28-11-2020, 08:57 PM
Je ne suis plus qu’à quelques centimètres de la chatte de ma cousine. Elle a légèrement écarté les cuisses et m’offre ainsi une meilleure vue. Je constate qu’elle mouille un peu. Je tends les doigts. Plus que deux centimètres…
Marianne toque à la porte.
« - Claire, c’est toi qui est la dedans ?
Je regarde ma cousine avec un air effrayé mais elle me sourit et me fait signe de me taire. Elle coupe le jet d’eau.
- Oui oui, tu as fini ?
- Oui, je t’attends dans ta chambre. Dépêche-toi trainarde !
- Ahah j’en ai plus pour très longtemps ! Tu pourrais aller chercher Cyril pour lui dire que la place est libre ? Je crois qu’il est au bord de la piscine.
- Pas de souci je vais le chercher.
Ma cousine est décidément très maligne. Elle vient d’éloigner le danger. Nous attendons sans bruit pendant une minute puis elle me regarde et me dit :
- J’ai fait diversion. Je crois que c’est le moment idéal pour que tu t’enfuies !
Et elle me pousse gentiment hors de la salle de bain ; j’ai à peine le temps de comprendre ce qui m’arrive que me voilà dans le couloir, les jambes mouillées et le sexe en semi-érection. Je me précipite dans ma chambre, me sers de mes draps comme d’une serviette, m’habille, puis je file en bas pour aller à la rencontre de Marianne.
Je la croise dans la cuisine.
- Te voilà ! me dit-elle. Claire m’a dit que je te trouverai à la piscine.
- Je suis allé me balader, réponds-je évasivement. La douche est libre ?
- Oui ! Mais avant je voulais te dire… tu te rappelles ce matin, tu t’es jeté à l’eau sans nous mettre de la crème solaire à Claire et à moi. Et ben regarde.
Elle soulève son t-shirt au dessus de son nombril pour me montrer son ventre. Je regarde en rougissant un peu mais je ne vois pas où elle veut en venir.
- J’ai pris un coup de soleil ! dit-elle.
Ça ne serait pas étonnant vu le nombre d’heures qu’elle a passé à bronzer. Mais j’ai beau regarder, je ne vois pas la moindre trace de coup de soleil. Son ventre est naturellement halé, comme son teint, et je n’y vois pas la moindre rougeur… Est-ce que ça serait une astuce pour me montrer son ventre ? Peut importe, je décide de rentrer dans son jeu.
- Je connais un bon remède contre les coups de soleil, lui dis-je.
Et sans plus attendre, je me mets à genoux devant elle et je commence à lui embrasser le ventre du bout des lèvres.
- Je sens que le coup de soleil disparait ! s’exclame-t-elle. Continue !
Je dépose donc de petits baisers partout sur son ventre. Puis je donne de petits coups de langue pour la chatouiller. Elle rigole et je rigole avec elle. Je m’attarde sur son nombril avec le bout de ma langue, je dépose un dernier baiser puis je me relève. Je m’installe sur une chaise de la cuisine et j’attire Marianne vers moi. Elle s’assoit sur mes cuisses.
Ma douche avec Claire m’a rendu plus audacieux alors je passe une main sous le t-shirt de Marianne et je commence à lui caresser le ventre. Elle doit forcément sentir mon érection contre ses fesses. Je passe ma main de haut en bas et de plus en plus haut jusqu’à effleurer le bas de son soutien gorge. Son corps se raidit comme si elle ne voulait pas ou qu’elle ne se sentait pas prête. Je ne veux pas la forcer. Alors je lui dépose un petit baiser dans le cou et nous nous relevons.
Elle me prend la main et nous remontons tous les deux à l’étage
Une douche froide me remet les idées en place. J’essaye de réfléchir calmement à ce qui s’est passé aujourd’hui. Pour une première journée sans les parents, on n’a pas chômé…
Claire m’entraine de plus en plus loin sur le chemin de l’intimité. Elle a fait ça petit à petit depuis mon arrivée ici : d’abord des sous-entendus puis des massages de plus en plus sensuels, puis enfin cette douche… La question c’est : où s’arrêtera-t-elle ? Moi j’ai bien l’intention de me laisser guider aussi longtemps et aussi loin qu’elle le voudra !
