18-12-2020, 08:24 PM
J’attrape doucement les jambes de Marianne et je les positionne sur mes épaules. J’ai un de ses pied de chaque côté de ma tête. Ceci à pour effet de resserrer ses cuisses et de surélever légèrement ses fesses. Dans cette position, j’ai l’impression que les pénétrations sont plus profondes, que les mouvements sont plus amples. Le plaisir monte d’un cran pour moi. Les gémissements de Marianne ont changé également. A intervalles réguliers elle lâche des
« Mmmmmmh Han ! » comme si elle retenait sa respiration le plus longtemps possible et qu’au moment de reprendre son souffle elle ne pouvait pas réprimer un petit cri aigu.
La situation est très différente de la fois avec Claire. Ici, nous sommes de jour, en pleine lumière et je peux voir tous les détails du corps de Marianne jusqu’à l’expression de son visage. Et puis les gémissements, à la fois excitants et stimulants, me confirment que j’arrive à lui donner du plaisir. Chaque coup de rein me rapproche de la jouissance. Les gémissements de Marianne, quant à eux, deviennent plus aigus et plus rapides. Ils suivent le rythme de sa respiration.
« - Ha Han, Ha Han, Ha Han !
Elle essaye de les étouffer comme elle peut en se mordillant les lèvres ou en mettant une main devant sa bouche. Comme je sens que je vais bientôt jouir, je retire mon sexe de la chatte de Marianne. Il en ressort trempé de mouille. Mon excitation se calme un peu et j’espère ainsi pouvoir tenir plus longtemps.
- Pourquoi tu t’arrêtes ? demande Marianne tout doucement.
- Pour que tu puisses reprendre ton souffle, dis-je.
-Merci…
C’est un petit mensonge mais en même temps, ça me permet de garder Marianne en confiance. Sa respiration se calme un peu et elle demande :
- Tu crois qu’on pourrait changer de position ? J’aimerais essayer… autre chose.
Je me rends compte que l’attitude de Marianne a changé depuis tout à l’heure. Elle qui était sur la défensive, voilà qu’elle en redemande. Je crois que j’ai vaincu ses réticences grâce à ce moment de plaisir partagé et qu’elle me fait confiance à présent.
- Tout ce que tu veux ! réponds-je à voix basse.
Alors elle se retourne et se met à quatre pattes sur le lit, me présentant ses fesses. Je déduis qu’elle veut essayer la levrette. Mon pénis qui avait un peu ramolli reprend sa vigueur devant le spectacle de ses jolies fesses pointées vers moi. Les battements de mon cœur s’accélèrent. Si elle reste dans cette position, en étant debout au pied du lit, je suis pile à la bonne hauteur pour la prendre par derrière. J’approche mon sexe du trou de Marianne. Vu de derrière, il semble encore plus excitant et ruisselle de mouille. Je rentre mon sexe tout doucement en savourant l’instant. Il s’enfonce avec un bruit aqueux, beaucoup plus facilement que la première fois. J’essaye de prendre mes repères avec cette positionne toute nouvelle pour moi comme pour elle. Je regarde Marianne qui tient en équilibre sur ses genoux et sur ses bras tendus. Son dos est plat, parallèle au lit et ses seins pointent vers le bas. Je reprends mes mouvements de hanches.
Mon pénis rentre et sort en cadence du vagin de Marianne. Les gémissements de cette dernière ont repris. De plus en plus aigus…
- Han han ! Ah han ! Ah han.
Je pose mes mains sur ses hanches et je m’en sers pour tirer ses fesses vers moi et ainsi accentuer la pénétration. Je viens presque buter contre le fond du vagin de Marianne à chaque coup de rein. Cette position sauvage, presque bestiale, m’excite beaucoup et semble donner à Marianne plus de plaisir que jamais. J’aimerais que ce moment dure éternellement. Mais je ne pense pas que j’aurai la force de tenir beaucoup plus longtemps…336
« Mmmmmmh Han ! » comme si elle retenait sa respiration le plus longtemps possible et qu’au moment de reprendre son souffle elle ne pouvait pas réprimer un petit cri aigu.
La situation est très différente de la fois avec Claire. Ici, nous sommes de jour, en pleine lumière et je peux voir tous les détails du corps de Marianne jusqu’à l’expression de son visage. Et puis les gémissements, à la fois excitants et stimulants, me confirment que j’arrive à lui donner du plaisir. Chaque coup de rein me rapproche de la jouissance. Les gémissements de Marianne, quant à eux, deviennent plus aigus et plus rapides. Ils suivent le rythme de sa respiration.
« - Ha Han, Ha Han, Ha Han !
Elle essaye de les étouffer comme elle peut en se mordillant les lèvres ou en mettant une main devant sa bouche. Comme je sens que je vais bientôt jouir, je retire mon sexe de la chatte de Marianne. Il en ressort trempé de mouille. Mon excitation se calme un peu et j’espère ainsi pouvoir tenir plus longtemps.
- Pourquoi tu t’arrêtes ? demande Marianne tout doucement.
- Pour que tu puisses reprendre ton souffle, dis-je.
-Merci…
C’est un petit mensonge mais en même temps, ça me permet de garder Marianne en confiance. Sa respiration se calme un peu et elle demande :
- Tu crois qu’on pourrait changer de position ? J’aimerais essayer… autre chose.
Je me rends compte que l’attitude de Marianne a changé depuis tout à l’heure. Elle qui était sur la défensive, voilà qu’elle en redemande. Je crois que j’ai vaincu ses réticences grâce à ce moment de plaisir partagé et qu’elle me fait confiance à présent.
- Tout ce que tu veux ! réponds-je à voix basse.
Alors elle se retourne et se met à quatre pattes sur le lit, me présentant ses fesses. Je déduis qu’elle veut essayer la levrette. Mon pénis qui avait un peu ramolli reprend sa vigueur devant le spectacle de ses jolies fesses pointées vers moi. Les battements de mon cœur s’accélèrent. Si elle reste dans cette position, en étant debout au pied du lit, je suis pile à la bonne hauteur pour la prendre par derrière. J’approche mon sexe du trou de Marianne. Vu de derrière, il semble encore plus excitant et ruisselle de mouille. Je rentre mon sexe tout doucement en savourant l’instant. Il s’enfonce avec un bruit aqueux, beaucoup plus facilement que la première fois. J’essaye de prendre mes repères avec cette positionne toute nouvelle pour moi comme pour elle. Je regarde Marianne qui tient en équilibre sur ses genoux et sur ses bras tendus. Son dos est plat, parallèle au lit et ses seins pointent vers le bas. Je reprends mes mouvements de hanches.
Mon pénis rentre et sort en cadence du vagin de Marianne. Les gémissements de cette dernière ont repris. De plus en plus aigus…
- Han han ! Ah han ! Ah han.
Je pose mes mains sur ses hanches et je m’en sers pour tirer ses fesses vers moi et ainsi accentuer la pénétration. Je viens presque buter contre le fond du vagin de Marianne à chaque coup de rein. Cette position sauvage, presque bestiale, m’excite beaucoup et semble donner à Marianne plus de plaisir que jamais. J’aimerais que ce moment dure éternellement. Mais je ne pense pas que j’aurai la force de tenir beaucoup plus longtemps…336