28-11-2020, 08:43 PM
- "Pourquoi tu t'arrêtes ?!" interrogea-t-elle avec trop de supplication dans la voix pour que Tom ne soit conforté dans son idée.
- "Parce qu'il n'y a pas de raison que tu sois la seule à prendre du plaisir, ma jolie" fit-il avec un sourire de défi.
- "Mais..." balbutia-t-elle.
- "Alors maintenant, tu te retournes et tu t'occupes aussi de moi."
Pauline, d'abord troublée par l'arrêt des baisers de Tom, reprit de l'aplomb.
- "D'accord, mais tu ne jouis pas dans ma bouche ! Tu es tellement à cran que j'ai peur de ça."
- "C'est d'accord" accepta Tom, trop content d'avoir droit à ce traitement. Il ne se doutait pas qu'il continuait à faire le jeu dicté par sa sœur aujourd'hui.
Alors Pauline se releva et changea de sens sur Tom, se plaçant pour un 69. Elle releva sa jupe et vînt placer son sexe au-dessus du visage de son frère. Quelle magnifique vue il avait sur la croupe de la jeune fille. Cette peau blanche qui avait bronzé durant leur séjour à la campagne, ces fesses qu'il avait toujours autant envie de croquer et le parfum entêtant de la jeune fille. Il attrapa les hanches de Pauline et plongea son visage entre ses cuisses. Cette fois, il ne la taquinait plus et sa langue hardie glissa directement entre les lèvres trempées de la jeune fille.
Comme pour le remercier, il la sentit délasser son short et le lui baisser avec son caleçon à mi-cuisses. Elle libéra son pénis déjà dressé qui vînt taper sur son ventre. Quel délice quand il la sentit saisir sa verge dans sa main chaude, la serrer et commencer un va-et-vient sensuel. Il avait l'impression que tout sa frustration de la matinée coulait entre les mains de la jeune fille. Il ne pensait plus aux léchouilles enflammées qu'il prodiguait à Pauline. Il n'était plus que ce pénis brûlant entre les mains de la fille qu'il aimait et désirait plus que tout. Pour ne pas perdre pieds, il renforça encore les mouvements de sa langue entre les cuisses de Pauline, se glissant plus encore en elle. Comme une réponse, Pauline se pencha sur le gland de son frère et le glissa dans sa bouche. Immédiatement, une vague de frissons déferla le long du dos de Tom. Pour tout dire, il était à deux doigts de jouir sans retenue dans la bouche de sa sœur. Mais il avait promis et il parvînt à se retenir in extremis. Elle dut le comprendre elle aussi car ses mouvements se firent plus langoureux et moins violents.
Ainsi serrés l'un contre l'autre, les deux ados s'aimaient pour la première fois dans un écrin de verdure. Leurs gémissements en partie étouffés se faisaient tout de même entendre autour d'eux. Mais pour l'instant, ils n'en avaient cure.
Tom rivalisait d'adresse avec Pauline, sa langue glissant en elle puis revenant titiller son clitoris gonflé, le sucer, le mordiller. Il pouvait voir l'effet qu'il faisait à son amante à la cambrure que prenaient ses reins, aux frissons qui agitaient ses fesses. Et elle s'affairait sur la verge gonflée par le désir exacerbé de son frère. Elle le taquinait en maintenant son gland coincé entre ses lèvres serrées puis en l'aspirant littéralement dans sa bouche. Tom frissonnait dangereusement à chaque mouvement de la bouche mais il s'habituait à la sensation progressivement et parvenait mieux à se contrôler. Pauline était pourtant impitoyable. Il pouvait sentir son gland passer entre ses lèvres, puis sa verge entourée par la chaleur et la salive de sa bouche. Il lui semblait qu'elle l'avalait complètement. De plus, les gémissements qu'elle étouffait en le suçant semblaient faire vibrer sa bouche et ajouter à la stimulation. Ils restèrent ainsi une dizaine de minutes, se goûtant mutuellement et enivrés par la sensation d'être en pleine nature. Tom aurait voulu qu'ils soient nus et qu'ils n'aient pas à retenir leurs cris. Pourtant, c'était plus prudent avec la famille à côté.
- "La famille !" bondit-il tout à coup entre les cuisses de Päuline.
- "Bin quoi ?!" lui lança-t-elle sur un ton de reproches frustrées.