En revanche, je n’arrive pas bien à comprendre Marianne. Elle qui n’a pas cessé de me chauffer depuis son arrivée, elle n’a pas supporté que j’ai les mains trop baladeuses tout à l’heure. C’est un peu paradoxal et j’attends de voir ce qui va se passer…
Après le diner, nous recevons un coup de fil des parents de Claire qui prennent de nos nouvelles. Ils se préparent de leur côté pour leur première nuit sous la tente. Pour occuper la soirée, nous décidons de regarder un film : je m’installe sur le canapé, entre les deux filles. Dès le début du film, je pose ma main sur la cuisse de Claire. Elle ne me repousse
pas. Marianne a vu mais ne dit rien.
Cette nuit, j’ai du mal à trouver le sommeil. Je me tourne et me retourne dans mon lit en me posant des questions. Comment Marianne réagirait-elle si elle savait ce que Claire et moi avions fait. Et que dirait Claire si elle savait les caresses faites à Marianne. Elles me chauffent toutes les deux et elles me font de l’effet toutes les deux. Mais peut-être qu’elles en parlent entre elles après… Peut-être qu’elles se racontent tout ça le soir quand je suis allé me coucher. Qui sait ? Il faudra que je résolve ce mystère.
Le lendemain, suite à ma mauvaise nuit, je me réveille plus tard que d’habitude. Je descends donc après les filles. Arrivé dans la cuisine, je vois les restes de leur petit déjeuner sur la table. Mon couvert est mis et dans mon bol se trouve un bout de papier plier contenant un petit mot : « Rejoins nous au garage ». Il y a aussi un cœur dessiné. Voilà qui me met de bonne humeur dès le matin ! Sans prendre le temps de manger, je m’en vais donc au lieu de rendez-vous. Je sors dans la maison et j’arrive dans la petite court en gravier où sont garées les voitures ( sauf celle de mon oncle puisque les adultes sont partis avec ). La garage, petit bâtiment cubique isolé du reste de la maison, se trouve un peu plus loin.
Je me demande pourquoi les voitures ne sont pas garées dans le garage… ça aurait semblé logique. Ou bien peut-être qu’il a été aménagé pour d’autres activités ? C’est ce que je vais savoir d’ici quelques minutes.
Je rentre dans le garage par une petite porte sur un des côtés. Les filles sont perchées sur des vélos d’appartement et quand elles m’aperçoivent, elles s’arrêtent et viennent me faire la bise.
« - Te voilà cousin ! s’exclame Claire.
Je constate que le garage a été changé en petite salle de sport avec deux vélos d’appartement, des tapis de sol et toute une collection d’altères. Devant mon air surpris, Claire m’explique :
- C’est une idée de Papa, comme on pouvait très bien garer les voitures dans la court il a décidé d’optimiser les mètres carré !
- Très bonne idée ! réponds-je.
Et les filles remontent sur les vélos. Je m’assieds par terre et je discute avec elles en les regardant. Claire porte un survêtement relativement moulant et un débardeur tandis que Marianne s’est habillée en sous-vêtements de sport qui laissent voir une partie de son ventre et surtout qui épousent bien la forme de sa poitrine. Je me fais à moi-même la réflexion qu’avec leurs corps fins et élancés, elles sont loin d’avoir besoin de faire du sport pour perdre du poids.
Marianne décide de faire des abdos. Elle prend un tapis de sol et s’allonge sur le dos. Elle se met en position et fait une ou deux remontées de buste avant de me demander de l’aide. Je m’accroupis face à elle et, avec mes mains, je lui maintiens les pieds collés au sol pour lui faciliter l’exercice. J’ai tout le loisir de l’observer pendant qu’elle remonte et descend son buste en cadence. Je compte à voix haute son nombre de répétitions et je lui fais des sourires pour l’encourager.
Quand j’y regarde de plus prêt, je peux voir son petit ventre se soulever au rythme de sa respiration et se poitrine rouler de haut en bas selon qu’elle monte ou qu’elle descend le buste. Ses tétons font une petite bosse presque invisible sur le tissu noir du sous-vêtement. Presque invisible mais suffisante pour me faire fantasmer… Et voilà que je bande. Marianne ne peut pas s’en rendre compte mais Claire, du haut du vélo d’appartement, a dû repérer mon petit manège. Je n’ai pas osé la regarder, depuis que j’aide Marianne à faire ses abdos, de peur qu’elle ne me lance un regard de reproche.
