18-12-2020, 08:16 PM
Elle déboutonne ma chemise, dévoilant ainsi mon torse. Elle pose ses mains à plat sur mes pectoraux et commence à les caresser. Je la laisse faire et découvrir mon corps à son rythme. Je ne veux surtout pas la brusquer. Elle m’enlève elle-même mon short avant de se rassoir sur le lit. Je retire alors mon caleçon et je lui dévoile mon sexe. Inutile de dire que je bande déjà beaucoup et regarder Marianne, complètement nue, assise sur mon lit, n’arrange pas les choses. Nous restons là à nous regarder en silence pendant quelques instants
« - Prends moi… finit par murmurer Marianne.
- Ici ? Maintenant ? Tu es sure que c’est ce que tu veux ?
- On fait ça une fois et après on oublie… S’il-te-plaît…
Bien sur j’en ai très envie mais je ne veux pas qu’elle se sente forcée par les circonstances. En même temps, c’est bien elle qui demande. Alors je la couche doucement sur le lit. Je pose mes mains sur ses hanches et je la tire vers moi pour lui positionner les fesses juste au bord du matelas et je me place face à elle, le sexe dressé. Elle a les jambes écartées et je vois que son trou ruisselle de mouille. J’approche mon pénis…
- Attends ! dit-elle. Sois doux, ok ?
Je me couche sur elle pour lui murmurer à l’oreille :
- C’est promis. Il faut que tu me fasses confiance.
A ces mots, je sens son corps se détendre et j’en profite pour lui déposer un petit baiser sur le front. Puis je me redresse et je me mets en position, debout devant le lit. Je décalotte mon gland et je le fais frotter doucement contre les petites lèvres de Marianne. Puis je le fais rentrer dans son orifice. Petit à petit, par de lents allers-retours. Finalement, mon pénis rentre entièrement en Marianne ce qui lui arrache un petit cri.
Le vagin de Marianne est beaucoup plus étroit que celui de Claire. Mon sexe s’y trouve un peu serré et j’ai plus de mal à faire des va-et-vient. Quand je commence mes mouvements, la respiration de Marianne s’accélère. J’ai l’impression que je pourrais entendre son cœur battre. Assez rapidement, Marianne commence à pousser des soupirs et des petits gémissements. Je me rends compte qu’elle ressent du plaisir beaucoup plus vite que Claire, peut-être parce qu’elle a moins d’expérience… Ce qui est sur, c’est que de voir Marianne allongée sur le dos, les yeux mi-clos entrain de pousser des gémissements m’excite au plus haut point. Dans cette position, sa poitrine s’étale un peu sur son torse et a l’air plus grosse. Elle roule au rythme de sa respiration et de mes va-et-vient.
Inutile de dire que moi aussi je prends du plaisir. Le vagin étroit de Marianne me procure des sensations intenses à chaque mouvement. Une douce chaleur envahit tout mon corps, particulièrement au niveau de mon pénis. Je résiste à la tentation d’accélérer le mouvement. Marianne pousse un gémissement plus fort que les autres et je lui fais signe de faire moins de bruit. Je viens de réaliser que nous ne sommes pas seuls dans la maison et que nous risquons de nous faire attraper à tout moment. Marianne a compris aussi et je vois qu’elle se mordille les lèvres pour étouffer ses gémissements.
« - Prends moi… finit par murmurer Marianne.
- Ici ? Maintenant ? Tu es sure que c’est ce que tu veux ?
- On fait ça une fois et après on oublie… S’il-te-plaît…
Bien sur j’en ai très envie mais je ne veux pas qu’elle se sente forcée par les circonstances. En même temps, c’est bien elle qui demande. Alors je la couche doucement sur le lit. Je pose mes mains sur ses hanches et je la tire vers moi pour lui positionner les fesses juste au bord du matelas et je me place face à elle, le sexe dressé. Elle a les jambes écartées et je vois que son trou ruisselle de mouille. J’approche mon pénis…
- Attends ! dit-elle. Sois doux, ok ?
Je me couche sur elle pour lui murmurer à l’oreille :
- C’est promis. Il faut que tu me fasses confiance.
A ces mots, je sens son corps se détendre et j’en profite pour lui déposer un petit baiser sur le front. Puis je me redresse et je me mets en position, debout devant le lit. Je décalotte mon gland et je le fais frotter doucement contre les petites lèvres de Marianne. Puis je le fais rentrer dans son orifice. Petit à petit, par de lents allers-retours. Finalement, mon pénis rentre entièrement en Marianne ce qui lui arrache un petit cri.
Le vagin de Marianne est beaucoup plus étroit que celui de Claire. Mon sexe s’y trouve un peu serré et j’ai plus de mal à faire des va-et-vient. Quand je commence mes mouvements, la respiration de Marianne s’accélère. J’ai l’impression que je pourrais entendre son cœur battre. Assez rapidement, Marianne commence à pousser des soupirs et des petits gémissements. Je me rends compte qu’elle ressent du plaisir beaucoup plus vite que Claire, peut-être parce qu’elle a moins d’expérience… Ce qui est sur, c’est que de voir Marianne allongée sur le dos, les yeux mi-clos entrain de pousser des gémissements m’excite au plus haut point. Dans cette position, sa poitrine s’étale un peu sur son torse et a l’air plus grosse. Elle roule au rythme de sa respiration et de mes va-et-vient.
Inutile de dire que moi aussi je prends du plaisir. Le vagin étroit de Marianne me procure des sensations intenses à chaque mouvement. Une douce chaleur envahit tout mon corps, particulièrement au niveau de mon pénis. Je résiste à la tentation d’accélérer le mouvement. Marianne pousse un gémissement plus fort que les autres et je lui fais signe de faire moins de bruit. Je viens de réaliser que nous ne sommes pas seuls dans la maison et que nous risquons de nous faire attraper à tout moment. Marianne a compris aussi et je vois qu’elle se mordille les lèvres pour étouffer ses gémissements.