- "Ca fait combien de temps qu'on est partis ? Ils vont pas tarder à venir nous chercher !" Et il avait raison. Déjà, ils entendaient leur mère les appeler à travers la forêt qui les cachait. Depuis combien de temps était-ce le cas ? En sursaut, les deux ados se redressèrent et rajustèrent leurs vêtements. Puis, ils partirent hâtivement en direction des cris.
- "Aah, vous voilà enfin !" lança leur mère en les voyant déboucher des arbres. "Tu as enfin retrouvé ton frère ?!"
- "Oui, il s'était bien caché pour piquer son roupillon."
- "Bon, et bien maintenant que tout le monde est là, on va pouvoir repartir !" scanda à son tour leur père. "Ah, non. Maintenant il manque Anthony !"
En effet, l'ami de leur cousin n'était pas parmi eux. Un frisson parcourut le dos de Tom et Pauline. Puis Anthony déboucha à son tour de la forêt. Un autre frisson parcourut les deux ados quand ils virent qu'il venait de la même direction que eux. Mais ce n'était sans doute qu'une coïncidence puisque rien ne semblait indiquer qu'il les avait surpris, pas même son regard quand il glissa banalement sur eux.
La petite troupe se remis donc en route pour la visite du château cette fois. Bien que frustrée par le câlin interrompu avec Tom, Pauline était heureuse de sa journée. Elle passait un bon moment en famille, il faisait beau. Depuis leur départ, elle jouait avec son frère. Elle avait décidé de le torturer gentiment aujourd'hui, de l'exciter toute la journée sans le laisser jouir. Elle savait l'effet qu'elle lui faisait en se baladant à moitié nue devant lui, et accessoirement devant tout le groupe. Quand leurs regards se croisaient, elle voyait la fièvre qui l'habitait et son ventre se tordait d'excitation en l'imaginant en elle.
Ajouté à tout cela le frottement de son débardeur sur ses petits seins et l'air qu'elle sentait passer entre ses cuisses. Bon sang, elle n'avait même pas pris le peine de s'essuyer un peu après que Tom l'ai léchée. Elle sentait l'air rafraîchir son minou et elle en était encore plus excitée.
Cette fois-ci, toute la famille suivait un guide dans les méandres des salles médiévales. Elle était donc groupée avec les autres, un peu en arrière à écouter les descriptions historiques. Alors qu'elle se faisait cette réflexion sur l'air frais glissant entre ses cuisses, elle sentit une main se coller sur ses fesses. Tout comme elle, Tom était encore frustré de l'arrêt prématuré de leur câlin dans la forêt. Faisant semblant de rien, elle le laissa continuer ses caresses.
Elle sentit sa main masser sa fesse sensuellement à travers sa jupe. Elle se délectait de ce massage et sentait encore son ventre se tordre d'excitation. Elle ne s'en rendit pas compte sur le moment, mais ses tétons s'étaient mis à pointer sous le tissu de son débardeur.
Alors qu'elle se cambrait un peu pour savourer les caresses de Tom, la main passa sous sa jupe et elle sentit les doigts effleurer ses lèvres encore trempées. Doucement, sans attirer l'attention, les doigts du jeune homme glissèrent entre ses cuisses pour venir caresser son minou. Elle frissonnait d'excitation d'être ainsi masturber au milieu de la foule. Dans les toilettes, c'était déjà quelque chose de très excitant, cachés derrière la cloison. Mais là, le danger et le risque d'être directement entendue et démasquée décuplaient son plaisir. Elle sentit les doigts glisser sans peine en elle et retînt de justesse un lent gémissement de plaisir.
Ses reins se cambrèrent encore et elle écarta légèrement les jambes pour lui laisser plus de place. Un doigt glissait en elle tandis qu'un autre venait frotter contre son clitoris. Ce traitement de choc devait être la vengeance de Tom mais que c'était bon. Elle haletait silencieusement pour éviter que ses gémissements ne viennent perturber le beau discours du guide, dont elle n'entendait plus aucun mot.
Finalement, deux doigts entrèrent en elle, faisant bondir des vagues d'électricité dans son dos. Cette fois, les caresses étaient trop intenses. Ce n'était plus raisonnable. Elle ne parviendrait plus longtemps à se retenir. Bon sang que c'était bon ! Mais à quoi jouait Tom ? Il était fou ? Alors que les mouvements de masturbation du garçon augmentaient encore, elle fut sauvée par le guide qui annonça le déplacement de la petite troupe dans la salle suivante.
