29-07-2020, 01:52 PM
Chapitre 4/5
Patrick continue sa route sur le chemin, ça lui vient même pas à l’idée de courir vers moi dans un élan de romantisme alors je m’y colle… pour me coller à sa bouche et à son corps !
Ah mon Patrick, il est si sexy !
« On fait quoi, mon chou ce soir ? »
« On n’a qu’à se planter devant la télé. Chacun chez soi. Je peux plus continuer Bob, désolé. Je te rends ce qui est à toi. Salut. »
Et il repart, sans jeter un regard en arrière, me laissant planté là, serrant des feuilles de papier dans ma main.
Abasourdi.
En larmes.
Incapable d’émettre un son, juste de subir, de constater, d’essayer de comprendre.
Purée…
Se faire larguer par Patrick… Waow ça fout un choc là ! Encore, sortir avec lui n’est pas perçu comme une preuve de bon goût, mais se faire jeter par lui… je suis sûr maintenant que tout Bikini Bottom va s’en servir contre moi…
J’y crois pas. Tout perdre comme ça alors que ça venait tout juste de commencer, si brutalement, une rupture froide, sans explications, sans soutien. Ça calme. Et je pleurs, en restant debout les yeux dans le vague, essayant de réaliser…
Quelques instants plus tard, je sais pas trop s’il faut compter ça en secondes, en minutes ou en heures, mes pas me conduisent mécaniquement chez moi, à la recherche d’un réconfort que seul Gary peut me fournir.
Je m’installe dans le canapé.
Gary me bave dessus. « Meooow » Qu’il est attendrissant…
« Heureusement que je t’ai mon Gary, tu m’abandonneras jamais toi, hein ? »
C’est quoi ces feuilles d’abord ?
Des lettres ! Je me souviens qu’il avait parlé de ça ! Mais je lui ai rien écrit moi !
Cher Patrick,
Depuis que je t’ai vu, tu hantes mes nuits. Je ne rêve que de me retrouver entre tes bras, de t’entourer des miens. Je ne sais pas trop quoi dire, il ne m’est pas évident de parler de mes sentiments, c’est encore plus difficile de les écrire.
Tu m’obnubiles Patrick, je pense à toi beaucoup trop souvent pour vivre en paix si je ne t’ai pas. Même mes clés à molettes me font moins d’effet.
Je te prie donc de répondre à cette lettre.
Bob LE
Bob LE ? Comme Bob L’Éponge ?
Impossible, j’ai pas écrit ça moi !
Des clés à molettes ?
Je renifle bruyamment.
« Meoooooooooooooow »
J’approche le papier de mes yeux, le bord est abîmé et il manque la dernière lettre.
Bob LE B.
Hum ? Bob le … ?
Naaaaaaan !! Bob le Bricoleur !?! « Meoow ?!?!! »
Dingue de Patrick ?
C’est pas possible… « Meowww…. »
J’vais le MASSACRER !! « MEOW !! »
…
Pfff… non, il n’a rien fait de mal. Il s’est juste déclaré, ce qui demande quand même beaucoup de courage… Mais ce crétin de Patrick a cru que c’était moi, et expérimentant la fameuse citation « Dans un couple, il y a celui qui aime, et celui qui est aimé. », il a dû tomber amoureux de l’autre mécano couvert de crasse et fanatique des clés à molettes et autres tournevis…
En plus, il parle à des camions…
Ah tout ça n’a aucune importance. Patrick ne veut plus de moi, le reste je m’en fous…
J’arrive pas à y voir clair dans cette histoire. Je me rends compte maintenant que ce qui faisait que Patrick m’aimait n’était peut-être pas dû à qui j’étais, mais aux sentiments qu’il pensait que je ressentais.
Je me retrouvais maintenant dans la même situation que Le Bricoleur, amoureux de quelqu’un qui ne voulait pas de moi. Par solidarité, je devrais lui écrire.
Je devrais aussi réclamer des explications à Patrick. J’allais pas me laisser faire !
On sonne ! Tiens qui ça peut être ?
« Sandy ! Qu’est-ce que tu fais là ? »
Sandy est une écureuil qui vit dans un scaphandre. Elle a un caractère très fort malgré l’aspect mignon que lui confère la fleur qui orne son casque.
