20-12-2020, 06:20 PM
Nous voilà seuls Claire et moi mais sans m'adresser un regard, elle tourne les talons et rentre dans la maison. Le temps a commencé à changé : les nuages s'amoncellent et un petit vent soulève en cadence les bord de la jupe de Claire. Alors que je la regarde s'éloigner, un coup de vent plus fort que les autres me dévoile l'arrière de ses cuisses et même le bas de sa culotte rouge. Mais je ne profite pas vraiment du spectacle tant il me paraît évident qu'elle est fâchée.
Pour me changer les idées et bien que le temps se gâte, je décide d'aller faire quelques longueurs dans la piscine. L'eau fraîche me fait le plus grand bien. Puis je commence à avoir froid. Alors je nage encore plus vite pour me réchauffer jusqu'à ce que la pluie se mette à tomber et me chasse hors de l'eau. Je remonte à ma chambre et je me sèche puis je m'allonge sur mon lit, sur le dos, complètement nu. J'écoute le bruit de la pluie qui tombe dehors et je me sens au chaud, en sécurité. Je me relaxe complètement et je peux enfin penser dans le calme aux événements de la journée.
Mon sexe pend mollement entre mes jambes. A cause de l'eau froide de la piscine, il est actuellement à sa taille minimale. Ça m'amuse de penser qu'il y a quelques heures, ce même pénis, rougi et gonflé de désir, rentrait et sortait de la chatte de Marianne au rythme de ses gémissements... En parlant de Marianne, je suis quand même un peu déçu : sur le coup, j'avais eu l'impression d'avoir retenu mon éjaculation pendant très longtemps ce qui avait permis à ma partenaire de jouir. Mais en fait, en regardant l'heure sur la petite horloge de ma chambre au début et à la fin du rapport, j'avais pu constater que j'avais tenu à peine plus longtemps qu'avec Claire. Il y avait bien une progression mais pas significative... Le conclusion que j'en tire c'est que Marianne est comme moi au fond : elle est inexpérimentée et du coup elle jouit vite. Après tout ce n'était que sa deuxième fois, tout comme pour moi. Son petit vagin étroit doit lui donner rapidement de plaisir ; beaucoup plus rapidement qu'à Claire en tout cas.
Cette pensée m'excite un peu et mon pénis se trouve dans un état intermédiaire : gonflé mais encore mou. Je joue avec du bout des doigts et une douce chaleur se fait sentir dans mon entre-jambe. Et Claire ? Que pense-t-elle ? Puisqu'elle a tout entendu il faudra bien que l'on en parle. Et je dois la remercier pour nous avoir sauvé la mise, même si c'est un peu délicat... En tout cas je dois crever l'abcès avec elle. Quand je regarde mes draps attentivement, je constate qu'ils sont tachés par la mouille de Marianne qui font comme de petites auréoles un peu plus sombres sur les draps blancs. Je porte le tissu à mon nez : une légère odeur s'en dégage. Sentir sur mes draps le fruit de l'excitation de Marianne... C'en est trop pour mon pénis et je bande fort à présent. Mon gland qui a été beaucoup sollicité aujourd'hui est rouge et me fait un peu mal. Alors j'essaye de penser à des choses moins excitantes... Dehors, la pluie c'est arrêté et le soleil de la fin d'après-midi apparaît timidement derrière les nuages.
