15-12-2020, 08:57 PM
En me levant le lendemain je suis un peu triste. Après tout, c’est le dernier jour avant le départ de Marianne. Je m’étais habituée à sa présence et son joli visage va me manquer. Au petit-déjeuner, je ne laisse rien paraître de mon humeur. Puis je monte dans ma chambre. Alors que je me demande où a bien pu passer Claire à qui il faut que je dise quelque chose, on frappe à ma porte. Je vais ouvrir, c’est Marianne.
« Salut, lui dis-je.
Elle s’assied sur mon lit et nous discutons un moment. L’expression de son visage n’est pas calme, comme si quelque chose la tracassait.
- Tu t’en vas à quelle heure ? demandé-je.
- Juste après le repas…
- Tu vas me manquer Marianne, tu sais !
- Qu’est ce qui va te manquer chez moi ?
Je suis un peu désarçonner par sa question et j’essaye de répondre sans bafouiller.
- Ben… euh, tout ! T’es une fille sympa, jolie…
- Tu es gentil, dit-elle avec un sourire timide. Moi, c’est ça qui va me manquer, ta gentillesse. Tu sais, je n’ai eu qu’un seul copain dans ma vie, c’était il y a deux ans. Il disait qu’il m’aimait mais tout ce qui l’intéressait c’était le sexe… On l’a fait ensemble, une fois, pour lui faire plaisir. Mais il m’a fait mal, il en avait rien à faire. Alors je lui ai dit que je n’étais pas prête à le refaire et il m’a quitté…
Je ne vois pas trop ou Marianne veut en venir. Elle regarde ses pieds en me racontant tout ça, la mine sombre. Je m’assois à côté d’elle sur le lit et je lui passe un bras autour des épaules pour la réconforter. Elle continue :
- Depuis je ne l’ai jamais refait, je voulais trouver quelqu’un qui me respecte…
Nous restons ainsi pendant longtemps : assis sur le lit, collés l’un contre l’autre, personne n’ajoute un mot pendant plusieurs minutes.
- Au fait, tu as dit que tu me trouvais jolie ? remarque Marianne sur un ton un peu plus léger et avec une esquisse de sourire.
- Euh… oui c’est vrai que je te trouve jolie… dis-je en rougissant.
- Et comme ça tu me trouves comment ?
A peine a-t-elle fini sa phrase qu’elle retire son débardeur beige. Elle se trouve en soutien-gorge à côté de moi, les joues rouges. Je suis rouge aussi. Elle colle encore un peu plus son épaule nue contre mon bras qu’elle attrape avec ses deux mains. La dernière fois que je l’avais vue en si petite tenue, c’était à la plage. Son corps est comme dans mon souvenir : son teint halé, son ventre plat, sa belle poitrine…
- Marianne qu’est ce que tu fais ?
- Tu voudrais les voir ? Ca ne me gène pas si tu les vois…
- Quoi ! Non ! Enfin si… je sais pas…
Je bafouille sans savoir ce que je dis. Marianne sourit et décide de répondre pour moi à la question. Elle passe doucement une main derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge en me regardant dans les yeux. Le sous vêtement tombe sur ses cuisses et sa poitrine se dévoile. Ses deux seins sont un peu plus petits que ceux de Claire mais plus fermes aussi. Ils ont une jolie courbure bien ronde, très sensuelle et qui reste en place même sans soutien gorge... Ses tétons sont plus sombres et un peu plus larges que ceux de Claire, ils pointent déjà légèrement.
Il doit être 10h00 et le soleil inonde ma chambre. Dans cette lumière qui sublime son teint halé, Marianne est magnifique.
Marianne m’attrape le poignet avec sa main et me guide vers sa poitrine. Mes doigts rentrent en contact avec son sein.
« Touche moi… murmure-t-elle.
Je pose une main sur chacun de ses seins et je les malaxe doucement. Ils sont vraiment exceptionnels : avec leur taille et leur forme, ils tiennent dans mes mains et sont délicieusement fermes. En continuant de lui peloter la poitrine, je sens ses tétons durcir contre mes paumes. Symétriquement, je commence à jouer avec les tétons de Marianne du bout des doigts. J’approche ma tête de la sienne et nous nous embrassons. Contrairement à ceux de Claire, les baisers de Marianne sont plus hésitants. Je sais qu’il faut que j’aille doucement avec elle.
Ma main gauche passe sous un des seins de Marianne et le pousse vers le haut tandis que je continue à l’embrasser. Ma main droite descend le long de son ventre, s’attarde sur son nombril puis descend encore. Elle passe sous son jean, sous l’élastique de sa culotte, rentre en contact avec le haut de ses grandes lèvres. De surprise, Marianne pousse un petit cri et rompt le contact de nos bouches. Je retire immédiatement ma main. Marianne pousse un soupir, ferme les yeux et quand elle les rouvre, elle me dit :
- C’est bon, vas-y. »
Nous reprenons notre baiser tandis que ma main retourne vers le bas ventre de Marianne. Je sens à nouveau tout son corps frissonner mais elle me laisse explorer plus avant. Du bout des doigts, je découvre son intimité. Avec mon index, je masse son clitoris doucement. J’ai l’impression que ça lui plait même si c’est difficile d’en être sur tant elle est sur la défensive. Mes doigts viennent frotter à l’entrée de son orifice. Je remarque que c’est légèrement humide… J’introduis la première phalange de mon index dans son trou et je fais de touts petits va et vient. Je peux sentir que Marianne mouille de plus en plus : elle est prête à passer à l’étape suivante mais encore faut-il qu’elle le veuille.