« J’ai tout vu Bob ! Raconte-moi tout qu’on lui fasse la peau à cet enfoiré ! » Dit-elle de sa voix haut perchée mais autoritaire.
*****
Un restaurant dans les quartiers chics de Bikini Bottom.
Quittant la table de ce luxueux restaurant, le Capitaine s’évertuait à s’approcher de Mme Puff, et surtout, de son compte en banque. La poissonne, elle, ne pouvait détacher ses yeux de son compagnon. Qu’elle avait envie de sentir ces pinces la saisir !
Sa discussion était très cultivée et très intéressante. Ce ne pouvait qu’être le cas pour quelqu’un qui avait réussi ainsi dans la vie même si c’était dans la restauration. Elle ne s’était pas ennuyée une seule seconde durant cette soirée, et celle-ci n’était pas terminée.
« Dites-moi ma chère, comment puis-je vous appeler ? Vous avez bien un prénom ? Je brûle de le connaître…
-Que vous êtes charmant, appelez-moi Poppy, Eugène… » [J’y peux rien, c’est les noms d’origine…]
-Quel nom charmant ! Tout comme celle qui le porte ! »
Battement de cil.
« Je vous prie de m’excuser de ne pas m’en être informé plus tôt …
- Il n’y a pas d’offense . »
Hum je dois le troubler. Formidable !
Arrivés dans la rue, Poppy n’y tint plus :
« Oh Eugène, embrassez-moi !
- Poppy ! Je n’attendais que ça ! »
Il la prit dans ses bras, et leurs lèvres se touchèrent doucement…
« Vous êtes bien trop tendre et romantique, Eugène, soyez plus sauvage !
- Je ne savais comment vous prendre… »
Et leurs langues se lièrent… La main de Poppy vient prendre celle d’Eugène, l’attirant plus avant sur la rue.
« Où m’emmenez-vous, Poppy ?
« -Là où tu sauras définitivement comment me prendre… Le C.C.C.
-Le C.C.C. ? Mais qu’est-ce donc ?
- Tu le sauras bien assez tôt . »
*****
Patrick, malgré son comportement des plus stupides , est toujours à peu près du même niveau que les autres, et donc n’a pas encore obtenu son passeport pour quitter cette histoire toute aussi stupide.
Après avoir largué l’une des seules personnes avec qui il pouvait espérer avoir une relation, il s’était lancé activement dans la recherche de la réponse à une question capitale :
Qu’est-ce qu’un zizi ?
Pour ce faire, il avait réfléchi longuement à l’endroit où il pourrait trouver des gens assez sages pour détenir un tel savoir. Le savoir s’acquérant avec l’âge ( C’est ce que lui avait toujours dit son père : « Ecoute-moi, j’ai vécu, donc j’ai raison. Sois un bon petit garçon et tais-toi. » ), il part donc en direction de la Maison de Retraite de la ville, dans l’aile consacrée aux étoiles de mers…
Ici s’entassaient les vieillards les plus séniles de tout l’océan. Les étoiles de mer ne brillant pas particulièrement par leur intelligence ( remarquez le jeu de mots… ) dès leur plus jeune âge, certains effets de la vieillesse pouvaient leur conférer un surcroît de bêtise. C’était malheureusement le cas pour bon nombre d’entre elles.
Parmi celles-ci, il était de renommée océanique que Papy Maxou ( ouai enfin un personnage original ! ) était la plus curieuse. Parmi les autres vieux habitants de l’Océan, qu’ils soient en fauteuil roulant ou déambulatoires , celui-ci, qui oubliait chaque matin comme on marche, se déplaçait aujourd’hui sur la tête et le bras gauche…
Heureusement que sa morphologie d’étoile le lui permettait…
Quoi qu’il en soit, Patrick jugeant cette façon acrobatique de se mouvoir comme étant gage de maîtrise de son corps, d’équilibre, et donc annonciateur d’une sagesse sans égale, c’est tout naturellement qu’il se dirige vers lui…
« -Papy Maxou ?
- Ouai ? Qu’est-ce t’veux, man ? Approche !
