20-12-2020, 06:17 PM
- Oh oui plus vite ! Plus vite ! » lâche Marianne dans un souffle.
Mais je suis incapable d’aller plus vite. Mes muscles tétanisent et surtout, je sens que je suis à deux doigts de jouir. Alors à la place je ralentis la cadence jusqu’à m’arrêter complètement, le sexe à moitié enfoncé à l’intérieur de la chatte de Marianne. Cette dernière ramène sa main gauche vers son bas ventre et je devine qu’elle se caresse doucement le clitoris. Puis elle commence à donner des petits coups avec ses fesses pour faire rentrer et sortir mon sexe de son vagin sans que j’ai à esquisser le moindre mouvement. Je suis surpris de voir à quel point elle se laisse aller au plaisir maintenant. Et je sais que quoi que je fasse, je ne vais pas pouvoir retenir mon éjaculation beaucoup plus longtemps. Marianne semble prête à jouir… Alors je décide de tout donner dans un dernier assaut.
Je reprends mon va et vient en donnant des coups de reins de plus en plus rapides en essayant de faire pénétrer mon sexe le plus profondément possible à l’intérieur de Marianne. De son côté, les gémissements sont devenus de longs râles :
« Haaannnnnnnnn ! Haaaaaaannnnnnn !
Je sens que je vais bientôt jouir. Et je crois que elle aussi. A cette idée, je redouble d’effort en essayant de m’appliquer à bien faire les mouvements.
- Ha han ! Ha han ! Oh oui continue, ha han !
Les cris aigus reprennent. Je me penche en avant et je pose une main sous chacun des seins de Marianne et je ramène son buste vers moi. Avec mes mains, je l’empêche de repartir en avant tout en malaxant sa poitrine. Ses tétons sont plus durs que jamais.
- Ha han ! Ha han !
Encore quelques coups de reins. J’ai atteint ma limite, je ne vais plus pouvoir tenir. Soudain, Marianne pousse un grand cri, tout son corps frissonne puis se tend. Elle s’effondre alors sur le lit, épuisée. Moi, je maintiens fermement ses fesses à ma hauteur avec mes mains et je donne deux derniers coups de reins. A cet instant, je sens que je vais éjaculer : alors au tout dernier moment, je retire mon sexe en feu de la chatte de Marianne, je relâche ses fesses et je jouis comme jamais sur son joli dos bronzé en poussant un soupir d'extase. Plusieurs grosses saccades de sperme jaillissent de mon sexe, puis des plus petites, envoyant des décharges de plaisir dans tout mon corps. Tout mon être tremble tandis que je me vide sur Marianne.
Quand mon éjaculation s’arrête, j’ai l’impression de planer complètement. Je reste debout auprès du lit, les bras ballant, le souffle court, bercé par un sentiment de plaisir et de soulagement. Je regarde Marianne, qui est toujours allongée sur le ventre, le visage enfoncé dans un oreiller. La cambrure de son dos est couverte de mon sperme. Mon sexe a ramolli et vient frotter contre mes cuisses. Avec mes mains, j’étale ma semence sur le dos de Marianne. Puis je m’allonge sur elle en prenant garde de ne pas l’écraser. Mon pénis vient buter contre ses fesses mais je n’ai même plus la force de bander de toute façon… Je lui dépose quelques baisers dans les cheveux. C’est là que je me rends compte que Marianne est entrain de pleurer doucement.
Je n’ai pas le temps de lui en demander la raison que le pas lourd de mon oncle dans l’escalier me rappelle que nous ne sommes pas seuls dans la maison.
Mon sang se glace dans mes veines. C'est vrai que nous n'avons pas été très discrets, surtout à la fin. Marianne avait bien réussi à retenir ses cris mais au moment de l'orgasme elle n'avait pas pu réprimer un hurlement de plaisir. Suffisamment fort pour être entendu depuis le rez-de-chaussé. Les pas de mon oncle semblent se rapprocher alors qu'il gravit les marches et le grincement de l'escalier me paraît soudainement plus inquiétant. La porte de ma chambre ne ferme pas à clés, il n'a qu'à ouvrir la porte pour découvrir notre petit manège... Et dans la position dans laquelle nous sommes... Marianne est allongée sur les ventre, la tête enfouie dans l'oreiller, et je suis posé sur elle, mon sexe mou entre ses deux fesses. Difficile de faire croire que nous étions entrain de jouer aux cartes. Je sens le corps de Marianne se tendre et se raidir en entendant mon oncle. Mais, épuisée par nos ébats, incapable de bouger, elle reste figée sur le lit en sanglotant doucement. Moi même je n'esquisse pas le moindre geste. A quoi bon ? Tout ce que je peux faire, c'est attendre l'arrivée de mon oncle et essayer de gérer au mieux la situation. Je murmure à Marianne un "ça va aller" mais je n'en suis pas vraiment sur...
Mon oncle arrive en haut de l'escalier.
"- J'ai entendu quelqu'un crier. Tout va bien ? demande-t-il depuis le couloir.
Sa voix est calme et enjouée, comme d'habitude. On dirait bien qu'il n'a aucune idée de ce qui s'est passé. Il n'a pas réalisé que le cri qu'il avait entendu était un cri de jouissance. C'est déjà une bonne chose mais ça ne change rien au problème . Il doit être à quelques mètres de la porte de ma chambre maintenant. Et que faire si au lieu de rentrer dans ma chambre, il nous appelle Claire, Marianne et moi ? Je ne sais pas où est Claire mais je sais que je ne risque pas de sortir nu accompagnée de la jolie brune...
