09-12-2020, 08:06 PM
Tout à coup, elle commence à donner des petits coups de bassin pour faire frotter sa culotte contre la bosse de mon caleçon. Je me rappelle que sous la douche, c’est moi qui avais fait ce geste quand mon excitation avait atteint son paroxysme. Je décide de prendre un peu d’initiative. D’une main, j’attrape l’interrupteur et j’éteins toutes les lumières du salon. Puis je pousse doucement Claire vers le canapé. Elle s’y allonge sur le dos et je m’allonge par-dessus elle.Elle est comme ça, sur le dos, en sous-vêtements. Elle a les jambes ouvertes, ces talons toujours aux pieds. Moi je suis allongé sur elle, entre ses jambes, mon caleçon contre sa culotte, ma bouche contre sa bouche. Nous continuons de nous embrasser mais nous donnons chacun des petits coups de bassin qui font se frotter nos sous vêtements l’un contre l’autre. La bosse de mon caleçon tape en cadence contre la culotte de Claire et je donnerais cher pour que le tissu qui nous sépare disparaisse. Nous mimons l’acte dans cette position pendant un long moment qui me parait bien trop court. Puis Claire me demande de lui retirer ses talons, ce que je fais. Elle se redresse et c’est moi qui me retrouve sur le dos. Elle s’assied sur mon sexe et mime une position d’Andromaque. Elle se penche en avant vers moi ce qui fait pointer ses seins nus vers le bas. Elle approche sa bouche de mon visage. Je crois qu’elle veut m’embrasser mais à la place, elle me dit à l’oreille :
« - Comment tu te sens, Cyril ?
- Je crois que j’ai envie de toi… Et… et toi ? murmuré-je sans assurance.
- Vois par toi-même, retire moi ma culotte.
Mon cœur bat la chamade. Je me lève du canapé tandis que Claire se remet sur le dos et oriente ses jambes vers moi. J’attrape la culotte du bout des doigts et je la fais glisser le long des belles jambes de ma cousine. La culotte va rejoindre le soutien gorge et les talons sur le sol. Mes yeux sont bien habitués à l’obscurité et j’aperçois à présent la petite chatte de Claire. Je me rends compte que je tremble, mais, est-ce d’excitation ou de peur ? Je m’assieds à côté des hanches de ma cousine et j’approche ma main de son entre-jambes. Je la regarde et demande :
- Je peux ?
- Bien sûr, répond-elle avec un sourire gourmand.
Je pose alors un doigt sur sa fente et je me rends compte que ma cousine mouille beaucoup. Ça m’encourage à aller plus loin bien que je n’ai pas la moindre idée de comment procéder. Je rentre un doigt dans le vagin de Claire. Je suis surpris de voir avec quelle facilité j’y suis parvenu. Je tente de petits allers-retours avec mon doigt tandis qu’avec mon autre main, je caresse son petit clitoris. Je lance un regard à ma cousine qui me fait signe de continuer. Quelques temps après, elle se redresse et libère mon sexe de sa prison de tissu. Ma queue est bien droite et dressée presque au maximum. Claire la prend dans sa main et me branle doucement. Puis elle décalotte mon sexe et me regarde.
- Tu peux la mettre dedans si tu te sens prêt.
Je ne suis pas prêt, la preuve, je tremble comme une feuille. En revanche, j’en ai tellement envie… Je me repositionne entre les cuisses de Claire et j’approche mon sexe de l’ouverture. Avec ma main, j’oriente mon gland que je fais frotter contre les lèvres de ma cousine. Puis je le rentre dans sa fente. Je donne des petits coups de bassins pour faire pénétrer mon pénis de plus en plus profondément. Finalement, je rentre mon pénis complètement. Je n’avais jamais rien ressenti de tel, le vagin de ma cousine est chaud et humide à la fois. Il est aussi plus large que ce à quoi je m’attendais et mon sexe n’est pas trop à l’étroit. Je réalise alors que je suis sur le point de perdre ma virginité. Dans peu de temps, j’aurai franchi un cap. Mais cette pensée, loin de m’arrêter, me motive et m’excite.
- Tu te débrouilles bien me dit Claire. Vas-y, fais de ton mieux ! »
« - Comment tu te sens, Cyril ?
- Je crois que j’ai envie de toi… Et… et toi ? murmuré-je sans assurance.
- Vois par toi-même, retire moi ma culotte.
Mon cœur bat la chamade. Je me lève du canapé tandis que Claire se remet sur le dos et oriente ses jambes vers moi. J’attrape la culotte du bout des doigts et je la fais glisser le long des belles jambes de ma cousine. La culotte va rejoindre le soutien gorge et les talons sur le sol. Mes yeux sont bien habitués à l’obscurité et j’aperçois à présent la petite chatte de Claire. Je me rends compte que je tremble, mais, est-ce d’excitation ou de peur ? Je m’assieds à côté des hanches de ma cousine et j’approche ma main de son entre-jambes. Je la regarde et demande :
- Je peux ?
- Bien sûr, répond-elle avec un sourire gourmand.
Je pose alors un doigt sur sa fente et je me rends compte que ma cousine mouille beaucoup. Ça m’encourage à aller plus loin bien que je n’ai pas la moindre idée de comment procéder. Je rentre un doigt dans le vagin de Claire. Je suis surpris de voir avec quelle facilité j’y suis parvenu. Je tente de petits allers-retours avec mon doigt tandis qu’avec mon autre main, je caresse son petit clitoris. Je lance un regard à ma cousine qui me fait signe de continuer. Quelques temps après, elle se redresse et libère mon sexe de sa prison de tissu. Ma queue est bien droite et dressée presque au maximum. Claire la prend dans sa main et me branle doucement. Puis elle décalotte mon sexe et me regarde.
- Tu peux la mettre dedans si tu te sens prêt.
Je ne suis pas prêt, la preuve, je tremble comme une feuille. En revanche, j’en ai tellement envie… Je me repositionne entre les cuisses de Claire et j’approche mon sexe de l’ouverture. Avec ma main, j’oriente mon gland que je fais frotter contre les lèvres de ma cousine. Puis je le rentre dans sa fente. Je donne des petits coups de bassins pour faire pénétrer mon pénis de plus en plus profondément. Finalement, je rentre mon pénis complètement. Je n’avais jamais rien ressenti de tel, le vagin de ma cousine est chaud et humide à la fois. Il est aussi plus large que ce à quoi je m’attendais et mon sexe n’est pas trop à l’étroit. Je réalise alors que je suis sur le point de perdre ma virginité. Dans peu de temps, j’aurai franchi un cap. Mais cette pensée, loin de m’arrêter, me motive et m’excite.
- Tu te débrouilles bien me dit Claire. Vas-y, fais de ton mieux ! »