Marianne toque à la porte.
« - Claire, c’est toi qui est la dedans ?
Je regarde ma cousine avec un air effrayé mais elle me sourit et me fait signe de me taire. Elle coupe le jet d’eau.
- Oui oui, tu as fini ?
- Oui, je t’attends dans ta chambre. Dépêche-toi trainarde !
- Ahah j’en ai plus pour très longtemps ! Tu pourrais aller chercher Cyril pour lui dire que la place est libre ? Je crois qu’il est au bord de la piscine.
- Pas de souci je vais le chercher.
Ma cousine est décidément très maligne. Elle vient d’éloigner le danger. Nous attendons sans bruit pendant une minute puis elle me regarde et me dit :
- J’ai fait diversion. Je crois que c’est le moment idéal pour que tu t’enfuies !
Et elle me pousse gentiment hors de la salle de bain ; j’ai à peine le temps de comprendre ce qui m’arrive que me voilà dans le couloir, les jambes mouillées et le sexe en semi-érection. Je me précipite dans ma chambre, me sers de mes draps comme d’une serviette, m’habille, puis je file en bas pour aller à la rencontre de Marianne.
Je la croise dans la cuisine.
- Te voilà ! me dit-elle. Claire m’a dit que je te trouverai à la piscine.
- Je suis allé me balader, réponds-je évasivement. La douche est libre ?
- Oui ! Mais avant je voulais te dire… tu te rappelles ce matin, tu t’es jeté à l’eau sans nous mettre de la crème solaire à Claire et à moi. Et ben regarde.
Elle soulève son t-shirt au dessus de son nombril pour me montrer son ventre. Je regarde en rougissant un peu mais je ne vois pas où elle veut en venir.
- J’ai pris un coup de soleil ! dit-elle.
Ça ne serait pas étonnant vu le nombre d’heures qu’elle a passé à bronzer. Mais j’ai beau regarder, je ne vois pas la moindre trace de coup de soleil. Son ventre est naturellement halé, comme son teint, et je n’y vois pas la moindre rougeur… Est-ce que ça serait une astuce pour me montrer son ventre ? Peut importe, je décide de rentrer dans son jeu.
- Je connais un bon remède contre les coups de soleil, lui dis-je.
Et sans plus attendre, je me mets à genoux devant elle et je commence à lui embrasser le ventre du bout des lèvres.
- Je sens que le coup de soleil disparait ! s’exclame-t-elle. Continue !
Je dépose donc de petits baisers partout sur son ventre. Puis je donne de petits coups de langue pour la chatouiller. Elle rigole et je rigole avec elle. Je m’attarde sur son nombril avec le bout de ma langue, je dépose un dernier baiser puis je me relève. Je m’installe sur une chaise de la cuisine et j’attire Marianne vers moi. Elle s’assoit sur mes cuisses.
Ma douche avec Claire m’a rendu plus audacieux alors je passe une main sous le t-shirt de Marianne et je commence à lui caresser le ventre. Elle doit forcément sentir mon érection contre ses fesses. Je passe ma main de haut en bas et de plus en plus haut jusqu’à effleurer le bas de son soutien gorge. Son corps se raidit comme si elle ne voulait pas ou qu’elle ne se sentait pas prête. Je ne veux pas la forcer. Alors je lui dépose un petit baiser dans le cou et nous nous relevons.
Elle me prend la main et nous remontons tous les deux à l’étage
Une douche froide me remet les idées en place. J’essaye de réfléchir calmement à ce qui s’est passé aujourd’hui. Pour une première journée sans les parents, on n’a pas chômé…
Claire m’entraine de plus en plus loin sur le chemin de l’intimité. Elle a fait ça petit à petit depuis mon arrivée ici : d’abord des sous-entendus puis des massages de plus en plus sensuels, puis enfin cette douche… La question c’est : où s’arrêtera-t-elle ? Moi j’ai bien l’intention de me laisser guider aussi longtemps et aussi loin qu’elle le voudra !
