20-12-2020, 06:18 PM
Alors elle était à l'étage elle aussi. Impossible qu'elle n'ai pas compris ce qui se passait entre se meilleure amie et moi. En plus sa voix à l'air affolée. Mon cœur s'emballe. Et si elle avait décidé de nous dénoncer à son père ? Après tout, à sa place je ne pense pas que l'idée que mon cousin couche avec ma meilleure amie dans ma propre maison m'aurait fait plaisir.
- Papa c'est moi qui ai crié ! Je me suis cogné le pied contre mon bureau. On a de la glace à la cuisine ? Ca fait vraiment super mal !
- Mais ma chérie tu boites ? Bouge pas je vais te porter jusqu'en bas.
La voix de mon oncle à l'air affolée elle aussi tout à coup. Je l'entends redescendre les escaliers, probablement en portant Claire dans ses bras. Puis c'est le silence. Marianne et moi sommes seuls à l'étage. Deux choses sont certaines : Claire sait que nous avons couché dans la pièce d'à côté et Claire a menti à son père pour nous sauver la mise.
Je reprends mes esprits.
- Il faut pas qu'on reste comme ça... murmuré-je dans l'oreille de Marianne.
Je note qu'elle a arrêté de pleurer. Peut-être qu'elle aussi à été particulièrement marquée par le geste de Claire.
- Tu es allongé sur moi, je peux pas bouger... me fait remarquer Marianne sur un ton presque amusé.
Je peux sentir que son corps s'est détendu. Moi aussi d'ailleurs je commence à me détendre. Le pire est passé et nous n'auront pas de problèmes avec les adultes grâce l'intervention de ma chère cousine. Je me redresse et je m'assois au bord du lit, le sexe toujours aussi mou. En me détachant du corps de Marianne, je me rends compte que mon ventre et son dos sont légèrement collés entre eux par mon sperme séché. C'est vrai que j'avais éjaculé sur son dos avant de m'allonger sur elle.
Marianne s'assied à côté de moi au bord du lit. Nos épaules se touchent presque. Ses jolis seins tombent vers le bas mais gardent une forme bien ronde et sa petite chatte, encore humide, tâche légèrement les draps. Elle regarde fixement ses pieds et me dit presque à voix haute :
- Merci Cyril... Vraiment...
- De rien... Enfin je veux dire, heu... Merci à toi aussi. C'était... vraiment bien !
Nos regards se croisent. Je lui souris et elle me rend mon sourire. Alors je dépose un baiser rapide sur ses lèvres avant de me lever et de dire :
- Aller Marianne ! Il faut qu'on bouge de là !
Je la regarde se rhabiller, et je l'aide à rattacher son soutien-gorge dans le dos. Je me surprends même à bander légèrement.
- Faudrait qu'on prenne une douche, fais-je remarquer.
- J'aimerais qu'on puisse le prendre ensemble mais ça serait trop risqué pas vrai ? répond Marianne.
- Ouais, on l'a déjà échappé belle une fois..."
Alors Marianne quitte ma chambre non sans m'avoir fait un sourire et un bisou dans le cou.
J'ouvre grand la fenêtre de ma chambre pour aérer et je fais mon lit rapidement. Les draps sont tachés de la mouille de ma partenaire. Je file ensuite à la douche. Je me savonne en insistant bien sur mon gland encore rouge puis je me sèche et je revêts des vêtements propres. Enfin, pour essayer de penser à autre chose qu'à Marianne, je prends un livre en attendant l'heure du repas de midi.
L'heure du repas arrive. Nous nous attablons et discutons tous calmement. Je remarque que Marianne a changé de vêtements depuis ce matin. Elle aussi à du se doucher en vitesse. Claire quant à elle a un bandage autour des orteils de son pied droit. Elle se déplace en boitant légèrement. Je me fais la remarque qu'elle joue très bien la comédie et qu'elle prend très à cœur son rôle de blessée ! Mais dans le même temps, j'ai le sentiment qu'elle évite de croiser mes regards. Je n'en suis pas vraiment sur mais après tout ce serait compréhensible. Ça me rend un peu triste...
"- Tu as apprécié notre séjour parmi nous ? demande ma tante à Marianne.
C'est vrai que ma jolie brune s'en va juste après le repas... J'avais presque oublié ce détail dans l'émotion de la matinée.
- Oh oui Madame ! Merci encore de m'avoir invité, j'ai passé une semaine formidable.
Je ne peux m'empêcher de penser avec fierté que j'ai été le bouquet final de la semaine de Marianne. Et d'ailleurs, je sens son pied qui commence à frotter contre ma jambe sous la table comme pour me le confirmer. Je regarde résolument mon assiette. Croiser son regard ou lui sourire à ce moment là aurait pu sembler suspect.
Après le repas, les adultes disent au revoir à Marianne puis Claire et moi la raccompagnons dans la cour, jusqu'à ça petite voiture d'étudiante. Ma cousine salue sa meilleure amie et les deux filles promettent de se revoir vite. Moi, je prends un ton solennelle et je dis : " au revoir Mademoiselle " puis je lui serre la main. Mon petit numéro la fait rire ainsi que Claire. Mais j'en ai surtout profité pour glisser discrètement dans sa main un petit bout de papier sur lequel j'ai écrit quelques mots : " Merci pour tout. Restons en contact. Je ne veux plus jamais te voir pleurer " suivi de mon numéro de téléphone. Avec un petit geste d'adieu, Marianne remonte dans la voiture et disparaît dernière les grilles de la propriété.