Nous mangeons tôt ce soir là. La conversation est assez peu animée et à plusieurs reprises je sens le regard de Claire se poser sur moi. Mais cette fois c'est moi qui évite ses regards en rougissant un peu. Après, je reste une demie heure au rez-de-chausser. Quand je décide de retourner dans ma chambre, la luminosité du dehors à bien baissée. J'emprunte les escaliers qui grincent sous mes pas. Il fait un peu sombre dans le couloir et un léger rai de lumière sort de la chambre de Claire. La porte de sa chambre n'est pas fermée complètement et j'entends un bruit d'eau : elle doit être entrain de prendre sa douche. Je marche jusqu'à ma chambre, je me mets en pyjama et je m'assois sur mon lit. L'envie me prend de rentrer discrètement dans la chambre de Claire pendant qu'elle est dans la salle de bain. Alors je me relève sur la pointe des pieds je sors de ma chambre et je pousse le porte de celle de Claire. La pièce est éclairée seulement par la lampe de chevet allumée sur le bureau qui offre une lumière tamisée. Le bruit de la douche se fait toujours entendre. Devant la porte de la salle de bain, sur le sol, se trouve la petite culotte de Claire. La culotte rouge, celle que j'avais aperçu sous sa jupe il y a quelques heures... Je la prend dans mes mains, elle est encore chaude. Pouvoir tenir entre mes doigts l'objet qui recouvrait les jolies fesses de Claire et sa petite chatte me fait un effet formidable. Je commence à bander assez fort et mon pénis forme une belle bosse à la surface de mon pyjama. Je colle mon oreille contre la porte de la douche : la dernière fois que j'étais rentré en douce dans la chambre de ma cousine, elle était également entrain de prendre sa douche et j'avais cru entendre de petits gémissements comme si elle se doigtait... Mais je n'entends rien de plus que le bruit de l'eau cette fois.
Je respire avec délice l'odeur de la culotte de Claire. D'une main, je libère l'élastique de mon bas de pyjama qui tombe à mes pieds, libérant ainsi mon sexe dressé. J'imagine Claire les yeux fermés, savourant la chaleur de la douche. Ma main entoure mon sexe et commence un lent va et vient. J'imagine l'eau ruisselant sur son corps nu, sur ses seins, sur ses cuisses. La sensation de chaleur autour de mon sexe se répand dans tout mon corps. Je l'imagine se savonner doucement, la poitrine, le ventre, descendre jusqu'à sa chatte. Je l'imagine soupirer quand ses doigts rentrent en contact avec ses lèvres. J'accélère la cadence de mes va et vient, mon plaisir grimpe en flèche. J'imagine son doigt rentrer plus profondément dans sa grotte, j'imagine qu'elle pousse un premier gémissement de plaisir. Mon corps se raidit d'un seul coup, mon dos se cambre ; une onde de plaisir me traverse et je me vide en grosses saccades sur la culotte de Claire. Autour de moi, tout est calme et l'on entend que le bruit de ma respiration sifflante, mêlée à celui de la douche.
Je suis un peu tremblant sous l'effet du plaisir. Dans mes mains, la culotte rouge de Claire est trempée de sperme. Je reste bêtement dans cette position pendant de longues secondes. Le bruit de l'eau de la douche s'arrête ce qui me tire de ma rêverie. Je commence à paniquer : il faut que je quitte la pièce au plus vite et je ne peux pas laisser la culotte ici. Alors le plus vite et le plus discrètement possible, je remonte mon bas de pyjama, je quitte la pièce en tirant la porte et je file dans la salle de bain du couloir. Je la verrouille et j'entreprends de nettoyer la culotte de ma cousine avec de l'eau tandis que mon érection se calme. Cela fait, je retourne à ma chambre, j'ouvre la fenêtre et je pose la culotte sur le rebord pour qu'elle sèche pendant la nuit. Je décide de dormir avec la fenêtre et les volets ouverts et je me couche dans mon lit en regardant les nuages et les étoiles qui se détachent dans le ciel noir.
Le lendemain, je suis réveillé très tôt pas les rayons du soleil. Mon réveil indique 7h00. Je n'avais pas pensé en laissant fenêtre et volets ouverts hier que la lumière du jour me tirerait si tôt du sommeil. Mais il fallait bien que la culotte de Claire sèche... Je décide qu'il est trop tôt pour me lever alors je me mets un oreiller sur la figure pour me plonger artificiellement dans l'obscurité. Je parviens à me rendormir pour me réveiller aux alentours de 10h. Je me lève et je retire mon haut de pyjama puis je fais quelques étirements pour échauffer mes muscles encore endormis. La gaule du matin forme une légère bosse à la surface de mon bas. Je m'approche de la fenêtre. La culotte de Claire est sèche... mais ce n'est pas ça qui retient mon attention. Souvenez vous, ma chambre est la seule pièce de la maison qui donne sur la piscine. Et au bord de la piscine, sur un des transats, se trouve la propriétaire de la culotte... Ma cousine est allongée sur le dos, prenant un bain de soleil. Ses bras son écartés et, dans cette positon, sa poitrine s'étale sur son buste. Elle a les jambes repliées, dissimulant à moitié le bas de son maillot. Son maillot, justement, est couleur rose saumon et brille sous le soleil. Le corps de Claire lui aussi semble briller. Je prête alors pour la première fois attention au temps superbe qu'il fait dehors.