- Je… euh… Allons droit au but, c’est quoi euh… un zizi ?
- Ahahahah ! Voyons… Si tu avais posé cette question à ma chère Mamie, elle t’aurait chanté :
Si tu recherches un zizi
Ce bidule tout riquiqui
Si tu comptes te jeter à l’eau
Tu dois en voler un à un ami
Puis passer par la chirurgie
Tu ferais bien de rendre une visite à ….
Désolé man, mais j’me souviens plus du dernier mot. Ma mamie avait l’air d’en connaître un rayon sur le sujet… Tu ferais bien de chercher chez les gens dont le nom finit par O…
- D’accord merci… Papy, dis-moi, pourquoi tu marches comme ça ?
- C’est tout simple, mon petit, c’est euh… hum… pour montrer au monde… que… qu’il n’y a rien de mal à ne pas suivre le courant, et … que savoir se démarquer du banc… en ignorant les critiques… est quelque chose d’important !! » dit-il, puis, pour lui-même : « Oui ah c’est bien trouvé ça… » Et enfin, plus haut : « Oui euh… il faut pas que tu te laisses dicter ta vie mon petit ! »
- Hein ? Euh… Merci papy Maxou, au revoir ! »
*****
Quelque part à Bikini Bottom, il se fait tard dans un coin que l’on connaît bien… mais le voile de la nuit le rend impossible à décrire
TOC TOC TOC.
Le bruit d’une porte qui s’ouvre.
« Oui ? »
La rai de lumière provenant de l’intérieur éclaire une poissonne aux formes affriolantes et à la tenue aguicheuse, à la voix chaude, assurée, et séduisante :
« C’est bien ici le C.C.C. ? »
« - Humm… Le Club vous est ouvert , ma chère. » répondit l’ombre devant l’entrée, d’une voix satisfaite. Des gémissements provenaient de l’intérieur.
« - Vous êtes C. ?
- Une beauté telle que vous peut m’appeler Carlo. »
Bruit d’une porte coulisse sur ses gonds.
« Entrez… venez jouer de ma clarinette. »
Bruit d’une porte qui se referme…
Patrick continue sa route sur le chemin, ça lui vient même pas à l’idée de courir vers moi dans un élan de romantisme alors je m’y colle… pour me coller à sa bouche et à son corps !
Ah mon Patrick, il est si sexy !
« On fait quoi, mon chou ce soir ? »
« On n’a qu’à se planter devant la télé. Chacun chez soi. Je peux plus continuer Bob, désolé. Je te rends ce qui est à toi. Salut. »
Et il repart, sans jeter un regard en arrière, me laissant planté là, serrant des feuilles de papier dans ma main.
Abasourdi.
En larmes.
Incapable d’émettre un son, juste de subir, de constater, d’essayer de comprendre.
Purée…
Se faire larguer par Patrick… Waow ça fout un choc là ! Encore, sortir avec lui n’est pas perçu comme une preuve de bon goût, mais se faire jeter par lui… je suis sûr maintenant que tout Bikini Bottom va s’en servir contre moi…
J’y crois pas. Tout perdre comme ça alors que ça venait tout juste de commencer, si brutalement, une rupture froide, sans explications, sans soutien. Ça calme. Et je pleurs, en restant debout les yeux dans le vague, essayant de réaliser…
Quelques instants plus tard, je sais pas trop s’il faut compter ça en secondes, en minutes ou en heures, mes pas me conduisent mécaniquement chez moi, à la recherche d’un réconfort que seul Gary peut me fournir.
Je m’installe dans le canapé.
Gary me bave dessus. « Meooow » Qu’il est attendrissant…
« Heureusement que je t’ai mon Gary, tu m’abandonneras jamais toi, hein ? »
C’est quoi ces feuilles d’abord ?
Des lettres ! Je me souviens qu’il avait parlé de ça ! Mais je lui ai rien écrit moi !
Cher Patrick,
Depuis que je t’ai vu, tu hantes mes nuits. Je ne rêve que de me retrouver entre tes bras, de t’entourer des miens. Je ne sais pas trop quoi dire, il ne m’est pas évident de parler de mes sentiments, c’est encore plus difficile de les écrire.
