CHAPITRE CI
''Ut magnes''
''Ut magnes''
Burydan commença à piquer de gros baisers mouillés dans le cou et sur la gorge de son joli minet, faisant frémir son petit corps. Il lécha lentement la peau fine juste au dessus de la clavicule, remonta d'un grand coup de langue jusqu'à la mignonne petite oreille et la lécha, la mordilla et la grignota. Il infligea les mêmes délicieux tourments à l'autre oreille arrachant des petits gémissements à son blondinet.
Revenu à sa clavicule, il descendit lentement, lécha sa poitrine en insistant sur les jolis tétons roses. Il les lécha lentement puis les agaça de la pointe de sa langue. Une fois durs et gonflés il les suçota et les mordilla tout doucement. Pendant que sa bouche s'occupait d'un téton, il pinçait l'autre entre deux doigts. Les gémissements de Rhonin s'intensifièrent.
Une fois sa poitrine brillante de salive, Burydan descendit encore. Le ventre de son esclave était d'une douceur indicible et chaud, tellement chaud. Burydan le lécha lentement d'une langue baveuse puis se concentra sur le nombril. Il tournoya autour un petit moment avant de plonger la pointe de sa langue à l'intérieur. Burydan le lécha avec application et Rhonin poussa un long gémissement en creusant le ventre.
Burydan descendit de nouveau et se retrouva face à la belle bite de Rhonin, complètement décalottée, dure, raide et le gland luisant. Il l'embrassa tendrement du gland jusqu'à la base et remonta d'un grand coup de langue. Rhonin le regardait en espérant qu'il la prenne dans sa bouche, mais son maître préféra se jeter sur ses belles couilles toutes rondes. Il les lapa, les lécha, les goba et les suçota jusqu'à ce qu'elles dégoulinent de salive.
Il mit ses mains dans le creux des genoux de son petit blond et releva ses jambes. Rhonin attrapa ses genoux et resta ainsi, offrant à son maître une vue imprenable sur son petit cul. Burydan lécha d'abord son périnée, de tout la largeur de sa langue puis en dessina la couture de la pointe. Il descendit et Rhonin gémit en le sentant lécher sa raie de bas en haut. Une fois son sillon bien lubrifié, Burydan s'attarda sur le petit cratère onctueux, le lapant, le déplissant jusqu'à ce qu'apparaisse les bords rose tendre. Le muscle ne résista même pas quand il le pénétra de sa langue dardée. Rhonin gémit et ses gémissements s'intensifièrent quand la langue de son maître fut remplacée par un, puis deux, puis trois doigts fouineurs. Burydan détendait son fourreau et le préparait à recevoir sa grosse queue.
Burydan admira le petit trou entrouvert et, bien qu'il cru ça impossible, banda encore plus fort. Sa bite était tellement dure qu'elle lui faisait presque mal. Il se mit à genoux et dit :
- Allonge toi sur le ventre bébé...
Rhonin se retourna et écarta largement les cuisses.
- Oui, bon garçon dit Burydan en souriant.
Il fit claquer sa bite contre les fesses de Rhonin pour lui montrer à quel point elle était dure, se coucha sur lui en nichant sa queue entre ses deux globes charnus et se déhancha, caressant le petit œillet de son minet de sa phénoménale érection. Bordel ce qu'elle était dure cette grosse bite, ce qu'elle était chaude, ce qu'elle était douce... Le petit trou de Rhonin palpitait...
- Oh baisez moi, maître, baisez votre petit esclave... je vous en supplie... j'en peux plus...
- Tu as envie de sentir ma bite en toi ?
- Oh oui maître, mettez la moi, s'il vous plaît...
- Tu as envie de la sentir aller et venir dans ton petit cul ?
- Oh oui maître... oh oui...
Burydan sourit et se remit à genoux. Il cracha dans sa main et se lubrifia copieusement la queue. Il laissa tomber de longs filet de salive sur l’œillet de son esclave, appuya son gland et poussa. Sa queue s'enfonça lentement, d'un mouvement régulier, arrachant un long feulement à Rhonin. Petit hoquet quand son maître lui mit les trois derniers pouces d'un coup sec.
Burydan était planté dans son blondinet, tout au fond du petit cul, tout au bout de sa grosse bite, le bas ventre écrasé contre les fesses toutes douces. C'était chaud, brûlant même, doux et serré. Le fourreau de son minet était l'antichambre du Tiantang...
Alors que Burydan pensait qu'il pourrait rester ainsi jusqu'à la fin des temps, Rhonin dit :
- Limez moi, maître... par pitié, limez-moi...
Demandé comme ça... Burydan commença à se déhancher lascivement, limant le petit cul de son blondinet avec douceur. Puis il prit appui sur ses bras musclés. Il ressortit sa bite à moitié, commença à limer Rhonin lentement, ne lui renfonçant qu'une partie de sa bite et lui remit tout d'un coup puissant de bassin, faisant claquer son pubis contre les belles petites fesses. Couinement de son esclave. Il recommença plusieurs fois ce petit jeu, jusqu'à ce que Rhonin dise :
- Oh oui, maître... mettez moi des grands coups de bite, c'est trop bon...