L'espace d'un instant, elle fut soulagée de sentir les doigts de Tom quitter son minou trempé. Ses jambes étaient fébriles. Puis, tout à coup, en tête du groupe qui partait, Pauline aperçut son frère. Son sang se figea dans ses veines et elle sentit tous les poils de son corps se hérisser. Comme si son cou lui faisait mal, elle parvînt à se retourner pour découvrir qui était auprès d'elle. Ce fut Anthony.
- "Oh, tu daignes enfin te retourner ?" lança-t-il narquois.
- "Mais...mais... qu'est-ce que..." fut tout ce qu'elle parvînt à sortir de sa bouche.
- "Ooh, tu ne vas pas faire ton effarouchée après ce que je vous ai vu faire dans la forêt avec Tom. Tu en étais encore toute mouillée" ajouta-t-il en souriant à la cantonade.
- "Tu nous a espionné ?" parvînt-elle à articuler.
- "Quand je t'ai vue partir chercher ton frère, je me suis douter que vous pouviez recommencer ce que je vous avais vu faire dans la cabane l'autre jour. En plus, j'avoue que j'étais bien excité depuis ce matin à te regarder gambader. On était persuadés avec Franck que tu ne portais pas de soutien-gorge. Moi, j'ai parié que tu n'avais pas de culotte non plus mais il ne voulait pas me croire. Alors, j'ai voulu vérifié et je me suis approché de toi par derrière pendant que tout le monde écoutait. J'avoue que je ne m'attendais pas à ce que tu te laisses faire comme ça, petit coquine."
- "Je pensais que c'était Tom" lâcha Pauline, sans prendre garde à ce que cette déclaration avait de tabou.
- "Oui, je me suis douté. Alors j'ai continué. Ca m'a fait bander comme un fou."
Pendant qu'il parlait, Pauline pensa que Anthony était décidément un garçon bien curieux. A la fois intelligent, observateur, gentil et attentionné mais aussi direct dans ses propos et calculateur. Il émanait de lui une curieuse impression par laquelle on lui faisait confiance mais qui mettait aussi en garde sur le prix insoupçonné que pouvait avoir cette confiance. En cet instant, le garçon ne semblait pas la juger, ne lui reprochait rien mais s'amusait simplement de la situation comme il l'aurait fait avec une vieille amie d'une situation totalement banale. On ne pouvait pas lire en lui, mais il était malgré tout sympathique. 64
- "Parce qu'il n'y a pas de raison que tu sois la seule à prendre du plaisir, ma jolie" fit-il avec un sourire de défi.
- "Mais..." balbutia-t-elle.
- "Alors maintenant, tu te retournes et tu t'occupes aussi de moi."
Pauline, d'abord troublée par l'arrêt des baisers de Tom, reprit de l'aplomb.
- "D'accord, mais tu ne jouis pas dans ma bouche ! Tu es tellement à cran que j'ai peur de ça."
- "C'est d'accord" accepta Tom, trop content d'avoir droit à ce traitement. Il ne se doutait pas qu'il continuait à faire le jeu dicté par sa sœur aujourd'hui.
Alors Pauline se releva et changea de sens sur Tom, se plaçant pour un 69. Elle releva sa jupe et vînt placer son sexe au-dessus du visage de son frère. Quelle magnifique vue il avait sur la croupe de la jeune fille. Cette peau blanche qui avait bronzé durant leur séjour à la campagne, ces fesses qu'il avait toujours autant envie de croquer et le parfum entêtant de la jeune fille. Il attrapa les hanches de Pauline et plongea son visage entre ses cuisses. Cette fois, il ne la taquinait plus et sa langue hardie glissa directement entre les lèvres trempées de la jeune fille.
Comme pour le remercier, il la sentit délasser son short et le lui baisser avec son caleçon à mi-cuisses. Elle libéra son pénis déjà dressé qui vînt taper sur son ventre. Quel délice quand il la sentit saisir sa verge dans sa main chaude, la serrer et commencer un va-et-vient sensuel. Il avait l'impression que tout sa frustration de la matinée coulait entre les mains de la jeune fille. Il ne pensait plus aux léchouilles enflammées qu'il prodiguait à Pauline. Il n'était plus que ce pénis brûlant entre les mains de la fille qu'il aimait et désirait plus que tout. Pour ne pas perdre pieds, il renforça encore les mouvements de sa langue entre les cuisses de Pauline, se glissant plus encore en elle. Comme une réponse, Pauline se pencha sur le gland de son frère et le glissa dans sa bouche. Immédiatement, une vague de frissons déferla le long du dos de Tom. Pour tout dire, il était à deux doigts de jouir sans retenue dans la bouche de sa sœur. Mais il avait promis et il parvînt à se retenir in extremis. Elle dut le comprendre elle aussi car ses mouvements se firent plus langoureux et moins violents.