La voix de Claire résonne :
- Papa, Papa !
Mais je suis incapable d’aller plus vite. Mes muscles tétanisent et surtout, je sens que je suis à deux doigts de jouir. Alors à la place je ralentis la cadence jusqu’à m’arrêter complètement, le sexe à moitié enfoncé à l’intérieur de la chatte de Marianne. Cette dernière ramène sa main gauche vers son bas ventre et je devine qu’elle se caresse doucement le clitoris. Puis elle commence à donner des petits coups avec ses fesses pour faire rentrer et sortir mon sexe de son vagin sans que j’ai à esquisser le moindre mouvement. Je suis surpris de voir à quel point elle se laisse aller au plaisir maintenant. Et je sais que quoi que je fasse, je ne vais pas pouvoir retenir mon éjaculation beaucoup plus longtemps. Marianne semble prête à jouir… Alors je décide de tout donner dans un dernier assaut.
Je reprends mon va et vient en donnant des coups de reins de plus en plus rapides en essayant de faire pénétrer mon sexe le plus profondément possible à l’intérieur de Marianne. De son côté, les gémissements sont devenus de longs râles :
« Haaannnnnnnnn ! Haaaaaaannnnnnn !
Je sens que je vais bientôt jouir. Et je crois que elle aussi. A cette idée, je redouble d’effort en essayant de m’appliquer à bien faire les mouvements.
- Ha han ! Ha han ! Oh oui continue, ha han !
Les cris aigus reprennent. Je me penche en avant et je pose une main sous chacun des seins de Marianne et je ramène son buste vers moi. Avec mes mains, je l’empêche de repartir en avant tout en malaxant sa poitrine. Ses tétons sont plus durs que jamais.
- Ha han ! Ha han !
Encore quelques coups de reins. J’ai atteint ma limite, je ne vais plus pouvoir tenir. Soudain, Marianne pousse un grand cri, tout son corps frissonne puis se tend. Elle s’effondre alors sur le lit, épuisée. Moi, je maintiens fermement ses fesses à ma hauteur avec mes mains et je donne deux derniers coups de reins. A cet instant, je sens que je vais éjaculer : alors au tout dernier moment, je retire mon sexe en feu de la chatte de Marianne, je relâche ses fesses et je jouis comme jamais sur son joli dos bronzé en poussant un soupir d'extase. Plusieurs grosses saccades de sperme jaillissent de mon sexe, puis des plus petites, envoyant des décharges de plaisir dans tout mon corps. Tout mon être tremble tandis que je me vide sur Marianne.
Quand mon éjaculation s’arrête, j’ai l’impression de planer complètement. Je reste debout auprès du lit, les bras ballant, le souffle court, bercé par un sentiment de plaisir et de soulagement. Je regarde Marianne, qui est toujours allongée sur le ventre, le visage enfoncé dans un oreiller. La cambrure de son dos est couverte de mon sperme. Mon sexe a ramolli et vient frotter contre mes cuisses. Avec mes mains, j’étale ma semence sur le dos de Marianne. Puis je m’allonge sur elle en prenant garde de ne pas l’écraser. Mon pénis vient buter contre ses fesses mais je n’ai même plus la force de bander de toute façon… Je lui dépose quelques baisers dans les cheveux. C’est là que je me rends compte que Marianne est entrain de pleurer doucement.
Je n’ai pas le temps de lui en demander la raison que le pas lourd de mon oncle dans l’escalier me rappelle que nous ne sommes pas seuls dans la maison.
Mon sang se glace dans mes veines. C'est vrai que nous n'avons pas été très discrets, surtout à la fin. Marianne avait bien réussi à retenir ses cris mais au moment de l'orgasme elle n'avait pas pu réprimer un hurlement de plaisir. Suffisamment fort pour être entendu depuis le rez-de-chaussé. Les pas de mon oncle semblent se rapprocher alors qu'il gravit les marches et le grincement de l'escalier me paraît soudainement plus inquiétant. La porte de ma chambre ne ferme pas à clés, il n'a qu'à ouvrir la porte pour découvrir notre petit manège... Et dans la position dans laquelle nous sommes... Marianne est allongée sur les ventre, la tête enfouie dans l'oreiller, et je suis posé sur elle, mon sexe mou entre ses deux fesses. Difficile de faire croire que nous étions entrain de jouer aux cartes. Je sens le corps de Marianne se tendre et se raidir en entendant mon oncle. Mais, épuisée par nos ébats, incapable de bouger, elle reste figée sur le lit en sanglotant doucement. Moi même je n'esquisse pas le moindre geste. A quoi bon ? Tout ce que je peux faire, c'est attendre l'arrivée de mon oncle et essayer de gérer au mieux la situation. Je murmure à Marianne un "ça va aller" mais je n'en suis pas vraiment sur...
Mon oncle arrive en haut de l'escalier.
"- J'ai entendu quelqu'un crier. Tout va bien ? demande-t-il depuis le couloir.
Sa voix est calme et enjouée, comme d'habitude. On dirait bien qu'il n'a aucune idée de ce qui s'est passé. Il n'a pas réalisé que le cri qu'il avait entendu était un cri de jouissance. C'est déjà une bonne chose mais ça ne change rien au problème . Il doit être à quelques mètres de la porte de ma chambre maintenant. Et que faire si au lieu de rentrer dans ma chambre, il nous appelle Claire, Marianne et moi ? Je ne sais pas où est Claire mais je sais que je ne risque pas de sortir nu accompagnée de la jolie brune...
La voix de Claire résonne :
- Papa, Papa !