Burydan pilonna son petit minet comme un dingue, le faisant crier. Il sentit qu'à ce rythme là, il n'allait pas tenir très longtemps et se retira du petit cul. Il se remit à genoux et dit :
- Tourne toi, bébé, je veux te regarder...
Rhonin obéit et regarda son maître. Son corps était ruisselant de sueur, et ça l'excita. Cette sueur de mâle en rut soulignait ses muscles gonflés et l'odeur de ce corps grisait ses sens. Burydan lui sourit, tartina de nouveau sa bite de salive et s'enfonça dans Rhonin sans coup férir. Il le maintint par les hanches d'une poigne ferme et l’empala sur sa queue. Rhonin recommença à gémir. Il caressa les avants bras de son maître, ses biceps durs comme la pierre et, comme Burydan s'y attendait, se mit à peloter ses pectoraux comme un dingue.
- Tu les aimes mes pecs, hein ?
- Oh... oui... maître...
- T'aimes les peloter, hein ?
- Oh... oui... maître...
- Alors vas-y bébé, ne t'en prive pas, j'adore ça moi aussi...
Et Rhonin ne s'en priva pas...
Burydan se coucha sur Rhonin, l'embrassa passionnément, passa ses mains sous son dos et se remit à genoux. L'esclave, tenu fermement par son maître, le torse collé au sien et les cuisses fermement enroulées autour de sa taille, les bras autour de son cou, sentit des mains puissantes lui attraper les fesses et le faire aller et venir sur la grosse queue qui fouillait ses entrailles. Sa bite, comprimée entre leurs deux ventres humides, était pris dans un étau de chaleur. Burydan l'attira encore plus contre lui, l'embrassa, lui lécha le cou, l'épaule, la poitrine, mordilla ses tétons puis revint à ses lèvres, encore et encore. Il accéléra le rythme et Rhonin se mit à gueuler son plaisir...
Le plaisir monta, monta et Rhonin cria :
- Je vais jouir, maître, je vais jouir !
- Vas-y, jouis bébé, jouis... crache ton foutre !
Et Rhonin partit. Burydan sentit une douce chaleur se répandre sur son ventre et sur son torse. Le simple frottement de leurs ventres autour de sa bite avait fait jouir Rhonin.
Son corps tendu et secoué de spasmes à chaque giclée se relâcha soudain et Rhonin sentit une vague de plaisir submerger son corps et noyer son cerveau. Il sentit Burydan le recoucher contre le lit, lui donner quelques puissants coups de reins et jouir à son tour, dans un rugissement rauque, sa bite pulsant en lui à chaque salve.
Rhonin était bien, épuisé et heureux. Il avait mis un long moment à revenir des profondeurs abyssales d'un de ses plus merveilleux orgasmes. Le plaisir avait été tellement violent qu'il avait cru, à un moment, tomber dans les apparus.
Burydan était toujours couché sur lui, la tête dans son cou. Rhonin sentait sa respiration encore saccadée et ses battements de cœur irréguliers. Il avait toujours ses cuisses enroulées autour de ses reins et caressait son dos trempé.
Remis à la parfin de cet orgasme incroyable, son visage baigné de sueur apparu au dessus de la jolie frimousse de son minet.
- On bébé, c'était... c'était...
- Parfait, l'aida Rhonin, tout simplement parfait, maître...
Burydan sourit et l'embrassa langoureusement.
- Libère moi, tu veux ?
- Pardon maître ?
- Tes cuisses, bébé...
- Oups... pardon maître...
Rhonin désenroula ses cuisses et Burydan se remit à genoux. Il regarda le corps de son blondinet, tout maculé de son propre sperme, et regarda son torse et son ventre, dans le même état.
- Eh bien bébé, on l'a bien mérité notre bain.
Il se leva et ouvrit l'eau chaude pour remplir la cuve à baigner. Rhonin, étendu lascivement sur le lit en bois, regardait les beaux muscles de son maître rouler sous sa peau, spectacle dont il ne se lassait pas.
Burydan ajusta la température de l'eau, se dirigea vers une petite étagère et prit une grosse poignée de cristaux dans un pot qu'il jeta dans l'eau. En une minute une agréable odeur de fleurs flotta dans la pièce.
Burydan entra dans l'eau en poussant un gémissement de plaisir. Il se colla à l'un des bouts de la cuve et dit :
- Eh bien, bébé, tu viens ?
Rhonin se leva et entra à son tour dans l'eau.
- Non, pas là, viens contre moi...
Rhonin sourit, se retourna et vint coller son dos au torse puissant de son beau mâle. Burydan fit mousser un gros pain de savon entre ses mains et entreprit de savonner son minet.