Chapitre XI (Suite)
Eric est habitué. Il ne panique pas. Ses gestes restent précis et il redresse calmement la situation. Il active les pompes pour évacuer les quinze centimètres d’eau qui ont envahi la cabine. Dans une dizaine de minutes, il passera sous la protection de l’île qui a l’avantage de couper la houle du grand large.
Il se présente maintenant dans le chenal d’accès au port, salue les marins de la capitainerie au passage et viens se placer à l’emplacement qu’on lui a indiqué par radio, non sans s’être fait légèrement sermonner.
- Tu es tout mouillé ! remarque Mathilde avec un petit air maternel.
- J’ai pris une grosse vague en venant, un truc de fou.
- Tu aurais dû attendre. Ce n'était quand même pas très prudent !
- Oui, j'en conviens mais j'avais très envie de te voir.
- Mets toi à l’aise. Tu veux un paréo ?
- Oui, je veux bien. Je commence à avoir des frissons. C’est vrai qu’en cette saison, la température change vite et avec le mistral…
- Donne-moi tes vêtements que je les fasse sécher. Je te sers une bière comme d’habitude ?
- Oui s’il te plaît Mathilde.
Eric est nu comme un ver. Il s’enroule dans le paréo que lui tend Mathilde. Le tissu est agréablement parfumé. Il ne lui recouvre que les épaules et une partie du buste, laissant à nu le reste de son corps.
- Tu es toujours aussi bien foutu ! s’exclame Mathilde avec un sourire à peine masqué.
Mathilde a jeté elle aussi un polo sur ses épaules pour couper la fraîcheur automnale qui s’est installée. Elle est nue dessous. Ses seins marquent le tissu de leur empreinte vaillantes et téméraires. Le vêtement arrive un peu au dessus du pubis rasé et entièrement bronzé, mettant en exergue le tout début du renflement de son petit minou.
Mathilde est si habituée qu’elle ne se rend même pas compte qu’elle puisse être sexy dans cette tenue volage et lorsqu’elle se tourne puis se baisse pour extraire une canette de bière du frigidaire, ses fesses se séparent l’une de l’autre dans un mouvement d’une lenteur déconcertante, laissant entrevoir la petite noisette brune de son anus merveilleusement dessiné dans le prolongement de sa chatte.
Cette vision idyllique du corps féminin émoustille Eric au plus haut point. Il se voit malaxer ses fesses généreuses, caresser le petit orifice qui s’y cache, poursuivre les investigations sur ce minou audacieux. Il se voit encore caresser cette légère fente, écarter les lèvres toutes bronzées pour planter sa langue dans les chairs rosacées et humides, mordiller le capuchon de son clitoris pour le faire ressortir, l’embrasser et le sucer consciencieusement, goûter enfin toutes les sécrétions qui en découlent pour ne rien perdre de cette liqueur féminine si excitante, si goûtue que sa langue en raffole déjà.
Il n’en faut pas moins pour faire monter l’excitation d’Eric, la rendre incontrôlable. Mathilde s’est redressée en fermant la porte du frigidaire. Permettant à ses fesses de reprendre un minimum de solidarité. Elle a vraiment un cul somptueux pense Eric. Elle décapsule les deux canettes se tourne et dépose les deux bières sur la petite table en s’asseyant à côté d’Eric.
- Mazette, mais tu es déjà en érection ?
- Il faut dire qu’en voyant tes fesses gesticuler dans tous les sens, c’est difficile de rester zen.
- Si mon petit cul te fait toujours autant d’effet, c’est que je n’ai pas si mal vieilli que ça.
Mathilde relève son polo, dévoilant ses seins.
- Regarde. Tu ne trouves pas qu’ils ont changé ?
- On dirait que tu as pris de la poitrine. Ils sont un peu plus gros que la dernière fois. Et l’aréole s’est étendue.
- Oui, juste un peu plus gros que la dernière fois où on s’est vu. C’est un signe !
- Un signe ? Un signe de quoi ?