Ainsi serrés l'un contre l'autre, les deux ados s'aimaient pour la première fois dans un écrin de verdure. Leurs gémissements en partie étouffés se faisaient tout de même entendre autour d'eux. Mais pour l'instant, ils n'en avaient cure.
Tom rivalisait d'adresse avec Pauline, sa langue glissant en elle puis revenant titiller son clitoris gonflé, le sucer, le mordiller. Il pouvait voir l'effet qu'il faisait à son amante à la cambrure que prenaient ses reins, aux frissons qui agitaient ses fesses. Et elle s'affairait sur la verge gonflée par le désir exacerbé de son frère. Elle le taquinait en maintenant son gland coincé entre ses lèvres serrées puis en l'aspirant littéralement dans sa bouche. Tom frissonnait dangereusement à chaque mouvement de la bouche mais il s'habituait à la sensation progressivement et parvenait mieux à se contrôler. Pauline était pourtant impitoyable. Il pouvait sentir son gland passer entre ses lèvres, puis sa verge entourée par la chaleur et la salive de sa bouche. Il lui semblait qu'elle l'avalait complètement. De plus, les gémissements qu'elle étouffait en le suçant semblaient faire vibrer sa bouche et ajouter à la stimulation. Ils restèrent ainsi une dizaine de minutes, se goûtant mutuellement et enivrés par la sensation d'être en pleine nature. Tom aurait voulu qu'ils soient nus et qu'ils n'aient pas à retenir leurs cris. Pourtant, c'était plus prudent avec la famille à côté.
- "La famille !" bondit-il tout à coup entre les cuisses de Päuline.
- "Bin quoi ?!" lui lança-t-elle sur un ton de reproches frustrées.
- "Ca fait combien de temps qu'on est partis ? Ils vont pas tarder à venir nous chercher !" Et il avait raison. Déjà, ils entendaient leur mère les appeler à travers la forêt qui les cachait. Depuis combien de temps était-ce le cas ? En sursaut, les deux ados se redressèrent et rajustèrent leurs vêtements. Puis, ils partirent hâtivement en direction des cris.
- "Aah, vous voilà enfin !" lança leur mère en les voyant déboucher des arbres. "Tu as enfin retrouvé ton frère ?!"
- "Oui, il s'était bien caché pour piquer son roupillon."
- "Bon, et bien maintenant que tout le monde est là, on va pouvoir repartir !" scanda à son tour leur père. "Ah, non. Maintenant il manque Anthony !"
En effet, l'ami de leur cousin n'était pas parmi eux. Un frisson parcourut le dos de Tom et Pauline. Puis Anthony déboucha à son tour de la forêt. Un autre frisson parcourut les deux ados quand ils virent qu'il venait de la même direction que eux. Mais ce n'était sans doute qu'une coïncidence puisque rien ne semblait indiquer qu'il les avait surpris, pas même son regard quand il glissa banalement sur eux.
La petite troupe se remis donc en route pour la visite du château cette fois. Bien que frustrée par le câlin interrompu avec Tom, Pauline était heureuse de sa journée. Elle passait un bon moment en famille, il faisait beau. Depuis leur départ, elle jouait avec son frère. Elle avait décidé de le torturer gentiment aujourd'hui, de l'exciter toute la journée sans le laisser jouir. Elle savait l'effet qu'elle lui faisait en se baladant à moitié nue devant lui, et accessoirement devant tout le groupe. Quand leurs regards se croisaient, elle voyait la fièvre qui l'habitait et son ventre se tordait d'excitation en l'imaginant en elle.
Ajouté à tout cela le frottement de son débardeur sur ses petits seins et l'air qu'elle sentait passer entre ses cuisses. Bon sang, elle n'avait même pas pris le peine de s'essuyer un peu après que Tom l'ai léchée. Elle sentait l'air rafraîchir son minou et elle en était encore plus excitée.
Cette fois-ci, toute la famille suivait un guide dans les méandres des salles médiévales. Elle était donc groupée avec les autres, un peu en arrière à écouter les descriptions historiques. Alors qu'elle se faisait cette réflexion sur l'air frais glissant entre ses cuisses, elle sentit une main se coller sur ses fesses. Tout comme elle, Tom était encore frustré de l'arrêt prématuré de leur câlin dans la forêt. Faisant semblant de rien, elle le laissa continuer ses caresses.