Tu m’obnubiles Patrick, je pense à toi beaucoup trop souvent pour vivre en paix si je ne t’ai pas. Même mes clés à molettes me font moins d’effet.
Je te prie donc de répondre à cette lettre.
Bob LE
Bob LE ? Comme Bob L’Éponge ?
Impossible, j’ai pas écrit ça moi !
Des clés à molettes ?
Je renifle bruyamment.
« Meoooooooooooooow »
J’approche le papier de mes yeux, le bord est abîmé et il manque la dernière lettre.
Bob LE B.
Hum ? Bob le … ?
Naaaaaaan !! Bob le Bricoleur !?! « Meoow ?!?!! »
Dingue de Patrick ?
C’est pas possible… « Meowww…. »
J’vais le MASSACRER !! « MEOW !! »
…
Pfff… non, il n’a rien fait de mal. Il s’est juste déclaré, ce qui demande quand même beaucoup de courage… Mais ce crétin de Patrick a cru que c’était moi, et expérimentant la fameuse citation « Dans un couple, il y a celui qui aime, et celui qui est aimé. », il a dû tomber amoureux de l’autre mécano couvert de crasse et fanatique des clés à molettes et autres tournevis…
En plus, il parle à des camions…
Ah tout ça n’a aucune importance. Patrick ne veut plus de moi, le reste je m’en fous…
J’arrive pas à y voir clair dans cette histoire. Je me rends compte maintenant que ce qui faisait que Patrick m’aimait n’était peut-être pas dû à qui j’étais, mais aux sentiments qu’il pensait que je ressentais.
Je me retrouvais maintenant dans la même situation que Le Bricoleur, amoureux de quelqu’un qui ne voulait pas de moi. Par solidarité, je devrais lui écrire.
Je devrais aussi réclamer des explications à Patrick. J’allais pas me laisser faire !
On sonne ! Tiens qui ça peut être ?
« Sandy ! Qu’est-ce que tu fais là ? »
Sandy est une écureuil qui vit dans un scaphandre. Elle a un caractère très fort malgré l’aspect mignon que lui confère la fleur qui orne son casque.
« J’ai tout vu Bob ! Raconte-moi tout qu’on lui fasse la peau à cet enfoiré ! » Dit-elle de sa voix haut perchée mais autoritaire.
*****
Un restaurant dans les quartiers chics de Bikini Bottom.
Quittant la table de ce luxueux restaurant, le Capitaine s’évertuait à s’approcher de Mme Puff, et surtout, de son compte en banque. La poissonne, elle, ne pouvait détacher ses yeux de son compagnon. Qu’elle avait envie de sentir ces pinces la saisir !
Sa discussion était très cultivée et très intéressante. Ce ne pouvait qu’être le cas pour quelqu’un qui avait réussi ainsi dans la vie même si c’était dans la restauration. Elle ne s’était pas ennuyée une seule seconde durant cette soirée, et celle-ci n’était pas terminée.
« Dites-moi ma chère, comment puis-je vous appeler ? Vous avez bien un prénom ? Je brûle de le connaître…
-Que vous êtes charmant, appelez-moi Poppy, Eugène… » [J’y peux rien, c’est les noms d’origine…]
-Quel nom charmant ! Tout comme celle qui le porte ! »
Battement de cil.
« Je vous prie de m’excuser de ne pas m’en être informé plus tôt …
- Il n’y a pas d’offense . »
Hum je dois le troubler. Formidable !
Arrivés dans la rue, Poppy n’y tint plus :
« Oh Eugène, embrassez-moi !
- Poppy ! Je n’attendais que ça ! »
Il la prit dans ses bras, et leurs lèvres se touchèrent doucement…
« Vous êtes bien trop tendre et romantique, Eugène, soyez plus sauvage !
- Je ne savais comment vous prendre… »
Et leurs langues se lièrent… La main de Poppy vient prendre celle d’Eugène, l’attirant plus avant sur la rue.
« Où m’emmenez-vous, Poppy ?
« -Là où tu sauras définitivement comment me prendre… Le C.C.C.
-Le C.C.C. ? Mais qu’est-ce donc ?
