquant que j'ai reçu un sms. Je le sors de ma poche ; le numéro de l'envoyeur m'est inconnu du coup je n'ouvre pas le sms. J'ai mieux à faire, c'est à dire discuter avec ma cousine et gagner cette fichue partie de cartes.
- Comment tu as trouvé ma remarque sur le festival ? demande Claire.
- Brillante !
- Tes parents avaient l'air intéressé. Avec un peu de chance, ils vont nous annoncer qu'ils ont décidé d'y aller et on l'aura notre soirée tous les deux.
- Ça serait l'idéal ! J'aime beaucoup ton t-shirt au fait !
- Merci ahah !