« Salut, lui dis-je.
Elle s’assied sur mon lit et nous discutons un moment. L’expression de son visage n’est pas calme, comme si quelque chose la tracassait.
- Tu t’en vas à quelle heure ? demandé-je.
- Juste après le repas…
- Tu vas me manquer Marianne, tu sais !
- Qu’est ce qui va te manquer chez moi ?
Je suis un peu désarçonner par sa question et j’essaye de répondre sans bafouiller.
- Ben… euh, tout ! T’es une fille sympa, jolie…
- Tu es gentil, dit-elle avec un sourire timide. Moi, c’est ça qui va me manquer, ta gentillesse. Tu sais, je n’ai eu qu’un seul copain dans ma vie, c’était il y a deux ans. Il disait qu’il m’aimait mais tout ce qui l’intéressait c’était le sexe… On l’a fait ensemble, une fois, pour lui faire plaisir. Mais il m’a fait mal, il en avait rien à faire. Alors je lui ai dit que je n’étais pas prête à le refaire et il m’a quitté…
Je ne vois pas trop ou Marianne veut en venir. Elle regarde ses pieds en me racontant tout ça, la mine sombre. Je m’assois à côté d’elle sur le lit et je lui passe un bras autour des épaules pour la réconforter. Elle continue :
- Depuis je ne l’ai jamais refait, je voulais trouver quelqu’un qui me respecte…
Nous restons ainsi pendant longtemps : assis sur le lit, collés l’un contre l’autre, personne n’ajoute un mot pendant plusieurs minutes.
- Au fait, tu as dit que tu me trouvais jolie ? remarque Marianne sur un ton un peu plus léger et avec une esquisse de sourire.
- Euh… oui c’est vrai que je te trouve jolie… dis-je en rougissant.
- Et comme ça tu me trouves comment ?
A peine a-t-elle fini sa phrase qu’elle retire son débardeur beige. Elle se trouve en soutien-gorge à côté de moi, les joues rouges. Je suis rouge aussi. Elle colle encore un peu plus son épaule nue contre mon bras qu’elle attrape avec ses deux mains. La dernière fois que je l’avais vue en si petite tenue, c’était à la plage. Son corps est comme dans mon souvenir : son teint halé, son ventre plat, sa belle poitrine…
- Marianne qu’est ce que tu fais ?
- Tu voudrais les voir ? Ca ne me gène pas si tu les vois…
- Quoi ! Non ! Enfin si… je sais pas…
Je bafouille sans savoir ce que je dis. Marianne sourit et décide de répondre pour moi à la question. Elle passe doucement une main derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge en me regardant dans les yeux. Le sous vêtement tombe sur ses cuisses et sa poitrine se dévoile. Ses deux seins sont un peu plus petits que ceux de Claire mais plus fermes aussi. Ils ont une jolie courbure bien ronde, très sensuelle et qui reste en place même sans soutien gorge... Ses tétons sont plus sombres et un peu plus larges que ceux de Claire, ils pointent déjà légèrement.
Il doit être 10h00 et le soleil inonde ma chambre. Dans cette lumière qui sublime son teint halé, Marianne est magnifique.
Marianne m’attrape le poignet avec sa main et me guide vers sa poitrine. Mes doigts rentrent en contact avec son sein.
« Touche moi… murmure-t-elle.
Je pose une main sur chacun de ses seins et je les malaxe doucement. Ils sont vraiment exceptionnels : avec leur taille et leur forme, ils tiennent dans mes mains et sont délicieusement fermes. En continuant de lui peloter la poitrine, je sens ses tétons durcir contre mes paumes. Symétriquement, je commence à jouer avec les tétons de Marianne du bout des doigts. J’approche ma tête de la sienne et nous nous embrassons. Contrairement à ceux de Claire, les baisers de Marianne sont plus hésitants. Je sais qu’il faut que j’aille doucement avec elle.
Ma main gauche passe sous un des seins de Marianne et le pousse vers le haut tandis que je continue à l’embrasser. Ma main droite descend le long de son ventre, s’attarde sur son nombril puis descend encore. Elle passe sous son jean, sous l’élastique de sa culotte, rentre en contact avec le haut de ses grandes lèvres. De surprise, Marianne pousse un petit cri et rompt le contact de nos bouches. Je retire immédiatement ma main. Marianne pousse un soupir, ferme les yeux et quand elle les rouvre, elle me dit :
- C’est bon, vas-y. »
Nous reprenons notre baiser tandis que ma main retourne vers le bas ventre de Marianne. Je sens à nouveau tout son corps frissonner mais elle me laisse explorer plus avant. Du bout des doigts, je découvre son intimité. Avec mon index, je masse son clitoris doucement. J’ai l’impression que ça lui plait même si c’est difficile d’en être sur tant elle est sur la défensive. Mes doigts viennent frotter à l’entrée de son orifice. Je remarque que c’est légèrement humide… J’introduis la première phalange de mon index dans son trou et je fais de touts petits va et vient. Je peux sentir que Marianne mouille de plus en plus : elle est prête à passer à l’étape suivante mais encore faut-il qu’elle le veuille.