20-12-2020, 06:22 PM
Je réalise alors ce qu'il se passe. Des sueurs froides me parcourent le dos et je débande presque instantanément. Depuis le début, Claire savait que j'étais là, la regardant. Je suis pris la main dans le sac... Mais comment est-ce possible ? Pas une seule fois elle n'avait regardé vers moi. Et je n'ai pas fait le moindre bruit.
- Allez je t'attends.
Mon cœur bat la chamade et je n'ose pas lui répondre. Pourtant son visage a l'air calme. Je ne sais pas quoi penser... Alors j'enfile en vitesse mon maillot de bain. Je me couvre les épaules avec une serviette et je file au rez-de-chausser. Claire ne pouvait voir que le haut de mon buste dans l'embrasure de la fenêtre. Mais avait-elle deviné que j'étais complètement nu en dessous ? Pire, avait-elle compris que je m'étais branler en la regardant se faire du bien. Allait-elle trouver ça vulgaire, serait-elle vexée, déçue ? Toutes ces questions se bousculent dans ma tête et je passe devant mes parents, mon Oncle et ma Tante sans les voir.
- Eh bonjour Cyril ! Tu nous as oublié ? s'exclame ma mère.
Je bafouille des excuses et je salue un à un tous les adultes. Ma tante jette un coup d'œil à mon maillot et me dit :
- Tu vas à la piscine ? Claire y est, tu la retrouveras la bas.
- Ah ? dis-je en feignant la surprise. Plus on est de fois plus on rit. Aller, à toute à l'heure."
Et je sors, je contourne la maison pour arriver à la piscine. Claire est là, allongée, les jambes repliées et les bras écartées. Elle tourne la tête vers moi et me dit d'un air ironique :
- Tu en as mis du temps.
- Excuse moi, je suis tombé sur mes parents... et sur les tiens par la même occasion.
- J'espère qu'ils n'ont pas trop prêter attention à ton short...
C'est vrai que je me suis remis à bander depuis que Claire se trouve devant moi, allongée comme une sirène. Mais je suis sur que je ne bandais pas quand je suis passé devant les adultes alors pas de risque. Ma cousine s'assied en tailleur à une extrémité du transat. Je m'assied donc en tailleur de l'autre côté. Nous sommes proches l'un de l'autre. Sa poitrine, fermement tenue par le haut de son maillot, est à la même hauteur que mes yeux. Difficile de regarder ailleurs. J'aperçois néanmoins distinctement une tâche de mouille sur sa culotte. Quant à moi, je sais que mon maillot un peu moulant laisse deviner la forme de mon sexe en érection.
Claire plante son regard bleu dans le mien.
- Il faut qu'on parle ! dit-elle.344
- Allez je t'attends.
Mon cœur bat la chamade et je n'ose pas lui répondre. Pourtant son visage a l'air calme. Je ne sais pas quoi penser... Alors j'enfile en vitesse mon maillot de bain. Je me couvre les épaules avec une serviette et je file au rez-de-chausser. Claire ne pouvait voir que le haut de mon buste dans l'embrasure de la fenêtre. Mais avait-elle deviné que j'étais complètement nu en dessous ? Pire, avait-elle compris que je m'étais branler en la regardant se faire du bien. Allait-elle trouver ça vulgaire, serait-elle vexée, déçue ? Toutes ces questions se bousculent dans ma tête et je passe devant mes parents, mon Oncle et ma Tante sans les voir.
- Eh bonjour Cyril ! Tu nous as oublié ? s'exclame ma mère.
Je bafouille des excuses et je salue un à un tous les adultes. Ma tante jette un coup d'œil à mon maillot et me dit :
- Tu vas à la piscine ? Claire y est, tu la retrouveras la bas.
- Ah ? dis-je en feignant la surprise. Plus on est de fois plus on rit. Aller, à toute à l'heure."
Et je sors, je contourne la maison pour arriver à la piscine. Claire est là, allongée, les jambes repliées et les bras écartées. Elle tourne la tête vers moi et me dit d'un air ironique :
- Tu en as mis du temps.
- Excuse moi, je suis tombé sur mes parents... et sur les tiens par la même occasion.
- J'espère qu'ils n'ont pas trop prêter attention à ton short...
C'est vrai que je me suis remis à bander depuis que Claire se trouve devant moi, allongée comme une sirène. Mais je suis sur que je ne bandais pas quand je suis passé devant les adultes alors pas de risque. Ma cousine s'assied en tailleur à une extrémité du transat. Je m'assied donc en tailleur de l'autre côté. Nous sommes proches l'un de l'autre. Sa poitrine, fermement tenue par le haut de son maillot, est à la même hauteur que mes yeux. Difficile de regarder ailleurs. J'aperçois néanmoins distinctement une tâche de mouille sur sa culotte. Quant à moi, je sais que mon maillot un peu moulant laisse deviner la forme de mon sexe en érection.
Claire plante son regard bleu dans le mien.
- Il faut qu'on parle ! dit-elle.344