- Tu le sauras bien assez tôt . »
*****
Patrick, malgré son comportement des plus stupides , est toujours à peu près du même niveau que les autres, et donc n’a pas encore obtenu son passeport pour quitter cette histoire toute aussi stupide.
Après avoir largué l’une des seules personnes avec qui il pouvait espérer avoir une relation, il s’était lancé activement dans la recherche de la réponse à une question capitale :
Qu’est-ce qu’un zizi ?
Pour ce faire, il avait réfléchi longuement à l’endroit où il pourrait trouver des gens assez sages pour détenir un tel savoir. Le savoir s’acquérant avec l’âge ( C’est ce que lui avait toujours dit son père : « Ecoute-moi, j’ai vécu, donc j’ai raison. Sois un bon petit garçon et tais-toi. » ), il part donc en direction de la Maison de Retraite de la ville, dans l’aile consacrée aux étoiles de mers…
Ici s’entassaient les vieillards les plus séniles de tout l’océan. Les étoiles de mer ne brillant pas particulièrement par leur intelligence ( remarquez le jeu de mots… ) dès leur plus jeune âge, certains effets de la vieillesse pouvaient leur conférer un surcroît de bêtise. C’était malheureusement le cas pour bon nombre d’entre elles.
Parmi celles-ci, il était de renommée océanique que Papy Maxou ( ouai enfin un personnage original ! ) était la plus curieuse. Parmi les autres vieux habitants de l’Océan, qu’ils soient en fauteuil roulant ou déambulatoires , celui-ci, qui oubliait chaque matin comme on marche, se déplaçait aujourd’hui sur la tête et le bras gauche…
Heureusement que sa morphologie d’étoile le lui permettait…
Quoi qu’il en soit, Patrick jugeant cette façon acrobatique de se mouvoir comme étant gage de maîtrise de son corps, d’équilibre, et donc annonciateur d’une sagesse sans égale, c’est tout naturellement qu’il se dirige vers lui…
« -Papy Maxou ?
- Ouai ? Qu’est-ce t’veux, man ? Approche !
- Je… euh… Allons droit au but, c’est quoi euh… un zizi ?
- Ahahahah ! Voyons… Si tu avais posé cette question à ma chère Mamie, elle t’aurait chanté :
Si tu recherches un zizi
Ce bidule tout riquiqui
Si tu comptes te jeter à l’eau
Tu dois en voler un à un ami
Puis passer par la chirurgie
Tu ferais bien de rendre une visite à ….
Désolé man, mais j’me souviens plus du dernier mot. Ma mamie avait l’air d’en connaître un rayon sur le sujet… Tu ferais bien de chercher chez les gens dont le nom finit par O…
- D’accord merci… Papy, dis-moi, pourquoi tu marches comme ça ?
- C’est tout simple, mon petit, c’est euh… hum… pour montrer au monde… que… qu’il n’y a rien de mal à ne pas suivre le courant, et … que savoir se démarquer du banc… en ignorant les critiques… est quelque chose d’important !! » dit-il, puis, pour lui-même : « Oui ah c’est bien trouvé ça… » Et enfin, plus haut : « Oui euh… il faut pas que tu te laisses dicter ta vie mon petit ! »
- Hein ? Euh… Merci papy Maxou, au revoir ! »
*****
Quelque part à Bikini Bottom, il se fait tard dans un coin que l’on connaît bien… mais le voile de la nuit le rend impossible à décrire
TOC TOC TOC.
Le bruit d’une porte qui s’ouvre.
« Oui ? »
La rai de lumière provenant de l’intérieur éclaire une poissonne aux formes affriolantes et à la tenue aguicheuse, à la voix chaude, assurée, et séduisante :
« C’est bien ici le C.C.C. ? »
« - Humm… Le Club vous est ouvert , ma chère. » répondit l’ombre devant l’entrée, d’une voix satisfaite. Des gémissements provenaient de l’intérieur.
« - Vous êtes C. ?
- Une beauté telle que vous peut m’appeler Carlo. »
Bruit d’une porte coulisse sur ses gonds.
« Entrez… venez jouer de ma clarinette. »
Bruit d’une porte qui se referme…
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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