Ma légère érection matinale est entretenue par cette vision de ma belle cousine. Elle ne regarde pas dans ma direction et j'éprouve une vive excitation à l’idée de pouvoir la regarder sans être vu. Même à cette distance, je crois pouvoir distinguer le grain de beauté qu'elle a entre les deux seins, celui là même que j'essayais de voir par dessous son décolleté au début des vacances et que j'avais pu admirer de près par la suite. J'envisage de me détourner et de descendre prendre mon petit-déjeuner quand Claire esquisse un mouvement auquel je ne m'attendais pas et qui lui rend toute mon attention.
Sa main droite se met en mouvement et s'approche lentement de son entre jambe. Au même moment, elle passe sa main gauche derrière sa nuque et s'en sert comme d'un oreiller. Ses jambes sont toujours repliées et je vois la main glisser sous la culotte puis en ressortir, puis rentrer à nouveau. Même si de là ou je suis, je vois mal et je n'entends rien, je devine aisément ce que ma douce cousine est entrain de faire. Ma gaule du matin est devenue une belle et forte érection. Je retire rapidement mon bas de pyjama pour libérer mon sexe en gardant le regard rivé sur Claire. Instinctivement, je commence un va et vient avec ma main. Je devine que Claire fait rentrer et sortir un doigt, peut-être deux, de son vagin en cadence. Et j'essaye d'appliquer le même rythme à mes propres mouvements.
Soudain, elle s'arrête.
"- Qu'est ce que tu attends pour descendre ?
C'est elle qui vient de parler. Je reste incrédule, immobile, ma main enserrant toujours mon pénis. Elle lève la tête directement vers moi.
- C'est à toi que je parle Cyril.
Pour me changer les idées et bien que le temps se gâte, je décide d'aller faire quelques longueurs dans la piscine. L'eau fraîche me fait le plus grand bien. Puis je commence à avoir froid. Alors je nage encore plus vite pour me réchauffer jusqu'à ce que la pluie se mette à tomber et me chasse hors de l'eau. Je remonte à ma chambre et je me sèche puis je m'allonge sur mon lit, sur le dos, complètement nu. J'écoute le bruit de la pluie qui tombe dehors et je me sens au chaud, en sécurité. Je me relaxe complètement et je peux enfin penser dans le calme aux événements de la journée.
Mon sexe pend mollement entre mes jambes. A cause de l'eau froide de la piscine, il est actuellement à sa taille minimale. Ça m'amuse de penser qu'il y a quelques heures, ce même pénis, rougi et gonflé de désir, rentrait et sortait de la chatte de Marianne au rythme de ses gémissements... En parlant de Marianne, je suis quand même un peu déçu : sur le coup, j'avais eu l'impression d'avoir retenu mon éjaculation pendant très longtemps ce qui avait permis à ma partenaire de jouir. Mais en fait, en regardant l'heure sur la petite horloge de ma chambre au début et à la fin du rapport, j'avais pu constater que j'avais tenu à peine plus longtemps qu'avec Claire. Il y avait bien une progression mais pas significative... Le conclusion que j'en tire c'est que Marianne est comme moi au fond : elle est inexpérimentée et du coup elle jouit vite. Après tout ce n'était que sa deuxième fois, tout comme pour moi. Son petit vagin étroit doit lui donner rapidement de plaisir ; beaucoup plus rapidement qu'à Claire en tout cas.
