15-12-2020, 08:50 PM
Ma cousine et moi nous nous levons du canapé. Je constate que celui-ci est trempé de sueur là ou Claire avait posé son dos et qu’il est taché de sperme là où elle avait sa chatte.
« - Il va falloir laver tout ça, remarque Claire. Je vais m’en charger, toi, va te coucher !
- Mais…
- Nan nan, tu as bien travaillé ce soir. Tu dois prendre du repos. »
Je ne sais pas si j’ai bien travaillé mais c’est le genre de travail que je suis prêt à faire encore et encore. Je ramasse mes vêtements par terre et je dis au revoir à ma cousine en l’embrassant tendrement. Puis je monte dans ma chambre sur la pointe des pieds, nu comme un ver. J’imagine Claire, toute nue, entrain de nettoyé le canapé, couvert de sa sueur et de mon sperme. J’imagine ses seins pointés vers le bas quand elle se penche en avant, son petit minou, ses fesses... J’essaye d’imaginer à quoi ressemblaient nos ébats vu de l’extérieur. Mais je n’ai même plus la force de bander. Je m’endors rapidement.
Le lendemain, tout se passe comme si de rien n’était. Je retrouve le salon comme je l’avais laissé sauf que le canapé a été nettoyé et que la pièce a été aérée. Rien ne trahit ce que nous y avons vécu, Claire et moi, hier soir. C’est d’ailleurs ce matin que les adultes doivent revenir. Et demain que Marianne doit repartir… Tous les trois, nous poussons le mobilier pour le remettre à sa place d’origine. Les adultes reviennent peu avant midi, les bras chargés de victuailles. Ils ont vraisemblablement fait les courses et nous mangeons comme des ogres.
L’après-midi et la soirée se passent sans événements notables. Cependant, il me semble que Marianne, qui a bien récupéré de la soirée de la veille, minaude beaucoup. En tout cas, j’ai l’impression qu’elle se penche toujours en avant pour me laisser une jolie vue sur son décolleté. Mais peut-être que je me trompe après tout. Peut-être que mes récents ébats avec Claire me font imagier des choses… En parlant de Claire, quelque chose me tracasse et j’aimerais lui en parler. Je trouve un moment dans la soirée pour lui dire un mot en tête à tête.
- Claire… tu n’as pas joui une seule fois hier, n’est-ce pas ?
- Ne te tracasse pas pour ça ! dit-elle en posant sa main sur mon épaule. C’était très bien pour une première fois.
Un peu rassuré, je m’apprête à la laisser quand elle me rappelle et me murmure à l’oreille:
- Eh, Cyril ! Je suis sûr qu’un jour on jouira tous les deux ensemble.
Elle avait dit cette dernière avec un clin d’œil et un petit sourire. Sur ces mots, j’étais allé me coucher. Mais le sommeil, cette fois ci, tardait à venir. La dernière phrase de Claire m’avait terriblement excité et, allongé sur mon lit dans le noir, j’imagine des scénarios où nous atteignons l’orgasme au même moment. Un peu comme l’avaient fait ma sœur et son copain des années plus tôt. Car hier, c’est Claire qui m’a donné un plaisir è sens unique alors je me promets de parvenir à lui en donner en retour !
« - Il va falloir laver tout ça, remarque Claire. Je vais m’en charger, toi, va te coucher !
- Mais…
- Nan nan, tu as bien travaillé ce soir. Tu dois prendre du repos. »
Je ne sais pas si j’ai bien travaillé mais c’est le genre de travail que je suis prêt à faire encore et encore. Je ramasse mes vêtements par terre et je dis au revoir à ma cousine en l’embrassant tendrement. Puis je monte dans ma chambre sur la pointe des pieds, nu comme un ver. J’imagine Claire, toute nue, entrain de nettoyé le canapé, couvert de sa sueur et de mon sperme. J’imagine ses seins pointés vers le bas quand elle se penche en avant, son petit minou, ses fesses... J’essaye d’imaginer à quoi ressemblaient nos ébats vu de l’extérieur. Mais je n’ai même plus la force de bander. Je m’endors rapidement.
Le lendemain, tout se passe comme si de rien n’était. Je retrouve le salon comme je l’avais laissé sauf que le canapé a été nettoyé et que la pièce a été aérée. Rien ne trahit ce que nous y avons vécu, Claire et moi, hier soir. C’est d’ailleurs ce matin que les adultes doivent revenir. Et demain que Marianne doit repartir… Tous les trois, nous poussons le mobilier pour le remettre à sa place d’origine. Les adultes reviennent peu avant midi, les bras chargés de victuailles. Ils ont vraisemblablement fait les courses et nous mangeons comme des ogres.
L’après-midi et la soirée se passent sans événements notables. Cependant, il me semble que Marianne, qui a bien récupéré de la soirée de la veille, minaude beaucoup. En tout cas, j’ai l’impression qu’elle se penche toujours en avant pour me laisser une jolie vue sur son décolleté. Mais peut-être que je me trompe après tout. Peut-être que mes récents ébats avec Claire me font imagier des choses… En parlant de Claire, quelque chose me tracasse et j’aimerais lui en parler. Je trouve un moment dans la soirée pour lui dire un mot en tête à tête.
- Claire… tu n’as pas joui une seule fois hier, n’est-ce pas ?
- Ne te tracasse pas pour ça ! dit-elle en posant sa main sur mon épaule. C’était très bien pour une première fois.
Un peu rassuré, je m’apprête à la laisser quand elle me rappelle et me murmure à l’oreille:
- Eh, Cyril ! Je suis sûr qu’un jour on jouira tous les deux ensemble.
Elle avait dit cette dernière avec un clin d’œil et un petit sourire. Sur ces mots, j’étais allé me coucher. Mais le sommeil, cette fois ci, tardait à venir. La dernière phrase de Claire m’avait terriblement excité et, allongé sur mon lit dans le noir, j’imagine des scénarios où nous atteignons l’orgasme au même moment. Un peu comme l’avaient fait ma sœur et son copain des années plus tôt. Car hier, c’est Claire qui m’a donné un plaisir è sens unique alors je me promets de parvenir à lui en donner en retour !