En revanche, je n’arrive pas bien à comprendre Marianne. Elle qui n’a pas cessé de me chauffer depuis son arrivée, elle n’a pas supporté que j’ai les mains trop baladeuses tout à l’heure. C’est un peu paradoxal et j’attends de voir ce qui va se passer…
Après le diner, nous recevons un coup de fil des parents de Claire qui prennent de nos nouvelles. Ils se préparent de leur côté pour leur première nuit sous la tente. Pour occuper la soirée, nous décidons de regarder un film : je m’installe sur le canapé, entre les deux filles. Dès le début du film, je pose ma main sur la cuisse de Claire. Elle ne me repousse
pas. Marianne a vu mais ne dit rien.
Cette nuit, j’ai du mal à trouver le sommeil. Je me tourne et me retourne dans mon lit en me posant des questions. Comment Marianne réagirait-elle si elle savait ce que Claire et moi avions fait. Et que dirait Claire si elle savait les caresses faites à Marianne. Elles me chauffent toutes les deux et elles me font de l’effet toutes les deux. Mais peut-être qu’elles en parlent entre elles après… Peut-être qu’elles se racontent tout ça le soir quand je suis allé me coucher. Qui sait ? Il faudra que je résolve ce mystère.
Le lendemain, suite à ma mauvaise nuit, je me réveille plus tard que d’habitude. Je descends donc après les filles. Arrivé dans la cuisine, je vois les restes de leur petit déjeuner sur la table. Mon couvert est mis et dans mon bol se trouve un bout de papier plier contenant un petit mot : « Rejoins nous au garage ». Il y a aussi un cœur dessiné. Voilà qui me met de bonne humeur dès le matin ! Sans prendre le temps de manger, je m’en vais donc au lieu de rendez-vous. Je sors dans la maison et j’arrive dans la petite court en gravier où sont garées les voitures ( sauf celle de mon oncle puisque les adultes sont partis avec ). La garage, petit bâtiment cubique isolé du reste de la maison, se trouve un peu plus loin.
Je me demande pourquoi les voitures ne sont pas garées dans le garage… ça aurait semblé logique. Ou bien peut-être qu’il a été aménagé pour d’autres activités ? C’est ce que je vais savoir d’ici quelques minutes.
Je rentre dans le garage par une petite porte sur un des côtés. Les filles sont perchées sur des vélos d’appartement et quand elles m’aperçoivent, elles s’arrêtent et viennent me faire la bise.
« - Te voilà cousin ! s’exclame Claire.
Je constate que le garage a été changé en petite salle de sport avec deux vélos d’appartement, des tapis de sol et toute une collection d’altères. Devant mon air surpris, Claire m’explique :
- C’est une idée de Papa, comme on pouvait très bien garer les voitures dans la court il a décidé d’optimiser les mètres carré !
- Très bonne idée ! réponds-je.
Et les filles remontent sur les vélos. Je m’assieds par terre et je discute avec elles en les regardant. Claire porte un survêtement relativement moulant et un débardeur tandis que Marianne s’est habillée en sous-vêtements de sport qui laissent voir une partie de son ventre et surtout qui épousent bien la forme de sa poitrine. Je me fais à moi-même la réflexion qu’avec leurs corps fins et élancés, elles sont loin d’avoir besoin de faire du sport pour perdre du poids.
Marianne décide de faire des abdos. Elle prend un tapis de sol et s’allonge sur le dos. Elle se met en position et fait une ou deux remontées de buste avant de me demander de l’aide. Je m’accroupis face à elle et, avec mes mains, je lui maintiens les pieds collés au sol pour lui faciliter l’exercice. J’ai tout le loisir de l’observer pendant qu’elle remonte et descend son buste en cadence. Je compte à voix haute son nombre de répétitions et je lui fais des sourires pour l’encourager.
Quand j’y regarde de plus prêt, je peux voir son petit ventre se soulever au rythme de sa respiration et se poitrine rouler de haut en bas selon qu’elle monte ou qu’elle descend le buste. Ses tétons font une petite bosse presque invisible sur le tissu noir du sous-vêtement. Presque invisible mais suffisante pour me faire fantasmer… Et voilà que je bande. Marianne ne peut pas s’en rendre compte mais Claire, du haut du vélo d’appartement, a dû repérer mon petit manège. Je n’ai pas osé la regarder, depuis que j’aide Marianne à faire ses abdos, de peur qu’elle ne me lance un regard de reproche.