Elle sentit sa main masser sa fesse sensuellement à travers sa jupe. Elle se délectait de ce massage et sentait encore son ventre se tordre d'excitation. Elle ne s'en rendit pas compte sur le moment, mais ses tétons s'étaient mis à pointer sous le tissu de son débardeur.
Alors qu'elle se cambrait un peu pour savourer les caresses de Tom, la main passa sous sa jupe et elle sentit les doigts effleurer ses lèvres encore trempées. Doucement, sans attirer l'attention, les doigts du jeune homme glissèrent entre ses cuisses pour venir caresser son minou. Elle frissonnait d'excitation d'être ainsi masturber au milieu de la foule. Dans les toilettes, c'était déjà quelque chose de très excitant, cachés derrière la cloison. Mais là, le danger et le risque d'être directement entendue et démasquée décuplaient son plaisir. Elle sentit les doigts glisser sans peine en elle et retînt de justesse un lent gémissement de plaisir.
Ses reins se cambrèrent encore et elle écarta légèrement les jambes pour lui laisser plus de place. Un doigt glissait en elle tandis qu'un autre venait frotter contre son clitoris. Ce traitement de choc devait être la vengeance de Tom mais que c'était bon. Elle haletait silencieusement pour éviter que ses gémissements ne viennent perturber le beau discours du guide, dont elle n'entendait plus aucun mot.
Finalement, deux doigts entrèrent en elle, faisant bondir des vagues d'électricité dans son dos. Cette fois, les caresses étaient trop intenses. Ce n'était plus raisonnable. Elle ne parviendrait plus longtemps à se retenir. Bon sang que c'était bon ! Mais à quoi jouait Tom ? Il était fou ? Alors que les mouvements de masturbation du garçon augmentaient encore, elle fut sauvée par le guide qui annonça le déplacement de la petite troupe dans la salle suivante.
L'espace d'un instant, elle fut soulagée de sentir les doigts de Tom quitter son minou trempé. Ses jambes étaient fébriles. Puis, tout à coup, en tête du groupe qui partait, Pauline aperçut son frère. Son sang se figea dans ses veines et elle sentit tous les poils de son corps se hérisser. Comme si son cou lui faisait mal, elle parvînt à se retourner pour découvrir qui était auprès d'elle. Ce fut Anthony.
- "Oh, tu daignes enfin te retourner ?" lança-t-il narquois.
- "Mais...mais... qu'est-ce que..." fut tout ce qu'elle parvînt à sortir de sa bouche.
- "Ooh, tu ne vas pas faire ton effarouchée après ce que je vous ai vu faire dans la forêt avec Tom. Tu en étais encore toute mouillée" ajouta-t-il en souriant à la cantonade.
- "Tu nous a espionné ?" parvînt-elle à articuler.
- "Quand je t'ai vue partir chercher ton frère, je me suis douter que vous pouviez recommencer ce que je vous avais vu faire dans la cabane l'autre jour. En plus, j'avoue que j'étais bien excité depuis ce matin à te regarder gambader. On était persuadés avec Franck que tu ne portais pas de soutien-gorge. Moi, j'ai parié que tu n'avais pas de culotte non plus mais il ne voulait pas me croire. Alors, j'ai voulu vérifié et je me suis approché de toi par derrière pendant que tout le monde écoutait. J'avoue que je ne m'attendais pas à ce que tu te laisses faire comme ça, petit coquine."
- "Je pensais que c'était Tom" lâcha Pauline, sans prendre garde à ce que cette déclaration avait de tabou.
- "Oui, je me suis douté. Alors j'ai continué. Ca m'a fait bander comme un fou."
Pendant qu'il parlait, Pauline pensa que Anthony était décidément un garçon bien curieux. A la fois intelligent, observateur, gentil et attentionné mais aussi direct dans ses propos et calculateur. Il émanait de lui une curieuse impression par laquelle on lui faisait confiance mais qui mettait aussi en garde sur le prix insoupçonné que pouvait avoir cette confiance. En cet instant, le garçon ne semblait pas la juger, ne lui reprochait rien mais s'amusait simplement de la situation comme il l'aurait fait avec une vieille amie d'une situation totalement banale. On ne pouvait pas lire en lui, mais il était malgré tout sympathique. 64