Cette pensée m'excite un peu et mon pénis se trouve dans un état intermédiaire : gonflé mais encore mou. Je joue avec du bout des doigts et une douce chaleur se fait sentir dans mon entre-jambe. Et Claire ? Que pense-t-elle ? Puisqu'elle a tout entendu il faudra bien que l'on en parle. Et je dois la remercier pour nous avoir sauvé la mise, même si c'est un peu délicat... En tout cas je dois crever l'abcès avec elle. Quand je regarde mes draps attentivement, je constate qu'ils sont tachés par la mouille de Marianne qui font comme de petites auréoles un peu plus sombres sur les draps blancs. Je porte le tissu à mon nez : une légère odeur s'en dégage. Sentir sur mes draps le fruit de l'excitation de Marianne... C'en est trop pour mon pénis et je bande fort à présent. Mon gland qui a été beaucoup sollicité aujourd'hui est rouge et me fait un peu mal. Alors j'essaye de penser à des choses moins excitantes... Dehors, la pluie c'est arrêté et le soleil de la fin d'après-midi apparaît timidement derrière les nuages.
Nous mangeons tôt ce soir là. La conversation est assez peu animée et à plusieurs reprises je sens le regard de Claire se poser sur moi. Mais cette fois c'est moi qui évite ses regards en rougissant un peu. Après, je reste une demie heure au rez-de-chausser. Quand je décide de retourner dans ma chambre, la luminosité du dehors à bien baissée. J'emprunte les escaliers qui grincent sous mes pas. Il fait un peu sombre dans le couloir et un léger rai de lumière sort de la chambre de Claire. La porte de sa chambre n'est pas fermée complètement et j'entends un bruit d'eau : elle doit être entrain de prendre sa douche. Je marche jusqu'à ma chambre, je me mets en pyjama et je m'assois sur mon lit. L'envie me prend de rentrer discrètement dans la chambre de Claire pendant qu'elle est dans la salle de bain. Alors je me relève sur la pointe des pieds je sors de ma chambre et je pousse le porte de celle de Claire. La pièce est éclairée seulement par la lampe de chevet allumée sur le bureau qui offre une lumière tamisée. Le bruit de la douche se fait toujours entendre. Devant la porte de la salle de bain, sur le sol, se trouve la petite culotte de Claire. La culotte rouge, celle que j'avais aperçu sous sa jupe il y a quelques heures... Je la prend dans mes mains, elle est encore chaude. Pouvoir tenir entre mes doigts l'objet qui recouvrait les jolies fesses de Claire et sa petite chatte me fait un effet formidable. Je commence à bander assez fort et mon pénis forme une belle bosse à la surface de mon pyjama. Je colle mon oreille contre la porte de la douche : la dernière fois que j'étais rentré en douce dans la chambre de ma cousine, elle était également entrain de prendre sa douche et j'avais cru entendre de petits gémissements comme si elle se doigtait... Mais je n'entends rien de plus que le bruit de l'eau cette fois.
Je respire avec délice l'odeur de la culotte de Claire. D'une main, je libère l'élastique de mon bas de pyjama qui tombe à mes pieds, libérant ainsi mon sexe dressé. J'imagine Claire les yeux fermés, savourant la chaleur de la douche. Ma main entoure mon sexe et commence un lent va et vient. J'imagine l'eau ruisselant sur son corps nu, sur ses seins, sur ses cuisses. La sensation de chaleur autour de mon sexe se répand dans tout mon corps. Je l'imagine se savonner doucement, la poitrine, le ventre, descendre jusqu'à sa chatte. Je l'imagine soupirer quand ses doigts rentrent en contact avec ses lèvres. J'accélère la cadence de mes va et vient, mon plaisir grimpe en flèche. J'imagine son doigt rentrer plus profondément dans sa grotte, j'imagine qu'elle pousse un premier gémissement de plaisir. Mon corps se raidit d'un seul coup, mon dos se cambre ; une onde de plaisir me traverse et je me vide en grosses saccades sur la culotte de Claire. Autour de moi, tout est calme et l'on entend que le bruit de ma respiration sifflante, mêlée à celui de la douche.