Eric est habitué. Il ne panique pas. Ses gestes restent précis et il redresse calmement la situation. Il active les pompes pour évacuer les quinze centimètres d’eau qui ont envahi la cabine. Dans une dizaine de minutes, il passera sous la protection de l’île qui a l’avantage de couper la houle du grand large.
Il se présente maintenant dans le chenal d’accès au port, salue les marins de la capitainerie au passage et viens se placer à l’emplacement qu’on lui a indiqué par radio, non sans s’être fait légèrement sermonner.
- °° -
- Tu es tout mouillé ! remarque Mathilde avec un petit air maternel.
- J’ai pris une grosse vague en venant, un truc de fou.
- Tu aurais dû attendre. Ce n'était quand même pas très prudent !
- Oui, j'en conviens mais j'avais très envie de te voir.
- Mets toi à l’aise. Tu veux un paréo ?
- Oui, je veux bien. Je commence à avoir des frissons. C’est vrai qu’en cette saison, la température change vite et avec le mistral…
- Donne-moi tes vêtements que je les fasse sécher. Je te sers une bière comme d’habitude ?
- Oui s’il te plaît Mathilde.
Eric est nu comme un ver. Il s’enroule dans le paréo que lui tend Mathilde. Le tissu est agréablement parfumé. Il ne lui recouvre que les épaules et une partie du buste, laissant à nu le reste de son corps.
- Tu es toujours aussi bien foutu ! s’exclame Mathilde avec un sourire à peine masqué.
Mathilde a jeté elle aussi un polo sur ses épaules pour couper la fraîcheur automnale qui s’est installée. Elle est nue dessous. Ses seins marquent le tissu de leur empreinte vaillantes et téméraires. Le vêtement arrive un peu au dessus du pubis rasé et entièrement bronzé, mettant en exergue le tout début du renflement de son petit minou.
Mathilde est si habituée qu’elle ne se rend même pas compte qu’elle puisse être sexy dans cette tenue volage et lorsqu’elle se tourne puis se baisse pour extraire une canette de bière du frigidaire, ses fesses se séparent l’une de l’autre dans un mouvement d’une lenteur déconcertante, laissant entrevoir la petite noisette brune de son anus merveilleusement dessiné dans le prolongement de sa chatte.
Cette vision idyllique du corps féminin émoustille Eric au plus haut point. Il se voit malaxer ses fesses généreuses, caresser le petit orifice qui s’y cache, poursuivre les investigations sur ce minou audacieux. Il se voit encore caresser cette légère fente, écarter les lèvres toutes bronzées pour planter sa langue dans les chairs rosacées et humides, mordiller le capuchon de son clitoris pour le faire ressortir, l’embrasser et le sucer consciencieusement, goûter enfin toutes les sécrétions qui en découlent pour ne rien perdre de cette liqueur féminine si excitante, si goûtue que sa langue en raffole déjà.
Il n’en faut pas moins pour faire monter l’excitation d’Eric, la rendre incontrôlable. Mathilde s’est redressée en fermant la porte du frigidaire. Permettant à ses fesses de reprendre un minimum de solidarité. Elle a vraiment un cul somptueux pense Eric. Elle décapsule les deux canettes se tourne et dépose les deux bières sur la petite table en s’asseyant à côté d’Eric.
- Mazette, mais tu es déjà en érection ?
- Il faut dire qu’en voyant tes fesses gesticuler dans tous les sens, c’est difficile de rester zen.
- Si mon petit cul te fait toujours autant d’effet, c’est que je n’ai pas si mal vieilli que ça.
Mathilde relève son polo, dévoilant ses seins.
- Regarde. Tu ne trouves pas qu’ils ont changé ?
- On dirait que tu as pris de la poitrine. Ils sont un peu plus gros que la dernière fois. Et l’aréole s’est étendue.
- Oui, juste un peu plus gros que la dernière fois où on s’est vu. C’est un signe !
- Un signe ? Un signe de quoi ?
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