- Papa c'est moi qui ai crié ! Je me suis cogné le pied contre mon bureau. On a de la glace à la cuisine ? Ca fait vraiment super mal !
- Mais ma chérie tu boites ? Bouge pas je vais te porter jusqu'en bas.
La voix de mon oncle à l'air affolée elle aussi tout à coup. Je l'entends redescendre les escaliers, probablement en portant Claire dans ses bras. Puis c'est le silence. Marianne et moi sommes seuls à l'étage. Deux choses sont certaines : Claire sait que nous avons couché dans la pièce d'à côté et Claire a menti à son père pour nous sauver la mise.
Je reprends mes esprits.
- Il faut pas qu'on reste comme ça... murmuré-je dans l'oreille de Marianne.
Je note qu'elle a arrêté de pleurer. Peut-être qu'elle aussi à été particulièrement marquée par le geste de Claire.
- Tu es allongé sur moi, je peux pas bouger... me fait remarquer Marianne sur un ton presque amusé.
Je peux sentir que son corps s'est détendu. Moi aussi d'ailleurs je commence à me détendre. Le pire est passé et nous n'auront pas de problèmes avec les adultes grâce l'intervention de ma chère cousine. Je me redresse et je m'assois au bord du lit, le sexe toujours aussi mou. En me détachant du corps de Marianne, je me rends compte que mon ventre et son dos sont légèrement collés entre eux par mon sperme séché. C'est vrai que j'avais éjaculé sur son dos avant de m'allonger sur elle.
Marianne s'assied à côté de moi au bord du lit. Nos épaules se touchent presque. Ses jolis seins tombent vers le bas mais gardent une forme bien ronde et sa petite chatte, encore humide, tâche légèrement les draps. Elle regarde fixement ses pieds et me dit presque à voix haute :
- Merci Cyril... Vraiment...
- De rien... Enfin je veux dire, heu... Merci à toi aussi. C'était... vraiment bien !
Nos regards se croisent. Je lui souris et elle me rend mon sourire. Alors je dépose un baiser rapide sur ses lèvres avant de me lever et de dire :
- Aller Marianne ! Il faut qu'on bouge de là !
Je la regarde se rhabiller, et je l'aide à rattacher son soutien-gorge dans le dos. Je me surprends même à bander légèrement.
- Faudrait qu'on prenne une douche, fais-je remarquer.
- J'aimerais qu'on puisse le prendre ensemble mais ça serait trop risqué pas vrai ? répond Marianne.
- Ouais, on l'a déjà échappé belle une fois..."
Alors Marianne quitte ma chambre non sans m'avoir fait un sourire et un bisou dans le cou.
J'ouvre grand la fenêtre de ma chambre pour aérer et je fais mon lit rapidement. Les draps sont tachés de la mouille de ma partenaire. Je file ensuite à la douche. Je me savonne en insistant bien sur mon gland encore rouge puis je me sèche et je revêts des vêtements propres. Enfin, pour essayer de penser à autre chose qu'à Marianne, je prends un livre en attendant l'heure du repas de midi.
L'heure du repas arrive. Nous nous attablons et discutons tous calmement. Je remarque que Marianne a changé de vêtements depuis ce matin. Elle aussi à du se doucher en vitesse. Claire quant à elle a un bandage autour des orteils de son pied droit. Elle se déplace en boitant légèrement. Je me fais la remarque qu'elle joue très bien la comédie et qu'elle prend très à cœur son rôle de blessée ! Mais dans le même temps, j'ai le sentiment qu'elle évite de croiser mes regards. Je n'en suis pas vraiment sur mais après tout ce serait compréhensible. Ça me rend un peu triste...
"- Tu as apprécié notre séjour parmi nous ? demande ma tante à Marianne.
C'est vrai que ma jolie brune s'en va juste après le repas... J'avais presque oublié ce détail dans l'émotion de la matinée.
- Oh oui Madame ! Merci encore de m'avoir invité, j'ai passé une semaine formidable.
Je ne peux m'empêcher de penser avec fierté que j'ai été le bouquet final de la semaine de Marianne. Et d'ailleurs, je sens son pied qui commence à frotter contre ma jambe sous la table comme pour me le confirmer. Je regarde résolument mon assiette. Croiser son regard ou lui sourire à ce moment là aurait pu sembler suspect.
Après le repas, les adultes disent au revoir à Marianne puis Claire et moi la raccompagnons dans la cour, jusqu'à ça petite voiture d'étudiante. Ma cousine salue sa meilleure amie et les deux filles promettent de se revoir vite. Moi, je prends un ton solennelle et je dis : " au revoir Mademoiselle " puis je lui serre la main. Mon petit numéro la fait rire ainsi que Claire. Mais j'en ai surtout profité pour glisser discrètement dans sa main un petit bout de papier sur lequel j'ai écrit quelques mots : " Merci pour tout. Restons en contact. Je ne veux plus jamais te voir pleurer " suivi de mon numéro de téléphone. Avec un petit geste d'adieu, Marianne remonte dans la voiture et disparaît dernière les grilles de la propriété.