Je suis un peu tremblant sous l'effet du plaisir. Dans mes mains, la culotte rouge de Claire est trempée de sperme. Je reste bêtement dans cette position pendant de longues secondes. Le bruit de l'eau de la douche s'arrête ce qui me tire de ma rêverie. Je commence à paniquer : il faut que je quitte la pièce au plus vite et je ne peux pas laisser la culotte ici. Alors le plus vite et le plus discrètement possible, je remonte mon bas de pyjama, je quitte la pièce en tirant la porte et je file dans la salle de bain du couloir. Je la verrouille et j'entreprends de nettoyer la culotte de ma cousine avec de l'eau tandis que mon érection se calme. Cela fait, je retourne à ma chambre, j'ouvre la fenêtre et je pose la culotte sur le rebord pour qu'elle sèche pendant la nuit. Je décide de dormir avec la fenêtre et les volets ouverts et je me couche dans mon lit en regardant les nuages et les étoiles qui se détachent dans le ciel noir.
Le lendemain, je suis réveillé très tôt pas les rayons du soleil. Mon réveil indique 7h00. Je n'avais pas pensé en laissant fenêtre et volets ouverts hier que la lumière du jour me tirerait si tôt du sommeil. Mais il fallait bien que la culotte de Claire sèche... Je décide qu'il est trop tôt pour me lever alors je me mets un oreiller sur la figure pour me plonger artificiellement dans l'obscurité. Je parviens à me rendormir pour me réveiller aux alentours de 10h. Je me lève et je retire mon haut de pyjama puis je fais quelques étirements pour échauffer mes muscles encore endormis. La gaule du matin forme une légère bosse à la surface de mon bas. Je m'approche de la fenêtre. La culotte de Claire est sèche... mais ce n'est pas ça qui retient mon attention. Souvenez vous, ma chambre est la seule pièce de la maison qui donne sur la piscine. Et au bord de la piscine, sur un des transats, se trouve la propriétaire de la culotte... Ma cousine est allongée sur le dos, prenant un bain de soleil. Ses bras son écartés et, dans cette positon, sa poitrine s'étale sur son buste. Elle a les jambes repliées, dissimulant à moitié le bas de son maillot. Son maillot, justement, est couleur rose saumon et brille sous le soleil. Le corps de Claire lui aussi semble briller. Je prête alors pour la première fois attention au temps superbe qu'il fait dehors.
Ma légère érection matinale est entretenue par cette vision de ma belle cousine. Elle ne regarde pas dans ma direction et j'éprouve une vive excitation à l’idée de pouvoir la regarder sans être vu. Même à cette distance, je crois pouvoir distinguer le grain de beauté qu'elle a entre les deux seins, celui là même que j'essayais de voir par dessous son décolleté au début des vacances et que j'avais pu admirer de près par la suite. J'envisage de me détourner et de descendre prendre mon petit-déjeuner quand Claire esquisse un mouvement auquel je ne m'attendais pas et qui lui rend toute mon attention.
Sa main droite se met en mouvement et s'approche lentement de son entre jambe. Au même moment, elle passe sa main gauche derrière sa nuque et s'en sert comme d'un oreiller. Ses jambes sont toujours repliées et je vois la main glisser sous la culotte puis en ressortir, puis rentrer à nouveau. Même si de là ou je suis, je vois mal et je n'entends rien, je devine aisément ce que ma douce cousine est entrain de faire. Ma gaule du matin est devenue une belle et forte érection. Je retire rapidement mon bas de pyjama pour libérer mon sexe en gardant le regard rivé sur Claire. Instinctivement, je commence un va et vient avec ma main. Je devine que Claire fait rentrer et sortir un doigt, peut-être deux, de son vagin en cadence. Et j'essaye d'appliquer le même rythme à mes propres mouvements.
Soudain, elle s'arrête.
"- Qu'est ce que tu attends pour descendre ?
C'est elle qui vient de parler. Je reste incrédule, immobile, ma main enserrant toujours mon pénis. Elle lève la tête directement vers moi.
- C'est à toi que je parle Cyril.